Ma copine doigtée dans le métro par un inconnu... et cela m’excite
Récit érotique écrit par Jerem4444 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 12 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Jerem4444 ont reçu un total de 181 193 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2023 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 17 845 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Ma copine doigtée dans le métro par un inconnu... et cela m’excite
Collection Candaulisme non prémédité 2/12
02 - LE METRO
Ma copine doigtée dans le métro par un inconnu... et cela m’excite
Je découvris mon goût pour le candaulisme ce fameux jour du 14 juin où Sophie et moi nous rendîmes au centre commercial en métro.
J’avais déjà quelques doutes, un an plus tôt lors de notre voyage à Barcelone. Nous nous étions posés sur la plage une belle journée d’été. Ma copine, encouragée par toutes ces filles topless, s'était débarrassée de son haut dévoilant son attirail bonnet D qui n’avait rien à envier à ceux des autres filles.
J’avais rencontré Sophie trois ans plus tôt à la fac et elle m’avait tout de suite tapé dans l'œil. Une belle brune de corpulence normale avec une poitrine magnifique et un superbe cul, peu sûre d’elle ; à l’époque, elle portait des lunettes et un appareil dentaire. Les garçons l’appelait “la crevette” : tout est bon, sauf la tête.
Si je l’avais rencontrée plus tard, elle n’aurait jamais lancé un regard sur moi : petit maigrichon pas très musclé qui n’avait pour moi qu’une bite de taille bien supérieure à la moyenne. Cependant, lors d’une première rencontre, ce genre de critère n’entre pas en ligne de compte.
Un an après, nous sortions ensemble. Elle était devenue resplendissante. L’appareil avait disparu, elle avait troqué ses lunettes pour des lentilles de couleur bleue, elle était plus à l’aise dans son corps et enfilait des vêtements qui mettait en évidence sa poitrine et ses fesses, elle était devenue l’objet de désir de tous les garçons. Moi j’étais comme un propriétaire sur le marché de l’immobilier qui avait acheté son bien avant qu’il ne prenne de la valeur. J’étais fier ce jour-là sur la plage. Tous les garçons qui passaient et même certaines filles mataient sa poitrine. Certains en couple essayaient de se donner une contenance mais c’était plus fort qu’eux. J’avais un début d’érection. Je m’imaginais qu’un mec s’arrête là et propose à ma copine de lui étaler la crème solaire, les yeux avides.
Le soir même à l’hôtel, au moment où nous faisions l’amour, j’avais touché deux mots de mon envie naissante à Sophie. Je la surpris à accélérer le rythme sur ma verge, motivée par mes mots. L’idée qu’un autre garçon puisse toucher son intimité et que je l’approuve l’avait excitée.
Le 14 juin, nous nous rendîmes dans un centre commercial parisien en métro.
Celui-ci était bondé. Nous étions tassés comme des sardines au niveau de la barre en métal mais au moins nous avions quelque chose pour nous tenir. Chaque station voyait un flot de voyageurs toujours plus important monter dans le wagon. A chaque station, nous étions de plus en plus compressés, Sophie et moi, contre la barre. Ce jour-là, Sophie avait mis un haut noir transparent au niveau du nombril et une petite jupe noir plutôt courte qui mettait en valeur les formes de ses fesses. Nous étions face à face. Sophie me chuchota tout à coup :
- Il y a un type derrière moi qui m’effleure les fesses...
Je regardai derrière. Il y avait un homme plutôt mûr, dans la quarantaine.
- Je ne sais pas s’il en fait exprès mais ça devient insistant. C’est bien un mec ou c’est une fille ?
- C’est un vieux
- Le pervers ! Je suis sûre qu’il en fait exprès, me murmura-t-elle.
C’était probable. J’avais déjà lu des témoignages de femmes victimes de ce genre d'attouchements. Un métro bondé comme ça, personne ne pouvait voir où les mains se baladaient et cet homme était probablement en train de profiter de la situation. Il est vrai que le cul de ma copine est magnifique, ce n’est pas sans me rappeler cette fois sur la plage…
- On peut échanger de place ?
- Je ne sais pas si on va pouvoir là, il faudrait que tu arrives à te glisser par là quand les gens sortiront à la prochaine station, répondis-je.
Mais cela ne bougeait plus, le wagon avait atteint sa capacité maximale et tout le monde semblait se rendre au même endroit.
- Je crois qu’il a compris que j’ai saisi son manège parce qu’il n’essaye même plus de faire passer ça pour de l’effleurage, me dit-elle.
Elle semblait mi-agacée, mi-amusée me jaugeant du regard pour savoir quelle réaction adopter.
- Ok, on va essayer de changer de place, répondis-je.
- Ça n'a pas l’air de te mettre en colère ou de te rendre particulièrement jaloux, me murmura-t-elle.
- Si tu veux que je lui casse la figure, je le ferai, plaisantai-je.
En réalité, j’étais excité par la situation mais je ne voulais pas le dire car je n’en étais pas particulièrement fier. Amusée ou agacée, Sophie n’avait qu’à trancher par elle-même.
- Là clairement il me caresse les fesses…
- Sous la jupe ?
- Quoi ? Non dessus, tu crois quand même pas qu’il ira jusqu’à passer en dessous !? s’enquit-elle en essayant de contrôler le volume de sa voix se rendant compte qu’elle avait dépassé le niveau du chuchotement et risquait d’être entendue par d’autres.
- Bah si tu l’arrêtes pas, oui. Donne-lui une claque sur la main ou crie-lui dessus, ça devrait le calmer, tentai-je de la conseiller.
- C’est ce que tu aimerais que je fasse ?
- Pourquoi tu me demandes ça ? C’est à toi de savoir si ça te gène !
- Parce que j’ai l’impression que toi, ça te gène pas plus que ça que quelqu’un tripote ta copine devant toi.
Je restai muet ne sachant pas quoi répondre. Elle me regarda surprise.
- Ça t’excites ?
- Un peu, avouai-je honteux.
Elle passa sa main au niveau de ma braguette pour tater mon sexe et sentit la bosse sous mon jean.
- Espèce de cochon, me dit-elle. Je m’en doutais.
A la station suivante, la porte s’ouvrit. Quelques personnes descendirent permettant de relâcher un peu la densité.
- Tu veux qu’on échange de place, maintenant ? proposai-je à nouveau.
- Non c’est bon, je suis bien à ma place, me répondit Sophie en chuchotant, l’air malicieux.
Je n’insistai pas. Station suivante, il y avait du monde sur le quai. Quelques-uns entrèrent mais la plupart d’entre eux restèrent sur le quai.
- Tout va bien ma chérie ? m’enquis-je en sourdine.
- Je suis serrée, répondit-elle. Le vieux en profite bien pour me tripoter les fesses ! Il nez se donne plus la peine de faire croire à un accident de contact ! se moqua-t-elle.
Je tentai de voir la main du type pour savoir si Sophie me racontait ça juste pour m’exciter ou si cela était bien vrai. Et ça l’était. Le type ne se gênait plus, il voyait que Sophie ne bronchait pas, alors il prenait ses aises.
- Je vois pourquoi tu ne veux plus changer de place, lui répondis-je, presque sur un ton de reproche.
- Tu m’as dit que ça t’excitait, et moi aussi ça m’excite, donc j’en profite !
Le fait que Sophie se laisse toucher comme ça dans le métro au milieu de tout le monde et trouve cela excitant, c’était un aphrodisiaque pour moi. Je ne l’imaginais pas coquine comme cela. Je l’embrassai. Elle tournait sa langue rapidement dans ma bouche comme si elle léchait un gland. Elle avait l’habitude de me faire ça lorsqu’elle était réellement excitée. Elle s’approcha de mon oreille et me murmura :
- Je mouille, mon chéri.
- Je peux ?
Elle me fit un signe affirmatif et j’engageai ma main discrètement le long de ses cuisses en remontant vers son sexe. La cyprine coulait de sa culotte le long de sa jambe. Le type avait dû s'en rendre compte car il avait maintenant franchi une étape supplémentaire : il était maintenant sous la jupe et caressait du dos d’un doigt la cuisse de ma copine. Sophie réagissait en remuant légèrement les fesses. Quelques secondes plus tard, Sophie me disait déjà :
- Il est en train de caresser ma culotte trempée.
Mon boxer aussi était mouillé. Sur quelques stations, le mouvement des foules nous rappelait à la réalité et pendant quelques secondes je n’avais plus la tête au sexe. Puis je me concentrai à nouveau sur la main de l’homme caressant ma copine. Ces aléas me faisaient bander et débander sans cesse en produisant une quantité incroyable de pré-sperme.
Un nouveau mouvement de foule fit arrêter le mec. Après une station, il n’était plus vraiment bien placé et je crus que c’en était terminé de ce petit jeu. Mais à la suivante, il repartit à l’assaut de sa place chétive. Il revint sur ma copine de manière très discrète, sans doute peu rassuré que la configuration ait changé et puisse permettre à d’autres personnes que moi-même de voir la scène qui se déroulait. Mais Sophie était bien décidée à aller plus loin :
- Attends, j’ai une idée, dit-elle.
Et quelle idée ! Je devinais sous sa jupe ce qu’elle faisait, elle avait abaissé l’arrière de sa culotte jusqu’en bas de ses fesses comme invitation à lui toucher le sexe.
- Il ne résistera pas à ça, me murmure-t-elle.
- Tu as fait quoi ? lui demandai-je pour être sûr que j’avais bien compris.
- J’ai les fesses à l’air sous ma jupe…
Chacune de ses actions osées me donnait envie d’exploser de jouissance. Je n’avais qu’une envie : ouvrir mon pantalon et masturber mon sexe gonflé par le désir. J’aurais pu jouir instantanément. Je n’étais pas habitué à voir Sophie comme ça. La chose la plus folle que nous ayions fait ensemble, avait été la fois où l’on s’était masturbés mutuellement dans un parc public à l’abri des regards, excités à l’idée qu’on puisse nous découvrir.
- Il a les doigts sur ma chatte, il est en train de me caresser le clito, dit-elle difficilement.
Je voyais qu’elle se contenait pour ne pas gémir. Elle aussi, visiblement, avait besoin d’exploser.
Elle continua à me raconter chacun de ses gestes. L’homme alla jusqu’à mettre un doigt à l’intérieur de son sexe et à étaler la mouille sur son anus en vue de lui enfoncer aussi un doigt par la petite porte de derrière.
Ce que l’homme ne savait pas, c’est que Sophie s’y refusait. Elle n’avait rien contre la sodomie car souvent il nous était arrivé de faire l’amour en regardant des vidéos pornos de femmes sodomisées mais elle avait peur que cela lui fasse mal. Elle serrait les fesses et décidait qu’il allait trop loin. Mais le mec avait l’air de faire une fixation sur ses belles fesses rebondies, il glissait ses mains entre ses fesses et cela m’était insupportablement excitant. Le fait de savoir qu’il caressait là où d’habitude Sophie m’arrête par peur que j’aille plus loin, de savoir qu’elle ne pouvait plus faire marche arrière après avoir accepté les avances du type de cette manière.
Sophie réussit quand même à se glisser légèrement sur le côté de sorte que le jeu puisse être interrompu. Et il le fut. Il n’avait que trop duré. Nous étions bientôt arrivés à destination et le wagon commençait à se désemplir. Il n’était plus assez bondé pour tenter un mouvement sous la jupe de Sophie. Et bientôt, il fut assez vide pour que nous nous asseyions sur un strapontin en face de celui de l’homme. Ce petit répit permit à Sophie et à moi-même de détailler l’homme. C’était donc un homme mûr, à peu près la quarantaine, pas spécialement baraqué, assez grand, les cheveux bien garnis. Il portait un pantalon classe, beige qui dessinait une bosse au niveau de son sexe. Il portait une chemise, entrouverte. Quelques poils en dépassaient. C’était un modèle de virilité. Il ne nous regardait pas directement en face, sans doute par honte.
Nous étions enfin arrivés au centre commercial. Nous descendions.
Sitôt seuls dans les couloirs, notre discussion revînt sur ce qui s’était passé dans le métro.
- Tu as vu ça ? Il m’a carrément doigté la chatte dans le métro ! Tu es sûre que tu n’es pas jaloux ?
- Je le suis.
- Mais tu m’as dit que ça ne te gênait pas ! se défendit-elle.
- Oui, c’est pas que ça me gène pas. Je suis jaloux mais j’ai trouvé ça terriblement excitant.
- Moi aussi, m’avoua-t-elle. Viens on rentre à la maison, j’ai trop envie de te baiser. Cet attouchement m’a allumée comme jamais.
- Salope ! la traitai-je avec le sourire.
Elle me rendit le sourire. Elle aimait que je l’insulte ou lui parle avec des mots crus quand elle se sentait d’humeur.
Nous avançions dans la galerie. Je remarquai tout à coup que l’homme était derrière nous.
- Il est descendu au même arrêt que nous visiblement.
- Non arrête ! Déconne pas !
Elle se retourna et fit volte-face.
- Putain, tu crois qu’il a cru qu’il y avait moyen de me tringler ?
- Tu viens de le laisser te doigter la chatte ! Evidemment qu’il y a cru !
- Viens, il faut rentrer dans un magasin pour le semer.
Nous rentrions dans “Pylones”, une boutique d’objets design et rigolos.
- Tu n’aimerais pas le faire ? demandai-je.
- De quoi ? Coucher avec lui ?
- Bah oui.
- T’es fou.
Elle m’embrassa alors, comme elle m’avait embrassé dans le métro. Je devinai alors que malgré sa négation, son bassin pensait le contraire. Elle était encore brûlante d’envie. Je fus alors pris d’une nouvelle crise de jalousie suivi immédiatement par une envie urgente de me branler. Ma bite avait encore gonflé et commençait à me faire mal.
J’aperçus alors un objet qui éveilla mon intérêt. Je l’achetai profitant que ma copine ait la tête aux accessoires de beauté.
Nous sortîmes alors du magasin. Le type était là-bas, plusieurs mètres devant nous, assis sur un banc, l’air de rien comme s’il ne nous avait pas du tout remarqué.
Je glissai alors l’objet que j’avais acheté dans la main de ma copine. Un préservatif.
- Vas le baiser, ordonnai-je
Elle me regarda quelques secondes ne sachant pas comment réagir, partagée entre sa crainte que je sois devenu fou et son envie folle d’exécuter mon ordre. Puis elle sembla prendre une décision.
- Tu es sûr de toi ?
- Non
- Et bien c’est trop tard, reste là et attends bien sagement sur ce banc que je me fasse baiser comme tu dis !
Avant même que je n’eus le temps de protester ou de revenir sur ma requête, elle se dirigea d’un pas assuré vers les toilettes.
Quelques secondes à peine suffirent pour que le type se lève de son banc et se dirige également vers les toilettes.
Mon dieu qu’est-ce que j’avais fait ! J’avais poussé ma copine à me cocufier ! Elle allait se faire baiser par un inconnu dans les toilettes d’un centre commercial !
Je regrettais mon comportement. Il n’y avait plus de marche arrière possible.
Ou bien.
Je pouvais encore débouler dans les toilettes et les arrêter.
Je m’assis pour réfléchir. Mon sexe gonflé dans mon entrejambe me gênait.
Je l’imaginais en train de sucer le type ou mieux encore, sa queue dans sa chatte, prise en levrette, ses énormes seins écrasés contre la paroi de la cabine. Je mouillais tellement que le liquide séminal commençait à traverser mon jean.
Je regardai mon téléphone. Elle m’avait peut-être écrit pour me dire qu’elle plaisantait. Ou bien elle allait m’appeler et laisser le téléphone ouvert pour que je puisse entendre ?
Je me levai. Je marchai vers un magasin, entrai à l’intérieur et contemplai les étalages sans grand intérêt. Je tentais tant bien que mal de cacher ma trique avec ma sacoche.
Je pourrais peut-être aller me masturber aux toilettes pour me passer l’envie qui était si forte et voir les choses claires. Mais peut-être qu’après, je serais si conscient de la situation que j’aurais mal de jalousie et ne le supporterai pas. Et si je devais aller aux toilettes ? Irai-je à ceux où ils étaient ? Etaient-ils chez les femmes ? Chez les hommes ? Les entendrais-je ?
J’étais paralysé par trois choses : mon excitation, ma jalousie et les questions qui se bousculaient dans ma tête. C’était peut-être ça l’amour cérébral. C’était ça le candaulisme ?
Soudain, mon téléphone se mit à vibrer. Je le regardai. Sophie venait de m’envoyer une image : un selfie où je voyais sa grosse poitrine inondée de sperme.
Avant d’avoir le temps de poser d’avantage de questions, il se passa trois choses simultanément : un bouton de mon jean se défit tellement mon sexe était gonflé ; l’homme sortit des toilettes ; et enfin, un autre message arriva. Il disait “viens me rejoindre dans les toilettes des hommes”.
Ni une, ni deux, je me dirigeai vers les toilettes. Sophie m’avait déparalysé en prenant la décision à ma place. Ce qui avait été une requête pour elle au début s’était transformé en pouvoir sur moi. Je mourrais d’envie de savoir ce qui était arrivé.
J’entrai dans les toilettes des hommes. Il n’y avait qu’une cabine occupée. Je fis timidement :
- Sophie ?
- Je suis là, me répondit-elle en entrouvrant la porte de sa cabine.
Elle jeta un regard furtif à l’extérieur pour s’assurer que nous étions seuls puis me fit entrer. Elle referma la porte. Elle était belle, sans son haut, les seins à l’air, pleins de sperme. Sa jupe toujours sur elle. Elle avait sa culotte en main. Encore une fois, un millier de questions naissaient dans ma tête mais je n’eus pas le temps de les formuler.
- Tu peux mettre ça dans ta sacoche, me dit-elle en me tendant sa culotte trempée.
Je remarquais la cuvette des toilettes baissée, son téléphone posé dessus, l’emballage du préservatif déchiré. Je mis la culotte dans ma sacoche que je déposai à terre.
- Et bien, que regardes-tu ?
- Tu l’as sucé ?
- Tu me l’as demandé...
Soudain, sans crier gare, je ne sus pas ce qu’il me prit, je léchai sa poitrine souillée de sperme. Je me baignai de luxure en m’abreuvant de sa décadence. J’avais tellement envie de goûter la semence de mon cocufieur. C’était immoral et terriblement excitant. Elle fut surprise et me lança un regard plein de reproches. J’avais pris un gros risque aveuglé par mon envie. Mais c’était trop tard, je léchai ses tétons, sa poitrine. Je tentai de gober ses seins dans son intégralité et il me semblait que cela l’excitait. Le mal étant déjà fait, elle me demanda de la nettoyer mieux que ça. J’avalais chaque goutte de sperme et chaque goutte dupliquait la taille de mon sexe.
Elle ouvrit ma braguette et libéra la bête qui s’était tant retenue. Puis elle me raconta :
- J’ai attendu dans le couloir des toilettes et il est arrivé. Une femme est passée. Je faisais semblant d’attendre mon petit ami devant les toilettes des hommes. Puis il est arrivé. J’ai mouillé comme une dingue. Il est passé devant moi et m’a dit “viens que je te baise, sale pute !” Je l’ai suivi et il m’a indiqué la direction d’une cabine dans laquelle je suis rentrée avec lui.
Tout en me racontant l’histoire, elle me masturbait le sexe. L’odeur qui s’en dégageait était plutôt forte, à force de mouiller mon boxer…
- Il m’a demandé “ton copain sait que tu es là ?”. J’ai répondu “c’est lui qui m’envoie”. Il a dit “c’est bien tu es obéissante”. Il a défait son pantalon et a sorti sa queue. Il m’a demandé de la prendre en photo pour toi.
Elle me montre la verge du quarantenaire sur son téléphone. Elle était un peu moins longue que la mienne mais un peu plus épaisse. globalement, j’étais rassuré, je n’avais rien à lui envier. Mais surtout, imaginer cette taille dans la bouche de ma Sophie…
- Alors je l’ai sucé comme ça...
Elle se met à me sucer et à me montrer ce qu’elle lui a fait avec les mouvements de langues.
- Salope, laissai-je échapper. Elle sortit mon gland de sa bouche.
- Il m’a traité de sale pute aussi. Parles moi cru.
Elle reprit son travail et j’exécutai ses ordres, pas très sûr de savoir qui avait vraiment le pouvoir sur l’autre à cet instant.
- Sale pute, vas-y suces moi bien, lui débitai-je. Salope. Tu aimes sucer les mecs comme ça dans les toilettes. Tu les fais tous comme ça ?
Elle me fit oui d’un d’un hochement de tête, tout en me suçant. Avec une main, elle tenait ma verge qu’elle continuait à dévorer, de l’autre, elle saisissait son portable et me montrait la photographie suivante : un selfie d’elle en train de sucer le type. Puis elle reposa le portable et commença à se caresser le sexe. Visiblement, cette situation l’excitait au plus haut point. J’allais jouir.
Non pas déjà ! Pas maintenant. Elle me suçait depuis à peine deux minutes, je n’avais pas entendu la fin de l’histoire encore ! Je sentis l’orgasme arriver. Je me retins et il se passa alors une chose étrange. J’éjaculai mais sans vraiment ressentir l’orgasme, sans que l’envie ne me quitte vraiment, j’avais envie de continuer. Mais Sophie avait pris ma semence dans sa bouche. Elle déglutit avant de dire :
- Il n’a pas joui dans ma bouche, petit coquin ! Tu es précoce !
- Je n’ai pas fini, la rassurai-je.
Elle se levait. Quelqu’un entra dans les toilettes. Nous attendions quelques minutes. Cette personne sortit.
- Tant mieux car moi non plus, je n’ai pas fini mon histoire, reprit-elle.
Ensuite, il m’a demandé de retirer mon haut et quand il a vu mes seins, il m’a traité de salope en me les pelotant très très fort. Puis il a glissé sa bite entre eux et me les a baisé…
Elle me montra une nouvelle photographie qu’il lui avait ordonné de prendre pour moi.
- Ensuite, il a enfilé la capote et il a relevé ma jupe. Je pensais qu’il allait me pénétrer la chatte mais au lieu de ça, il a commencé à collecter ma cyprine et à la coller sur mon anus. Je lui ai dit d’arrêter, que je ne voulais pas le faire par là mais il a insisté. Il a dit qu’il ne fallait pas faire la salope dans le métro et que c’était ma punition pour m’être mal comportée et pour avoir trompé mon copain. Il m’a dit, tout en me travaillant le trou, que j’allais bien la sentir et que ça me servirait de leçon la prochaine fois dans le métro.
Elle releva sa jupe et je vis son anus dilaté et mouillé. Je n’en crus pas mes yeux ! Et ma bite !
Elle accompagna sa démonstration d’une nouvelle photo où cette fois, le type avait pris le cliché de haut, pendant qu’il la prenait en levrette, ses fesses en coeur autour de sa queue, sa bite clairement rentrée dans le cul de ma copine.
Elle ne m’avait jamais autorisé ça et voilà qu’elle l’avait fait !
Comme pour me rassurer, elle me dit :
- J’ai adoré ça et je veux que toi aussi tu m’encules bien profond. Ta bite est plus longue, je veux que tu ailles là où il n’est pas encore aller.
Il ne m’en fallut pas beaucoup plus pour me motiver. J’attendais ça depuis tellement longtemps. Son cul dilaté et la largeur de la bite du type m’avait facilité le travail d’insertion.
J’étais en train de sodomiser ma pute de Sophie. Je continuai les insultes :
- Tu la sens sale pute ? Tu sens ma grosse queue dans ton cul ?
- Oh ouiii ! cria-t-elle. Remplis-moi ! Je veux me sentir bien remplie !
- Cul de salope, tu aimes ça bouffer des queues par le cul !
- Oh oui ! démontes-moi ! Je veux que tu possèdes mon corps, je veux être à toi !
- Tu m’as trompé salope ! tu t’es faite enculée par un inconnu, t’as aimé ça j’espère ?
- Oh ouiiii ! Je suis une salope, punis-moi, prends-moi ! Jouis dans mon cul !
Je devinais la fin de l’histoire quand secoué par mes coups de bite, Sophie me montrait tant bien que mal les deux dernières photos : une de son cul avec un trou béant et l’une de ses nichons pleins de spermes, celle-là même qu’elle m’avait envoyée. Il avait retiré sa bite de son cul, le préservatif également et s’était masturbé sur la poitrine de ma copine en l’aspergeant de foutre. Foutre que j’avais léché jusqu’à la dernière goutte.
J’enculais ma copine. Elle se doigtait la chatte et fous d’ivresse sexuelle, nous atteignîmes l’orgasme ensemble.
J’eus peur qu’après, la jalousie et l’insanité de tout ce qu’il venait de se passer nous prenne d’assaut mais nous avions tous deux des choses à nous reprocher, dont nous n’étions pas fier. Il ne fallut que quelques jours pour les accepter et pour que l’envie de recommencer revienne.
C’était donc ce 14 juin que j’avais découvert le candaulisme. Notre couple était déjà fort avant mais il l’était encore plus après car nous étions relancés.
Ma copine m’a demandé d’ajouter à ce récit le conseil suivant : ne reproduisez pas la bêtise que j’ai pu faire d’avaler le sperme d’un inconnu. Heureusement pour moi, les analyses ont montré que je n’ai contracté aucune maladie (ni elle). Pourtant si tout était à refaire, je ne changerai rien de ce qui est arrivé. C’était sans nul doute la journée la plus excitante de toute ma vie.
02 - LE METRO
Ma copine doigtée dans le métro par un inconnu... et cela m’excite
Je découvris mon goût pour le candaulisme ce fameux jour du 14 juin où Sophie et moi nous rendîmes au centre commercial en métro.
J’avais déjà quelques doutes, un an plus tôt lors de notre voyage à Barcelone. Nous nous étions posés sur la plage une belle journée d’été. Ma copine, encouragée par toutes ces filles topless, s'était débarrassée de son haut dévoilant son attirail bonnet D qui n’avait rien à envier à ceux des autres filles.
J’avais rencontré Sophie trois ans plus tôt à la fac et elle m’avait tout de suite tapé dans l'œil. Une belle brune de corpulence normale avec une poitrine magnifique et un superbe cul, peu sûre d’elle ; à l’époque, elle portait des lunettes et un appareil dentaire. Les garçons l’appelait “la crevette” : tout est bon, sauf la tête.
Si je l’avais rencontrée plus tard, elle n’aurait jamais lancé un regard sur moi : petit maigrichon pas très musclé qui n’avait pour moi qu’une bite de taille bien supérieure à la moyenne. Cependant, lors d’une première rencontre, ce genre de critère n’entre pas en ligne de compte.
Un an après, nous sortions ensemble. Elle était devenue resplendissante. L’appareil avait disparu, elle avait troqué ses lunettes pour des lentilles de couleur bleue, elle était plus à l’aise dans son corps et enfilait des vêtements qui mettait en évidence sa poitrine et ses fesses, elle était devenue l’objet de désir de tous les garçons. Moi j’étais comme un propriétaire sur le marché de l’immobilier qui avait acheté son bien avant qu’il ne prenne de la valeur. J’étais fier ce jour-là sur la plage. Tous les garçons qui passaient et même certaines filles mataient sa poitrine. Certains en couple essayaient de se donner une contenance mais c’était plus fort qu’eux. J’avais un début d’érection. Je m’imaginais qu’un mec s’arrête là et propose à ma copine de lui étaler la crème solaire, les yeux avides.
Le soir même à l’hôtel, au moment où nous faisions l’amour, j’avais touché deux mots de mon envie naissante à Sophie. Je la surpris à accélérer le rythme sur ma verge, motivée par mes mots. L’idée qu’un autre garçon puisse toucher son intimité et que je l’approuve l’avait excitée.
Le 14 juin, nous nous rendîmes dans un centre commercial parisien en métro.
Celui-ci était bondé. Nous étions tassés comme des sardines au niveau de la barre en métal mais au moins nous avions quelque chose pour nous tenir. Chaque station voyait un flot de voyageurs toujours plus important monter dans le wagon. A chaque station, nous étions de plus en plus compressés, Sophie et moi, contre la barre. Ce jour-là, Sophie avait mis un haut noir transparent au niveau du nombril et une petite jupe noir plutôt courte qui mettait en valeur les formes de ses fesses. Nous étions face à face. Sophie me chuchota tout à coup :
- Il y a un type derrière moi qui m’effleure les fesses...
Je regardai derrière. Il y avait un homme plutôt mûr, dans la quarantaine.
- Je ne sais pas s’il en fait exprès mais ça devient insistant. C’est bien un mec ou c’est une fille ?
- C’est un vieux
- Le pervers ! Je suis sûre qu’il en fait exprès, me murmura-t-elle.
C’était probable. J’avais déjà lu des témoignages de femmes victimes de ce genre d'attouchements. Un métro bondé comme ça, personne ne pouvait voir où les mains se baladaient et cet homme était probablement en train de profiter de la situation. Il est vrai que le cul de ma copine est magnifique, ce n’est pas sans me rappeler cette fois sur la plage…
- On peut échanger de place ?
- Je ne sais pas si on va pouvoir là, il faudrait que tu arrives à te glisser par là quand les gens sortiront à la prochaine station, répondis-je.
Mais cela ne bougeait plus, le wagon avait atteint sa capacité maximale et tout le monde semblait se rendre au même endroit.
- Je crois qu’il a compris que j’ai saisi son manège parce qu’il n’essaye même plus de faire passer ça pour de l’effleurage, me dit-elle.
Elle semblait mi-agacée, mi-amusée me jaugeant du regard pour savoir quelle réaction adopter.
- Ok, on va essayer de changer de place, répondis-je.
- Ça n'a pas l’air de te mettre en colère ou de te rendre particulièrement jaloux, me murmura-t-elle.
- Si tu veux que je lui casse la figure, je le ferai, plaisantai-je.
En réalité, j’étais excité par la situation mais je ne voulais pas le dire car je n’en étais pas particulièrement fier. Amusée ou agacée, Sophie n’avait qu’à trancher par elle-même.
- Là clairement il me caresse les fesses…
- Sous la jupe ?
- Quoi ? Non dessus, tu crois quand même pas qu’il ira jusqu’à passer en dessous !? s’enquit-elle en essayant de contrôler le volume de sa voix se rendant compte qu’elle avait dépassé le niveau du chuchotement et risquait d’être entendue par d’autres.
- Bah si tu l’arrêtes pas, oui. Donne-lui une claque sur la main ou crie-lui dessus, ça devrait le calmer, tentai-je de la conseiller.
- C’est ce que tu aimerais que je fasse ?
- Pourquoi tu me demandes ça ? C’est à toi de savoir si ça te gène !
- Parce que j’ai l’impression que toi, ça te gène pas plus que ça que quelqu’un tripote ta copine devant toi.
Je restai muet ne sachant pas quoi répondre. Elle me regarda surprise.
- Ça t’excites ?
- Un peu, avouai-je honteux.
Elle passa sa main au niveau de ma braguette pour tater mon sexe et sentit la bosse sous mon jean.
- Espèce de cochon, me dit-elle. Je m’en doutais.
A la station suivante, la porte s’ouvrit. Quelques personnes descendirent permettant de relâcher un peu la densité.
- Tu veux qu’on échange de place, maintenant ? proposai-je à nouveau.
- Non c’est bon, je suis bien à ma place, me répondit Sophie en chuchotant, l’air malicieux.
Je n’insistai pas. Station suivante, il y avait du monde sur le quai. Quelques-uns entrèrent mais la plupart d’entre eux restèrent sur le quai.
- Tout va bien ma chérie ? m’enquis-je en sourdine.
- Je suis serrée, répondit-elle. Le vieux en profite bien pour me tripoter les fesses ! Il nez se donne plus la peine de faire croire à un accident de contact ! se moqua-t-elle.
Je tentai de voir la main du type pour savoir si Sophie me racontait ça juste pour m’exciter ou si cela était bien vrai. Et ça l’était. Le type ne se gênait plus, il voyait que Sophie ne bronchait pas, alors il prenait ses aises.
- Je vois pourquoi tu ne veux plus changer de place, lui répondis-je, presque sur un ton de reproche.
- Tu m’as dit que ça t’excitait, et moi aussi ça m’excite, donc j’en profite !
Le fait que Sophie se laisse toucher comme ça dans le métro au milieu de tout le monde et trouve cela excitant, c’était un aphrodisiaque pour moi. Je ne l’imaginais pas coquine comme cela. Je l’embrassai. Elle tournait sa langue rapidement dans ma bouche comme si elle léchait un gland. Elle avait l’habitude de me faire ça lorsqu’elle était réellement excitée. Elle s’approcha de mon oreille et me murmura :
- Je mouille, mon chéri.
- Je peux ?
Elle me fit un signe affirmatif et j’engageai ma main discrètement le long de ses cuisses en remontant vers son sexe. La cyprine coulait de sa culotte le long de sa jambe. Le type avait dû s'en rendre compte car il avait maintenant franchi une étape supplémentaire : il était maintenant sous la jupe et caressait du dos d’un doigt la cuisse de ma copine. Sophie réagissait en remuant légèrement les fesses. Quelques secondes plus tard, Sophie me disait déjà :
- Il est en train de caresser ma culotte trempée.
Mon boxer aussi était mouillé. Sur quelques stations, le mouvement des foules nous rappelait à la réalité et pendant quelques secondes je n’avais plus la tête au sexe. Puis je me concentrai à nouveau sur la main de l’homme caressant ma copine. Ces aléas me faisaient bander et débander sans cesse en produisant une quantité incroyable de pré-sperme.
Un nouveau mouvement de foule fit arrêter le mec. Après une station, il n’était plus vraiment bien placé et je crus que c’en était terminé de ce petit jeu. Mais à la suivante, il repartit à l’assaut de sa place chétive. Il revint sur ma copine de manière très discrète, sans doute peu rassuré que la configuration ait changé et puisse permettre à d’autres personnes que moi-même de voir la scène qui se déroulait. Mais Sophie était bien décidée à aller plus loin :
- Attends, j’ai une idée, dit-elle.
Et quelle idée ! Je devinais sous sa jupe ce qu’elle faisait, elle avait abaissé l’arrière de sa culotte jusqu’en bas de ses fesses comme invitation à lui toucher le sexe.
- Il ne résistera pas à ça, me murmure-t-elle.
- Tu as fait quoi ? lui demandai-je pour être sûr que j’avais bien compris.
- J’ai les fesses à l’air sous ma jupe…
Chacune de ses actions osées me donnait envie d’exploser de jouissance. Je n’avais qu’une envie : ouvrir mon pantalon et masturber mon sexe gonflé par le désir. J’aurais pu jouir instantanément. Je n’étais pas habitué à voir Sophie comme ça. La chose la plus folle que nous ayions fait ensemble, avait été la fois où l’on s’était masturbés mutuellement dans un parc public à l’abri des regards, excités à l’idée qu’on puisse nous découvrir.
- Il a les doigts sur ma chatte, il est en train de me caresser le clito, dit-elle difficilement.
Je voyais qu’elle se contenait pour ne pas gémir. Elle aussi, visiblement, avait besoin d’exploser.
Elle continua à me raconter chacun de ses gestes. L’homme alla jusqu’à mettre un doigt à l’intérieur de son sexe et à étaler la mouille sur son anus en vue de lui enfoncer aussi un doigt par la petite porte de derrière.
Ce que l’homme ne savait pas, c’est que Sophie s’y refusait. Elle n’avait rien contre la sodomie car souvent il nous était arrivé de faire l’amour en regardant des vidéos pornos de femmes sodomisées mais elle avait peur que cela lui fasse mal. Elle serrait les fesses et décidait qu’il allait trop loin. Mais le mec avait l’air de faire une fixation sur ses belles fesses rebondies, il glissait ses mains entre ses fesses et cela m’était insupportablement excitant. Le fait de savoir qu’il caressait là où d’habitude Sophie m’arrête par peur que j’aille plus loin, de savoir qu’elle ne pouvait plus faire marche arrière après avoir accepté les avances du type de cette manière.
Sophie réussit quand même à se glisser légèrement sur le côté de sorte que le jeu puisse être interrompu. Et il le fut. Il n’avait que trop duré. Nous étions bientôt arrivés à destination et le wagon commençait à se désemplir. Il n’était plus assez bondé pour tenter un mouvement sous la jupe de Sophie. Et bientôt, il fut assez vide pour que nous nous asseyions sur un strapontin en face de celui de l’homme. Ce petit répit permit à Sophie et à moi-même de détailler l’homme. C’était donc un homme mûr, à peu près la quarantaine, pas spécialement baraqué, assez grand, les cheveux bien garnis. Il portait un pantalon classe, beige qui dessinait une bosse au niveau de son sexe. Il portait une chemise, entrouverte. Quelques poils en dépassaient. C’était un modèle de virilité. Il ne nous regardait pas directement en face, sans doute par honte.
Nous étions enfin arrivés au centre commercial. Nous descendions.
Sitôt seuls dans les couloirs, notre discussion revînt sur ce qui s’était passé dans le métro.
- Tu as vu ça ? Il m’a carrément doigté la chatte dans le métro ! Tu es sûre que tu n’es pas jaloux ?
- Je le suis.
- Mais tu m’as dit que ça ne te gênait pas ! se défendit-elle.
- Oui, c’est pas que ça me gène pas. Je suis jaloux mais j’ai trouvé ça terriblement excitant.
- Moi aussi, m’avoua-t-elle. Viens on rentre à la maison, j’ai trop envie de te baiser. Cet attouchement m’a allumée comme jamais.
- Salope ! la traitai-je avec le sourire.
Elle me rendit le sourire. Elle aimait que je l’insulte ou lui parle avec des mots crus quand elle se sentait d’humeur.
Nous avançions dans la galerie. Je remarquai tout à coup que l’homme était derrière nous.
- Il est descendu au même arrêt que nous visiblement.
- Non arrête ! Déconne pas !
Elle se retourna et fit volte-face.
- Putain, tu crois qu’il a cru qu’il y avait moyen de me tringler ?
- Tu viens de le laisser te doigter la chatte ! Evidemment qu’il y a cru !
- Viens, il faut rentrer dans un magasin pour le semer.
Nous rentrions dans “Pylones”, une boutique d’objets design et rigolos.
- Tu n’aimerais pas le faire ? demandai-je.
- De quoi ? Coucher avec lui ?
- Bah oui.
- T’es fou.
Elle m’embrassa alors, comme elle m’avait embrassé dans le métro. Je devinai alors que malgré sa négation, son bassin pensait le contraire. Elle était encore brûlante d’envie. Je fus alors pris d’une nouvelle crise de jalousie suivi immédiatement par une envie urgente de me branler. Ma bite avait encore gonflé et commençait à me faire mal.
J’aperçus alors un objet qui éveilla mon intérêt. Je l’achetai profitant que ma copine ait la tête aux accessoires de beauté.
Nous sortîmes alors du magasin. Le type était là-bas, plusieurs mètres devant nous, assis sur un banc, l’air de rien comme s’il ne nous avait pas du tout remarqué.
Je glissai alors l’objet que j’avais acheté dans la main de ma copine. Un préservatif.
- Vas le baiser, ordonnai-je
Elle me regarda quelques secondes ne sachant pas comment réagir, partagée entre sa crainte que je sois devenu fou et son envie folle d’exécuter mon ordre. Puis elle sembla prendre une décision.
- Tu es sûr de toi ?
- Non
- Et bien c’est trop tard, reste là et attends bien sagement sur ce banc que je me fasse baiser comme tu dis !
Avant même que je n’eus le temps de protester ou de revenir sur ma requête, elle se dirigea d’un pas assuré vers les toilettes.
Quelques secondes à peine suffirent pour que le type se lève de son banc et se dirige également vers les toilettes.
Mon dieu qu’est-ce que j’avais fait ! J’avais poussé ma copine à me cocufier ! Elle allait se faire baiser par un inconnu dans les toilettes d’un centre commercial !
Je regrettais mon comportement. Il n’y avait plus de marche arrière possible.
Ou bien.
Je pouvais encore débouler dans les toilettes et les arrêter.
Je m’assis pour réfléchir. Mon sexe gonflé dans mon entrejambe me gênait.
Je l’imaginais en train de sucer le type ou mieux encore, sa queue dans sa chatte, prise en levrette, ses énormes seins écrasés contre la paroi de la cabine. Je mouillais tellement que le liquide séminal commençait à traverser mon jean.
Je regardai mon téléphone. Elle m’avait peut-être écrit pour me dire qu’elle plaisantait. Ou bien elle allait m’appeler et laisser le téléphone ouvert pour que je puisse entendre ?
Je me levai. Je marchai vers un magasin, entrai à l’intérieur et contemplai les étalages sans grand intérêt. Je tentais tant bien que mal de cacher ma trique avec ma sacoche.
Je pourrais peut-être aller me masturber aux toilettes pour me passer l’envie qui était si forte et voir les choses claires. Mais peut-être qu’après, je serais si conscient de la situation que j’aurais mal de jalousie et ne le supporterai pas. Et si je devais aller aux toilettes ? Irai-je à ceux où ils étaient ? Etaient-ils chez les femmes ? Chez les hommes ? Les entendrais-je ?
J’étais paralysé par trois choses : mon excitation, ma jalousie et les questions qui se bousculaient dans ma tête. C’était peut-être ça l’amour cérébral. C’était ça le candaulisme ?
Soudain, mon téléphone se mit à vibrer. Je le regardai. Sophie venait de m’envoyer une image : un selfie où je voyais sa grosse poitrine inondée de sperme.
Avant d’avoir le temps de poser d’avantage de questions, il se passa trois choses simultanément : un bouton de mon jean se défit tellement mon sexe était gonflé ; l’homme sortit des toilettes ; et enfin, un autre message arriva. Il disait “viens me rejoindre dans les toilettes des hommes”.
Ni une, ni deux, je me dirigeai vers les toilettes. Sophie m’avait déparalysé en prenant la décision à ma place. Ce qui avait été une requête pour elle au début s’était transformé en pouvoir sur moi. Je mourrais d’envie de savoir ce qui était arrivé.
J’entrai dans les toilettes des hommes. Il n’y avait qu’une cabine occupée. Je fis timidement :
- Sophie ?
- Je suis là, me répondit-elle en entrouvrant la porte de sa cabine.
Elle jeta un regard furtif à l’extérieur pour s’assurer que nous étions seuls puis me fit entrer. Elle referma la porte. Elle était belle, sans son haut, les seins à l’air, pleins de sperme. Sa jupe toujours sur elle. Elle avait sa culotte en main. Encore une fois, un millier de questions naissaient dans ma tête mais je n’eus pas le temps de les formuler.
- Tu peux mettre ça dans ta sacoche, me dit-elle en me tendant sa culotte trempée.
Je remarquais la cuvette des toilettes baissée, son téléphone posé dessus, l’emballage du préservatif déchiré. Je mis la culotte dans ma sacoche que je déposai à terre.
- Et bien, que regardes-tu ?
- Tu l’as sucé ?
- Tu me l’as demandé...
Soudain, sans crier gare, je ne sus pas ce qu’il me prit, je léchai sa poitrine souillée de sperme. Je me baignai de luxure en m’abreuvant de sa décadence. J’avais tellement envie de goûter la semence de mon cocufieur. C’était immoral et terriblement excitant. Elle fut surprise et me lança un regard plein de reproches. J’avais pris un gros risque aveuglé par mon envie. Mais c’était trop tard, je léchai ses tétons, sa poitrine. Je tentai de gober ses seins dans son intégralité et il me semblait que cela l’excitait. Le mal étant déjà fait, elle me demanda de la nettoyer mieux que ça. J’avalais chaque goutte de sperme et chaque goutte dupliquait la taille de mon sexe.
Elle ouvrit ma braguette et libéra la bête qui s’était tant retenue. Puis elle me raconta :
- J’ai attendu dans le couloir des toilettes et il est arrivé. Une femme est passée. Je faisais semblant d’attendre mon petit ami devant les toilettes des hommes. Puis il est arrivé. J’ai mouillé comme une dingue. Il est passé devant moi et m’a dit “viens que je te baise, sale pute !” Je l’ai suivi et il m’a indiqué la direction d’une cabine dans laquelle je suis rentrée avec lui.
Tout en me racontant l’histoire, elle me masturbait le sexe. L’odeur qui s’en dégageait était plutôt forte, à force de mouiller mon boxer…
- Il m’a demandé “ton copain sait que tu es là ?”. J’ai répondu “c’est lui qui m’envoie”. Il a dit “c’est bien tu es obéissante”. Il a défait son pantalon et a sorti sa queue. Il m’a demandé de la prendre en photo pour toi.
Elle me montre la verge du quarantenaire sur son téléphone. Elle était un peu moins longue que la mienne mais un peu plus épaisse. globalement, j’étais rassuré, je n’avais rien à lui envier. Mais surtout, imaginer cette taille dans la bouche de ma Sophie…
- Alors je l’ai sucé comme ça...
Elle se met à me sucer et à me montrer ce qu’elle lui a fait avec les mouvements de langues.
- Salope, laissai-je échapper. Elle sortit mon gland de sa bouche.
- Il m’a traité de sale pute aussi. Parles moi cru.
Elle reprit son travail et j’exécutai ses ordres, pas très sûr de savoir qui avait vraiment le pouvoir sur l’autre à cet instant.
- Sale pute, vas-y suces moi bien, lui débitai-je. Salope. Tu aimes sucer les mecs comme ça dans les toilettes. Tu les fais tous comme ça ?
Elle me fit oui d’un d’un hochement de tête, tout en me suçant. Avec une main, elle tenait ma verge qu’elle continuait à dévorer, de l’autre, elle saisissait son portable et me montrait la photographie suivante : un selfie d’elle en train de sucer le type. Puis elle reposa le portable et commença à se caresser le sexe. Visiblement, cette situation l’excitait au plus haut point. J’allais jouir.
Non pas déjà ! Pas maintenant. Elle me suçait depuis à peine deux minutes, je n’avais pas entendu la fin de l’histoire encore ! Je sentis l’orgasme arriver. Je me retins et il se passa alors une chose étrange. J’éjaculai mais sans vraiment ressentir l’orgasme, sans que l’envie ne me quitte vraiment, j’avais envie de continuer. Mais Sophie avait pris ma semence dans sa bouche. Elle déglutit avant de dire :
- Il n’a pas joui dans ma bouche, petit coquin ! Tu es précoce !
- Je n’ai pas fini, la rassurai-je.
Elle se levait. Quelqu’un entra dans les toilettes. Nous attendions quelques minutes. Cette personne sortit.
- Tant mieux car moi non plus, je n’ai pas fini mon histoire, reprit-elle.
Ensuite, il m’a demandé de retirer mon haut et quand il a vu mes seins, il m’a traité de salope en me les pelotant très très fort. Puis il a glissé sa bite entre eux et me les a baisé…
Elle me montra une nouvelle photographie qu’il lui avait ordonné de prendre pour moi.
- Ensuite, il a enfilé la capote et il a relevé ma jupe. Je pensais qu’il allait me pénétrer la chatte mais au lieu de ça, il a commencé à collecter ma cyprine et à la coller sur mon anus. Je lui ai dit d’arrêter, que je ne voulais pas le faire par là mais il a insisté. Il a dit qu’il ne fallait pas faire la salope dans le métro et que c’était ma punition pour m’être mal comportée et pour avoir trompé mon copain. Il m’a dit, tout en me travaillant le trou, que j’allais bien la sentir et que ça me servirait de leçon la prochaine fois dans le métro.
Elle releva sa jupe et je vis son anus dilaté et mouillé. Je n’en crus pas mes yeux ! Et ma bite !
Elle accompagna sa démonstration d’une nouvelle photo où cette fois, le type avait pris le cliché de haut, pendant qu’il la prenait en levrette, ses fesses en coeur autour de sa queue, sa bite clairement rentrée dans le cul de ma copine.
Elle ne m’avait jamais autorisé ça et voilà qu’elle l’avait fait !
Comme pour me rassurer, elle me dit :
- J’ai adoré ça et je veux que toi aussi tu m’encules bien profond. Ta bite est plus longue, je veux que tu ailles là où il n’est pas encore aller.
Il ne m’en fallut pas beaucoup plus pour me motiver. J’attendais ça depuis tellement longtemps. Son cul dilaté et la largeur de la bite du type m’avait facilité le travail d’insertion.
J’étais en train de sodomiser ma pute de Sophie. Je continuai les insultes :
- Tu la sens sale pute ? Tu sens ma grosse queue dans ton cul ?
- Oh ouiii ! cria-t-elle. Remplis-moi ! Je veux me sentir bien remplie !
- Cul de salope, tu aimes ça bouffer des queues par le cul !
- Oh oui ! démontes-moi ! Je veux que tu possèdes mon corps, je veux être à toi !
- Tu m’as trompé salope ! tu t’es faite enculée par un inconnu, t’as aimé ça j’espère ?
- Oh ouiiii ! Je suis une salope, punis-moi, prends-moi ! Jouis dans mon cul !
Je devinais la fin de l’histoire quand secoué par mes coups de bite, Sophie me montrait tant bien que mal les deux dernières photos : une de son cul avec un trou béant et l’une de ses nichons pleins de spermes, celle-là même qu’elle m’avait envoyée. Il avait retiré sa bite de son cul, le préservatif également et s’était masturbé sur la poitrine de ma copine en l’aspergeant de foutre. Foutre que j’avais léché jusqu’à la dernière goutte.
J’enculais ma copine. Elle se doigtait la chatte et fous d’ivresse sexuelle, nous atteignîmes l’orgasme ensemble.
J’eus peur qu’après, la jalousie et l’insanité de tout ce qu’il venait de se passer nous prenne d’assaut mais nous avions tous deux des choses à nous reprocher, dont nous n’étions pas fier. Il ne fallut que quelques jours pour les accepter et pour que l’envie de recommencer revienne.
C’était donc ce 14 juin que j’avais découvert le candaulisme. Notre couple était déjà fort avant mais il l’était encore plus après car nous étions relancés.
Ma copine m’a demandé d’ajouter à ce récit le conseil suivant : ne reproduisez pas la bêtise que j’ai pu faire d’avaler le sperme d’un inconnu. Heureusement pour moi, les analyses ont montré que je n’ai contracté aucune maladie (ni elle). Pourtant si tout était à refaire, je ne changerai rien de ce qui est arrivé. C’était sans nul doute la journée la plus excitante de toute ma vie.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Jerem4444
6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Philus. Effectivement, cette histoire est un peu plus ancienne que les autres que j'ai écrit dans la même collection (avec toujours ce côté inopiné que j'apprécie beaucoup). Et à l'époque où je l'avais publiée, j'avais déjà reçu cette critique sur l'avis de Sophie (et effectivement, si elle avait été seule, elle ne l'aurait probablement pas fait ; la situation décrite est d'ailleurs, dans la vie normale, plus un problème ; il faut bien prendre du recul sur le fait qu'il s'agit d'un récit / fantasme). Je pense que les autres récits de la collection ont moins ce problème.
C'est une excellente histoire et vous décrivez très bien les sentiments, pourtant incompatibles et contradictoires apparemment, de la jalousie et de l'excitation, du refus d'être cocu et de voir sa femme baisée par un autre, sentiments que beaucoup ressentent (dont moi, qui n'ai jamais franchi le pas bien que j'en fus proche il y a de nombreuses années) et que les candaulistes connaissent bien. Le fait que ce soit inopiné et non le résultat d'un rendez-vous soigneusement programmé ajoute à la spontanéité du récit. Il reste que l'on ne fait que peu de cas de l'avis de Sophie. Elle demande toujours "l'autorisation" à son copain, mais elle, qu'en pense-t-elle ? Si elle était seule, se laisserait-elle peloter ainsi ? Irait-elle jusqu'aux toilettes avec cet inconnu ? Enfin, si le but de cette histoire est d'exciter le lecteur, je peux vous garantir que ça marche ! ;-)
Un excellent texte candauliste!
Excellente narration et très excitante !
Histoire bien raconté, plaisante à lire et ainsi s'imaginer !
Merci à vous
Merci à vous
Histoire bien raconté, plaisante à lire et ainsi s'imaginer !
Merci à vous
Merci à vous