Saba

- Par l'auteur HDS EK43 -
Récit érotique écrit par EK43 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Saba Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.5 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Saba
Saba  Depuis 20 minutes, Saba était à quatre pattes, collier au cou, laisse attachée à la poignée de… A la poignée de quoi au fait ? Un épais masque semblant en cuir, lui masquait la vue.
En pensée, elle se voyait, fesses en l’air, genoux écartés, sexe glabre offert, reins cambrés tandis que sa lourde poitrine semblait aimantée par la moquette. Une chienne. Une chienne à qui le martinet posé sur ses reins, rappelais qu’elle ne devait pas changer de posture. Son maître en avait décidé ainsi.
 Deux heures auparavant, il l’avait fait installer, couchée à l’arrière du véhicule, nue comme un bébé à la naissance. C’était la surprise, il était juste prévu qu’ils aillent au cinéma, et puis, tout à coup l’ordre, bref, sec :  - « Saba, à poil ! »  Surprise, elle tressaillit, mais se tut. Déjà, la voiture, stoppait au bord de la route.
 - « Allez à poil vite ! J’ai une surprise pour toi », s’exclama Eric, avec un demi-sourire ».
 Saba s’exécuta rapidement. L’impatience, l’excitation, la rendait fébrile.
 - « Tu t’installeras à l’arrière, et tu prendras ton collier et to masque dans le sac » - « Dois-je les mettre, maître », demanda-t-elle ?
- « Ne joue pas les chiennes idiotes, ça ne te va pas ma puce », lui lança-t-il, en brandissant un martinet sorti d’on ne sait où.
 Plus d’une heure de route allongée, à même le sol, sans même un stick, c’ était dur, surtout dans les virages. Heureusement, une fois arrivée, devant un hangar pourri, elle avait eu droit à une pause, assise sur le siège du passager avant.
Le bonheur, un gros stick, et la main de son maître qui l’avait fouillée longuement, la laissant pantelante de jouissance, trempée comme une vraie chienne en chaleur.
 Dans la nuit, humide, son maître, l’avait sortie du véhicule. A quatre pattes, yeux bandés, elle avait été traînée par son maître, jusqu’à un local au sol moquetté. Peut être un bureau.
 Puis elle avait été abandonnée par son maître, sans mot dire, offerte. Son cœur, s’était serré quand elle avait entendu son maître s’éloigner.
Une porte claqua, la sortant de sa torpeur. Les pas de plusieurs personnes résonnèrent dans le bâtiment. Combien étaient-ils ? Qui étaient-ils ?
Soudain, elle reconnut une voix, celle de son maître :  - « La chienne est là. Avec des capotes, faites-en ce que vous voulez.
- Putain, les nichons, glissa une voix - C’est la Reine des Chiennes ! Alors baisez-là bien, elle le mérite ! Repris la voix de son maître. »  Déjà une main s’emparait d’un de ses seins - « Tu parles, avec de gros nibards comme ça !! Et ces tétons, regardez ! Ils bandent ! , Lança une voix chaude et grave.»  Elle sentit qu’on la détachait du radiateur. Un coup sec sur la laisse, la redressa, à genoux. Instinctivement, elle ouvrit la bouche et tira la langue.
Déjà, Saba entendait le zip des fermetures éclair se baissant. Combien étaient-ils ? Trois, cinq, dix ? Noirs, jaunes, arabes, blonds ? Des petites ou des grosses queues ? Oui, oui ! Elle en voulait des énormes.
 Déjà une lui caressait les lèvres… Elle n’était pas raide, encore molle, légèrement odorante. A tâtons, elle décalotta délicatement ce sexe qui s’ offrait à sa gourmandise. Délicatement, elle lapait le gland frémissant, caressait les couilles, lourdes, annonciatrices d’heures de plaisir. Puis ellecommença à lécher la hampe qui s’érigeait lentement… Elle ronronnait intérieurement, en imaginant ce sexe qui bandait sous l’effet sa bouche, et tous ces autres qui devaient durcir en la voyant, agenouillée, soumise, suçant… Eh! Oui, maintenant elle suçait cette bite raide.
 Derrière un peu d’agitation… On semblait se disputer l’honneur de la prendre. Deux mains s’étaient emparées de son cul et le pétrissait, d’autres lui malaxaient les nichons, tiraient sur les bouts, les trituraient durement.
 Tout à coups les choses se précipitèrent ; du gel remplissait maintenant l’ antre de ses reins. Un homme se glissa sous elle. Il positionna son sexe juste en dessous du sien. Et ce fut l’assaut, une double attaque faite par deux sexes lourds, gonflés, raides… Elle était défoncée, remplie comme une chienne en chaleur. Trois queues pour elle toute seule, et combien d’ autres encore.
Une explosion dans sa bouche et déjà un autre sexe se présentait à ses lèvres, encore plus gros, plus appétissant.
 Avec ardeur, deux queues la taraudaient et entre deux spasmes, elle pensa à son maître, se demandant oui il était, s’il avait bien vérifié pour les capotes.
 Eric regardait le magnifique spectacle, de trois hommes possédant sa chienne. Une bite de noir dans sa bouche, une de maghrébin dans sa chatte, et celle d’un grand blond dans l’anneau… Et il y avait autant de sexes encore en réserve pour la défoncer jusqu’au bout de la nuit.
 Saba semblait heureuse, folle de plaisir, dans ses reins un sexe débandait après lui avoir mis d’énormes coups de boutoir et instantanément un autre le remplaçait.
 Depuis combien d’heures maintenant était -elle possédée, défoncée, humiliée, par tous ces hommes ? Après quatre ou cinq coups, tous avaient rendu les armes sauf un. Elle était à quatre pattes, cul dilaté par un sexe énorme qui l’avait déjà fait hurler de plaisir à plusieurs reprises au cours de la nuit. Elle ahanait profondément, feulant comme une vraie chienne sous la violence de la pénétration. Derrière elle, un cri, un sexe secoué par des spasmes dans ses reins, et pour elle la jouissance. Une jouissance telle qu’ après elle plongea, épuisée rompue, à bout, dans le monde des rêves.
 A peine avait-elle sentit, les bras qui la portaient, la route pour rentrer. Dans son lit seulement elle reprit connaissance. Contre sa joue le torse de son homme… à la télé, une vidéo, elle avec six hommes empressés autour d’elle. Elle ne sentait plus ses reins et son sexe tant ils avaient été fouillés. Sur, l’écran un gros plan montrait son sexe doublement possédé.
 - « Hum! Gémit-elle, en repensant à ce délicieux moment, j’ai été bien maître ?
- Tu as été exceptionnelle, géniale et je t’aime comme ça, dit-il en lui caressant les reins. Plus de quatre heures de sexe en vidéo. Tu as été parfaite. Tu as besoin de repos, car je t’ai prévu une belle surprise en reconnaissance de ce que tu as fais : demain, tu t’offriras une forêt de touffes… »  Un sourire épanoui, des grognements, et déjà elle plongeait, lèvres en avant vers le sexe de son maître pour le remercier…      FIN

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Texte coquin : Saba
Histoire sexe : Une rose rouge
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