Lyon chapitre premier
Récit érotique écrit par EK43 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Lyon chapitre premier
Lyon Chapitre premier Un restaurant tex mex de la Croix rousse, sur les pentes, 20 heures un vendredi d'avril. Encore de la fraîcheur printanière. Un intérieur enfumé, un sous-sol voûté, une petite table dans le recoin, à droite de l'escalier, et là, dos au mur, Erik, 36 ans, lunettes, un regard qui vous traverse le corps, un polo noir, un jean noir, des pompes noires.
Face à lui, blonde, fluette, légère, l'air gaie et enjouée, les cheveux couvrant les épaules, Flore, 24 ans. De loin, en la regardant, on ne se doutait de rien, pourtant quelques détails pouvaient intriguer : les lèvres fines, marquées, d'un rouge gras, un maquillage faisant une petite amande violette, légère comme un voile, autour de ses yeux bleus, des bas noirs, fins, des escarpins noirs, vernis et des talons, des talons. vertigineux !! Au moins douze centimètres. La demoiselle devait faire de l'effet dans rue !
Et puis, la mini, mini, mini-jupe en cuir noir, qui couvrait à grand-peine la naissance des cuisses, le chemisier blanc, à manche courte, au décolleté profond et ravageur qui laissait clairement le nichon nu sous le coton. Nichons, dont les tétines, étaient ornées de petits anneaux.
Et puis il y avait l'attitude, jambes très franchement à l'équerre..
Mais le pire était sous la jupe.. Sous le mini-string, Flore s'était enfilée, dans l'intimité de sa salle de bain, un énorme plug qui lui fendait le cul en deux. Quand au minou, il ronronnait, lui, remplit par des boules de geisha. Mais au fait, comment pouvait-elle sourire avec ce truc de près de quinze cm de long sur cinq de large, qui lui déchirait les reins.
Mystère des femmes ou masochisme ?Un peu des deux sans doute.
Au programme du repas à près les margaritas, tacos, guacamole, mole poblano de pollo (poulet aux amandes avec une sauce à base de cacao, piment, cannelle, raisin) accompagné de riz, vin blanc de Calafio, et puis, pour Flore une tarte au citron, pour Erik une crème caramel. Et deux mezcals bien tassés pour faire passer le tout.
Des rires, un peu d'ivresse avaient ponctué une conversation passionnée.
- « Aller, il est plus de minuit, je paie et on se casse, direction le parking des Terreaux », lança Erik.
Flore se rembrunit, les choses sérieuses allaient commencer. Dans la rue en pente, Erik la fit passer devant, histoire de mater son cul qui roulait, et ses jambes de pute montées sur échasses et sa jupe qui couvrait difficilement ses fesses. Après avoir traversé la place, devant l'entrée du parking, un long baiser fut échangé. Dans l'ascenseur qui les menaient au 4° sous-sol, encore un autre.
Mais à la sortie, après un bref coup d'oeil pour s'assurer de leur solitude, un ordre cingla :- « A quatre pattes ! ».
De son sac, Erik sortit un très gros collier de cuir clouté, et une laisse en acier. Délicatement, Erik cet objet autour du cou de sa chienne, puis le serra fortement.
- « La voiture n'est pas loin, rassure-toi », lui dit-il en tirant sur la laisse.
Flore suivait difficilement, ses genoux ripaient, ses bas s'accrochaient sur chaque aspérité du sol, et la crainte d'une irruption subite, la saisit. Ca y est, Flore était devant le coffre ouvert de la petite Twingo.
- « Grimpe ! » ordonna le maître.
Flore se hissa, et s'installa le plus confortablement possible.
Clac ! La porte se referma sèchement sur l'espace réduit. Elle entendit un nouveau bruit de clé, un nouveau claquement, de la musique soul, lui parvint aux oreilles, et enfin le moteur démarra.
Des brinquebalements, la route, les fourmis dans les jambes. Flore se remémora les étapes du programme prévu. Esclave, ce serait son sort pendant tout le week-end.
Le temps passait, et une grosse envie de faire pipi la saisit. Tenir, résister. résister encore. Elle avait trop bu ce soir, et résultat sa vessie se rappelait à son bon souvenir.
Merde, se dit-elle, y avait des chiottes au resto. Pourquoi j'ai pas demandé à y aller. Elle se tortillait, frémissante mais tendue. Serrant la mâchoire.
Une goutte, puis, un filet et l'ouverture des vannes. Un long jet chaud inonde son string, dégouline le long de ses cuisses, direction la moquette.
Une petite flaque, elle s'imaginait rouge de honte. Peut être inconsciemment elle avait voulu être punie.
Erik conduisait, sur des chemins noirs, sinueux, il pensait à la superbe chienne blonde enfermée dans son coffre.. Et a… Bon de toutes façons, on arrivait, un gîte loué pour le week-end dans un coin tranquille .
Plus de bruit, de musique, de moteur. Rien qui trouble la tranquillité. Tranquillement, il sortit de la voiture, se dirigea vers le coffre, qu'il ouvrit prestement.
Flore semblait endormie, un tirage sec sur la laisse, la fraîcheur la nuit, la sortirent de sa torpeur.
- « Allez, debout ! » commanda le maître.
Flore sortit lentement et fut happée contre l'homme. Deux bras puissants, une poitrine qu'on écrasait contre un torse, des lèvres qui saisissaient les siennes avec délice, longuement. A la séparation un aveu, rougissante : - « J'ai pas mérité votre baiser. J'ai fait pipi dans le coffre ».
- « Ce n'est pas grave, répondit Erik d'une voix douce, tu laveras demain matin. Par contre, tu seras punie. En attendant, à quatre pattes, suis-moi ».
Déjà la laisse tirait, et Flore, s'affala sur un sol légèrement boueux. Quelque mètres jusqu'à la porte, et Flore était toute sale, avec même de la terre sur le visage. Une lourde porte en bois, une nouvelle clé plus lourde qui tourne, un grincement. Ca y est ! en deux pas, ils sont à l'intérieur.
Il faisait chaud, dans la pièce principale, des murs vert, une lourde table en bois, une banquette confortable, un gros fauteuil, quatre chaises.
- « A droite, la salle de bain et la cuisine, en haut la chambre, indiqua Erik, en détachant le collier. allez debout et à poil ! et puis tu me déshabilleras après ».
Déjà, prestement, Flore avait ôté sa jupe, puis son chemisier. Les chaussures, les fringues, furent rangés soigneusement sur une chaise et déjà, à genoux, elle attaquait les mocassins, puis le pantalon et le slip qui dissimulait mal une grosse bosse bien tentante. Et le polo pour finir. Debout, elle ne put s'empêcher d'embrasser le torse d'Éric. Celui-ci la saisit par la hanche et l'entraîna vers la salle de bain.
Un bac à douche, de l'eau chaude, du savon, cela fait du bien et quel plaisir de se frotter réciproquement. Et quel plaisir de voir une bite d'homme raidir sous la main, de sentir un homme lui fouiller la chatte, pour en retirer des boules que l'on avait oublié, de sentir un plug que l'on arrachait violemment, de se retrouver collée face au mur, vigoureusement prise par une queue tant désirée. Des mains d'homme, qui saisissent avec force les hanches, une queue qui perfore et ressort. Pour défoncer, une chatte encore plus fort, toujours plus fort, jusqu'à l'explosion commune.
- « Ca fait du bien ! », lança Erik en lui caressant doucement les seins, en l'embrassant.
- « Oui, monsieur. C' était bon », répondit-elle l'air mutin en avant de plonger langue en avant pour lui nettoyer le sexe.
- « Prends la serviette, et sèche-nous », lui glissa l'homme à l'oreille.
Très délicatement elle s'exécuta, esclave silencieuse et docile. Et maintenant, elle le suivait à nouveau à quatre pattes, en direction de la table.
Pas pour manger.
Pour être punie.
Déjà elle se trouvait, écartelée, poignets et jambes solidement attachés au quatre pieds en bois, et Erik s'approchait, nu, ceinturon en main.
- « Vingt coups sur les seins, vingt sur les cuisses, dix sur le sexe, et tu vas compter à voix haute ! ».
Vlan ! le ceinturon, s'abattit. Un cri.
- « Un ! » énuméra-t-elle.
- « Plus fort », cria-t-il.
- « Un ! » répéta-t-elle.
Et les coups cinglèrent, toujours plus fort, toujours plus précisément, méthodiquement.
• - « Quarante ! », lança-t-elle dans un souffle sanglotant.
Les larmes aux yeux, elle pensa que le plus dur était à venir. Erik, se plaçait face à son entrecuisse offerte et visait son sexe. Au quarante quatrième, elle s 'évanoui, mais il continua jusqu'au bout.
Elle sanglotait maintenant doucement, les nichons, la chatte, les cuisses rougies par le feu du ceinturon. La main d'Éric, caressait ses boursouflures, s'attardait, caressait lentement, et Flore se sentit comblée.
Erik la détacha, et la souleva dans ses bras. Doucement elle se sentit portée, par l'homme dans l'escalier, puis posée délicatement, sur un parquet. Là, il lui fit avaler quelques comprimés d'arnica.
Quelques instants plus tard, elle sentit, le collier se fermer à nouveau sur son cou, tandis que des menottes, glissaient autour de ses poignets tirés dans le dos. La laisse était soigneusement enroulée autour du pied de lit. Erik la caressait doucement, en lui disant, que si elle n'avait pas été punie, c'est dans son lit, qu'elle aurait dormi, car il avait envie d'une douce et chaude bouillotte.
Il la mit sur le côté, l'embrassa en lui souhaitant une bonne nuit, puis se plaça sur elle, attirant son visage contre son gland, pour qu'elle le lèche et l'embrasse. Ce que' elle fit avec bonheur. Elle plongea, dans un doux sommeil, malgré les blessures. Juste avant de plonger à son tour dans la nuit, Erik la couvrit d'une couverture.
Face à lui, blonde, fluette, légère, l'air gaie et enjouée, les cheveux couvrant les épaules, Flore, 24 ans. De loin, en la regardant, on ne se doutait de rien, pourtant quelques détails pouvaient intriguer : les lèvres fines, marquées, d'un rouge gras, un maquillage faisant une petite amande violette, légère comme un voile, autour de ses yeux bleus, des bas noirs, fins, des escarpins noirs, vernis et des talons, des talons. vertigineux !! Au moins douze centimètres. La demoiselle devait faire de l'effet dans rue !
Et puis, la mini, mini, mini-jupe en cuir noir, qui couvrait à grand-peine la naissance des cuisses, le chemisier blanc, à manche courte, au décolleté profond et ravageur qui laissait clairement le nichon nu sous le coton. Nichons, dont les tétines, étaient ornées de petits anneaux.
Et puis il y avait l'attitude, jambes très franchement à l'équerre..
Mais le pire était sous la jupe.. Sous le mini-string, Flore s'était enfilée, dans l'intimité de sa salle de bain, un énorme plug qui lui fendait le cul en deux. Quand au minou, il ronronnait, lui, remplit par des boules de geisha. Mais au fait, comment pouvait-elle sourire avec ce truc de près de quinze cm de long sur cinq de large, qui lui déchirait les reins.
Mystère des femmes ou masochisme ?Un peu des deux sans doute.
Au programme du repas à près les margaritas, tacos, guacamole, mole poblano de pollo (poulet aux amandes avec une sauce à base de cacao, piment, cannelle, raisin) accompagné de riz, vin blanc de Calafio, et puis, pour Flore une tarte au citron, pour Erik une crème caramel. Et deux mezcals bien tassés pour faire passer le tout.
Des rires, un peu d'ivresse avaient ponctué une conversation passionnée.
- « Aller, il est plus de minuit, je paie et on se casse, direction le parking des Terreaux », lança Erik.
Flore se rembrunit, les choses sérieuses allaient commencer. Dans la rue en pente, Erik la fit passer devant, histoire de mater son cul qui roulait, et ses jambes de pute montées sur échasses et sa jupe qui couvrait difficilement ses fesses. Après avoir traversé la place, devant l'entrée du parking, un long baiser fut échangé. Dans l'ascenseur qui les menaient au 4° sous-sol, encore un autre.
Mais à la sortie, après un bref coup d'oeil pour s'assurer de leur solitude, un ordre cingla :- « A quatre pattes ! ».
De son sac, Erik sortit un très gros collier de cuir clouté, et une laisse en acier. Délicatement, Erik cet objet autour du cou de sa chienne, puis le serra fortement.
- « La voiture n'est pas loin, rassure-toi », lui dit-il en tirant sur la laisse.
Flore suivait difficilement, ses genoux ripaient, ses bas s'accrochaient sur chaque aspérité du sol, et la crainte d'une irruption subite, la saisit. Ca y est, Flore était devant le coffre ouvert de la petite Twingo.
- « Grimpe ! » ordonna le maître.
Flore se hissa, et s'installa le plus confortablement possible.
Clac ! La porte se referma sèchement sur l'espace réduit. Elle entendit un nouveau bruit de clé, un nouveau claquement, de la musique soul, lui parvint aux oreilles, et enfin le moteur démarra.
Des brinquebalements, la route, les fourmis dans les jambes. Flore se remémora les étapes du programme prévu. Esclave, ce serait son sort pendant tout le week-end.
Le temps passait, et une grosse envie de faire pipi la saisit. Tenir, résister. résister encore. Elle avait trop bu ce soir, et résultat sa vessie se rappelait à son bon souvenir.
Merde, se dit-elle, y avait des chiottes au resto. Pourquoi j'ai pas demandé à y aller. Elle se tortillait, frémissante mais tendue. Serrant la mâchoire.
Une goutte, puis, un filet et l'ouverture des vannes. Un long jet chaud inonde son string, dégouline le long de ses cuisses, direction la moquette.
Une petite flaque, elle s'imaginait rouge de honte. Peut être inconsciemment elle avait voulu être punie.
Erik conduisait, sur des chemins noirs, sinueux, il pensait à la superbe chienne blonde enfermée dans son coffre.. Et a… Bon de toutes façons, on arrivait, un gîte loué pour le week-end dans un coin tranquille .
Plus de bruit, de musique, de moteur. Rien qui trouble la tranquillité. Tranquillement, il sortit de la voiture, se dirigea vers le coffre, qu'il ouvrit prestement.
Flore semblait endormie, un tirage sec sur la laisse, la fraîcheur la nuit, la sortirent de sa torpeur.
- « Allez, debout ! » commanda le maître.
Flore sortit lentement et fut happée contre l'homme. Deux bras puissants, une poitrine qu'on écrasait contre un torse, des lèvres qui saisissaient les siennes avec délice, longuement. A la séparation un aveu, rougissante : - « J'ai pas mérité votre baiser. J'ai fait pipi dans le coffre ».
- « Ce n'est pas grave, répondit Erik d'une voix douce, tu laveras demain matin. Par contre, tu seras punie. En attendant, à quatre pattes, suis-moi ».
Déjà la laisse tirait, et Flore, s'affala sur un sol légèrement boueux. Quelque mètres jusqu'à la porte, et Flore était toute sale, avec même de la terre sur le visage. Une lourde porte en bois, une nouvelle clé plus lourde qui tourne, un grincement. Ca y est ! en deux pas, ils sont à l'intérieur.
Il faisait chaud, dans la pièce principale, des murs vert, une lourde table en bois, une banquette confortable, un gros fauteuil, quatre chaises.
- « A droite, la salle de bain et la cuisine, en haut la chambre, indiqua Erik, en détachant le collier. allez debout et à poil ! et puis tu me déshabilleras après ».
Déjà, prestement, Flore avait ôté sa jupe, puis son chemisier. Les chaussures, les fringues, furent rangés soigneusement sur une chaise et déjà, à genoux, elle attaquait les mocassins, puis le pantalon et le slip qui dissimulait mal une grosse bosse bien tentante. Et le polo pour finir. Debout, elle ne put s'empêcher d'embrasser le torse d'Éric. Celui-ci la saisit par la hanche et l'entraîna vers la salle de bain.
Un bac à douche, de l'eau chaude, du savon, cela fait du bien et quel plaisir de se frotter réciproquement. Et quel plaisir de voir une bite d'homme raidir sous la main, de sentir un homme lui fouiller la chatte, pour en retirer des boules que l'on avait oublié, de sentir un plug que l'on arrachait violemment, de se retrouver collée face au mur, vigoureusement prise par une queue tant désirée. Des mains d'homme, qui saisissent avec force les hanches, une queue qui perfore et ressort. Pour défoncer, une chatte encore plus fort, toujours plus fort, jusqu'à l'explosion commune.
- « Ca fait du bien ! », lança Erik en lui caressant doucement les seins, en l'embrassant.
- « Oui, monsieur. C' était bon », répondit-elle l'air mutin en avant de plonger langue en avant pour lui nettoyer le sexe.
- « Prends la serviette, et sèche-nous », lui glissa l'homme à l'oreille.
Très délicatement elle s'exécuta, esclave silencieuse et docile. Et maintenant, elle le suivait à nouveau à quatre pattes, en direction de la table.
Pas pour manger.
Pour être punie.
Déjà elle se trouvait, écartelée, poignets et jambes solidement attachés au quatre pieds en bois, et Erik s'approchait, nu, ceinturon en main.
- « Vingt coups sur les seins, vingt sur les cuisses, dix sur le sexe, et tu vas compter à voix haute ! ».
Vlan ! le ceinturon, s'abattit. Un cri.
- « Un ! » énuméra-t-elle.
- « Plus fort », cria-t-il.
- « Un ! » répéta-t-elle.
Et les coups cinglèrent, toujours plus fort, toujours plus précisément, méthodiquement.
• - « Quarante ! », lança-t-elle dans un souffle sanglotant.
Les larmes aux yeux, elle pensa que le plus dur était à venir. Erik, se plaçait face à son entrecuisse offerte et visait son sexe. Au quarante quatrième, elle s 'évanoui, mais il continua jusqu'au bout.
Elle sanglotait maintenant doucement, les nichons, la chatte, les cuisses rougies par le feu du ceinturon. La main d'Éric, caressait ses boursouflures, s'attardait, caressait lentement, et Flore se sentit comblée.
Erik la détacha, et la souleva dans ses bras. Doucement elle se sentit portée, par l'homme dans l'escalier, puis posée délicatement, sur un parquet. Là, il lui fit avaler quelques comprimés d'arnica.
Quelques instants plus tard, elle sentit, le collier se fermer à nouveau sur son cou, tandis que des menottes, glissaient autour de ses poignets tirés dans le dos. La laisse était soigneusement enroulée autour du pied de lit. Erik la caressait doucement, en lui disant, que si elle n'avait pas été punie, c'est dans son lit, qu'elle aurait dormi, car il avait envie d'une douce et chaude bouillotte.
Il la mit sur le côté, l'embrassa en lui souhaitant une bonne nuit, puis se plaça sur elle, attirant son visage contre son gland, pour qu'elle le lèche et l'embrasse. Ce que' elle fit avec bonheur. Elle plongea, dans un doux sommeil, malgré les blessures. Juste avant de plonger à son tour dans la nuit, Erik la couvrit d'une couverture.
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