Ma belle soeur
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma belle soeur
Depuis que l'enterrement est terminé, ma belle sœur Julie ne remonte pas la pente. Son mari est mort de ce qu'on appelle pudiquement une longue maladie. Ma femme Claire l'invite à passer le temps qu'il faut pour qu'elle se remette. Elles sont très proches tant en âge quand féminité: elles sont belles et sexy. Je comprends qu'elle soit triste: elle a perdu un marin certes, elle a perdu surtout un amant. Nous aimerions lui trouver un dérivatif pour la faire surnager. Ma femme me demande même de lui faire l'amour. Je refuse pour deux raisons: j'aime ma femme, je ne veux pas la tromper même avec sa sœur. C'est clair et net.
Un midi, Julie avoue en rougissant qu'elle aimerai faire l'amour. Elle me regarde. Je lui dis que je vais me débrouiller pour trouver quelque un qui puisse la satisfaire. Elle rougit comme une gamine prise en faute. C'est normal à son âge d'avoir envie de faire l'amour. Claire la rassure: si Yves te dit qu'il va trouver un amant, c'est qu'il le trouvera. Tu n'as qu'à lui dire quel type d'homme tu veux.
N'importe quel homme lui ira, sauf s'il ressemble trop à son défunt.
Me voilà transformer en rabatteur. Je me suis certainement trop avancé. Je ne peux pas aller sur un marché choisir comme dans l'antiquité un esclave soumis. Je ne peux non plus faire paraître une annonce dans un journal ou consulter les fiche de l'ANPE. Je cherche parmi mes relations, je ne vois réellement pas qui lui proposer. Je suis même sur le point de lui demander si par hasard une femme lui conviendrai.
Le destin fait souvent bien les choses. J'avais perdu de vue Bruno, un ancien ami de classe. Je ne pouvais faire autrement que de l'inviter à la maison. Ma femme d'accord, prépare un bon repas, comme elle sait le faire. A quatre autour d'une simple table les relations sont vite nouées. Le courant passe vite entre mon ami et ma femme. Par contre Julie semble faire la tête. En réalité elle s'imagine que c'est lui que j'ai choisi. Claire lui dit dans l'oreille que si Bruno est là ce n'est que parce qu'il est mon ami. Elle se détend en commençant par l'examiner. Je trouve qu'elle en fait trop. Bruno semble séduit par cette jolie fille qui pour lui n'a pas froid aux yeux. Avec ma femme nous nous levons pour je ne sais même plus quoi. A notre retour nous les regardons étonnés: ils sont assis tout près à murmurer des choses qui doivent avoir une grande importance pour eux en tout cas. Le temps tourne très vite: il est presque 1 heure du matin. Claire invite Bruno à passer la nuit dans la chambre d'ami. Sans doute fatigué de sa journée, il accepte.
La suite nous échappe complètement. Bruno a tapé dans l'œil de Julie et réciproquement. Nous nous couchons calmement. Nous faisons l'amour comme tous les jours avec ma femme qui aime que je lui fasse une foule de chose: je dois commencer par lui sucer le clitoris. Ensuite elle me branle juste un peu. Quand elle pense que je suis à point elle ouvre ses jambes pour que je la lui mette au con. Nous restons ainsi unis pas les sexes un bon moment avant que je jouisse. Je ne m'en fais jamais pour elle: je sens ses crispation autour de ma pine souvent avant que je décharge. Quand je sors de son vagin je commence à débander: elle me ranime avec sa bouche: elle en profite pour goûter sa cyprine en même temps qu'elle sait me faire du bien. Quand je suis assez dur, elle se met en levrette, me dirige vers son anus. Nous pratiquons la sodomie depuis notre première fois. Elle me demande toujours de la lui mettre à fond. C'est un rituel, alors qu'elle sait bien que je ne manque jamais de la lui faire. Nous finissons par une jouissance commune. Le seul inconvénient est qu'elle a les orgasmes assez bruyants: on peut les entendre de l'autre coté de l'appartement. C'est certainement une des raisons du désir de ma belle sœur.
Nous ne l'apprenons que le matin: Bruno a osé aller dans la chambre de Julie. Nous ne savons pas tout. En tout cas, ma femme en se levant le voit sortir de la chambre de sa sœur. Elle vient m'en avertir pour que je ne fasse pas d'impair.
Le petit déjeuner se prend en commun. Même s'ils voulaient le cacher il ne pourraient pas le faire: ils ont les yeux brillant de ceux qui ont passé leur première nuit ensemble. Julie est rayonnante. Fine mouche ma femme leur demande d'un air innocent si la nuit a été bonne. D'une même voix, ils répondent que oui. Je les regarde en faisant l'étonnée. Si Bruno ne baisse pas les yeux en revanche Julie rougit. Bruno doit partir son travail. Juste à ce moment Julie demande à sa sœur s'il ne pourra pas venir encore dîner ce soir.
Bien sur répond ma femme. Et perfide elle ajoute qu'il pourra même rester passer la nuit, à conditions qu'elle nous raconte tout de la dernière nuit.
Toujours rougissante, Julie commence:Il est venu tard cette nuit. J'étais presque nue: je me donnais du plaisir en pensant à lui justement. Quand il a vue ce que je me faisait il n'a pas hésité: il est venu m'embrasser longuement. Il m'a répété ce qu'il me disait quand vous êtes partis hier au soir: il me trouve belle est sexy. Bien sur ça m'a excité encore plus. Il m'a pris dans ses bras, m'a bien serrée. Je voyais qu'il bandait: je n'ai pas pu résister à lui mettre une main sur sa queue. Je ne pouvais pas la sortir, alors que lui me caressait le bouton. Je ne pouvais retenir une jouissance qui arrivait. Il le savait, il s'est arrêté juste le temps de mon plaisir pour recommencer aussitôt. A force je sortais sa bite. Je ne la branlais pas : je ne faisais que la toucher pour savoir si elle était grosse ou petite. Elle était énorme……Il a fini de me déshabiller s'est mis nu lui aussi. C'est à ce moment là que nous avons entendu Claire jouir. Ça nous a encore plus excités. Il venait me sucer le con, tout le con, là où j'aime justement sentir une langue depuis le petit trou jusqu'au clitoris. Je voyais sa bite bien droite. Je la voulais dans la bouche pour la goûter. Il ma la donnée. J'ai fait plus que la goûter: je l'ai sucée. Elle avait bon goût, je lui léchais d'abord le bout avant d'en prendre une bonne partie dans ma bouche, pas toute: elle est trop grosse. Il n'a pas joui. Il est venu sur moi,j'ai écarté mes jambes en grand pour prendre dans mon vagin son véritable gourdin. Je n'avais jamais eu un tel engin en moi. J'avais un peu peur quand il m'a pénétrée. Il était très doux. Je l'ai à peine senti passer. Il m'a limé longtemps avant qu'il jouisse. Je jouissais comme une folle, à chaque fois je sentais mon con avoir des spasme autour de sa pine. J'avais encore plus envie de lui. Il est sorti de moi. J'ai fait tout ce que je savais pour le faire bander encore: j'avais envie d'essayer de me faire mettre par derrière.
Quand il a bandé, je lui mouillait bien la bite avec ma cyprine j'étais en levrette, Je l'ai guidé vers mon petit trou. J'étais totalement détendue. J'attendais avec impatience une bite dans mon cul depuis le temps que je n'en avait pas eu. Il a fait très attention en rentrant sa queue. J'ai eu mal juste un instant. Après c'était le paradis: il était très long à jouir. Je ne me gênais pas pour jouir. Je ne sais combien de fois il m'a envoyé au paradis. La dernière fois c'était quand il a joui dans me boyaux.
Nous sommes restés immobile blottis contre l'autre, nous disant des mots d'amour. Je suis sur qu'il m'a dit qu'il m'aimait. Je lui est répondu que je l'aimais lui et sa queue. Le matin il a rejoint sa chambre. Depuis il me tarde de recommencer encore.
Je suis veuve depuis peu, j'aime toujours mon mari défunt, et j'aime aussi Bruno.
Un midi, Julie avoue en rougissant qu'elle aimerai faire l'amour. Elle me regarde. Je lui dis que je vais me débrouiller pour trouver quelque un qui puisse la satisfaire. Elle rougit comme une gamine prise en faute. C'est normal à son âge d'avoir envie de faire l'amour. Claire la rassure: si Yves te dit qu'il va trouver un amant, c'est qu'il le trouvera. Tu n'as qu'à lui dire quel type d'homme tu veux.
N'importe quel homme lui ira, sauf s'il ressemble trop à son défunt.
Me voilà transformer en rabatteur. Je me suis certainement trop avancé. Je ne peux pas aller sur un marché choisir comme dans l'antiquité un esclave soumis. Je ne peux non plus faire paraître une annonce dans un journal ou consulter les fiche de l'ANPE. Je cherche parmi mes relations, je ne vois réellement pas qui lui proposer. Je suis même sur le point de lui demander si par hasard une femme lui conviendrai.
Le destin fait souvent bien les choses. J'avais perdu de vue Bruno, un ancien ami de classe. Je ne pouvais faire autrement que de l'inviter à la maison. Ma femme d'accord, prépare un bon repas, comme elle sait le faire. A quatre autour d'une simple table les relations sont vite nouées. Le courant passe vite entre mon ami et ma femme. Par contre Julie semble faire la tête. En réalité elle s'imagine que c'est lui que j'ai choisi. Claire lui dit dans l'oreille que si Bruno est là ce n'est que parce qu'il est mon ami. Elle se détend en commençant par l'examiner. Je trouve qu'elle en fait trop. Bruno semble séduit par cette jolie fille qui pour lui n'a pas froid aux yeux. Avec ma femme nous nous levons pour je ne sais même plus quoi. A notre retour nous les regardons étonnés: ils sont assis tout près à murmurer des choses qui doivent avoir une grande importance pour eux en tout cas. Le temps tourne très vite: il est presque 1 heure du matin. Claire invite Bruno à passer la nuit dans la chambre d'ami. Sans doute fatigué de sa journée, il accepte.
La suite nous échappe complètement. Bruno a tapé dans l'œil de Julie et réciproquement. Nous nous couchons calmement. Nous faisons l'amour comme tous les jours avec ma femme qui aime que je lui fasse une foule de chose: je dois commencer par lui sucer le clitoris. Ensuite elle me branle juste un peu. Quand elle pense que je suis à point elle ouvre ses jambes pour que je la lui mette au con. Nous restons ainsi unis pas les sexes un bon moment avant que je jouisse. Je ne m'en fais jamais pour elle: je sens ses crispation autour de ma pine souvent avant que je décharge. Quand je sors de son vagin je commence à débander: elle me ranime avec sa bouche: elle en profite pour goûter sa cyprine en même temps qu'elle sait me faire du bien. Quand je suis assez dur, elle se met en levrette, me dirige vers son anus. Nous pratiquons la sodomie depuis notre première fois. Elle me demande toujours de la lui mettre à fond. C'est un rituel, alors qu'elle sait bien que je ne manque jamais de la lui faire. Nous finissons par une jouissance commune. Le seul inconvénient est qu'elle a les orgasmes assez bruyants: on peut les entendre de l'autre coté de l'appartement. C'est certainement une des raisons du désir de ma belle sœur.
Nous ne l'apprenons que le matin: Bruno a osé aller dans la chambre de Julie. Nous ne savons pas tout. En tout cas, ma femme en se levant le voit sortir de la chambre de sa sœur. Elle vient m'en avertir pour que je ne fasse pas d'impair.
Le petit déjeuner se prend en commun. Même s'ils voulaient le cacher il ne pourraient pas le faire: ils ont les yeux brillant de ceux qui ont passé leur première nuit ensemble. Julie est rayonnante. Fine mouche ma femme leur demande d'un air innocent si la nuit a été bonne. D'une même voix, ils répondent que oui. Je les regarde en faisant l'étonnée. Si Bruno ne baisse pas les yeux en revanche Julie rougit. Bruno doit partir son travail. Juste à ce moment Julie demande à sa sœur s'il ne pourra pas venir encore dîner ce soir.
Bien sur répond ma femme. Et perfide elle ajoute qu'il pourra même rester passer la nuit, à conditions qu'elle nous raconte tout de la dernière nuit.
Toujours rougissante, Julie commence:Il est venu tard cette nuit. J'étais presque nue: je me donnais du plaisir en pensant à lui justement. Quand il a vue ce que je me faisait il n'a pas hésité: il est venu m'embrasser longuement. Il m'a répété ce qu'il me disait quand vous êtes partis hier au soir: il me trouve belle est sexy. Bien sur ça m'a excité encore plus. Il m'a pris dans ses bras, m'a bien serrée. Je voyais qu'il bandait: je n'ai pas pu résister à lui mettre une main sur sa queue. Je ne pouvais pas la sortir, alors que lui me caressait le bouton. Je ne pouvais retenir une jouissance qui arrivait. Il le savait, il s'est arrêté juste le temps de mon plaisir pour recommencer aussitôt. A force je sortais sa bite. Je ne la branlais pas : je ne faisais que la toucher pour savoir si elle était grosse ou petite. Elle était énorme……Il a fini de me déshabiller s'est mis nu lui aussi. C'est à ce moment là que nous avons entendu Claire jouir. Ça nous a encore plus excités. Il venait me sucer le con, tout le con, là où j'aime justement sentir une langue depuis le petit trou jusqu'au clitoris. Je voyais sa bite bien droite. Je la voulais dans la bouche pour la goûter. Il ma la donnée. J'ai fait plus que la goûter: je l'ai sucée. Elle avait bon goût, je lui léchais d'abord le bout avant d'en prendre une bonne partie dans ma bouche, pas toute: elle est trop grosse. Il n'a pas joui. Il est venu sur moi,j'ai écarté mes jambes en grand pour prendre dans mon vagin son véritable gourdin. Je n'avais jamais eu un tel engin en moi. J'avais un peu peur quand il m'a pénétrée. Il était très doux. Je l'ai à peine senti passer. Il m'a limé longtemps avant qu'il jouisse. Je jouissais comme une folle, à chaque fois je sentais mon con avoir des spasme autour de sa pine. J'avais encore plus envie de lui. Il est sorti de moi. J'ai fait tout ce que je savais pour le faire bander encore: j'avais envie d'essayer de me faire mettre par derrière.
Quand il a bandé, je lui mouillait bien la bite avec ma cyprine j'étais en levrette, Je l'ai guidé vers mon petit trou. J'étais totalement détendue. J'attendais avec impatience une bite dans mon cul depuis le temps que je n'en avait pas eu. Il a fait très attention en rentrant sa queue. J'ai eu mal juste un instant. Après c'était le paradis: il était très long à jouir. Je ne me gênais pas pour jouir. Je ne sais combien de fois il m'a envoyé au paradis. La dernière fois c'était quand il a joui dans me boyaux.
Nous sommes restés immobile blottis contre l'autre, nous disant des mots d'amour. Je suis sur qu'il m'a dit qu'il m'aimait. Je lui est répondu que je l'aimais lui et sa queue. Le matin il a rejoint sa chambre. Depuis il me tarde de recommencer encore.
Je suis veuve depuis peu, j'aime toujours mon mari défunt, et j'aime aussi Bruno.
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