Ma femme dominatrice m'offre à ses copines - partie 9 - elles m'emmènent en club

- Par l'auteur HDS Luc54 -
Récit érotique écrit par Luc54 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma femme dominatrice m'offre à ses copines - partie 9 - elles m'emmènent en club Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ma femme dominatrice m'offre à ses copines - partie 9 - elles m'emmènent en club
Nous avons invité notre amie Béa à déjeuner. Cela faisait un moment que nous ne l’avions pas vue et nous sommes ravis. Elle avait fait partie du trio de femmes, avec Diane ma belle sœur, auquel ma femme, ma maîtresse, m’avait offert il y de cela quelque temps maintenant. Cela a été le début d’une longue et constante progression dans nos jeux sexuels de dominante et de soumis. Nous ne savions pas à l’époque que Béa était une libertine avertie. C’est elle qui, petit à petit, nous a amenés sur ces chemins de plaisirs partagés, que nous ne soupçonnions même pas. Elle est tombée amoureuse de notre couple, nous l’aimons plus qu’une simple amie. Avec mon épouse elle adore me dominer, me soumettre et ensemble elles me font connaître des moments d’extase fabuleux. Souvent, après nos « exploits », elle dort dans notre lit et ce sont alors des parenthèses d’infinie tendresse. C’est notre choix, notre vie et nous sommes parfaitement heureux ainsi.
Ça y est, voilà notre Béa chérie. Elle nous embrasse, nous serre fort dans ses bras, on se câline tous les trois, cela nous fait du bien.
A l’apéro, elle nous demande si nous allons bien, très rapidement ma femme lui raconte notre dernier petit jeu avec Diane, sa sœur. Notre amie écoute avec attention, elle me demande si j’apprécie de me faire enculer par des femmes munies d’un gode ceinture. C’est elle qui m’avait initié de façon très douce et avec beaucoup de tact. Ma femme remet ses inquiétudes sur le tapis, elle explique à notre compagne combien elle adore baiser avec d’autres hommes devant moi, soumis. Ça commence à la déranger, cette quasi obsession, mais elle sait aussi qu’elle ne pourra plus s’en passer maintenant qu’elle y a goûté lors des deux soirées chez Béa.
- que feras-tu le jour où ton mari te dira clairement qu’il ne veut plus jouer ce jeu là, voilà la question fondamentale qu’il faut te poser. Le feras-tu dans son dos, lui mentiras-tu, lui imposeras tu ce désir que tu as au fond de toi, lui demande Béa.
- Non, bien sûr que non, je ne pourrais pas le trahir, le tromper, je l’aime beaucoup trop et je sais que ça, ça le rendrait malheureux.
- Tu sais aussi que te regarder baiser avec d’autres, se faire attacher, se faire taquiner la queue et les couilles, cravacher, fouetter, branler, l’excite énormément et lui procure un plaisir et une terrible jouissance, n’est ce pas, fait elle en me regardant et en me prenant la main.
- Je n’y peux rien, effectivement, je réponds. Je suis comblé dans mon rôle de soumis occasionnel lors de nos jeux. Ma chérie, j’adore te voir jouir, tant que ça se fait dans la complicité qui est la nôtre, tu me rends heureux, je t’aime.
Ma femme vient sur mes genoux, elle m’embrasse, me caresse. Béa nous serre dans ses bras tous les deux.
- tant que êtes honnêtes l’un avec l’autre, ce que vous faites ensemble sera bon pour vous, nous explique-t-elle. Prenez, donnez vous un maximum de plaisir, jouissez, vous avez toujours le safeword si l’un de vous ne veut plus, vous savez.
- Mais lorsque je me mets dans cet état je ne me contrôle absolument plus, je deviens une vraie salope, une chienne, un animal qui ne pense plus qu’à baiser, répond ma femme chérie.
Dire que dans la vie courante elle passe pour une jolie petite femme, timide, réservée. Elle est mignonne, potelée juste comme il faut, là où il faut. Une paire de seins magnifiques, de jolies fesses, un visage d’ange. Béa est grande, des jambes interminables, belle poitrine, des yeux en amande, gris bleus. En plus, et ça ne gâche rien, ce sont deux femmes intelligentes, avec beaucoup de finesse et d’humour. Il faut ajouter que je ne suis le soumis que lorsqu’on « joue ». Le reste du temps je suis un mari, un homme normal, avec un bon job, des responsabilités. Nos relations sont évidemment basées sur l’amour, mais également sur du respect et de l’estime mutuels.
Béa la rassure encore ; elle lui dit qu’elle a le droit de se lâcher dans ces moments bien précis, que si ça lui plaît, tant que cela nous plaît c’est bien. Elle ajoute, coquine, qu’elle sera toujours avec nous et qu’elle pourra intervenir ; elle me fait un petit clin d’œil que je connais bien et qui me ravit à chaque fois.
Nous passons à table, le repas que nous avons concocté, ma chérie et moi est très bon.
Nous recommençons à parler cul, faut croire que nous aimons ça… Béa a entendu parler d’un club de rencontres, pas trop loin de chez elle. Elle nous demande si nous sommes tentés, elle aimerait essayer, mais pas seule. Il faut dire que Béa est mariée, que son mari n’est pas libertin comme elle mais très tolérant et très amoureux. Il est souvent en déplacement, profite de la vie de son côté pendant que sa femme s’adonne au libertinage en son absence. Ils sont mariés depuis vingt ans, très heureux ensemble. Ma femme lui demande, intéressée déjà, quelle serait ma place dans cette soirée, soumis ou non. Est ce que les couples dominants-soumis sont acceptés, est ce que j’en ai envie. Pour l’instant nos coquineries se passaient toujours en privé, avec des personnes choisies, en petit groupe.
Béa promet de se renseigner, de notre côté nous allons en discuter. Nous continuons le repas, en nous racontant nos petites anecdotes, très unis, très complices. C’est délicieux.

Quelques jours plus tard, Béa nous rappelle. Elle s’est renseignée, le club accepte tous les cas de figure. Il paraît que c’est très sympa, très stylé, que le respect mutuel et l’hygiène sont les qualités principales de la maison. De notre côté nous avons beaucoup parlé, ma femme m’a proposé d’y aller en couple normal, je lui ai répondu que dans ces situations j’avais toujours été son soumis, qu’elle aimait ça plus que tout, qu’il n’y avait aucune raison de changer nos habitudes. Elle m’a rappelé ses craintes de se conduire en vrai salope, y compris avec moi, lors de la soirée là bas. Je suis prêt, lui ai je répondu, j’ai envie de voir jusqu’où nous irons, toi et moi, avec notre Béa. Les filles décident d’y aller, elles seront mes maîtresses et moi leur soumis.
Béa réserve pour samedi soir.
Ça y est, nous sommes chez notre amie pour les dernières mises au point. L’usage veut que les gens soient masqués, les filles porteront un loup et moi ma cagoule de soumis. Je porterai aussi mon collier et une laisse rallongée d’une chaînette. Ma femme veut me tenir, relié à elle durant toute la soirée, quoiqu’elle fasse.
- je veux t’avoir avec moi, tout le temps. Je veux que tu saches que je t’aime plus que tout, quoi que je dirai, quoi que je ferai. Je veux que tu sois toujours conscient que ce n’est que du jeu, que du plaisir. Je veux aussi que ce soit partagé, je veux que tu y trouves ton compte, toujours.
Deux heures de route, Béa conduit, nous sommes tous les trois un peu tendus par l’excitation de l’inconnu. Le club est situé un peu à l’écart, ça ressemble à une discothèque. L’entrée est gardée, on nous laisse passer sur présentation de nos réservations. Une hôtesse charmante nous emmène aux vestiaires, il y a tout, musique, douches, casiers avec des serviettes. Ma femme se met un petit corsage noir, une mini jupe rouge, rien d’autre hormis une paire d’escarpins rouges. Elle me regarde, les yeux embués, un peu nerveuse. Je me mets à poil, Béa porte une petite robe rouge vif, très courte, rien dessous. Puis elles viennent me préparer, collier, laisse, cagoule. Béa ne peut s’empêcher de me caresser le sexe, déjà bien bandé par l’excitation. « Petite surprise », me fait elle. Elle me met une ceinture autour de la taille, des bracelets aux poignets qu’elle fixe à la ceinture par des clips prévus à cet effet. Et elle s’empare d’une cordelette qu’elle me passe autour des testicules puis qu’elle entortille bien serrée autour de ma verge aux deux tiers, laissant libre le gland et le reste de ma queue. L’autre extrémité est attachée à la chaînette de ma laisse, à environ trente centimètres de mon cou. Elle donne la longe à ma maîtresse qui donne des petits coups dessus. Ce faisant elle tend la cordelette qui me tire sur le sexe. Elles me font le coup tout le temps mais j’aime me sentir ligoté, à leur merci. Ma femme vient m’embrasser très fort.
- à partir de maintenant je suis ta maîtresse, toi tu es mon soumis, tu vas encore être cocu ce soir; je fais ce que je veux, avec qui je veux, toi tu regardes et tu subis.
Elles mettent leur masque, elles sont désirables à souhait, de vrais appels à la baise. Nous empruntons un couloir qui débouche sur une salle tamisée, avec un bar, des poufs et des fauteuils disposés un peu partout. Quelques clients sont déjà là et observent notre entrée. Mon cœur cogne dans ma poitrine, Béa ouvre la marche, suivie par ma femme qui me tient en laisse, mes bras collés au corps, attachés à ma ceinture bien serrée. Je suis le seul soumis ce soir, on dirait. L’ambiance est feutrée. Tout le monde est masqué. Mes maîtresses se dirigent vers le bar, chacune s’assied, je suis invité à m’agenouiller entre elles, au pied des tabourets. Elles commandent une coupe, les conversations reprennent. Je perçois bientôt du mouvement dans mon dos, deux gars viennent de s’installer à côté de mes maîtresses. Ils ont, je pense, nos âges (la cinquantaine), mais les portent bien, ils sont masqués. Celui à côté de ma femme ne porte qu’un boxer en latex noir, celui à côté de Béa est en string rouge et t-shirt cuir moulant. Ils sont bien foutus, musclés, mais c’est vrai que mes maîtresses sont très jolies aussi. Ils commencent à bavarder entre eux, je ne comprends rien, mais les femmes gloussent de temps en temps. Discrètement ma femme donne des petits coups sur ma laisse pour bien m’exciter. Ma verge est bandée à l’extrême, serrée dans le fourreau de la cordelette. Mes couilles, prisonnières, gonflent.
Le gars commence à caresser le dos de ma maîtresse, elle se colle à lui, elle m’ignore complètement. Il lui pose une main sur la cuisse et commence à la passer entre ses jambes, la respiration de ma femme s’accélère. Il lui remonte son corsage, déballe ses seins et commence à les caresser, il s’attarde sur les tétons qui gonflent. Ma laisse se tend, maîtresse à fait passer la lanière à son poignet et caresse la poitrine du gars, elle écarte ses cuisses et le monsieur lui met la main à la chatte. J’entends ma chérie soupirer « oui vas y touche moi, caresse moi ». En même temps elle lui déballe la queue et effectue de langoureux aller retour avec la main qui me tient en laisse. Je suis de la partie et je ressens chaque mouvement de poignet de ma maîtresse sur la verge durcie, via ma laisse. Le gars a retroussé ce qui lui servait de jupe. Le cul de ma chérie est à l’air, les cuisses largement ouvertes elle se fait caresser la chatte sans interruption, avec son autre main il lui palpe le cul. Ils continuent de siroter leur coupe en se tripotant. Mon visage est à vingt centimètres du sexe de maîtresse, je vois tout, j’entends les discrets clapotis de son minou sous les doigts du mec, je perçois l’odeur de son sexe. Elle branle carrément le gars maintenant, mon sexe subit les contrecoups des va et vient rapides qu’elle prodigue à son futur amant. Celui ci lui a introduit l’index dans le vagin et la doigte rapidement. Il y rajoute un autre doigt. Elle prend ma tête et me fait approcher du tabouret encore plus, puis elle écarte davantage les cuisses et me pose l’une d’elle sur mon épaule de sorte que mon visage se retrouve entre ses jambes, tout près de son sexe. J’ai sous les yeux sa chatte grande ouverte, son clito bien dur et les doigts du gars qui s’agitent rapidement en elle. Elle jouit sous mes yeux, un petit jet de cyprine jaillit sur la main qui la branle pendant qu’elle arque son bassin. L’autre enlève ses doigts, déplace son siège pour venir se mettre devant elle. Elle me prend la tête et me dirige vers son sexe ; « lèche moi » m’ordonne-t-elle. Je pose ma bouche sur ses lèvres ruisselantes de mouille et commence à bien la sucer. Je promène ma langue partout, je titille son bouton puis j’enfonce le plus loin possible ma langue dans son vagin. Je m’enivre de son nectar et de ce qu’elle me fait faire. Pendant ce temps elle s’est penchée en avant et entame une fellation sur cette belle queue qu’elle vient de découvrir. Le mâle grogne de contentement. Je fais monter son plaisir sans aller au bout, je sais qu’elle aime cela, je veux aussi qu’elle puisse apprécier cette bonne bite dans sa bouche. Elle pompe avidement, je l’entends au dessus de moi.
A côté de moi le gars qui s’est mis avec Béa est à genoux et la lèche. Elle s’est avancée au bord du tabouret, cuisses ouvertes, yeux mi clos, sa coupe aux lèvres. Sa robe est remontée à la taille, ses seins sont à l’air. Avec sa main libre elle m’attrape la tête, et me pousse sur le minou de mon épouse. Ma bouche se perd dans le sexe béant, la mouille coule sans arrêt, je la déguste avec délectation. La soirée commence super, je suis bien dans mon rôle de soumis cocu. Le gars appuie sur la tête de maîtresse et la pousse bien profond sur sa verge. Maîtresse tressaille de plaisir, j’accélère ma succion et mes coups de langue. Je sens son bassin effectuer de violentes poussées vers mon visage, elle lâche la queue qu’elle était en train de sucer pour manifester son orgasme par de petits cris stridents. A côté, Béa explose en même temps dans la bouche de son amant et le dit tout fort. Les femmes s’apaisent et se dégagent, je peux apercevoir une petite assemblée autour de nous, les gens sourient, des queues et des chattes sont visibles un peu partout autour de moi qui suis toujours à genoux. Ça se branle allègrement.
Béa se lève, prend son amant par la queue, en quête d’un endroit plus confortable. Maîtresse lui emboîte le pas, tenant également la queue de son mâle d’une main, tirant ma laisse de l’autre. Maladroitement je me relève et je les suis. Au passage on me tâte le cul ou je prends des claques sur mes fesses de soumis. Ça me plaît.
Béa a déniché une alcôve libre. La lumière est tamisée, les murs tendus de tissu noir, la plus grande partie de la pièce est occupée par un immense lit recouvert d’une espèce de cuir rouge. Sur des étagères il y a des draps de bain, des corbeilles avec des préservatifs, du gel à disposition. Maîtresse me fait signe de me coucher au milieu du lit, sur le dos. Je fais comme je peux, étant privé de l’usage de mes mains et de mes bras. Elle se colle à son gus, lui enlève son boxer et se met toute nue aussi. Béa et son mâle en font autant. Ils montent tous les quatre sur le lit, je suis couché au milieu. Béa, à genoux, suce la belle bite qu’on lui tend ; ma chérie s’assied sur mon visage et me donne sa chatte à lécher pendant qu’elle pompe son mec debout devant elle. On n’entend plus que les bruits de succion et des gémissements de plaisir. Je bois la mouille qui coule sans arrêt du sexe de maîtresse. Elle se couche à côté de moi, relève ses cuisses et se fait prendre en missionnaire en soupirant de bonheur.
Béa, dans la même position, se fait bien pilonner aussi. De temps en temps les mains des femmes se perdent sur mon corps, elles me caressent ou me pincent. Ma maîtresse chérie ne se prive pas pour donner de gros coups sur ma laisse, torturant mon sexe. Changement de position. Elles se mettent en levrette, de part et d’autre de moi. Les gars les reprennent aussi sec et les baisent tranquillement. Elles se roulent une pelle, leurs langues se fouillent au dessus de moi. Béa me regarde avec un petit sourire sadique puis elle m’agrippe les couilles pour ne plus les lâcher. Maîtresse, de l’autre côté me serre la verge, très fort, et place son pouce sur mon gland qu’elle frotte. C’est insupportable, je gémis de rage, mais aussi de plaisir. Béa m’introduit son index dans le cul. Les hommes recommencent à pilonner mes deux maîtresses, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Elles les encouragent, entre deux orgasmes, avec des mots crus. « oui, vas y, plus vite, accélère, putain baise moi plus fort, va profond, défonce moi ». Le reste du temps elles gémissent ou hurlent de plaisir. Leurs mains ne lâchent pas mon sexe et me transmettent les coups de boutoir des deux baiseurs, Béa va m’arracher les testicules. Dans un dernier râle le mâle de maîtresse jouit en elle, l’autre le suit de près. Le temps s’arrête, les gars se dégagent, embrassent les femmes et quittent la pièce. Mes maîtresses s’embrassent encore au dessus de moi puis leurs regards me scrutent, elles me tiennent toujours ma bite et mes couilles, jouent avec, me caressent ou me font mal. Je grogne.
- alors mon petit soumis cocu chéri, content du spectacle ? me questionne maîtresse.
Béa éclate de rire, elle adore se moquer de moi lors de nos jeux coquins.
- oui maîtresse, c’était génial, je réponds.
- C’est juste le début, je suis encore bien chaude, tu n’as pas fini d’en voir.
Elle ponctue ses paroles avec des caresses appuyées sur mon gland et ce qui reste de ma queue. Je tremble sous la torture infligée, Béa me masse les testicules puis leur met des petites tapes du bout des doigts. Elle s’installe sur ma bouche et m’ordonne de bien lui nettoyer la chatte. Elle est toute gonflée, juteuse, elle sent bon la baise, je me régale. Avec de petits mouvements de bassin elle se fait plaisir. Elle m’invite aussi à lécher son cul, j’introduis ma langue aussi profondément que possible, elle soupire de plaisir. Ma maîtresse chérie augmente la torture sur mon pénis, elle embouche le gland et commence à le téter ; ensuite elle s’amuse à tourner sa langue autour puis recommence à sucer. Je m’agite, je deviens fou ; Béa pèse sur moi de tout son poids, elle me pince les seins et m’enfonce les ongles. Elle m’étouffe avec son sexe, me laisse un peu d’air et se remet violemment sur moi. Elles jouent ainsi avec moi de longues minutes, en rigolant. J’ai beau me débattre, elles me tiennent bien, je suis à leur merci.
- c’est bien, pince lui les nichons- suce le bien, bouffe lui le gland, c’est ça ma chérie.
Je deviens fou sous la dextérité de ces deux femmes. Je finis par avoir une espèce d’orgasme, je sens du sperme monter dans ma queue et s’écouler dans la bouche qui me suce, mais je suis tellement bien ficelé que ça ne part pas vraiment. Maîtresse s’arrête immédiatement de pomper. Elle se relève et me gifle la verge à toute volée, Béa me frappe les couilles gonflées du bout des doigts, je crie. Elles me sabotent toujours mon premier orgasme, je sais aussi que c’est pour mieux me faire jouir ensuite. Elles rient de bon cœur et me regardent, narquoises, ça fait partie du jeu, ça les amuse vraiment, elles savent que ça m’excite énormément.
Ce n’est que maintenant que je remarque que nous avions des spectateurs, deux couples au pied du lit, plus jeunes, qui ont tout maté et à qui cela a plu. Béa va les voir et leur demande s’ils veulent participer. Les quatre grimpent sur la couche, ils doivent avoir la trentaine environ. Les gars sont mignons, bien bâtis, leurs sexes bien durs. Il y a une blonde, potelée avec des seins lourds, des tétons énormes. L’autre est une brune aux cheveux courts, sportive, des petits seins bien dressés. Béa me désigne : « voilà notre soumis, c’est le cocu de ma copine, il est juste là pour notre plaisir, mesdames si vous avez envie… nous on aimerait s’occuper de vos messieurs. » Voilà, c’est dit. Les quatre se regardent deux secondes et sont partants. Les hommes embrassent leurs compagnes et vont vers Béa et ma femme. Ils se mettent debout et mes maîtresses, à genoux, se mettent à bien les sucer. Les femmes se rapprochent de moi et commencent à me caresser, indécises. Maîtresse interrompt sa fellation et vient vers nous. Elle me pince les tétons, les tourne, puis elle me gifle la queue, les testicules, elle me tourne sur le côté et me met des grosses claques sur le cul. « voilà ce qu’il aime, ne vous gênez pas » fait elle, en rigolant, aux deux jeunes femmes. Puis elle retourne pomper le mec. Les deux jeunes femmes ont compris, elles me font rouler sur le ventre, la blonde s’assied sur mon dos et commence à m’administrer une fessée méthodique du plat de la main. L’autre me gifle l’arrière des cuisses. Je pousse des cris de douleur, Béa et ma chérie m’adressent leur sourire coquin. Elles sont à quatre pattes, côtes à côtes, les garçons sont en train de les enfiler copieusement. Ils baisent avec toute la fougue de leur jeunesse. Ils alternent les mouvements lents et lascifs avec des coups de queue rapides, violents. Mes deux maîtresses se tapent des orgasmes à répétitions, elles se roulent des pelles voluptueuses en regardant les jeunes femmes m’administrer la fessée du siècle. Mon cul est brûlant. Elles me remettent sur le dos. La blonde s’allonge sur moi et me donne ses gros seins, je suce avec délice ces tétons durs, gonflés de désir. L’autre me pompe avidement le bout de la verge, je sens bien qu’elle est frustrée, la cordelette l’énerve. Elle me fourre l’index et le majeur dans le cul et me doigte énergiquement. La blonde vient sur moi et me présente sa chatte, elle me la colle sur la bouche et je lèche consciencieusement ses lèvres roses, ouvertes sur un vagin bouillonnant de mouille. Très vite elle se met à onduler sur moi, elle me baise la bouche, jouissant plusieurs fois de suite, des petits orgasmes rapprochés, violents. Puis c’est l’autre jeune femme qui se met sur moi et me donne sa chatte à bouffer, je meurs de plaisir et d’excitation. Je vois mes maîtresses au dessus des jeunes mâles, en 69 bien réglé. Des cris de plaisir fusent à intervalles réguliers. Les femmes me laissent enfin et regardent du côté des baiseurs. Ma femme est à cheval sur son mâle, son pieu enfoncé bien profond dans sa chatte. Il a passé ses bras autour de son dos et la maintient contre lui. Son « collègue » se place derrière, Béa enduit copieusement le petit trou de ma chérie avec du gel lubrifiant, puis elle prend le sexe dur et le guide vers le cul de ma femme. Purée, elle va se payer sa première double pénétration. Le dard rentre doucement, Béa guide le gars pour qui c’est une première aussi, je pense. Je vois la bite gonflée entrer doucement dans le cul de ma chérie. Elle pousse des gémissements ininterrompus, ce n’est pas la douleur, oh non. Le gars est au fond et commence à bouger. Il appuie ses mains sur les fesses de maîtresse et la pousse bien vers son copain couché en dessous. D’abord maladroits les deux synchronisent très vite leurs coups de reins dans la femelle offerte. Béa tourne ses jolis yeux vers moi et me sourit, je suis comblé, les deux jeunes femmes me caressent nerveusement, bien excitées par le spectacle de leurs mâles baisant cette femme mûre et combien aguichante. Ma maîtresse atteint un orgasme fulgurant, elle pousse des cris stridents, articule des mots incompréhensibles. Elle jouit sans arrêt, les gars la baisent profond, ils sont endurants, ça dure longtemps. Béa vient s’allonger contre moi, met sa tête contre la mienne, les jeunes nanas vont voir de plus près les exploits de leurs mecs.
- regarde le plaisir qu’elle prend, que tu lui permets d’avoir. Elle sait que tu la regardes, elle prend un pied d’enfer. Tu es le plus formidable des cocus soumis.
- Merci maîtresse Béa.
J’ai droit à un baiser torride de sa part, puis elle me fait de nouveau regarder. Elle met du gel lubrifiant dans sa main et caresse mon sexe et mon gland, doucement, amoureusement. Elle masturbe le bout libre de ma queue pendant que je regarde ma chérie se faire défoncer par les deux trous. Les gars la pistonnent impitoyablement, changent de rythme pour mieux l’amener d’un orgasme au suivant. C’est tout simplement magnifique. Ça fait longtemps qu’elle a lâché ma laisse. Les jeunes femmes se masturbent sans arrêt en matant. Béa me serre fort contre son corps et accentue sa masturbation.
- viens maintenant, jouis comme ça, tu verras ça sera super bon, laisse toi aller.
Elle accélère sa caresse, serre plus fort, je suis au bord de l’orgasme et elle me maintient ainsi. Le gars au dessus donne d’ultimes coups de reins dans le cul de maîtresse et jouit dans un râle. Il se retire et se réfugie dans les bras de sa blonde. Maîtresse termine l’autre par une chevauchée d’anthologie. Elle baise le gars comme il ne l’a jamais été, je crois. Il hurle quasiment son orgasme. Maîtresse s’écroule sur lui. Béa accélère encore et me chuchote amoureusement : « donne toi maintenant, cocu chéri, tu as le droit de bien jouir, tu l’as mérité, donne moi ton jus ». Ces paroles me déclenchent un orgasme puissant, désespéré, des jets de sperme tachent le lit, je tremble de tout mon corps, elle continue encore un peu, je sanglote de bonheur.
- psst, psst, me fait Béa à l’oreille, c’est bien, c’est bon, c’est fini, tout va bien.
Elle me caresse partout, ça m’apaise instantanément, je suis vidé (sans jeu de mot). Les mecs ont abandonné ma femme et se font cajoler par leurs compagnes respectives. Avec des bisous à distance les deux couples s’en vont. Ma femme vient vers nous et se couche contre moi, Béa aussi se colle à nous, elle nous entoure de ses bras, colle ses longues jambes sur nos deux corps. Ma femme reprend doucement ses esprits, regarde Béa puis vrille ses yeux aux miens.
- merci mon chéri, tout simplement merci, pardon pour ce que je te fais, c’est plus fort que moi, c’est tellement bon, je suis une salope.
Je crois qu’elle va se mettre à pleurer. Béa la regarde et l’embrasse tendrement.
- j’accepte tes remerciements, mais je n’ai rien à te pardonner. J’ai joui de façon exceptionnelle, j’ai vécu ce soir des moments intenses. Je suis un soumis, tu es une domina jouisseuse, ce sont nos natures profondes et nous avons la chance, grâce notamment à notre toute belle Béa de vivre ce que nous sommes. Tout va bien ma belle, tu n’es coupable de rien.
- vous êtes beaux dans ce que vous êtes, je suis tellement heureuse de vous avoir rencontrés, ajoute Béa.
Nous restons là un long moment, enlacés tous les trois. C’est bon.
Au bout d’un moment je fais à mes deux maîtresses :- bon, qu’est ce qu’on fait, on rentre ou on joue encore un peu.
J’ai repris du poil de la bête, mon sexe durcit de nouveau, malgré son emballage. Les femmes rigolent et me chatouillent partout, c’est bon, que c’est bon. Elles proposent de mettre un terme à mon statut de soumis et de finir la soirée en échangistes classiques. Je ne l’entends pas ainsi, mon rôle de soumis me convient parfaitement, j’ai encore envie de me faire malmener un peu, leur dis je. Elles sont sciées et m’embrassent, puis Béa me pince les fesses, ma femme me met une bonne fessée, elles me sourient tout en me rougissant le cul. Elles sont magnifiques.
Béa propose de dénicher une alcôve ou une salle un peu plus grande. Elle veut m’attacher et m’offrir à la lubricité des femmes du club. Elle même et ma maîtresse se paieront des parties de baise, devant moi, le reste de la soirée.
- Puisque c’est ça que tu veux, je vais encore faire un peu la cochonne, mon pauvre cocu soumis, rigole ma maîtresse en m’embrassant.
Le jeu a bien repris. Je suis heureux.

Nous retournons au bar, les femmes ont remis leurs petites tenues bandantes. Maîtresse me tire derrière elle, avec la laisse, mes bras toujours attachés à ma ceinture. Des sourires nous accueillent, je pense que certains ont assisté aux ébats, à défaut de participer. Dans un coin sont installés les deux hommes qui ont baisé mes maîtresses en début de soirée. Ils sont accompagnés de deux jolies femmes, mûres, leurs compagnes je suppose. Elles sont quasi à poil, à part quelques voiles vaporeux qui ne cachent rien de leurs corps voluptueux. Elles respirent la sensualité, tout comme maîtresse et Béa. Celle ci s’enquiert chez le barman d’un endroit adéquat à nos projets. Au sous sol se trouve un donjon bien équipé, paraît-il. Nous faisons le tour de quelques tables pour chercher des volontaires. Elles commencent par la table du coin.
- voilà, nous descendons au donjon avec notre esclave. Il sera disponible pour les femmes uniquement, les hommes pourront s’amuser avec nous deux. A tout à l’heure, si ça vous tente.
Nous faisons ainsi le tour de plusieurs tables, une femme me prend la queue et me tire dessus, elle me gifle les couilles, je me recule mais maîtresse tire fort sur la laisse. La dame recommence en riant, maîtresse s’amuse bien aussi. L’un des hommes lui met la main au cul, elle glousse. « à tout de suite, peut être », minaude-t-elle.
Nous descendons ; la pièce est deux à trois fois plus grande que celle où nous étions avant. Le même grand lit, mais plein d’équipements supplémentaires : des anneaux, des fouets, des martinets, des cravaches au mur, de quoi attacher l’esclave. Un banc rembourré, un chevalet viennent compléter l’installation. La lumière est tamisée. Béa et maîtresse sont ravies.
- ça va être super bon, mon cocu chéri, me dit ma femme, ma maîtresse.
Avec l’aide de Béa elle m’attache au centre de la pièce avec deux petites chaînes fixées au sol qu’elles relient à ma ceinture. Béa suggère de me libérer un peu mon sexe. Elle défait la cordelette jusqu’à la base de ma queue, mes couilles restent ligaturées. L’autre bout de la cordelette passe entre mes jambes, est tiré vers l’arrière et attachée à un petit anneau fixé dans le sol. Je suis là, debout, avec très peu de possibilité de mouvements. Je bande à mort. Les femmes vont s’installer sur le lit, elles me regardent, sourient, se passent leurs petites langues sur les lèvres. Elles écartent leurs jambes pour me montrer leurs chattes qui seront offertes à d’autres. Des bruits dans l’escalier, les premiers participants arrivent. Ce sont les deux mecs du début de soirée, accompagnés des deux femmes. Sans un mot ils pénètrent dans le donjon, les femmes amènent leurs mecs au bord du lit où ils vont s’asseoir. Béa et maîtresse discutent un petit peu avec eux, à voix basse. Les deux femmes s’approchent de moi, un sourire moqueur aux lèvres. Mes deux maîtresses me font un petit coucou puis déballent les queues des messieurs assis avec elles au bord du lit. Elles caressent les membres bien bandés, écartent leurs jambes. C’est une belle invitation pour les mecs qui leurs lutinent immédiatement la chatte. Les deux femmes sont à côté de moi et me jaugent, je sens que ça ne rigole pas, elles ont envie de bien m’entreprendre. L’une des femmes se plante devant moi et me pince les tétons, fort ; puis elle les fait rouler entre ses doigts. Je gémis, je me tortille dans tous les sens. Un coup de cravache de l’autre maîtresse, sur les fesses, me surprend.
- reste tranquille, petite lopette, esclave de merde, gronde la première.
Les coups de cravache pleuvent sur mon cul, le pinçage de mes tétons reprend de plus belle, je reste debout. J’aperçois maîtresse et Béa qui continuent de branler doucement les deux hommes qui leur frottent la chatte avec leurs doigts. Les quatre sont partis pour mater le spectacle. Les deux femmes me font bien souffrir, elles échangent leurs places et c’est reparti. Mon cul est en feu, mes tétons sont gonflés de douleur. Mais c’est ce que je voulais et un certain plaisir commence à me gagner. Elles passent à la suite ; elles vont prendre chacune un fouet, se mettent de chaque côté de moi. Leurs mecs se sont un peu reculés sur le lit, bien calés entre quelques coussins ils s’apprêtent à apprécier le spectacle à venir. Béa et ma chérie les sucent doucement, leurs têtes en appui sur les ventres des mâles, le regard bien dirigé sur moi. Mon excitation est à son comble. Le premier coup de fouet m’arrache un gémissement sourd. Les deux femmes ont une bonne cadence, elles commencent doucement puis accélèrent jusqu’à ce que tout mon corps devienne brûlant et elles s’arrêtent. Elles viennent alors me caresser partout et terminent par des pincements violents. Elles regardent sans cesse vers le lit. La fellation va bon train, lente et calculée, les gars soufflent de plaisir, leurs compagnes leur sourient puis la séance reprend. C’est atroce mais c’est génialement bon. Les coups sont calculés, je n’ai pas affaire à des débutantes. Je sais que Béa et maîtresse surveillent tout, elles connaissent mes limites et ne laisseront jamais la douleur prendre le pas sur mon plaisir. Sur le lit les positions ont changé, les mecs lèchent mes deux déesses qui ont pris leurs place. Le jeu dure longtemps, je suis amené à chaque série de coups un peu plus loin dans la jouissance-douleur. Elles reposent enfin les fouets, l’une des deux prend ma verge en main et m’administre une masturbation rapide, violente, mais courte. Elle passe le relais à sa copine, pareil.
- reste debout, m’ordonne-t-elle.
C’est vrai que je commence à flancher. Ma chérie m’observe en tressautant sous le léchage bienfaisant de son amant. Béa est en train de partir, elle prend son mâle par les cheveux et lui frotte sa chatte contre le visage, elle est belle dans son plaisir. La masturbation reprend, administrée à tour de rôle par chacune des femmes ; c’est violent, j’arque mon bassin sous les coups de poignets, elles continuent, inlassablement mais sans jamais m’amener à l’orgasme.
Les deux tortionnaires se munissent d’une petite cravache et me cinglent la bite, des petits coups rapides, espacés de petits moments de récupération. Ma queue devient chaude. Elles frappent juste assez fort pour me faire mal, un peu, sans que cela devienne une réelle douleur. Je pense qu’elles ont vraiment une bonne expérience de ces jeux un peu spéciaux.
Elles me libèrent enfin et m’ordonnent de me mettre sur le banc, couché sur le dos. Mes pieds reposent par terre, on m’attache avec deux ceintures de cuir, autour de la poitrine et des cuisses. Les femmes choisissent chacune un martinet et me frappent sur la poitrine, le ventre et les cuisses. Des coups bien appuyés viennent aussi se perdre sur mon sexe. Elles font des pause pendant lesquelles je suis branlé, sucé, sans aucune douceur. Elles sont les maîtresses et moi le soumis.
Sur le lit ça baise allègrement, Béa est couchée sur le côté, une jambe relevée et se fait bien pistonner. Maîtresse est sur le gars et le chevauche. Toutes les deux ne perdent pas une miette de ce qu’on me fait. Je sais que d’une certaine façon, elles sont avec moi, je les adore.
L’une des femmes vient s’asseoir sur mon visage, lourdement. Sa chatte sent bon, elle se trémousse pour bien s’ouvrir sur moi ; je la lèche du mieux que je peux, elle remue doucement. Je sens qu’on me met une capote et une douce chaleur vient englober mon sexe. L’autre me baise, lentement d’abord puis assez sauvagement. Les deux remuent sans ménagement sur moi, je suis ravalé au rang de vulgaire sex toy. Elles échangent plusieurs fois les places et prennent beaucoup de plaisir avec moi, elles me traitent comme un objet. Pour finir l’une après l’autre elles jouissent super fort dans ma bouche. Elles m’ordonnent de tout avaler, de bien les nettoyer avec ma langue.
Mes chéries se sont mises en levrette et se font prendre par les hommes, bien en forme ; ils échangent leurs places et reprennent. Maîtresse et Béa jouissent bruyamment. Les mecs déchargent bien aussi.
Les deux femmes décident enfin de me faire juter.
- on va te finir maintenant, lopette, me dit l’une d’elle.
Elles se mettent de part et d’autre et commencent à me branler, l’une après l’autre. Doucement d’abord, puis de plus en plus vite jusqu’au bord de l’orgasme et elles s’arrêtent ; c’est l’autre qui prend le relais. Ma queue va éclater. Les quatre sur le lit observent la scène, sans un mot. On n’entend que le frottement des doigts sur ma bite. Le traitement est sans pitié, je jette des regards affolés à ma maîtresse, elle me sourit et fait semblant de ne pas se rendre compte de ce que je subis. Je me fais branler longtemps, la délivrance vient enfin, brutalement. Le plaisir jaillit de ma verge tendue à l’extrême. Les jets de sperme montent haut, je ne m’en serais jamais cru capable encore ce soir. La salope continue encore et encore de me masturber. J’implore sa pitié, elle s’arrête mais sa copine me reprend et m’administre encore quelques aller retour vigoureux. Je hurle, elles rigolent, se foutent de moi.
Puis les quatre s’en vont, sans un regard pour l’esclave que je suis.
Béa et maîtresse viennent me voir, elles me détachent avec beaucoup de douceur. Maîtresse me prend dans ses bras et me caresse, Béa s’assied à côté de nous, elle me met des petits coups de langue partout. Je suis vraiment épuisé. Je tremble.
Maîtresse me fixe avec ce regard éperdu d’amour que je connais bien, elle se tourne vers Béa, puis de nouveau vers moi et, pour la première fois, prononce le safeword, ce mot magique, convenu entre nous, qui arrête tout. Elle me serre tout contre elle et me berce doucement.
« C’est fini pour ce soir, mon chéri, on s’arrête, je t’aime mon amour ».
Béa lui prend la main, je ne proteste pas, je suis complètement out, les filles aussi je crois. Ce soir nous sommes allés très loin, il me semble.
Nous quittons rapidement le donjon avant que d’autres s’amènent, tant pis ! les femmes me libèrent enfin les bras et mon sexe endolori. Mon corps entier est brûlant des coups reçus mais aussi de toute cette tension libérée.
Sans un mot nous nous dirigeons vers les vestiaires et nous prenons une bonne douche, tous les trois ensemble. Nous nous savonnons mutuellement, des sourires de complicité partagée nous éclairent le regard. Le gérant vient nous voir pour nous demander si tout va bien, nous le rassurons, ça marche pour nous.
Quelle bonne soirée, je ne regrette absolument rien.
Nous quittons le club, il est tard. Sur le retour nous n’échangeons que des banalités. Pour la première fois personne n’entame cette espèce de débriefing que nous faisons instinctivement après chaque « partouze ». En gros, on parle toujours cul.
Arrivés chez Béa, elle nous regarde longuement et finit par nous demander de passer la nuit chez elle.
- Restez dormir avec moi, tous les deux, ça nous ferait du bien je crois.
Nous l’avons déjà fait une fois et c’était super bon.
En très peu de temps nous nous retrouvons tous les trois dans le grand lit douillet de notre belle amie. Les femmes m’installent au milieu, plus question de soumis, de dominante, juste un bien être général qui émane de notre trio. Nous sommes fourbus, mais personne ne veut dormir. Ma chérie, comme souvent, prend la parole en premier.
- mon chéri, tu es formidable, tu as été magnifique ce soir, et moi encore une fois une belle salope. Mais comme tu le dis, je ne regrette rien. Quelle partie de baise ! la fin était un peu dure pour toi, je pense, mais je ne pouvais pas prévoir et tant que tu ne prononces pas ton safeword…- merci d’avoir tout arrêté, mon cœur, je crois que j’étais limite avec ces deux salopes. Je ne leur en veux pas, je précise, elles ont joué le jeu, c’est moi, c’est nous qui leur avons proposé.
- C’est vrai qu’elles ont bien profité de toi, je pense qu’elles sont relativement expérimentées dans ce domaine, elles t’ont bien chahuté, elles t’ont poussé dans tes dernières limites, rajoute Béa.
Les femmes m’expliquent à tour de rôle, ou toutes les deux ensemble, le plaisir qu’elles ont pris. Baiser avec des inconnus, dans un endroit qu’on ne connaît pas, est follement excitant me disent elles. Elles adorent chauffer les mâles, être désirées, se faire prendre comme des femelles en chaleur. Mais le centre de leur jouissance, c’est moi, affirment-elles en chœur. Me donner à d’autres, me regarder en train d’être fouetté pendant qu’elles baisent, m’exhiber comme soumis, m’avoir sous elles, sous leurs sexes pendant qu’elles sucent un autre homme les rend folles de plaisir. Bien que mariée et heureuse avec son homme, Béa réaffirme son statut de libertine dominante et l’amour qu’elle a pour notre entité couple. C’est quelque chose d’autre, dit-elle, que l’amour homme femme. Elle s’en fout des préjugés. Mais elle ne voudrait surtout pas nous envahir avec ce drôle de sentiment qu’elle a pour nous, ajoute-t-elle. Je me tourne vers ma femme, l’embrasse tendrement, et je regarde Béa.
- ce que tu m’as fait ce soir, ce que tu m’as dit, la façon dont tu m’as fait jouir tout contre toi, je ne l’oublierai jamais. Tu comptes beaucoup pour nous, on t’aime.
Ma femme, libérée et apaisée, nous raconte que se faire enfiler des deux côtés est absolument génial. Les deux jeunes étaient à la hauteur affirme Béa. Elle me demande si j’ai beaucoup souffert sur la fin, avec les deux salopes. Je la rassure, c’était très fort mais jouable. En plus j’étais demandeur. C’était une bonne expérience. Mon rôle me convient, ce que je subis est conforme à mes attentes, je suis heureux de vivre mes fantasmes les plus inavouables, je rajoute en riant. Je suis pelotonné entre mes deux jolies maîtresses femmes, elles se calent dans mes bras et se frottent à moi.
- j’aimerais qu’on fasse l’amour, là, tous les trois ensemble, tout en douceur, dit ma chérie en caressant son amie et en déposant un baiser d’une infinie tendresse sur mes lèvres.

Béa me sourit, ma femme m’attire contre elle, je l’embrasse. La main de Béa nous câline à tour de rôle. Elle prend mon sexe et me caresse, rien à voir avec ce qu’elle me fait subir quand on joue. C’est doux, efficace ; je bande dur, je pensais ne plus y arriver ce soir. Elle me sourit. Ma chérie se met sur le dos et m’ouvre ses jambes.
« viens », me souffle-t-elle.
Je me mets sur elle et la pénètre doucement, elle gémit de bonheur. Je lui fais l’amour, lentement, je m’accroche à son regard. Béa me caresse le dos. Ma chérie relève ses jambes et m’encourage à la pénétrer plus profond. Je me mets à genoux et je pose mes mains sur ses cuisses, j’accélère, elle ferme les yeux et murmure :« je t’aime, je t’appartiens, tu es mon mec à moi ».
Béa la regarde, ma chérie l’attire à elle, l’enlace et leurs lèvres se trouvent avec passion. Elles sont belles. Béa trouve le petit bouton d’amour de ma tendre et l’agace avec dextérité. Je continue mes aller retour en elle, sans forcer, le plus tendrement possible. Ce sont de magnifiques cadeaux que nous nous faisons, l’un à l’autre. C’est rapide, je sens un bouillonnement dans son vagin et tout se contracte soudainement. Ma queue est emprisonnée, serrée, un orgasme formidable envahit celle que j’aime le plus au monde. Elle gigote sous mon bassin, pousse des cris de bonheur. Béa lui prend la tête entre ses mains et rit avec elle de bonheur partagé. L’orgasme se prolonge indéfiniment, ma petite femme me regarde, regarde Béa, les yeux chavirés de plaisir, elle râle, crie son bonheur puis retombe enfin, comblée. Je reste en elle, j’ai peur de rompre le charme.
Elle m’attire vers elle, m’embrasse longuement, inutile de parler, il n’y a pas de mots pour expliquer ce que nous ressentons à cet instant. Béa est à côté de nous et nous observe, rayonnante.
« va faire l’amour à Béa, tu veux bien ma chérie ? », dit ma petite femme. Béa l’embrasse, se met sur le dos et me tend ses bras. Je suis éperdu de reconnaissance. Je quitte ma belle et je viens sur mon amie. Elle me prend en elle, me serre à m’étouffer et m’encercle le bassin et le dos de ses longues jambes. Elle est chaude, accueillante. Quelle classe, ces deux femmes. Je commence à aller et venir en elle, pas longtemps, elle soupire, se contracte puis tremble de tout son corps. Des jets de mouille s’échappent de son vagin, je me retire, surpris, pensant avoir mal fait. Elle continue de trembler, un deuxième jet part sur moi ; elle a les yeux fermés, ma chérie l’enlace et la couvre de baisers. Enfin elle retombe, me prend la main, me sourit.
- ça va, t’inquiète pas, c’était super bon.
Nous restons couchés sans dire un mot.
Ce soir on a bien baisé, là on vient de se faire l’amour, dit ma petite femme adorée, contente de sa réflexion. Nous rions encore, les femmes s’aperçoivent que je bande toujours. Elles se font un petit clin d’œil, se collent à moi et glissent vers mon bas ventre. Je me laisse aller. J’ai droit à des caresses et à une fellation hors norme, de l’une puis de l’autre. Elles sont douces, attentives à mes moindres réactions. Le plaisir monte en moi, chaud, c’est bon. Elles arrondissent leurs lèvres autour de mon gland en une espèce de baiser et boivent mon jus, ce qu’il en reste en tous cas, en grognant de contentement. Je crois même qu’elles en rajoutent un peu. Elles remontent vers moi et m’entourent de leurs jolis bras, j’ai droit à des câlins partout.
La fin de la nuit est magique, nous la passons sur une autre planète, mais cela reste une autre histoire.
Tard dans la matinée nous quittons Béa en nous promettant de nous revoir très vite.


Dans la voiture, nous revenons sur ce que nous venons de vivre, cette partie fine, un peu SM, avec des inconnus. Ma chérie me dit qu’après réflexion elle trouve un peu risqué de se lancer ainsi. Béa et elle y ont certes trouvé leur compte, ajoute-t-elle, mais elles se sont un peu inquiétées pour moi, sur la fin. Ces deux dominatrices n’y sont pas allées de main morte. C’était dur, mais finalement j’ai survécu, je lui dis, en riant. Elle devient sérieuse.
- je ne voudrais surtout pas qu’il t’arrive quelque chose, je ne me le pardonnerais pas. En tant que dominante, je me sens responsable de toi.
Nous promettons de bien réfléchir avant de retenter une telle aventure. Elle préfère « jouer » entre nous, avec des personnes que nous connaissons, finit-elle par m’avouer. Elle va en rediscuter avec notre belle camarade de jeu, Béa.

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