Ma femme dominatrice m'offre à ses copines - partie 11 - L'anniversaire de ma femme
Récit érotique écrit par Luc54 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ma femme dominatrice m'offre à ses copines - partie 11 - L'anniversaire de ma femme
Depuis deux semaines notre vie est calme après notre dernière soirée chez Béa, notre amie libertine.
Il faut dire qu’avec ma femme nous vivons des expériences sensationnelles depuis maintenant trois ans à peu près, depuis que nous nous sommes enfin avoué nos penchants réciproques, elle pour la domination, moi pour la soumission. Alors de temps en temps nous « jouons », elle est ma maîtresse dominatrice et moi son soumis docile. Elle me fait subir des humiliations, des tortures diverses, toujours concertées auparavant et dans le strict respect des envies de chacun. Nous y trouvons tous les deux largement notre compte, notre couple est de plus en plus soudé, notre complicité sans faille. Ma chérie y gagne en assurance, de quasi timide elle est devenue une femme rayonnante, une de celles qui attire les regards et qui ne laisse pas indifférent. Elle adore me prêter à d’autres dominatrices qui font de moi leur jouet sexuel pendant qu’elle assiste en voyeuse ou participe aux séances. L’une de ces dominatrices est Béa, une libertine avertie qui est devenue pour nous plus qu’une amie. On pourrait la qualifier d’amante de notre couple, c’est souvent elle qui organise nos soirées les plus réussies. Une autre dominatrice est tout simplement ma belle sœur, la frangine de mon épouse.
Je suis également cocu, de mon plein gré. En effet, lors de nos parties fines, de temps en temps ma chérie baise sauvagement et sans retenue avec d’autres mâles devant moi pendant que je suis malmené par ses copines. Cela nous procure à chaque fois des jouissances assez exceptionnelles. Comme tout est librement discuté, consenti de part et d’autre, la jalousie n’a aucune place dans nos relations, chacun essayant de rendre l’autre le plus heureux, le plus satisfait possible.
Ce matin nous jouons. Je suis attaché sur le lit, fouetté, branlé, sucé. Ma maîtresse, ma femme chérie, profite largement de ma personne réduite à l’état de lopette. En bout de séance elle m’explique que c’est bientôt son anniversaire et qu’elle a envie d’un cadeau spécial cette année.
Toujours attaché sur le lit, elle au dessus de moi, je l’entends m’expliquer qu’elle a envie, le jour de son anniversaire, de baiser avec un mec, chez nous à la maison ; je serais présent, cocu, soumis à ses moindres désirs. Ce serait à moi de faire la présélection de plusieurs mâles, elle se réservant le droit de choisir l’élu. Je finaliserais le contact, je devrais tout organiser selon ses directives.
- alors, cocu, tu acceptes la mission ?, me fait elle en rigolant, narquoise.
Je l’embrasse fougueusement, excité à l’idée de ce nouveau défi, de cette nouvelle facette de notre jeu. J’ai confiance en elle, en son amour sans faille pour moi, nous en discutons souvent et je sais qu’elle m’aime profondément ; je suis son mec, comme elle le répète à tout notre entourage. Le reste n’est que jeu et plaisir partagés.
Alors je me suis mis en chasse, internet, petites annonces…« homme soumis cherche amant d’un jour pour sa maîtresse ; endurant, imaginatif, allure sportive », et tout le bla bla. Elle le veut plus jeune qu’elle, sachant que nous sommes des quinquagénaires bien dans leurs baskets et plutôt bien conservés.
Son dévolu tombe finalement sur Pierre, un quadra mignon, sportif, bien musclé, qui paraît répondre à tous ses critères. Nous nous donnons rendez vous autour d’un verre dans un restaurant.
Il est déjà là quand nous arrivons, conforme aux photos et descriptions que nous avons eues de sa part. Le courant passe super bien, ma femme lui explique ce que nous sommes, ce que nous attendons de cette journée. Elle précise à maintes reprises que pour nous c’est juste un jeu, pas une réalité permanente. Pierre comprend parfaitement, il sera l’instrument, le catalyseur de notre plaisir ; il est impatient, dit-il, complimentant mon épouse sur sa beauté et son charme.
Ça y est, le jour J, l’anniversaire de ma chérie. Cela fait une bonne semaine que je n’ai pas eu le droit de lui faire l’amour, juste des caresses ; plus d’orgasme pour moi. Je te garde pour l’anniversaire dit-elle à chaque fois, je ne comprends pas, c’est Pierre qui est censé la baiser.
Je prépare le petit déjeuner, je lui apporte un magnifique bouquet d’anniversaire ainsi qu’une jolie paire de boucles d’oreilles dont elle avait envie. Elle se jette à mon cou, m’embrasse tendrement et plonge son regard tout au fond de mes yeux comme elle sait si bien le faire.
« Ne crois surtout pas que cela va m’attendrir, j’ai envie d’être une vraie salope aujourd’hui, c’est ma journée. Allez maintenant on joue ! »- oui maîtresse, tout ce que vous voudrez, je lui réponds.
C’est le code entre nous, quand elle demande si on joue et que je réponds oui maîtresse elle devient instantanément ma dominatrice et moi son soumis docile.
- va te doucher, puis tu prépares le lit, installe tout; j’ai une surprise pour toi. Pierre arrive à dix heures, je vais me faire belle pour lui, allez dégage !
- bien maîtresse.
La partie est bien lancée, je pars me doucher, je bande dur, j’ai vachement envie de me branler un coup mais je ne veux rien gâcher, je me retiens. Dans notre chambre je fixe des chaînettes aux montants du lit, je prépare les accessoires dans la pièce attenante que nous avons un peu aménagée pour nos activités particulières. Pierre n’en sait rien, ce sera sa surprise à lui. Puis je redescends, à poil.
Maîtresse est prête, elle m’attend au salon. Elle est belle dans sa petite robe bleue que j’affectionne particulièrement, elle le sait, elle l’a mise pour cela, je parie. Elle me fixe des bracelets aux chevilles et aux poignets, elle a prévu de m’attacher, j’aime. Puis elle me met la cagoule de soumis, yeux, bouche et nez dégagés. Un collier m’enserre la gorge, quelquefois elle y rajoute une laisse. Elle me tourne autour, me sourit, me lèche les lèvres, les tétons. Je bande terrible, elle me saisit la verge la serre très fort et m’assène quelques claques violentes sur la bite. J’encaisse.
- ah mais ça ne va pas pour ce que j’ai prévu, tâche de débander, petit cocu. J’ai fait des achats pour toi, spécialement pour cette journée.
Elle déballe deux anneaux souples, réglables. Elle m’en fixe un autour des testicules et l’autre à la base de ma queue, le tout bien serré. Mes bras sont ramenés en arrière et menottés dans mon dos. Puis elle va à la cuisine, farfouille dans le frigo et revient avec un sac plastique qu’elle me colle contre mon sexe. C’est glacé, quel choc ! je débande illico, ma queue ratatine complètement. Elle éclate de rire.
- voilà qui est mieux, je vais pouvoir t’offrir ton cadeau.
Elle se saisit d’un truc et tripote après mon sexe tout ramolli. Je comprends d’un seul coup, elle est en train de poser une cage de chasteté à ma queue, trop tard, le petit cadenas claque, elle agite la clé sous mon nez.
- prisonnière, ta petite nouille, elle restera ainsi toute la journée, fait elle en se marrant.
Je me sens terriblement humilié, mais diablement excité aussi. C’est cela le paradoxe de nos jeux, mais aussi ce qui en fait tout le sel. Une érection s’amorce, bien malgré moi, mais très vite la cage fait son effet, ma verge est comprimée contre les parois de cette prison, c’est douloureux, je suis désarmé, complètement à sa merci. Elle est contente, elle m’explique qu’elle voulait d’abord en acheter une avec des picots à l’intérieur.
Il reste une demie heure à tuer avant l’arrivée de son amant du jour. Elle s’installe sur le canapé, ouvre ses cuisses et écarte sa petite culotte.
- viens me lécher un peu en attendant, c’est à peu près tout ce que tu auras aujourd’hui.
Tant bien que mal je m’agenouille devant elle et je plonge ma tête entre ses cuisses. Elle est belle, elle sent bon. Ma bouche va cueillir sa chatte déjà toute trempée. Je la lèche doucement, amoureusement, elle ronronne de bonheur. Puis elle me repousse, se lève et va chercher encore quelque chose. Elle revient avec une laisse et un petit boîtier muni d’un fil électrique. Des broches s’emboîtent sur les anneaux qu’elle m’a fixés autour de mon sexe, j’ai peur de comprendre. Elle fixe également la laisse à ma cage de chasteté.
- on va jouer au petit électricien, rigole-t-elle.
Elle manipule quelques boutons sur le boîtier, c’est fulgurant, des décharges musclées me transpercent la queue, je crie et me tortille dans tous les sens.
- oh pardon, il fallait bien que je teste l’appareil avant l’arrivée de Pierre, me dit elle en souriant, l’air faussement apitoyée.
On sonne. Elle me plante là et va ouvrir. Elle revient tenant Pierre par la main. Il est vraiment bien foutu le bougre, jeans, veston gris bien taillé, une chemise blanche ouverte sur de larges épaules. Il tient négligemment ma femme par la taille. Il me regarde, à poil au milieu du salon, harnaché avec tous les cadeaux de maîtresse. Il sourit, un peu désarçonné quand même.
Ma femme va mette de la musique douce, les rideaux sont tirés, elle prend la laisse et le petit boîtier dans une main et va se coller contre Pierre, je suis tiré en avant. Il l’enlace, elle colle sa bouche contre la sienne et ils commencent à danser un slow langoureux, leurs corps se frottant l’un contre l’autre. Toujours tiré par ma laisse, je suis obligé de suivre. Elle lui met la main sur le sexe, à travers le pantalon, il bande bien. Moi je souffre terriblement avec ma cage, c’est atroce, elle le sait et me coule des petits regards mutins. Elle actionne discrètement la mollette du boîtier et je prends des décharges électriques dans mes couilles et ma queue. Ça augmente encore mon excitation et mon envie d’érection. Pierre lui a remonté la robe et palpe son cul à travers sa petite culotte, elle lui glisse la main dans la chemise et caresse son torse, les boutons sautent l’un après l’autre. Je danse, si on peut dire, tout à côté d’eux, motivé par les secousses électriques de ce maudit appareil. Elle me jette des petits coups d’œil rapides, contente de son jouet. Je suis excité comme une bête, exactement ce que j’aime, même si pour Pierre cela doit paraître bizarre.
Elle nous entraîne tous les deux vers le canapé, lui par la main, moi à coup de laisse sur mon sexe endolori. La robe tombe, suivie de sa petite culotte. Elle s’assied, Pierre debout devant elle. Je dois m’agenouiller à côté d’eux, elle réduit au minimum la puissance de l’appareil mais les secousses sont toujours là, lancinantes ; ça me rend dingue.
- regarde bien mon cocu chéri, la belle queue que je vais sucer devant toi.
Elle dégrafe la ceinture, descend le pantalon et agrippe la verge de Pierre. Celle ci est effectivement de belle taille, un joli gland rose bien gonflé; elle me regarde et commence à le masturber doucement, l’autre gémit de plaisir. Elle me sourit, je grogne de rage, elle est heureuse la coquine. Puis elle le prend en bouche, profondément, se retire doucement et recommence sans arrêt, elle accélère imperceptiblement, ses yeux magnifiques plongés dans les miens. Notre ami Pierre est aux anges, je le comprends, je connais bien ses talents de suceuse. Pierre est maintenant complètement à poil et se fait pomper le dard, debout devant maîtresse. Elle m’attire encore plus près, j’ai mon visage collé contre le sien, à dix centimètres de la bite. Pierre souffle comme un bœuf sous la fellation adroite de ma reine. Elle le lâche et m’embrasse furieusement, sa langue se promène dans ma bouche. Elle me regarde, me sourit encore et me souffle :- va me lécher la chatte.
Je descends vers son minou, elle pose un pied sur la canapé, l’autre au sol, elle recommence à bien pomper son amant ; je suis fou de désir et de frustration, heureux d’avoir la permission de lécher maîtresse. Je lui bouffe fébrilement la chatte, elle n’arrête pas de couler, je bois sa mouille, avidement, maladroitement. Des chocs électriques puissants sur mon sexe me rappellent à l’ordre, je m’applique à lui procurer un maximum de belles sensations. Elle lâche la queue et me presse la tête des deux mains contre son puits d’amour. Un tremblement de son bassin m’annonce un orgasme fulgurant, rapide, puissant. Elle me repousse tout de suite après, se lève et se frotte contre Pierre. Je n’existe plus. Je la connais bien, elle ne pense plus qu’à baiser ce mec à présent. Je ne suis plus que son jouet.
- on continue en haut, viens mon bel étalon, lui murmure-t-elle.
Elle le prend par la queue et le tire vers l’escalier, de l’autre main elle se saisit de la laisse et du boîtier pour me tirer brutalement vers elle.
- toi le cocu, je vais t’attacher au lit, tu nous regarderas baiser, c’est tout ce que tu mérites.
Dans la chambre elle demande à Pierre de s’allonger sur le lit. Moi elle m’ordonne de me mettre à genoux au pied du lit, je dois écarter mes bras pour qu’elle puisse me fixer par les poignets aux pieds du lit. Je dois poser ma tête sur le matelas. Elle va chercher une cravache et se positionne derrière moi. Pierre est sidéré.
- je vais t’en mettre vingt sur le cul, tu comptes. Après je retourne baiser.
Et elle m’assène vingt coups de cravache sur mon cul dressé, je compte bien fort, évidemment. Les décharges électriques n’arrêtent pas, mon sexe me fait souffrir énormément. En passant elle me met une petite tape sur le dos avant de rejoindre Pierre sur le lit. Je sais que c’est une petite marque de connivence, juste entre nous ; elle adore ce jeu et elle sait parfaitement que j’apprécie le traitement qu’elle m’inflige.
Pierre se met sur le dos et elle vient s’empaler sur lui, devant mes yeux.
- regarde le cocu comme ça rentre bien ; oh c’est bon tu sais, il me pénètre bien profond.
Elle tient dans une main son petit boîtier et pendant qu’elle chevauche son mâle elle actionne sans cesse les différents boutons. Les décharges varient de durée, d’intensité au gré de ses interventions plus très contrôlées. Je deviens fou de plaisir et de douleur, de rage aussi. Elle ondule de plus en plus vite au dessus de Pierre.
- oh comme c’est bon, tu regardes bien mon cocu, il me baise fort, ça vient… ça vient, je jouis, je jouis, le reste est hurlé, elle crie son plaisir. Pierre donne de violents coups de bassin vers le haut, les orgasmes s’enchaînent chez ma maîtresse. Sur une ultime chevauchée Pierre jouit également, maîtresse chérie se couche sur lui, ils restent longtemps l’un sur l’autre, elle le caresse, il lui palpe les fesses de ses deux mains, puis elle descend, se met sur un coude et me regarde.
- alors cocu, comment tu as aimé cette première partie, tu as apprécié j’espère, dis quelque chose, putain !
- oui maîtresse, j’ai beaucoup aimé vous voir jouir.
Elle adore m’humilier, elle prend un sacré pied en me parlant ainsi. Elle se défoule vraiment là.
- pendant que Pierre récupère un peu je vais t’en remettre vingt, ou trente, qu’en penses tu, le cocu ?
- oui maîtresse, avec plaisir.
- Vingt ou trente ?
- Trente, s’il vous plaît, maîtresse.
Elle se marre, vient derrière moi. Elle a troqué la cravache contre une badine plus épaisse. Je la connais celle là, elle fait mal. Et je compte mes trente coups, les derniers sont durs, elle a mis l’appareil électrique au max, je suppose, c’est atroce. J’aimerais tellement jouir.
- tu es un bon cocu soumis, je vais te faire une confidence, j’ai convoqué deux maîtresses, elles viendront tout à l’heure s’occuper de toi. Peut être que tu auras une jolie récompense…
Tout cela a drôlement excité notre ami Pierre, il a de nouveau une érection formidable sur le lit. Ma chérie se met en 69 sur lui et ils se sucent allègrement pendant un bon moment. Elle agite sa croupe sur sa bouche et se met de petites orgasmes.
Puis ma louloute se met sur le dos.
- viens me baiser, montre moi ce que tu sais faire.
Pierre relève le défi, il se met sur elle, la pénètre bien profond et commence à la pistonner royalement. Elle couine de plaisir, il lui remonte les jambes sur ses épaules et la baise, longtemps. Des orgasmes la secouent à intervalles réguliers, il la laisse récupérer puis il la reprend de plus belle. Elle en prend pour son compte, je suis tellement heureux de la voir jouir, même si je souffre grave. Mon cul me brûle, j’ai mal aux genoux et aux épaules, mon sexe me donne continuellement l’impression d’exploser.
Ma chérie s’est mise en levrette, face tout contre moi, elle m’embrasse pendant que son amant la pistonne furieusement. Le claquement de son pubis contre ses fesses me rend dingue. Entre deux baisers elle me fait ses commentaires.
- c’est bon, je jouis fort, oh putain c’est bon ; ma petite larve, tu vois comme je prends mon pied, ça va encore être ta fête tout à l’heure.
Pierre la fait jouir à plusieurs reprises avant de se dégager. Elle se met en dessous de lui et il se finit sur ses seins. Ils s’écroulent l’un à côté de l’autre, haletants. Je connais un grand moment de solitude.
- alors cocu, quarante, je pense ?, me demande ma maîtresse au bout d’un moment, faussement naïve.
- Oui maîtresse, quarante s’il vous plaît.
Elle me passe la laisse entre les jambes et tire vers le haut.
- allez mon cocu, cambre toi bien, me fait elle.
C’est avec un petit fouet que j’encaisse mes quarante coups. Je crie de douleur, surtout pour les derniers. Pierre est assis sur le lit, il n’en perd pas une miette, le salaud.
Les deux amants sirotent une coupe, sur le lit, je suis toujours attaché, les bras écartés, à genoux.
Le téléphone de ma chérie vibre en même temps qu’on sonne à la porte.
- ce sont tes deux autres maîtresses qui sont là, à mon avis tu vas encore déguster mon pauvre petit cocu…Elle se lève, enfile sa robe de chambre et va ouvrir.
Pierre en profite pour me demander si ça va, il a l’air un peu inquiet.
- t’inquiète pas pour moi, je lui dis, et toi ça te plaît ?
- purée, si tu savais, je ne m’attendais pas à tout ça, ta nana est géniale ; tu es vraiment sûr que tout va bien pour toi.
- Oui, oui, c’est OK, tout est discuté à l’avance, je peux tout arrêter avec un simple mot de ma part. Ma chérie connaît mes limites, elle ne ferait jamais rien qui me blesse vraiment ou contre mon gré. Profites en au maximum, prends ton pied.
Des bruits de pas dans l’escalier, Pierre reprend vite sa place.
- regarde qui est là mon cocu d’amour, lance ma femme adorée.
Derrière elle arrivent Diane, ma belle sœur, et Cathy, une copine de ma femme. Toutes les deux m’ont déjà dominé à plusieurs reprises, ce sont des femmes superbes, inventives, de sacrées jouisseuses. Diane porte une mini jupe en cuir, une blouse bien échancrée, des cuissardes noires, brillantes. Cathy est moulée dans un pantalon, en cuir également, elle est seins nus, pieds nus. Elles sont super sexy, habillées salopes pour la circonstance.
- on est venues s’occuper de toi, le soumis ; content de nous voir ?
- réponds, lance ma femme en me mettant une claque sur mes fesses déjà bien rouges.
- Oui maîtresses, je suis content.
Elles vont saluer Pierre à leur manière. Diane lui roule un patin, Cathy lui agrippe le sexe et pose un baiser sur le gland. Pierre me lance un regard affolé, ma femme se marre et lui dit :- détends toi, elles ne vont pas te manger, quoique…, et elle part de son rire de gorge que j’aime tellement.
Les deux femmes viennent me caresser le dos, elles m’obligent à me mettre sur mes pieds, jambes écartées, croupe tendue, mes épaules me lancent, je suis toujours attaché, courbé vers l’avant, j’ai mal partout. Elles se mettent de part et d’autre et commencent à me fesser le cul du plat de leur main. Les coups pleuvent, mes genoux tremblent.
- reste debout cocu, sinon je te fouette, bordel.
C’est maîtresse Diane. Elle se saisit de la laisse, me la passe entre les jambes, dans la raie de mon cul et me tire brutalement vers le haut, elle va m’arracher les couilles ! Ma chérie cale Pierre dans les coussins et le suce doucement en l’invitant à regarder le spectacle. Mes tortionnaires, s’arrêtent et se déshabillent lentement. Pierre écarquille les yeux. Maîtresse m’observe tout en continuant de le sucer. J’ai droit à un de ses clins d’œil complice qui n’appartiennent qu’à nous deux.
Cathy grimpe sur le lit à quatre pattes et présente son cul à mon visage, elle le colle contre ma bouche et commence à onduler de la croupe ; je sais que je dois sucer et lécher sa chatte et son anus, tout ce qu’elle daignera me présenter. Ma chérie fait déplacer son amant de telle sorte que sa queue soit à la portée de la bouche de Cathy qui le gobe jusqu’au fond de sa gorge et continue la fellation entamée par ma femme. Pierre ferme les yeux et serre les dents pour ne pas jouir. Il est complètement dépassé par tout ce qui lui arrive, le veinard. Ma femme remonte vers lui et lui présente ses seins, il les suce avec délice.
- j’ai envie de t’attacher un peu, qu’est ce que tu en penses, lui fait-elle.
Il ouvre grand les yeux, l’air affolé, je le comprends.
- ne crains rien, tu ne subiras rien comme le cocu là-bas, on ne te fera que du bien, reprend-elle.
Complètement anéanti, il acquiesce. Ma chérie disparaît avec sa frangine dans l’autre pièce ; elles reviennent rapidement. Diane s’est mis un gode ceinture, chérie vient placer deux bracelets en cuir aux poignets de Pierre, puis elle l’attache aux chaînettes du lit, bras écartés. Cathy lui pompe toujours la bite avec application tout en frottant son cul et sa chatte contre mon visage. Elle mouille abondamment, son plaisir me coule dans la bouche, je l’aspire goulûment, enfin une petite récompense.
Diane me lubrifie bien la rondelle puis elle me pénètre doucement le trou du cul. J’y ai déjà eu droit quelquefois, elles savent que j’apprécie, bien que j’aie été réticent au début. Je me sens bien rempli, le feu commence à m’incendier le bas ventre.
- je vais bien te baiser le cul, le soumis, tu vas en prendre plein la rondelle, me fait-elle.
Et elle accentue le mouvement, je me sens défoncé par cette bite en caoutchouc, Diane a vachement envie. Elle m’agrippe par mes poignées d’amour, ça pince, elle le sait je pense. En même temps elle me tire constamment vers le haut avec la laisse. La tension sur mes testicules est terrible.
Ma chérie se met sur le visage de Pierre et lui présente sa magnifique chatte à sucer. Il s’abandonne, complètement dominé, lui aussi. Elle a de nouveau récupéré le boîtier et m’envoie des décharges électriques variées sur ma bite et mes couilles. Tout ceci me provoque une espèce d’orgasme, mon sperme commence à s’écouler de mon sexe encagé en un petit filet continu. Diane s’en aperçoit et alerte tout le monde.
- hé les filles, cocu lâche son jus, il coule le cochon, et sans notre permission.
Du coup ma chérie met son boîtier à plein tube, Diane me défonce le cul, Cathy se presse au maximum contre mon visage et accentue la fellation sur Pierre. Ma femme lui baise carrément la bouche et jouit sur son visage. Il part juste derrière et éjacule dans la gorge de Cathy. Elle crie de plaisir et me jouit sur le visage, des petits jets de mouille m’aspergent, je bois ce que je peux. Diane me procure un orgasme magnifique dans mon bas ventre avec sa bite artificielle. Elle râle de plaisir derrière moi, sa ceinture est double, un autre gode est enfoncé dans son vagin, d’où son orgasme. Les cris de plaisir s’apaisent doucement, les postures se défont lentement, ma femme détache Pierre, complètement hagard.
- alors tu as aimé ?, lui demande mon épouse.
Il s’assied, secoue la tête et lui dit tout simplement merci pour cette incroyable expérience. Ma chérie est radieuse. Pierre manifeste l’envie de prendre congé, il fait la bise aux deux autres, me lance un regard indéfinissable, ma maîtresse le raccompagne.
Cathy et Diane me détachent enfin et avec d’infinies précautions elles me mettent sur le lit. Avec des sourires aux lèvres je suis de nouveau attaché, sur le dos, bras et jambes en croix.
Ma maîtresse revient.
- je crois que sur la fin on lui a fait peur, mais c’était une bonne bite, hein le cocu, qu’est ce que tu en penses ?
- oui maîtresse, il vous a bien baisée je crois.
- Ça tu peux le dire, il m’a défoncée, le cochon. Et toi qu’est ce qu’on va encore bien pouvoir te faire. Tu veux jouir un peu, dis ?
- Oh oui, maîtresse, s’il vous plaît.
Les deux autres sont mortes de rire, elles n’arrêtent pas de me caresser, de me griffer, de me pincer un peu partout. Cathy s’amuse avec la laisse, elle me tire continuellement sur mon sexe.
- bien, puisque c’est mon anniversaire, je vais être gentille avec toi, tu as été un bon soumis courageux. On va t’enlever tout cela, à part les anneaux, et on va te faire du bien.
- Merci, merci, maîtresse.
Et là je suis éperdu de reconnaissance. Elles m’enlèvent enfin la cage, mon sexe bande sur le champ, les fils électriques sont ôtés également. Ne restent que les deux anneaux, ce qui augmente agréablement mon érection.
- je propose de lui traire la bite, comme on avait prévu, propose ma maîtresse.
Les femmes se mettent autour de moi, Cathy me triture les tétons, Diane me mordille partout, me roule des pelles, c’est bon. Ma chérie commence alors à me branler la queue, lentement, puis avec des mouvements rapides, puis de nouveau tout doucement. Elle lubrifie continuellement. C’est très déroutant. Elle est attentive à mes réactions. Le plaisir monte, je sens que cela va venir, elle me lâche, et attend, une ultime caresse sur le frein du gland, avec le bout de son index. Une coulée de sperme monte et s’écoule de mon sexe. Les filles se regardent et m’observent. Merde, pas d’orgasme, je grogne de rage, elles rigolent, ma queue reste bien bandée. Elles me laissent comme cela une bonne trentaine de secondes.
- à toi Diane, fait ma femme.
Ma belle sœur prend sa place et recommence à me traire doucement la queue. C’est super bon, ne fait pas mal comme après une éjaculation normale. Un plaisir en continu m’irradie. Elle me prodigue à peu près le même traitement que ma femme. Au moment où je vais jouir elle arrête tout, me stimule juste encore un peu pour faire monter une bonne coulée de sperme de ma bite. Le résultat est génial, c’est super bon, je ne débande toujours pas.
Cathy s’occupe de moi maintenant, elle me masturbe longtemps, quand elle sent venir elle s’arrête, me sourit, l’une ou l’autre m’embrasse et ça continue. Je suis caressé constamment par les deux autres, c’est dément je vais devenir fou de plaisir.
Je ne sais plus combien de temps ça dure, je gémis, je sanglote presque, les trois femmes prennent leur pied à me procurer un tel bonheur.
- je crois qu’il en a assez, on peut le finir. Hein mon cocu chéri, tu veux que Cathy te finisse, demande lui !
- s’il vous plaît maîtresse Cathy, finissez moi, s’il vous plaît, je vous en supplie, je l’implore.
- c’est ton mec, c’est ton anniversaire, à toi l’honneur, fait-elle à ma femmeMa chérie l’embrasse et prend le relais. Elle fixe ses yeux dans les miens, se met contre moi et me masturbe comme elle sait si bien le faire. J’ai droit à une branlette superbe, les deux autres me couvrent de câlins partout.
Mon orgasme est phénoménal, mon corps tout entier se crispe, je suis entièrement tétanisé, arqué, je ne touche plus le lit que par mes bras et mes pieds, je ne maîtrise plus rien, je jouis comme un dingue, des jets de sperme partent à la verticale pour retomber un peu n’importe où.
- ouah, s’écrie Diane.
Ma chérie rit de bonheur et continue à me vider complètement les couilles, puis elle me masse doucement ma verge pour enfin me lâcher. Elle se colle contre moi, les deux autres maîtresses s’écartent un peu.
- c’est fini mon chéri, c’est fini, tout va bien, tu es beau, même en cocu soumis, merci mille fois pour le bel anniversaire que tu m’as offert.
Elle me caresse la joue avec une infinie tendresse.
Des larmes de bonheur, d’amour, d’épuisement me montent aux yeux. Les trois femmes s’en aperçoivent, Diane vient me les essuyer et me pose un doux baiser sur les lèvres.
- tu es un mec super, me souffle-telle. Tu nous permets toujours d’avoir beaucoup de plaisir avec toi, merci.
Je suis très touché par ces paroles, incapable de réagir. Me femme revient avec un flacon de sa préparation. Les trois femmes me massent avec ce mélange d’huiles, c’est apaisant, surtout sur mon cul. Ma chérie me confie qu’elle a pris un pied d’enfer à m’humilier comme elle l’a fait, que Pierre est un super coup, elle adore sa queue. Comme d’habitude elle s’inquiète d’avoir été trop salope avec moi, comme d’habitude je la rassure et lui dis que c’est exactement ce que j’aime. J’adore ses jeux, son imagination, j’aime la voir baiser devant moi, de plus en plus. Diane et Cathy me disent qu’elles se réjouissent toujours énormément de participer à nos ébats, elles me répètent que je suis le soumis idéal, réactif, endurant et tout et tout. Du coup je recommence à bien bander, les femmes s’en aperçoivent, ma chérie me caresse la verge, m’embrasse.
- tu veux encore baiser un peu mon cœur ?
- avec plaisir- tu veux que ta belle sœur te chevauche un peu, tu pourrais nous déguster la chatte à Cathy et à moi, tu veux, tu en as envie ?
- oh oui, j’aimerais beaucoup.
Diane me prend en bouche et me suce amoureusement, c’est génial. Cathy se met sur moi, je la lèche profondément, elle ondule sur mon visage. Diane s’empale sur ma bite et me baise royalement, ma chérie m’encourage, à côté de moi, elle me caresse les tétons, elle sait que j’aime ça.
- mon chéri, laisse toi aller maintenant, c’est ton tour. Je veux que tu prennes un maximum de plaisir, on va te faire beaucoup de bien , hein les filles.
Mon après midi n’est qu’une succession de moments délicieux, d’orgasmes puissants. J’aime ma femme, j’aime ces femmes, je leur serai à jamais dévoué et soumis…
Il faut dire qu’avec ma femme nous vivons des expériences sensationnelles depuis maintenant trois ans à peu près, depuis que nous nous sommes enfin avoué nos penchants réciproques, elle pour la domination, moi pour la soumission. Alors de temps en temps nous « jouons », elle est ma maîtresse dominatrice et moi son soumis docile. Elle me fait subir des humiliations, des tortures diverses, toujours concertées auparavant et dans le strict respect des envies de chacun. Nous y trouvons tous les deux largement notre compte, notre couple est de plus en plus soudé, notre complicité sans faille. Ma chérie y gagne en assurance, de quasi timide elle est devenue une femme rayonnante, une de celles qui attire les regards et qui ne laisse pas indifférent. Elle adore me prêter à d’autres dominatrices qui font de moi leur jouet sexuel pendant qu’elle assiste en voyeuse ou participe aux séances. L’une de ces dominatrices est Béa, une libertine avertie qui est devenue pour nous plus qu’une amie. On pourrait la qualifier d’amante de notre couple, c’est souvent elle qui organise nos soirées les plus réussies. Une autre dominatrice est tout simplement ma belle sœur, la frangine de mon épouse.
Je suis également cocu, de mon plein gré. En effet, lors de nos parties fines, de temps en temps ma chérie baise sauvagement et sans retenue avec d’autres mâles devant moi pendant que je suis malmené par ses copines. Cela nous procure à chaque fois des jouissances assez exceptionnelles. Comme tout est librement discuté, consenti de part et d’autre, la jalousie n’a aucune place dans nos relations, chacun essayant de rendre l’autre le plus heureux, le plus satisfait possible.
Ce matin nous jouons. Je suis attaché sur le lit, fouetté, branlé, sucé. Ma maîtresse, ma femme chérie, profite largement de ma personne réduite à l’état de lopette. En bout de séance elle m’explique que c’est bientôt son anniversaire et qu’elle a envie d’un cadeau spécial cette année.
Toujours attaché sur le lit, elle au dessus de moi, je l’entends m’expliquer qu’elle a envie, le jour de son anniversaire, de baiser avec un mec, chez nous à la maison ; je serais présent, cocu, soumis à ses moindres désirs. Ce serait à moi de faire la présélection de plusieurs mâles, elle se réservant le droit de choisir l’élu. Je finaliserais le contact, je devrais tout organiser selon ses directives.
- alors, cocu, tu acceptes la mission ?, me fait elle en rigolant, narquoise.
Je l’embrasse fougueusement, excité à l’idée de ce nouveau défi, de cette nouvelle facette de notre jeu. J’ai confiance en elle, en son amour sans faille pour moi, nous en discutons souvent et je sais qu’elle m’aime profondément ; je suis son mec, comme elle le répète à tout notre entourage. Le reste n’est que jeu et plaisir partagés.
Alors je me suis mis en chasse, internet, petites annonces…« homme soumis cherche amant d’un jour pour sa maîtresse ; endurant, imaginatif, allure sportive », et tout le bla bla. Elle le veut plus jeune qu’elle, sachant que nous sommes des quinquagénaires bien dans leurs baskets et plutôt bien conservés.
Son dévolu tombe finalement sur Pierre, un quadra mignon, sportif, bien musclé, qui paraît répondre à tous ses critères. Nous nous donnons rendez vous autour d’un verre dans un restaurant.
Il est déjà là quand nous arrivons, conforme aux photos et descriptions que nous avons eues de sa part. Le courant passe super bien, ma femme lui explique ce que nous sommes, ce que nous attendons de cette journée. Elle précise à maintes reprises que pour nous c’est juste un jeu, pas une réalité permanente. Pierre comprend parfaitement, il sera l’instrument, le catalyseur de notre plaisir ; il est impatient, dit-il, complimentant mon épouse sur sa beauté et son charme.
Ça y est, le jour J, l’anniversaire de ma chérie. Cela fait une bonne semaine que je n’ai pas eu le droit de lui faire l’amour, juste des caresses ; plus d’orgasme pour moi. Je te garde pour l’anniversaire dit-elle à chaque fois, je ne comprends pas, c’est Pierre qui est censé la baiser.
Je prépare le petit déjeuner, je lui apporte un magnifique bouquet d’anniversaire ainsi qu’une jolie paire de boucles d’oreilles dont elle avait envie. Elle se jette à mon cou, m’embrasse tendrement et plonge son regard tout au fond de mes yeux comme elle sait si bien le faire.
« Ne crois surtout pas que cela va m’attendrir, j’ai envie d’être une vraie salope aujourd’hui, c’est ma journée. Allez maintenant on joue ! »- oui maîtresse, tout ce que vous voudrez, je lui réponds.
C’est le code entre nous, quand elle demande si on joue et que je réponds oui maîtresse elle devient instantanément ma dominatrice et moi son soumis docile.
- va te doucher, puis tu prépares le lit, installe tout; j’ai une surprise pour toi. Pierre arrive à dix heures, je vais me faire belle pour lui, allez dégage !
- bien maîtresse.
La partie est bien lancée, je pars me doucher, je bande dur, j’ai vachement envie de me branler un coup mais je ne veux rien gâcher, je me retiens. Dans notre chambre je fixe des chaînettes aux montants du lit, je prépare les accessoires dans la pièce attenante que nous avons un peu aménagée pour nos activités particulières. Pierre n’en sait rien, ce sera sa surprise à lui. Puis je redescends, à poil.
Maîtresse est prête, elle m’attend au salon. Elle est belle dans sa petite robe bleue que j’affectionne particulièrement, elle le sait, elle l’a mise pour cela, je parie. Elle me fixe des bracelets aux chevilles et aux poignets, elle a prévu de m’attacher, j’aime. Puis elle me met la cagoule de soumis, yeux, bouche et nez dégagés. Un collier m’enserre la gorge, quelquefois elle y rajoute une laisse. Elle me tourne autour, me sourit, me lèche les lèvres, les tétons. Je bande terrible, elle me saisit la verge la serre très fort et m’assène quelques claques violentes sur la bite. J’encaisse.
- ah mais ça ne va pas pour ce que j’ai prévu, tâche de débander, petit cocu. J’ai fait des achats pour toi, spécialement pour cette journée.
Elle déballe deux anneaux souples, réglables. Elle m’en fixe un autour des testicules et l’autre à la base de ma queue, le tout bien serré. Mes bras sont ramenés en arrière et menottés dans mon dos. Puis elle va à la cuisine, farfouille dans le frigo et revient avec un sac plastique qu’elle me colle contre mon sexe. C’est glacé, quel choc ! je débande illico, ma queue ratatine complètement. Elle éclate de rire.
- voilà qui est mieux, je vais pouvoir t’offrir ton cadeau.
Elle se saisit d’un truc et tripote après mon sexe tout ramolli. Je comprends d’un seul coup, elle est en train de poser une cage de chasteté à ma queue, trop tard, le petit cadenas claque, elle agite la clé sous mon nez.
- prisonnière, ta petite nouille, elle restera ainsi toute la journée, fait elle en se marrant.
Je me sens terriblement humilié, mais diablement excité aussi. C’est cela le paradoxe de nos jeux, mais aussi ce qui en fait tout le sel. Une érection s’amorce, bien malgré moi, mais très vite la cage fait son effet, ma verge est comprimée contre les parois de cette prison, c’est douloureux, je suis désarmé, complètement à sa merci. Elle est contente, elle m’explique qu’elle voulait d’abord en acheter une avec des picots à l’intérieur.
Il reste une demie heure à tuer avant l’arrivée de son amant du jour. Elle s’installe sur le canapé, ouvre ses cuisses et écarte sa petite culotte.
- viens me lécher un peu en attendant, c’est à peu près tout ce que tu auras aujourd’hui.
Tant bien que mal je m’agenouille devant elle et je plonge ma tête entre ses cuisses. Elle est belle, elle sent bon. Ma bouche va cueillir sa chatte déjà toute trempée. Je la lèche doucement, amoureusement, elle ronronne de bonheur. Puis elle me repousse, se lève et va chercher encore quelque chose. Elle revient avec une laisse et un petit boîtier muni d’un fil électrique. Des broches s’emboîtent sur les anneaux qu’elle m’a fixés autour de mon sexe, j’ai peur de comprendre. Elle fixe également la laisse à ma cage de chasteté.
- on va jouer au petit électricien, rigole-t-elle.
Elle manipule quelques boutons sur le boîtier, c’est fulgurant, des décharges musclées me transpercent la queue, je crie et me tortille dans tous les sens.
- oh pardon, il fallait bien que je teste l’appareil avant l’arrivée de Pierre, me dit elle en souriant, l’air faussement apitoyée.
On sonne. Elle me plante là et va ouvrir. Elle revient tenant Pierre par la main. Il est vraiment bien foutu le bougre, jeans, veston gris bien taillé, une chemise blanche ouverte sur de larges épaules. Il tient négligemment ma femme par la taille. Il me regarde, à poil au milieu du salon, harnaché avec tous les cadeaux de maîtresse. Il sourit, un peu désarçonné quand même.
Ma femme va mette de la musique douce, les rideaux sont tirés, elle prend la laisse et le petit boîtier dans une main et va se coller contre Pierre, je suis tiré en avant. Il l’enlace, elle colle sa bouche contre la sienne et ils commencent à danser un slow langoureux, leurs corps se frottant l’un contre l’autre. Toujours tiré par ma laisse, je suis obligé de suivre. Elle lui met la main sur le sexe, à travers le pantalon, il bande bien. Moi je souffre terriblement avec ma cage, c’est atroce, elle le sait et me coule des petits regards mutins. Elle actionne discrètement la mollette du boîtier et je prends des décharges électriques dans mes couilles et ma queue. Ça augmente encore mon excitation et mon envie d’érection. Pierre lui a remonté la robe et palpe son cul à travers sa petite culotte, elle lui glisse la main dans la chemise et caresse son torse, les boutons sautent l’un après l’autre. Je danse, si on peut dire, tout à côté d’eux, motivé par les secousses électriques de ce maudit appareil. Elle me jette des petits coups d’œil rapides, contente de son jouet. Je suis excité comme une bête, exactement ce que j’aime, même si pour Pierre cela doit paraître bizarre.
Elle nous entraîne tous les deux vers le canapé, lui par la main, moi à coup de laisse sur mon sexe endolori. La robe tombe, suivie de sa petite culotte. Elle s’assied, Pierre debout devant elle. Je dois m’agenouiller à côté d’eux, elle réduit au minimum la puissance de l’appareil mais les secousses sont toujours là, lancinantes ; ça me rend dingue.
- regarde bien mon cocu chéri, la belle queue que je vais sucer devant toi.
Elle dégrafe la ceinture, descend le pantalon et agrippe la verge de Pierre. Celle ci est effectivement de belle taille, un joli gland rose bien gonflé; elle me regarde et commence à le masturber doucement, l’autre gémit de plaisir. Elle me sourit, je grogne de rage, elle est heureuse la coquine. Puis elle le prend en bouche, profondément, se retire doucement et recommence sans arrêt, elle accélère imperceptiblement, ses yeux magnifiques plongés dans les miens. Notre ami Pierre est aux anges, je le comprends, je connais bien ses talents de suceuse. Pierre est maintenant complètement à poil et se fait pomper le dard, debout devant maîtresse. Elle m’attire encore plus près, j’ai mon visage collé contre le sien, à dix centimètres de la bite. Pierre souffle comme un bœuf sous la fellation adroite de ma reine. Elle le lâche et m’embrasse furieusement, sa langue se promène dans ma bouche. Elle me regarde, me sourit encore et me souffle :- va me lécher la chatte.
Je descends vers son minou, elle pose un pied sur la canapé, l’autre au sol, elle recommence à bien pomper son amant ; je suis fou de désir et de frustration, heureux d’avoir la permission de lécher maîtresse. Je lui bouffe fébrilement la chatte, elle n’arrête pas de couler, je bois sa mouille, avidement, maladroitement. Des chocs électriques puissants sur mon sexe me rappellent à l’ordre, je m’applique à lui procurer un maximum de belles sensations. Elle lâche la queue et me presse la tête des deux mains contre son puits d’amour. Un tremblement de son bassin m’annonce un orgasme fulgurant, rapide, puissant. Elle me repousse tout de suite après, se lève et se frotte contre Pierre. Je n’existe plus. Je la connais bien, elle ne pense plus qu’à baiser ce mec à présent. Je ne suis plus que son jouet.
- on continue en haut, viens mon bel étalon, lui murmure-t-elle.
Elle le prend par la queue et le tire vers l’escalier, de l’autre main elle se saisit de la laisse et du boîtier pour me tirer brutalement vers elle.
- toi le cocu, je vais t’attacher au lit, tu nous regarderas baiser, c’est tout ce que tu mérites.
Dans la chambre elle demande à Pierre de s’allonger sur le lit. Moi elle m’ordonne de me mettre à genoux au pied du lit, je dois écarter mes bras pour qu’elle puisse me fixer par les poignets aux pieds du lit. Je dois poser ma tête sur le matelas. Elle va chercher une cravache et se positionne derrière moi. Pierre est sidéré.
- je vais t’en mettre vingt sur le cul, tu comptes. Après je retourne baiser.
Et elle m’assène vingt coups de cravache sur mon cul dressé, je compte bien fort, évidemment. Les décharges électriques n’arrêtent pas, mon sexe me fait souffrir énormément. En passant elle me met une petite tape sur le dos avant de rejoindre Pierre sur le lit. Je sais que c’est une petite marque de connivence, juste entre nous ; elle adore ce jeu et elle sait parfaitement que j’apprécie le traitement qu’elle m’inflige.
Pierre se met sur le dos et elle vient s’empaler sur lui, devant mes yeux.
- regarde le cocu comme ça rentre bien ; oh c’est bon tu sais, il me pénètre bien profond.
Elle tient dans une main son petit boîtier et pendant qu’elle chevauche son mâle elle actionne sans cesse les différents boutons. Les décharges varient de durée, d’intensité au gré de ses interventions plus très contrôlées. Je deviens fou de plaisir et de douleur, de rage aussi. Elle ondule de plus en plus vite au dessus de Pierre.
- oh comme c’est bon, tu regardes bien mon cocu, il me baise fort, ça vient… ça vient, je jouis, je jouis, le reste est hurlé, elle crie son plaisir. Pierre donne de violents coups de bassin vers le haut, les orgasmes s’enchaînent chez ma maîtresse. Sur une ultime chevauchée Pierre jouit également, maîtresse chérie se couche sur lui, ils restent longtemps l’un sur l’autre, elle le caresse, il lui palpe les fesses de ses deux mains, puis elle descend, se met sur un coude et me regarde.
- alors cocu, comment tu as aimé cette première partie, tu as apprécié j’espère, dis quelque chose, putain !
- oui maîtresse, j’ai beaucoup aimé vous voir jouir.
Elle adore m’humilier, elle prend un sacré pied en me parlant ainsi. Elle se défoule vraiment là.
- pendant que Pierre récupère un peu je vais t’en remettre vingt, ou trente, qu’en penses tu, le cocu ?
- oui maîtresse, avec plaisir.
- Vingt ou trente ?
- Trente, s’il vous plaît, maîtresse.
Elle se marre, vient derrière moi. Elle a troqué la cravache contre une badine plus épaisse. Je la connais celle là, elle fait mal. Et je compte mes trente coups, les derniers sont durs, elle a mis l’appareil électrique au max, je suppose, c’est atroce. J’aimerais tellement jouir.
- tu es un bon cocu soumis, je vais te faire une confidence, j’ai convoqué deux maîtresses, elles viendront tout à l’heure s’occuper de toi. Peut être que tu auras une jolie récompense…
Tout cela a drôlement excité notre ami Pierre, il a de nouveau une érection formidable sur le lit. Ma chérie se met en 69 sur lui et ils se sucent allègrement pendant un bon moment. Elle agite sa croupe sur sa bouche et se met de petites orgasmes.
Puis ma louloute se met sur le dos.
- viens me baiser, montre moi ce que tu sais faire.
Pierre relève le défi, il se met sur elle, la pénètre bien profond et commence à la pistonner royalement. Elle couine de plaisir, il lui remonte les jambes sur ses épaules et la baise, longtemps. Des orgasmes la secouent à intervalles réguliers, il la laisse récupérer puis il la reprend de plus belle. Elle en prend pour son compte, je suis tellement heureux de la voir jouir, même si je souffre grave. Mon cul me brûle, j’ai mal aux genoux et aux épaules, mon sexe me donne continuellement l’impression d’exploser.
Ma chérie s’est mise en levrette, face tout contre moi, elle m’embrasse pendant que son amant la pistonne furieusement. Le claquement de son pubis contre ses fesses me rend dingue. Entre deux baisers elle me fait ses commentaires.
- c’est bon, je jouis fort, oh putain c’est bon ; ma petite larve, tu vois comme je prends mon pied, ça va encore être ta fête tout à l’heure.
Pierre la fait jouir à plusieurs reprises avant de se dégager. Elle se met en dessous de lui et il se finit sur ses seins. Ils s’écroulent l’un à côté de l’autre, haletants. Je connais un grand moment de solitude.
- alors cocu, quarante, je pense ?, me demande ma maîtresse au bout d’un moment, faussement naïve.
- Oui maîtresse, quarante s’il vous plaît.
Elle me passe la laisse entre les jambes et tire vers le haut.
- allez mon cocu, cambre toi bien, me fait elle.
C’est avec un petit fouet que j’encaisse mes quarante coups. Je crie de douleur, surtout pour les derniers. Pierre est assis sur le lit, il n’en perd pas une miette, le salaud.
Les deux amants sirotent une coupe, sur le lit, je suis toujours attaché, les bras écartés, à genoux.
Le téléphone de ma chérie vibre en même temps qu’on sonne à la porte.
- ce sont tes deux autres maîtresses qui sont là, à mon avis tu vas encore déguster mon pauvre petit cocu…Elle se lève, enfile sa robe de chambre et va ouvrir.
Pierre en profite pour me demander si ça va, il a l’air un peu inquiet.
- t’inquiète pas pour moi, je lui dis, et toi ça te plaît ?
- purée, si tu savais, je ne m’attendais pas à tout ça, ta nana est géniale ; tu es vraiment sûr que tout va bien pour toi.
- Oui, oui, c’est OK, tout est discuté à l’avance, je peux tout arrêter avec un simple mot de ma part. Ma chérie connaît mes limites, elle ne ferait jamais rien qui me blesse vraiment ou contre mon gré. Profites en au maximum, prends ton pied.
Des bruits de pas dans l’escalier, Pierre reprend vite sa place.
- regarde qui est là mon cocu d’amour, lance ma femme adorée.
Derrière elle arrivent Diane, ma belle sœur, et Cathy, une copine de ma femme. Toutes les deux m’ont déjà dominé à plusieurs reprises, ce sont des femmes superbes, inventives, de sacrées jouisseuses. Diane porte une mini jupe en cuir, une blouse bien échancrée, des cuissardes noires, brillantes. Cathy est moulée dans un pantalon, en cuir également, elle est seins nus, pieds nus. Elles sont super sexy, habillées salopes pour la circonstance.
- on est venues s’occuper de toi, le soumis ; content de nous voir ?
- réponds, lance ma femme en me mettant une claque sur mes fesses déjà bien rouges.
- Oui maîtresses, je suis content.
Elles vont saluer Pierre à leur manière. Diane lui roule un patin, Cathy lui agrippe le sexe et pose un baiser sur le gland. Pierre me lance un regard affolé, ma femme se marre et lui dit :- détends toi, elles ne vont pas te manger, quoique…, et elle part de son rire de gorge que j’aime tellement.
Les deux femmes viennent me caresser le dos, elles m’obligent à me mettre sur mes pieds, jambes écartées, croupe tendue, mes épaules me lancent, je suis toujours attaché, courbé vers l’avant, j’ai mal partout. Elles se mettent de part et d’autre et commencent à me fesser le cul du plat de leur main. Les coups pleuvent, mes genoux tremblent.
- reste debout cocu, sinon je te fouette, bordel.
C’est maîtresse Diane. Elle se saisit de la laisse, me la passe entre les jambes, dans la raie de mon cul et me tire brutalement vers le haut, elle va m’arracher les couilles ! Ma chérie cale Pierre dans les coussins et le suce doucement en l’invitant à regarder le spectacle. Mes tortionnaires, s’arrêtent et se déshabillent lentement. Pierre écarquille les yeux. Maîtresse m’observe tout en continuant de le sucer. J’ai droit à un de ses clins d’œil complice qui n’appartiennent qu’à nous deux.
Cathy grimpe sur le lit à quatre pattes et présente son cul à mon visage, elle le colle contre ma bouche et commence à onduler de la croupe ; je sais que je dois sucer et lécher sa chatte et son anus, tout ce qu’elle daignera me présenter. Ma chérie fait déplacer son amant de telle sorte que sa queue soit à la portée de la bouche de Cathy qui le gobe jusqu’au fond de sa gorge et continue la fellation entamée par ma femme. Pierre ferme les yeux et serre les dents pour ne pas jouir. Il est complètement dépassé par tout ce qui lui arrive, le veinard. Ma femme remonte vers lui et lui présente ses seins, il les suce avec délice.
- j’ai envie de t’attacher un peu, qu’est ce que tu en penses, lui fait-elle.
Il ouvre grand les yeux, l’air affolé, je le comprends.
- ne crains rien, tu ne subiras rien comme le cocu là-bas, on ne te fera que du bien, reprend-elle.
Complètement anéanti, il acquiesce. Ma chérie disparaît avec sa frangine dans l’autre pièce ; elles reviennent rapidement. Diane s’est mis un gode ceinture, chérie vient placer deux bracelets en cuir aux poignets de Pierre, puis elle l’attache aux chaînettes du lit, bras écartés. Cathy lui pompe toujours la bite avec application tout en frottant son cul et sa chatte contre mon visage. Elle mouille abondamment, son plaisir me coule dans la bouche, je l’aspire goulûment, enfin une petite récompense.
Diane me lubrifie bien la rondelle puis elle me pénètre doucement le trou du cul. J’y ai déjà eu droit quelquefois, elles savent que j’apprécie, bien que j’aie été réticent au début. Je me sens bien rempli, le feu commence à m’incendier le bas ventre.
- je vais bien te baiser le cul, le soumis, tu vas en prendre plein la rondelle, me fait-elle.
Et elle accentue le mouvement, je me sens défoncé par cette bite en caoutchouc, Diane a vachement envie. Elle m’agrippe par mes poignées d’amour, ça pince, elle le sait je pense. En même temps elle me tire constamment vers le haut avec la laisse. La tension sur mes testicules est terrible.
Ma chérie se met sur le visage de Pierre et lui présente sa magnifique chatte à sucer. Il s’abandonne, complètement dominé, lui aussi. Elle a de nouveau récupéré le boîtier et m’envoie des décharges électriques variées sur ma bite et mes couilles. Tout ceci me provoque une espèce d’orgasme, mon sperme commence à s’écouler de mon sexe encagé en un petit filet continu. Diane s’en aperçoit et alerte tout le monde.
- hé les filles, cocu lâche son jus, il coule le cochon, et sans notre permission.
Du coup ma chérie met son boîtier à plein tube, Diane me défonce le cul, Cathy se presse au maximum contre mon visage et accentue la fellation sur Pierre. Ma femme lui baise carrément la bouche et jouit sur son visage. Il part juste derrière et éjacule dans la gorge de Cathy. Elle crie de plaisir et me jouit sur le visage, des petits jets de mouille m’aspergent, je bois ce que je peux. Diane me procure un orgasme magnifique dans mon bas ventre avec sa bite artificielle. Elle râle de plaisir derrière moi, sa ceinture est double, un autre gode est enfoncé dans son vagin, d’où son orgasme. Les cris de plaisir s’apaisent doucement, les postures se défont lentement, ma femme détache Pierre, complètement hagard.
- alors tu as aimé ?, lui demande mon épouse.
Il s’assied, secoue la tête et lui dit tout simplement merci pour cette incroyable expérience. Ma chérie est radieuse. Pierre manifeste l’envie de prendre congé, il fait la bise aux deux autres, me lance un regard indéfinissable, ma maîtresse le raccompagne.
Cathy et Diane me détachent enfin et avec d’infinies précautions elles me mettent sur le lit. Avec des sourires aux lèvres je suis de nouveau attaché, sur le dos, bras et jambes en croix.
Ma maîtresse revient.
- je crois que sur la fin on lui a fait peur, mais c’était une bonne bite, hein le cocu, qu’est ce que tu en penses ?
- oui maîtresse, il vous a bien baisée je crois.
- Ça tu peux le dire, il m’a défoncée, le cochon. Et toi qu’est ce qu’on va encore bien pouvoir te faire. Tu veux jouir un peu, dis ?
- Oh oui, maîtresse, s’il vous plaît.
Les deux autres sont mortes de rire, elles n’arrêtent pas de me caresser, de me griffer, de me pincer un peu partout. Cathy s’amuse avec la laisse, elle me tire continuellement sur mon sexe.
- bien, puisque c’est mon anniversaire, je vais être gentille avec toi, tu as été un bon soumis courageux. On va t’enlever tout cela, à part les anneaux, et on va te faire du bien.
- Merci, merci, maîtresse.
Et là je suis éperdu de reconnaissance. Elles m’enlèvent enfin la cage, mon sexe bande sur le champ, les fils électriques sont ôtés également. Ne restent que les deux anneaux, ce qui augmente agréablement mon érection.
- je propose de lui traire la bite, comme on avait prévu, propose ma maîtresse.
Les femmes se mettent autour de moi, Cathy me triture les tétons, Diane me mordille partout, me roule des pelles, c’est bon. Ma chérie commence alors à me branler la queue, lentement, puis avec des mouvements rapides, puis de nouveau tout doucement. Elle lubrifie continuellement. C’est très déroutant. Elle est attentive à mes réactions. Le plaisir monte, je sens que cela va venir, elle me lâche, et attend, une ultime caresse sur le frein du gland, avec le bout de son index. Une coulée de sperme monte et s’écoule de mon sexe. Les filles se regardent et m’observent. Merde, pas d’orgasme, je grogne de rage, elles rigolent, ma queue reste bien bandée. Elles me laissent comme cela une bonne trentaine de secondes.
- à toi Diane, fait ma femme.
Ma belle sœur prend sa place et recommence à me traire doucement la queue. C’est super bon, ne fait pas mal comme après une éjaculation normale. Un plaisir en continu m’irradie. Elle me prodigue à peu près le même traitement que ma femme. Au moment où je vais jouir elle arrête tout, me stimule juste encore un peu pour faire monter une bonne coulée de sperme de ma bite. Le résultat est génial, c’est super bon, je ne débande toujours pas.
Cathy s’occupe de moi maintenant, elle me masturbe longtemps, quand elle sent venir elle s’arrête, me sourit, l’une ou l’autre m’embrasse et ça continue. Je suis caressé constamment par les deux autres, c’est dément je vais devenir fou de plaisir.
Je ne sais plus combien de temps ça dure, je gémis, je sanglote presque, les trois femmes prennent leur pied à me procurer un tel bonheur.
- je crois qu’il en a assez, on peut le finir. Hein mon cocu chéri, tu veux que Cathy te finisse, demande lui !
- s’il vous plaît maîtresse Cathy, finissez moi, s’il vous plaît, je vous en supplie, je l’implore.
- c’est ton mec, c’est ton anniversaire, à toi l’honneur, fait-elle à ma femmeMa chérie l’embrasse et prend le relais. Elle fixe ses yeux dans les miens, se met contre moi et me masturbe comme elle sait si bien le faire. J’ai droit à une branlette superbe, les deux autres me couvrent de câlins partout.
Mon orgasme est phénoménal, mon corps tout entier se crispe, je suis entièrement tétanisé, arqué, je ne touche plus le lit que par mes bras et mes pieds, je ne maîtrise plus rien, je jouis comme un dingue, des jets de sperme partent à la verticale pour retomber un peu n’importe où.
- ouah, s’écrie Diane.
Ma chérie rit de bonheur et continue à me vider complètement les couilles, puis elle me masse doucement ma verge pour enfin me lâcher. Elle se colle contre moi, les deux autres maîtresses s’écartent un peu.
- c’est fini mon chéri, c’est fini, tout va bien, tu es beau, même en cocu soumis, merci mille fois pour le bel anniversaire que tu m’as offert.
Elle me caresse la joue avec une infinie tendresse.
Des larmes de bonheur, d’amour, d’épuisement me montent aux yeux. Les trois femmes s’en aperçoivent, Diane vient me les essuyer et me pose un doux baiser sur les lèvres.
- tu es un mec super, me souffle-telle. Tu nous permets toujours d’avoir beaucoup de plaisir avec toi, merci.
Je suis très touché par ces paroles, incapable de réagir. Me femme revient avec un flacon de sa préparation. Les trois femmes me massent avec ce mélange d’huiles, c’est apaisant, surtout sur mon cul. Ma chérie me confie qu’elle a pris un pied d’enfer à m’humilier comme elle l’a fait, que Pierre est un super coup, elle adore sa queue. Comme d’habitude elle s’inquiète d’avoir été trop salope avec moi, comme d’habitude je la rassure et lui dis que c’est exactement ce que j’aime. J’adore ses jeux, son imagination, j’aime la voir baiser devant moi, de plus en plus. Diane et Cathy me disent qu’elles se réjouissent toujours énormément de participer à nos ébats, elles me répètent que je suis le soumis idéal, réactif, endurant et tout et tout. Du coup je recommence à bien bander, les femmes s’en aperçoivent, ma chérie me caresse la verge, m’embrasse.
- tu veux encore baiser un peu mon cœur ?
- avec plaisir- tu veux que ta belle sœur te chevauche un peu, tu pourrais nous déguster la chatte à Cathy et à moi, tu veux, tu en as envie ?
- oh oui, j’aimerais beaucoup.
Diane me prend en bouche et me suce amoureusement, c’est génial. Cathy se met sur moi, je la lèche profondément, elle ondule sur mon visage. Diane s’empale sur ma bite et me baise royalement, ma chérie m’encourage, à côté de moi, elle me caresse les tétons, elle sait que j’aime ça.
- mon chéri, laisse toi aller maintenant, c’est ton tour. Je veux que tu prennes un maximum de plaisir, on va te faire beaucoup de bien , hein les filles.
Mon après midi n’est qu’une succession de moments délicieux, d’orgasmes puissants. J’aime ma femme, j’aime ces femmes, je leur serai à jamais dévoué et soumis…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très très beau chapitre, j'adore.
Rudy
Rudy