Ma blonde suce sur les aires d'autoroute
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma blonde suce sur les aires d'autoroute
Comme promis elle me rappelle, elle est chez ses parents et ce sont des échanges courtois, sans baise fictive. Elle me rassure sur son intention de me revoir.
Le dimanche matin je suis à la gare bien en avance pour ne pas la faire attendre. Il y a du va et vient, des gens qui partent, qui arrivent, qui attendent, et bizarrement une grande majorité de femmes. Elles sont pour la plupart jeunes, jolies, avec des jeans moulants ou des petites jupes, brunes. Ma queue ne sait plus où donner du gland, et je me demande pourquoi on fantasme sur les blondes, jusqu’à ce que j’aperçoive ma Joëlle. Ses longs cheveux flottent au rythme de ses pas, sa mini jupe ne cache rien de ses belles cuisses, de ses longues jambes, et j’ai la réponse à ma question. Ma queue ne voit plus qu’elle, et toutes ces jolies brunes bandantes sont oubliées. Je n’ai plus à être discret, et la mate ouvertement jusqu’à l’avoir face à moi. Je voudrais l’embrasser passionnément, mais il y a du monde, des gens qu’elle risque connaître, et je me contente à lui faire la bise. Elle est assise à mes côtés, sa mini jupe encore plus remontée que le dimanche précédent.
On est en ville, je n’ose la caresser, mais au niveau du péage je m’arrête sur le petit parking désert. Les deux bises m’ont laissé sur la faim, elle aussi, et on se bouffe la poire éperdument, nos langues refont connaissance, tandis que ma main s’aventure sous sa jupe. Je jette un coup d’œil autour, m’assure qu’il n’y a personne, sort de la voiture, déballe mon manche, remonte, et reprend la route :
- Ah ça mieux, je n’en pouvais plus de bander dans mon froc. Regarde dans quel état tu me mets salope. Mais au fait, j’y repense, je n’ai pas réalisé en te caressant, mais tu as la culotte par-dessus tes collants !
- Oui, je me suis dis que vous voudriez peut-être que je l’enlève, et c’est plus pratique.
- Je n’y avais pas pensé, mais c’est une excellente idée.
Elle soulève ses fesses, et la retire, non sans quelques difficultés qui m’impatientent. Elle la range dans la boite à gants. Je pose ma main sur son genou et remonte rapidement sur son entre cuisses. La salope. Elle a découpé son collant, et son huître déjà huilée invite mes doigts à la visiter. Elle s’affale sur le siège pour mieux se donner, ferme les yeux et n’en finit pas de gémir. Sa main cherche ma bite, se referme légèrement dessus, et elle m’effleure au ralenti.
On roule ainsi jusqu’à l’aire du rendez vous.
Il y a deux voitures. Notre mec est assis au volant de la sienne, et discute avec un autre, debout près de la vitre ouverte. Il a dans les 65 ans, un peu bedonnant, et fume le cigare.
Je me gare, et il remonte dans sa caisse, une grosse Mercédès. Je demande à Joëlle de ne pas bouger, range ma queue, et vais voir notre connaissance :
- C’est quoi ce plan ?
- Mais il n’y a aucun plan, je ne le connais pas ce mec. C’est un vieux salaud qui cherche des mecs pour le sucer, il m’a même proposé du pognon.
- Et pourquoi il reste ?
- Je lui ai parlé de ta copine. Tu peux te faire du fric si tu veux.
- C’est une bonne idée. Mais tu pourrais payer toi aussi !
- Excuse-moi, je retire ce que j’ai dit.
- Pas de soucis, elle a trop envie de ta queue pour que je l’en prive. Mais saches que ce n’est pas une pute, elle suce gratuit, pour son plaisir. Par contre tu as raison, je vais le faire payer, si la petite veut bien le pomper.
- Mais je croyais qu’elle t’obéissait !
- Moi aussi, mais ça a changé, et c’est mieux ainsi. Bon, je vais lui demander.
- Ah si ça peut la décider, il s’est vanté d’avoir un très gros sexe, et des boules en proportion.
Ma petite chérie, à qui je n’ai pas parlé d’argent, est d’accord pour les sucer les deux. Je vais voir le vieux et il me propose cinquante euros. Je ne me souviens plus de ma dernière pute tellement ça remonte loin, n’ai aucune idée des tarifs, et accepte. Il écrase son cigare et on se dirige tous les quatre vers les toilettes. On a, les trois mecs, le pantalon et slip ou caleçon aux chevilles, à attendre les faveurs de notre belle et bonne turluteuse. Sans hésiter elle s’accroupît devant celui qu’elle a déjà sucé il y a huit jours, et dont elle garde un bon souvenir. C’est vrai qu’il a beau manche le salaud, gros comme le mien mais un peu plus long. Sa jupe est remontée au maximum, elle a les cuisses écartées, et le vieux fixe sa chatte. Elle s’en rend compte, et s’ouvre encore plus.
Il est tout rougeaud, souffle comme un bœuf :
- Salope tu vas me faire jouir sans me faire bander, donne moi ta bouche pute, vite.
Ce serait dommage de gaspiller la marchandise, et elle change de sucette. Bien qu’il bande mou, son chibre est effectivement très gros et ses couilles monstrueuses. Elle ouvre grand la bouche et a juste le temps de le gober qu’elle déglutit de nombreuses fois au rythme des râles jouisseurs qu’il éructe. Il se retire, et elle avale encore, reprend son souffle.
L’autre bite l’implore et elle la satisfait. Tandis qu’elle suce avec gourmandise je fais signe au vieux, qui se masturbe, de régler la note :
- Attends, je n’ai même pas eu le temps de bander.
- C’est ton problème si tu es trop vieux pour t’amuser avec des petites filles, mais tu as jouis, tu payes.
- Laisses moi réjouir. Elle est trop pute cette chienne.
- C’est sûr que pour pomper des porcs comme toi il faut être chienne, mais ça se paye. Donne moi le fric que tu me dois, et autant si tu veux remettre ça.
- Ah non, cinquante ça suffit. Il me donne un billet sorti d’une grosse liasse.
- Pour ce que tu as eu, oui. Mais pour un supplément c’est cent de plus maintenant.
- Mais on était d’accord pour cinquante.
- Oui mais je ne savais que tu n’étais qu’une ordure. Ca fait deux fois que tu traites me petite amie de pute, et ce n’est pas bien. D’ailleurs je suis trop gentil avec toi, si tu veux te soulager dans sa bouche ce n’est plus cent mais cent cinquante.
- Et pourquoi pas cinq cents tant que tu y es, ou même mille.
- Excuses moi, mais c’est vrai qu’avec la voiture que tu as, les cigares que tu fumes, et ton air fier et vaniteux de vieux connard imbu de sa personne, tu dois toucher le rmi et bouffer aux restos du cœur.
- Et alors, ce n’est pas ma faute si……………
- Ferme ta gueule, ou tu payes avant que je n’augmente le tarif ou tu te casses.
- Ok, elle me suce encore et tu as ton fric.
- Non, tu payes avant.
- Oui mais qui me………….
- Tu parles trop. Tu payes ou tu te casses. Au fait, il y a eu inflation, c’est deux cents maintenant.
- Tu es vraiment un pourri.
- Monsieur est connaisseur et me flatte, tu mérites une remise. Pour toi, et exceptionnellement parce que tu es un immonde porc, ce sera cent quatre-vingt dix neuf.
Tout le temps de cette discussion ma petite suce son mec qui est loin de jouir, trop amusé par la scène entre moi et le vieux. Il me lance des regards pour me soutenir et sera avec moi s’il faut en venir aux mains. De son côté le vieux n’a cessé de mater la petite moule de ma chérie, de se branler. Il bande comme un âne, sa queue est plus courte que la mienne, mais beaucoup plus large, un engin impossible. Il me donne les deux cents euros qui pour lui ne sont rien :
- Tu as gagné, mais à ce prix là je me fais sa chatte.
- Ah non, sa chatte c’est propriété privée. Il n’y a que sa bouche qui est en accès libre, mais dépêche toi avant que ça ne change.
- Je veux bien, mais elle suce l’autre.
- Patientes, ton tour va venir. Mais de grâce ferme la, ou je t’éclate la gueule.
Il se tait enfin, et l’autre mec se concentre sur la pipe dont il bénéficie. Il explose et abreuve ma petite salope de ces gerbes de foutre. Elle avale tout et se tourne vers le vieux. Elle tombe en arrêt devant son sceptre. Plus court que le bien, mais hyper large. Son gland, cette fois ci décalotté, a tout d’un œuf de poule. Elle le prend en bouche, et il l’emplit de son volume.
Elle le suce malgré tout, faisant de son mieux, et il succombe à son savoir faire. Il jouit pour la deuxième fois, et semble t’il encore en abondance.
Pendant ce temps l’autre mec me félicite de ma négociation avec ce gros salopard avide de jeunes mecs, se félicite que ce soit gratuit pour lui, et part avec ma promesse de le rappeler.
Le vieux se rhabille, est un peu confus et ose à peine espérer nous revoir. J’accepte, au même tarif, et il me laisse ses coordonnées.
Ses partenaires sont partis, et on reste seul. J’ai la queue en libre service et elle s’apprête à se servir. Dommage pour elle, mais après les fellations extrêmes accomplies je lui suppose une huître inondée, et veut m’y abreuver. Je m’agenouille, soulève sa jupe, la lape, la boit, l’engloutît. J’ai à peine fini de la nettoyer qu’elle me dispense un orgasme démentiel et tout est à recommencer. Je la nettoie à nouveau, et ne m’aperçois même pas qu’un nouveau mec est arrivé. Il nous voit, se masturbe face à Joëlle, jouis dans l’urinoir, et s’en va.
Je me relève et m’offre enfin à sa bouche. Elle me savoure de son mieux, et obtient le fruit de son labeur. Je la nourris de ma semence qu’elle avale avec délectation.
Je me rhabille, et on repend la route.
A suivre…………………
Le dimanche matin je suis à la gare bien en avance pour ne pas la faire attendre. Il y a du va et vient, des gens qui partent, qui arrivent, qui attendent, et bizarrement une grande majorité de femmes. Elles sont pour la plupart jeunes, jolies, avec des jeans moulants ou des petites jupes, brunes. Ma queue ne sait plus où donner du gland, et je me demande pourquoi on fantasme sur les blondes, jusqu’à ce que j’aperçoive ma Joëlle. Ses longs cheveux flottent au rythme de ses pas, sa mini jupe ne cache rien de ses belles cuisses, de ses longues jambes, et j’ai la réponse à ma question. Ma queue ne voit plus qu’elle, et toutes ces jolies brunes bandantes sont oubliées. Je n’ai plus à être discret, et la mate ouvertement jusqu’à l’avoir face à moi. Je voudrais l’embrasser passionnément, mais il y a du monde, des gens qu’elle risque connaître, et je me contente à lui faire la bise. Elle est assise à mes côtés, sa mini jupe encore plus remontée que le dimanche précédent.
On est en ville, je n’ose la caresser, mais au niveau du péage je m’arrête sur le petit parking désert. Les deux bises m’ont laissé sur la faim, elle aussi, et on se bouffe la poire éperdument, nos langues refont connaissance, tandis que ma main s’aventure sous sa jupe. Je jette un coup d’œil autour, m’assure qu’il n’y a personne, sort de la voiture, déballe mon manche, remonte, et reprend la route :
- Ah ça mieux, je n’en pouvais plus de bander dans mon froc. Regarde dans quel état tu me mets salope. Mais au fait, j’y repense, je n’ai pas réalisé en te caressant, mais tu as la culotte par-dessus tes collants !
- Oui, je me suis dis que vous voudriez peut-être que je l’enlève, et c’est plus pratique.
- Je n’y avais pas pensé, mais c’est une excellente idée.
Elle soulève ses fesses, et la retire, non sans quelques difficultés qui m’impatientent. Elle la range dans la boite à gants. Je pose ma main sur son genou et remonte rapidement sur son entre cuisses. La salope. Elle a découpé son collant, et son huître déjà huilée invite mes doigts à la visiter. Elle s’affale sur le siège pour mieux se donner, ferme les yeux et n’en finit pas de gémir. Sa main cherche ma bite, se referme légèrement dessus, et elle m’effleure au ralenti.
On roule ainsi jusqu’à l’aire du rendez vous.
Il y a deux voitures. Notre mec est assis au volant de la sienne, et discute avec un autre, debout près de la vitre ouverte. Il a dans les 65 ans, un peu bedonnant, et fume le cigare.
Je me gare, et il remonte dans sa caisse, une grosse Mercédès. Je demande à Joëlle de ne pas bouger, range ma queue, et vais voir notre connaissance :
- C’est quoi ce plan ?
- Mais il n’y a aucun plan, je ne le connais pas ce mec. C’est un vieux salaud qui cherche des mecs pour le sucer, il m’a même proposé du pognon.
- Et pourquoi il reste ?
- Je lui ai parlé de ta copine. Tu peux te faire du fric si tu veux.
- C’est une bonne idée. Mais tu pourrais payer toi aussi !
- Excuse-moi, je retire ce que j’ai dit.
- Pas de soucis, elle a trop envie de ta queue pour que je l’en prive. Mais saches que ce n’est pas une pute, elle suce gratuit, pour son plaisir. Par contre tu as raison, je vais le faire payer, si la petite veut bien le pomper.
- Mais je croyais qu’elle t’obéissait !
- Moi aussi, mais ça a changé, et c’est mieux ainsi. Bon, je vais lui demander.
- Ah si ça peut la décider, il s’est vanté d’avoir un très gros sexe, et des boules en proportion.
Ma petite chérie, à qui je n’ai pas parlé d’argent, est d’accord pour les sucer les deux. Je vais voir le vieux et il me propose cinquante euros. Je ne me souviens plus de ma dernière pute tellement ça remonte loin, n’ai aucune idée des tarifs, et accepte. Il écrase son cigare et on se dirige tous les quatre vers les toilettes. On a, les trois mecs, le pantalon et slip ou caleçon aux chevilles, à attendre les faveurs de notre belle et bonne turluteuse. Sans hésiter elle s’accroupît devant celui qu’elle a déjà sucé il y a huit jours, et dont elle garde un bon souvenir. C’est vrai qu’il a beau manche le salaud, gros comme le mien mais un peu plus long. Sa jupe est remontée au maximum, elle a les cuisses écartées, et le vieux fixe sa chatte. Elle s’en rend compte, et s’ouvre encore plus.
Il est tout rougeaud, souffle comme un bœuf :
- Salope tu vas me faire jouir sans me faire bander, donne moi ta bouche pute, vite.
Ce serait dommage de gaspiller la marchandise, et elle change de sucette. Bien qu’il bande mou, son chibre est effectivement très gros et ses couilles monstrueuses. Elle ouvre grand la bouche et a juste le temps de le gober qu’elle déglutit de nombreuses fois au rythme des râles jouisseurs qu’il éructe. Il se retire, et elle avale encore, reprend son souffle.
L’autre bite l’implore et elle la satisfait. Tandis qu’elle suce avec gourmandise je fais signe au vieux, qui se masturbe, de régler la note :
- Attends, je n’ai même pas eu le temps de bander.
- C’est ton problème si tu es trop vieux pour t’amuser avec des petites filles, mais tu as jouis, tu payes.
- Laisses moi réjouir. Elle est trop pute cette chienne.
- C’est sûr que pour pomper des porcs comme toi il faut être chienne, mais ça se paye. Donne moi le fric que tu me dois, et autant si tu veux remettre ça.
- Ah non, cinquante ça suffit. Il me donne un billet sorti d’une grosse liasse.
- Pour ce que tu as eu, oui. Mais pour un supplément c’est cent de plus maintenant.
- Mais on était d’accord pour cinquante.
- Oui mais je ne savais que tu n’étais qu’une ordure. Ca fait deux fois que tu traites me petite amie de pute, et ce n’est pas bien. D’ailleurs je suis trop gentil avec toi, si tu veux te soulager dans sa bouche ce n’est plus cent mais cent cinquante.
- Et pourquoi pas cinq cents tant que tu y es, ou même mille.
- Excuses moi, mais c’est vrai qu’avec la voiture que tu as, les cigares que tu fumes, et ton air fier et vaniteux de vieux connard imbu de sa personne, tu dois toucher le rmi et bouffer aux restos du cœur.
- Et alors, ce n’est pas ma faute si……………
- Ferme ta gueule, ou tu payes avant que je n’augmente le tarif ou tu te casses.
- Ok, elle me suce encore et tu as ton fric.
- Non, tu payes avant.
- Oui mais qui me………….
- Tu parles trop. Tu payes ou tu te casses. Au fait, il y a eu inflation, c’est deux cents maintenant.
- Tu es vraiment un pourri.
- Monsieur est connaisseur et me flatte, tu mérites une remise. Pour toi, et exceptionnellement parce que tu es un immonde porc, ce sera cent quatre-vingt dix neuf.
Tout le temps de cette discussion ma petite suce son mec qui est loin de jouir, trop amusé par la scène entre moi et le vieux. Il me lance des regards pour me soutenir et sera avec moi s’il faut en venir aux mains. De son côté le vieux n’a cessé de mater la petite moule de ma chérie, de se branler. Il bande comme un âne, sa queue est plus courte que la mienne, mais beaucoup plus large, un engin impossible. Il me donne les deux cents euros qui pour lui ne sont rien :
- Tu as gagné, mais à ce prix là je me fais sa chatte.
- Ah non, sa chatte c’est propriété privée. Il n’y a que sa bouche qui est en accès libre, mais dépêche toi avant que ça ne change.
- Je veux bien, mais elle suce l’autre.
- Patientes, ton tour va venir. Mais de grâce ferme la, ou je t’éclate la gueule.
Il se tait enfin, et l’autre mec se concentre sur la pipe dont il bénéficie. Il explose et abreuve ma petite salope de ces gerbes de foutre. Elle avale tout et se tourne vers le vieux. Elle tombe en arrêt devant son sceptre. Plus court que le bien, mais hyper large. Son gland, cette fois ci décalotté, a tout d’un œuf de poule. Elle le prend en bouche, et il l’emplit de son volume.
Elle le suce malgré tout, faisant de son mieux, et il succombe à son savoir faire. Il jouit pour la deuxième fois, et semble t’il encore en abondance.
Pendant ce temps l’autre mec me félicite de ma négociation avec ce gros salopard avide de jeunes mecs, se félicite que ce soit gratuit pour lui, et part avec ma promesse de le rappeler.
Le vieux se rhabille, est un peu confus et ose à peine espérer nous revoir. J’accepte, au même tarif, et il me laisse ses coordonnées.
Ses partenaires sont partis, et on reste seul. J’ai la queue en libre service et elle s’apprête à se servir. Dommage pour elle, mais après les fellations extrêmes accomplies je lui suppose une huître inondée, et veut m’y abreuver. Je m’agenouille, soulève sa jupe, la lape, la boit, l’engloutît. J’ai à peine fini de la nettoyer qu’elle me dispense un orgasme démentiel et tout est à recommencer. Je la nettoie à nouveau, et ne m’aperçois même pas qu’un nouveau mec est arrivé. Il nous voit, se masturbe face à Joëlle, jouis dans l’urinoir, et s’en va.
Je me relève et m’offre enfin à sa bouche. Elle me savoure de son mieux, et obtient le fruit de son labeur. Je la nourris de ma semence qu’elle avale avec délectation.
Je me rhabille, et on repend la route.
A suivre…………………
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