Mireille, premier jour
Récit érotique écrit par EK43 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Mireille, premier jour
Mireille, premier jour.
Une drôle d’histoire qui me rappelait ma première vraie soumise.
Un jour, celle que nous appellerons Mireille, découvre mes récits sm et pornographiques sur un site spécialisé. Très vite, à la lecture, elle s’identifie à mes héroïnes, mises en scène dans mes nouvelles, Flore et Réjane. L’une est une soumise masochiste, inventée, l’autre une libertine gangbangueuse réelle.
Je n’ai jamais compris pourquoi, « Lyon », l’histoire fantasmée dont Flore est le personnage, m’avait valu plusieurs contacts et aussi plusieurs rencontres. Tant mieux.
Peut être que ces femmes, avaient vu en moi, une force, une violence maîtrisée, une hypersexualité débordante, perverse, humiliante, mais aussi jouissante, une sincérité empreinte de réelle tendresse pour les femmes, et que donc elles pouvaient se livrer avec moi, sans risque à leurs envies.
Sur le site, Mireille avait vu que je cherchais une muse. Après quelques hésitations, elle m’avait envoyé un message.
Bonjour, Je viens de découvrir vos récits. Super et bravo. J’aimerais bien correspondre avec vous, être votre muse pour vous inspirer pour de nouvelles histoires érotiques, devenir une de vos soumises.
Je suis une femme dans la soixantaine et j’ai tant d’envies non satisfaites.
Vous m’aidez à les réaliser ?
BisesMireille
Dès les premiers mots, on sentait, de l’envie, de l’émotion. Dès les premiers mots, je me suis dit, que celle-là, j’aimerais la séduire, en écrivant pour elle, en espérant qu’un jour, elle ait l’envie d’être à genoux, nue, en collier et laisse devant moi, pour de vrai, pour un moment de petit bonheur parfait. Un petit moment de bonheur parfait, c’est une femme en collier et laisse, qui aime jouir dans la soumission sexuelle . Pas féministe du tout, mais jamais de contrainte, si elle vient se faire dresser, c’est qu’elle en a envie. Beaucoup l’oublient, mais c’est la soumise qui choisit son mâle dominant, jamais le contraire !
Rien à voir avec les arnaqueuses, les faux couples, les prostituées, les trav mal rasées, mythos de tout poil qui me contactent habituellement.
Là je sens que c’est du vrai.
Habitant assez loin de moi, la soixantaine pimpante, potelée comme j’aime, plutôt petite, châtain clair, des lunettes, des cuisses musclées, des seins… Des seins, en poire, un peu lourds, qu’on a envie d’avoir en main, de larges aréoles avec des tétons qu’on voudrait téter. Qu’est ce que j’aimerais les voir pendre. Et puis, on devine, un cul, un joli petit cul à sodomiser et à fesser…
Le genre de femme, qui dans sa soixantaine fait bander les jeunots, quand elle se balade en jupe courte, les seins libres sous le corsage .
Le genre de chienne que j’aime avoir en laisse, à quatre pattes, gros nichons pendants, soumise, perverse, jouissante.
Alors comme elle veut être la muse de mes cochonneries, allons-y, elle est motivante, bandante à souhait.
Et puis, rien que de l’imaginer en chienne… Putain que c’est beau, putain que c’est bon.
Alors j’écris… Bien hard, voire de la soumission, de l’exhibition, de la pluralité…
Et un jour, la voilà qui m’annonce : « Je viens » !
C’est comme ça, qu’un jour au bout de 6 heures de route, je l’ai trouvée devant ma porte, par une chaleur accablante, à 20 heures pétante.
Joie et émotion.
Pendant une semaine, elle sera ma pute personnelle, ma chienne, mon sac à foutre, mon objet. Je la punirai, l’humilierai, l’exhiberai, la baiserai, l’enculerai, la partagerai. Bref, son corps gracile m’appartiendra.
Elle est là , Mireille, rougissante.
Sur le pas de la porte, je la regarde. A 62 ans, elle est… Elle est vraiment, bandante avec son air gourmand. Une bouille ronde, angélique de perversité.
Je la serre dans mes bras, je l’embrasse longuement. Quelle bouche ! des lèvres fines, pales et douces. Un délicat fourreau pour ma queue qui va y passer de longs moments. Je profitais aussi de l’instant pour lui relever la jupe. Je voulais la faire entrer cul nu chez moi. Ben oui, comme prévu, elle n’avait pas de slip, pas de soutien gorge, elle savait que cela lui sera totalement interdit pendant une semaine.
Je la fis entrer, et aussitôt la déshabillais.
Tout était parfait, des seins un peu lourds, que j’alourdirais parfois avec des poids, quelques kilos qui la rendaient confortable, et qui étaient signes de gourmandise.
Pour vérifier son excitation, je lui fourrais mon majeur, bien profondément dans la chatte. Sa chatte de chienne était déjà trempée, j’insistais, elle gémissait.
En silence, je pris son petit sac de voyage, et je la dirigeais vers la salle de bains dont j’avais profité une demi-heure avant. Ben oui, j’allais pas lui faire sucer une bite puante, et lui faire lécher un cul malpropre pour la première soirée.
Après 6 heures de route en plein cagnard, elle avait besoin, d’un lavement et d’une petite douche. Le tout était prêt.
Le lavement était sur le petit meuble rouge et jaune. « Appuie-toi face au mur », lançais-je à ma future chienne. Le tube rigide du lavement, rentrait facilement, visiblement, elle avait l’habitude qu’on utilise son petit trou et pas seulement pour des lavements !
« Assieds-toi sur la cuvette des toilettes, cuisses à l’équerre ! Cuisses à l’équerre quand tu es assise à chaque fois, surtout quand tu fais pipi devant moi. » Elle obtempéra en silence, yeux baissés.
Essuie-toi bien, et ensuite dans la baignoire pour la douche .
Une fois le cul propre, elle s’installa, dans la baignoire, ce qui n’est pas très pratique pour une douche, mais j’y peux rien. Moi je l’arrosais d’eau tiède… Et surtout j’allais m’adonner à un petit plaisir personnel, c’est-à-dire profiter du savonnage, pour caresser ce corps de chienne voluptueuse de partout. Mes mains de partout, il fallait qu’elle s’y habitue, et y prenne plaisir.
En tous cas, elle a, semble-t-il, aimé mes mains sur ses seins, mes doigts sur son clitoris et le petit pommeau qui arrosait son vagin. Les frémissements de son corps en étaient la preuve.
Son pubis était glabre, comme épilé, mais par principe, comme pour en prendre possession, je me lançais dans un rasage soigné.
Je la séchais, j’en profitais encore. Ses deux gros nénés, que du bonheur ! Et son cul pareil ! C’est sans doute pour ça que j’en ai profité pour lui mettre une petite claque, ce qui lui fit rougir, les joues. Je sais, c’est bizarre, mais ce sont bien les joues qui ont rougi.
A ce moment-là, le rouge de ses joues fut quasiment sa seule expression depuis son arrivée. Pas un mot n’était sorti de ses lèvres.
Sèche, de haut en bas, je la traînais par la main dans le couloir, lui montrant au passage, la petite cellule aménagée de chaînes, où elle passerait la nuit, si un jour, elle faisait la chieuse, genre refuser de manger le nonosse, traîner pour ouvrir les cuisses, etc.
Dans la grande pièce, un lit immense, deux tables, des chaises, un fauteuil.
Sur une table, des verres, des assiettes, une bouteille de vin blanc.
« Va falloir que tu en profites, c’est le dernier repas que tu vas prendre à table, avant plusieurs jours ».
Mireille s’assit, en écartant les cuisses, mais en veillant bien à bomber le torse.
C’est vrai, elle avait, une poitrine magnifique, deux poires un peu lourdes, que j’aurai plaisir à malmener.
« Au menu, burger brivadois (saumon, lentilles blondes de Saint Flour, fourme d’Ambert, recette personnelle), salade, tomme aux artisous, tarte au chocolat. Ma cuisine n’est pas toujours très esthétique, mais elle est bonne, profites-en bien ! ». dis-je en secouant un sac de croquettes !
Lors des prochains repas, elle serait en laisse, à genoux devant sa gamelle.
Mireille avait à peine touché au burger, quelques feuilles de salade, un tout petit morceau de fromage, mais elle avait dévoré une grosse part de tarte au chocolat.
Elle avait ri quand un petit bout était tombé sur ses seins. Avant même qu’elle ait eu le temps de s’essuyer, je m’étais précipité pour lécher la tache. J’étais amoureux des seins de mon esclave et je voulais qu’elle le sache.
Dans quelques minutes, elle serait ma chienne. J’aurais aimé que ce fût pour la vie, mais ce ne serait que pour une semaine. Je me plaçais derrière elle debout, lui saisis les seins à pleines mains et entrepris un long pétrissage. Elle devina mon érection.
« Viens ma chienne, mets-toi à genoux ».
Je me dirigeais vers l’autre table où il y avait tout un fatras d’objets SM. Cravache, fouet, martinet, cordes, menottes et je saisis un collier et une laisse.
Devant elle, qui avait la tête à la hauteur de ma braguette, je posais la question rituelle : « Mireille veux-tu devenir ma chienne ? » Mireille avait les joues rouges et répondit par un murmure à peine audible :
-« Oui ».
-« Plus fort je n’ai rien entendu ».
D’une voix tremblante d’émotion elle lança :— « Maître, je suis votre chienne ! ».
Une sorte de déclaration d’amour, qui lui valut de recevoir un anneau de cuir à son cou.
Quelques instants plus tard, je revins auprès d’elle qui était toujours agenouillée, avec une bassine d’eau, l’éponge, de la mousse à raser, une tondeuse et un rasoir mécanique. Je savais que Mireille aimait les queues propres et je voulais qu’elle tombe amoureuse de la mienne. Je me déshabillais complètement, puis m’assieds au bord du lit et lançais l’ordre :« Rase-moi bien et suce-moi bien à fond après ».
Elle brancha la tondeuse et dégrossit rapidement mon pubis. Les couilles étaient la partie la plus délicate, avec le rasoir. Elle devait s’appliquer et elle s’appliqua. Lentement, efficacement, elle me débarrassa à de tout mon système pileux pubien.
La nuit qui commençait, s’annonçait longue. Elle ne serait qu’une suite de jouissance pour les deux amoureux que nous étions. D’abord Mireille, ma chienne m’avait sucé longtemps elle y avait mis toute sa science et 40 ans d’expérience, dans le domaine de la fellation, ça compte. Ensuite, le temps de reprendre de la vigueur, je l’attachais, sur le dos, en croix, aux montants du lit.
Pour commencer, je m’étais longuement occupé de ses chefs-d’œuvre mammaires. Ils eurent droit à ma langue, mes doigts, mes lèvres, mes dents, mes pinces à linge et à nouveau mes lèvres. Il fallait que je tète cette gourmandise !
J''étais vraiment amoureux de ses seins.
Je vérifiais avec un doigt si son vagin était trempé. Il l’était !
Alors entre le pouce et l’index, je commençais à triturer son petit clitoris tout rose !
Il était saillant, et méritait toutes les attentions ! Ma chienne était gémissante. C’est sous ma langue que son clitoris fut mis au comble de l’excitation. Elle cria !
C’est le moment que je choisissais, pour m’occuper de son vagin. Elle était vraiment trempée, c’ était l ‘Allier entre ses cuisses. Même si son sexe semblait étroit, sans difficultés, sans forcer, il avala toute ma main droite jusqu’au poignet. Le fist vaginal, moi j’appelle cela « la machine à jouir ». Je découvris à ses cris qu’elle aimait cela, avoir son vagin dilaté.
Mes doigts fouillaient bien au fond, grattaient, les parois, surtout le fond, où il y avait une petite zone sensible. La main sortait lentement avant de revenir d’un coup.
-« Tu aimes ça ma chienne ! ».
En réponse, je n' eus que grognements de plaisir.
Je la voyais qui tentait de se retenir, qui se mordait les lèvres, mais son plaisir ne répondait qu’aux ordres à ma main. Ma chienne Mireille n’était là que pour prendre et donner du plaisir. Jouir et faire jouir. Pour chaque jouissance qu’elle me donnerait, avec la bouche, le cul, la chatte, les mains ou les seins, elle en recevrait au moins dix de ma queue, de ma langue, de mes mains, de mes objets.
Pendant deux heures, oui deux heures, ma main droite dilata sa chatte et la jouissance fut à répétition ! Je n’ai pas compté !
Elle était pantelante, épuisée, transpirante.
Je m’assis sur ses cuisses et me penchait, torse contre torse, glissais mes bras sous ses épaules et sa nuque, l’enlaçais et lui roulais une galoche très très longue.
Les seins du bonheur contre mon torse firent rapidement leurs effets magiques. C’était électrisant, bandant, une telle paire de nichons… Ils n’étaient plus les siens, mais les miens, Ils étaient devenus ma propriété, comme sa bouche ou son cul.
Bref, j’avais une très grosse envie de ma pute docile. Détachée, elle ne protesta pas quand je l’ai mise en levrette. Avec difficulté, sur mon membre épais à la tête violette, j’enfilai une capote.
Quelle merde ce latex, je n’aime vraiment pas ça demain il faudra faire un test, parce que pour elle comme pour moi l’amour, sera sans capote. Ce fut d’abord son vagin trempé que je remplis de mon dard, mais elle savait que c’est dans son cul que je jouirais. Je voulais qu’elle se sente totalement possédée !
Elle n’était qu’à moi rien qu’à moi ! A nouveau elle jouit ! Alors que j’allais me retirer, je l’entendis crier :
-» Encule-moi je suis ta chienne ».
Et c’est ainsi que nous allions jouir ensemble. Maintenant elle était blottie dans mes bras et enfin elle commençait à vraiment me parler, rire, se lâcher. Elle semblait heureuse, épanouie avec son collier de chien au cou.
Après nous être bien lavés, juste avant de nous endormir, de sa propre initiative elle me lécha la queue, histoire de la nettoyer, la faisant durcir à nouveau. Ce n’était plus ma bite, mais son nonosse, sa tétine.
Une drôle d’histoire qui me rappelait ma première vraie soumise.
Un jour, celle que nous appellerons Mireille, découvre mes récits sm et pornographiques sur un site spécialisé. Très vite, à la lecture, elle s’identifie à mes héroïnes, mises en scène dans mes nouvelles, Flore et Réjane. L’une est une soumise masochiste, inventée, l’autre une libertine gangbangueuse réelle.
Je n’ai jamais compris pourquoi, « Lyon », l’histoire fantasmée dont Flore est le personnage, m’avait valu plusieurs contacts et aussi plusieurs rencontres. Tant mieux.
Peut être que ces femmes, avaient vu en moi, une force, une violence maîtrisée, une hypersexualité débordante, perverse, humiliante, mais aussi jouissante, une sincérité empreinte de réelle tendresse pour les femmes, et que donc elles pouvaient se livrer avec moi, sans risque à leurs envies.
Sur le site, Mireille avait vu que je cherchais une muse. Après quelques hésitations, elle m’avait envoyé un message.
Bonjour, Je viens de découvrir vos récits. Super et bravo. J’aimerais bien correspondre avec vous, être votre muse pour vous inspirer pour de nouvelles histoires érotiques, devenir une de vos soumises.
Je suis une femme dans la soixantaine et j’ai tant d’envies non satisfaites.
Vous m’aidez à les réaliser ?
BisesMireille
Dès les premiers mots, on sentait, de l’envie, de l’émotion. Dès les premiers mots, je me suis dit, que celle-là, j’aimerais la séduire, en écrivant pour elle, en espérant qu’un jour, elle ait l’envie d’être à genoux, nue, en collier et laisse devant moi, pour de vrai, pour un moment de petit bonheur parfait. Un petit moment de bonheur parfait, c’est une femme en collier et laisse, qui aime jouir dans la soumission sexuelle . Pas féministe du tout, mais jamais de contrainte, si elle vient se faire dresser, c’est qu’elle en a envie. Beaucoup l’oublient, mais c’est la soumise qui choisit son mâle dominant, jamais le contraire !
Rien à voir avec les arnaqueuses, les faux couples, les prostituées, les trav mal rasées, mythos de tout poil qui me contactent habituellement.
Là je sens que c’est du vrai.
Habitant assez loin de moi, la soixantaine pimpante, potelée comme j’aime, plutôt petite, châtain clair, des lunettes, des cuisses musclées, des seins… Des seins, en poire, un peu lourds, qu’on a envie d’avoir en main, de larges aréoles avec des tétons qu’on voudrait téter. Qu’est ce que j’aimerais les voir pendre. Et puis, on devine, un cul, un joli petit cul à sodomiser et à fesser…
Le genre de femme, qui dans sa soixantaine fait bander les jeunots, quand elle se balade en jupe courte, les seins libres sous le corsage .
Le genre de chienne que j’aime avoir en laisse, à quatre pattes, gros nichons pendants, soumise, perverse, jouissante.
Alors comme elle veut être la muse de mes cochonneries, allons-y, elle est motivante, bandante à souhait.
Et puis, rien que de l’imaginer en chienne… Putain que c’est beau, putain que c’est bon.
Alors j’écris… Bien hard, voire de la soumission, de l’exhibition, de la pluralité…
Et un jour, la voilà qui m’annonce : « Je viens » !
C’est comme ça, qu’un jour au bout de 6 heures de route, je l’ai trouvée devant ma porte, par une chaleur accablante, à 20 heures pétante.
Joie et émotion.
Pendant une semaine, elle sera ma pute personnelle, ma chienne, mon sac à foutre, mon objet. Je la punirai, l’humilierai, l’exhiberai, la baiserai, l’enculerai, la partagerai. Bref, son corps gracile m’appartiendra.
Elle est là , Mireille, rougissante.
Sur le pas de la porte, je la regarde. A 62 ans, elle est… Elle est vraiment, bandante avec son air gourmand. Une bouille ronde, angélique de perversité.
Je la serre dans mes bras, je l’embrasse longuement. Quelle bouche ! des lèvres fines, pales et douces. Un délicat fourreau pour ma queue qui va y passer de longs moments. Je profitais aussi de l’instant pour lui relever la jupe. Je voulais la faire entrer cul nu chez moi. Ben oui, comme prévu, elle n’avait pas de slip, pas de soutien gorge, elle savait que cela lui sera totalement interdit pendant une semaine.
Je la fis entrer, et aussitôt la déshabillais.
Tout était parfait, des seins un peu lourds, que j’alourdirais parfois avec des poids, quelques kilos qui la rendaient confortable, et qui étaient signes de gourmandise.
Pour vérifier son excitation, je lui fourrais mon majeur, bien profondément dans la chatte. Sa chatte de chienne était déjà trempée, j’insistais, elle gémissait.
En silence, je pris son petit sac de voyage, et je la dirigeais vers la salle de bains dont j’avais profité une demi-heure avant. Ben oui, j’allais pas lui faire sucer une bite puante, et lui faire lécher un cul malpropre pour la première soirée.
Après 6 heures de route en plein cagnard, elle avait besoin, d’un lavement et d’une petite douche. Le tout était prêt.
Le lavement était sur le petit meuble rouge et jaune. « Appuie-toi face au mur », lançais-je à ma future chienne. Le tube rigide du lavement, rentrait facilement, visiblement, elle avait l’habitude qu’on utilise son petit trou et pas seulement pour des lavements !
« Assieds-toi sur la cuvette des toilettes, cuisses à l’équerre ! Cuisses à l’équerre quand tu es assise à chaque fois, surtout quand tu fais pipi devant moi. » Elle obtempéra en silence, yeux baissés.
Essuie-toi bien, et ensuite dans la baignoire pour la douche .
Une fois le cul propre, elle s’installa, dans la baignoire, ce qui n’est pas très pratique pour une douche, mais j’y peux rien. Moi je l’arrosais d’eau tiède… Et surtout j’allais m’adonner à un petit plaisir personnel, c’est-à-dire profiter du savonnage, pour caresser ce corps de chienne voluptueuse de partout. Mes mains de partout, il fallait qu’elle s’y habitue, et y prenne plaisir.
En tous cas, elle a, semble-t-il, aimé mes mains sur ses seins, mes doigts sur son clitoris et le petit pommeau qui arrosait son vagin. Les frémissements de son corps en étaient la preuve.
Son pubis était glabre, comme épilé, mais par principe, comme pour en prendre possession, je me lançais dans un rasage soigné.
Je la séchais, j’en profitais encore. Ses deux gros nénés, que du bonheur ! Et son cul pareil ! C’est sans doute pour ça que j’en ai profité pour lui mettre une petite claque, ce qui lui fit rougir, les joues. Je sais, c’est bizarre, mais ce sont bien les joues qui ont rougi.
A ce moment-là, le rouge de ses joues fut quasiment sa seule expression depuis son arrivée. Pas un mot n’était sorti de ses lèvres.
Sèche, de haut en bas, je la traînais par la main dans le couloir, lui montrant au passage, la petite cellule aménagée de chaînes, où elle passerait la nuit, si un jour, elle faisait la chieuse, genre refuser de manger le nonosse, traîner pour ouvrir les cuisses, etc.
Dans la grande pièce, un lit immense, deux tables, des chaises, un fauteuil.
Sur une table, des verres, des assiettes, une bouteille de vin blanc.
« Va falloir que tu en profites, c’est le dernier repas que tu vas prendre à table, avant plusieurs jours ».
Mireille s’assit, en écartant les cuisses, mais en veillant bien à bomber le torse.
C’est vrai, elle avait, une poitrine magnifique, deux poires un peu lourdes, que j’aurai plaisir à malmener.
« Au menu, burger brivadois (saumon, lentilles blondes de Saint Flour, fourme d’Ambert, recette personnelle), salade, tomme aux artisous, tarte au chocolat. Ma cuisine n’est pas toujours très esthétique, mais elle est bonne, profites-en bien ! ». dis-je en secouant un sac de croquettes !
Lors des prochains repas, elle serait en laisse, à genoux devant sa gamelle.
Mireille avait à peine touché au burger, quelques feuilles de salade, un tout petit morceau de fromage, mais elle avait dévoré une grosse part de tarte au chocolat.
Elle avait ri quand un petit bout était tombé sur ses seins. Avant même qu’elle ait eu le temps de s’essuyer, je m’étais précipité pour lécher la tache. J’étais amoureux des seins de mon esclave et je voulais qu’elle le sache.
Dans quelques minutes, elle serait ma chienne. J’aurais aimé que ce fût pour la vie, mais ce ne serait que pour une semaine. Je me plaçais derrière elle debout, lui saisis les seins à pleines mains et entrepris un long pétrissage. Elle devina mon érection.
« Viens ma chienne, mets-toi à genoux ».
Je me dirigeais vers l’autre table où il y avait tout un fatras d’objets SM. Cravache, fouet, martinet, cordes, menottes et je saisis un collier et une laisse.
Devant elle, qui avait la tête à la hauteur de ma braguette, je posais la question rituelle : « Mireille veux-tu devenir ma chienne ? » Mireille avait les joues rouges et répondit par un murmure à peine audible :
-« Oui ».
-« Plus fort je n’ai rien entendu ».
D’une voix tremblante d’émotion elle lança :— « Maître, je suis votre chienne ! ».
Une sorte de déclaration d’amour, qui lui valut de recevoir un anneau de cuir à son cou.
Quelques instants plus tard, je revins auprès d’elle qui était toujours agenouillée, avec une bassine d’eau, l’éponge, de la mousse à raser, une tondeuse et un rasoir mécanique. Je savais que Mireille aimait les queues propres et je voulais qu’elle tombe amoureuse de la mienne. Je me déshabillais complètement, puis m’assieds au bord du lit et lançais l’ordre :« Rase-moi bien et suce-moi bien à fond après ».
Elle brancha la tondeuse et dégrossit rapidement mon pubis. Les couilles étaient la partie la plus délicate, avec le rasoir. Elle devait s’appliquer et elle s’appliqua. Lentement, efficacement, elle me débarrassa à de tout mon système pileux pubien.
La nuit qui commençait, s’annonçait longue. Elle ne serait qu’une suite de jouissance pour les deux amoureux que nous étions. D’abord Mireille, ma chienne m’avait sucé longtemps elle y avait mis toute sa science et 40 ans d’expérience, dans le domaine de la fellation, ça compte. Ensuite, le temps de reprendre de la vigueur, je l’attachais, sur le dos, en croix, aux montants du lit.
Pour commencer, je m’étais longuement occupé de ses chefs-d’œuvre mammaires. Ils eurent droit à ma langue, mes doigts, mes lèvres, mes dents, mes pinces à linge et à nouveau mes lèvres. Il fallait que je tète cette gourmandise !
J''étais vraiment amoureux de ses seins.
Je vérifiais avec un doigt si son vagin était trempé. Il l’était !
Alors entre le pouce et l’index, je commençais à triturer son petit clitoris tout rose !
Il était saillant, et méritait toutes les attentions ! Ma chienne était gémissante. C’est sous ma langue que son clitoris fut mis au comble de l’excitation. Elle cria !
C’est le moment que je choisissais, pour m’occuper de son vagin. Elle était vraiment trempée, c’ était l ‘Allier entre ses cuisses. Même si son sexe semblait étroit, sans difficultés, sans forcer, il avala toute ma main droite jusqu’au poignet. Le fist vaginal, moi j’appelle cela « la machine à jouir ». Je découvris à ses cris qu’elle aimait cela, avoir son vagin dilaté.
Mes doigts fouillaient bien au fond, grattaient, les parois, surtout le fond, où il y avait une petite zone sensible. La main sortait lentement avant de revenir d’un coup.
-« Tu aimes ça ma chienne ! ».
En réponse, je n' eus que grognements de plaisir.
Je la voyais qui tentait de se retenir, qui se mordait les lèvres, mais son plaisir ne répondait qu’aux ordres à ma main. Ma chienne Mireille n’était là que pour prendre et donner du plaisir. Jouir et faire jouir. Pour chaque jouissance qu’elle me donnerait, avec la bouche, le cul, la chatte, les mains ou les seins, elle en recevrait au moins dix de ma queue, de ma langue, de mes mains, de mes objets.
Pendant deux heures, oui deux heures, ma main droite dilata sa chatte et la jouissance fut à répétition ! Je n’ai pas compté !
Elle était pantelante, épuisée, transpirante.
Je m’assis sur ses cuisses et me penchait, torse contre torse, glissais mes bras sous ses épaules et sa nuque, l’enlaçais et lui roulais une galoche très très longue.
Les seins du bonheur contre mon torse firent rapidement leurs effets magiques. C’était électrisant, bandant, une telle paire de nichons… Ils n’étaient plus les siens, mais les miens, Ils étaient devenus ma propriété, comme sa bouche ou son cul.
Bref, j’avais une très grosse envie de ma pute docile. Détachée, elle ne protesta pas quand je l’ai mise en levrette. Avec difficulté, sur mon membre épais à la tête violette, j’enfilai une capote.
Quelle merde ce latex, je n’aime vraiment pas ça demain il faudra faire un test, parce que pour elle comme pour moi l’amour, sera sans capote. Ce fut d’abord son vagin trempé que je remplis de mon dard, mais elle savait que c’est dans son cul que je jouirais. Je voulais qu’elle se sente totalement possédée !
Elle n’était qu’à moi rien qu’à moi ! A nouveau elle jouit ! Alors que j’allais me retirer, je l’entendis crier :
-» Encule-moi je suis ta chienne ».
Et c’est ainsi que nous allions jouir ensemble. Maintenant elle était blottie dans mes bras et enfin elle commençait à vraiment me parler, rire, se lâcher. Elle semblait heureuse, épanouie avec son collier de chien au cou.
Après nous être bien lavés, juste avant de nous endormir, de sa propre initiative elle me lécha la queue, histoire de la nettoyer, la faisant durcir à nouveau. Ce n’était plus ma bite, mais son nonosse, sa tétine.
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