Ma femme dominatrice m'offre à ses copines - partie 4 - livré aux invitées de Béa la libertine

- Par l'auteur HDS Luc54 -
Récit érotique écrit par Luc54 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma femme dominatrice m'offre à ses copines - partie 4 - livré aux invitées de Béa la libertine Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ma femme dominatrice m'offre à ses copines - partie 4 - livré aux invitées de Béa la libertine
Quelques jours plus tard, après une de nos séances dominante-soumis, ma femme me demande mon avis sur la proposition de Béa. Je lui réponds que ça m'excite pas mal mais que je ne voudrais pas y aller sans elle, elle me gratifie d'un grand sourire amoureux et me dit que c'est son avis aussi. Elle aimerait assister d'une façon ou d'une autre à la soirée, en voyeuse un peu perverse (c'est elle qui le dit). Elle va y réfléchir, se mettre en rapport avec Béa et elle me promet de me faire la surprise. Je n'en saurai pas plus mais comme d'habitude je sais que je peux lui faire confiance.

Ce matin, au petit déjeuner, elle m'annonce que c'est pour ce soir.
- tu sais, la soirée entre filles, chez Béa, c'est pour aujourd'hui. Nous irons un peu plus tôt, pour te préparer. Ça t'excite, je pense.

Et comment ! La journée ne passe pas assez vite, vers 20h nous nous présentons chez Béa. C'est grand, assez luxueux, une superbe maison.

Après les salutation classiques ma femme dit :- allez, maintenant on joue.
- Oui maîtresse.
Le jeu commence, je deviens immédiatement le soumis de ces dames, comme j'aime.
Elles m'emmènent dans une pièce, vers l'arrière de la maison. Les murs sont tendus de tissu sombre, les fenêtres occultées. Au centre de la pièce se trouve une espèce de brancard sur pieds, bas, étroit, semblable à ce qui se trouve chez les médecins.

- Déshabille toi, va doucher et couche toi, c'est là dessus que tu passeras ta soirée (Béa), avec ta femme on prépare le reste.

Lorsque je reviens il y a un fauteuil dans un coin de la pièce, ma femme a revêtu une combinaison moulante en cuir noir, des escarpins rouges, elle porte un masque vénitien, très beau, une cape foncée avec une ample capuche qui lui recouvre la tête et entoure son corps. Personne ne la reconnaîtra. Elle m'ordonne de mettre le boxer qu'elles m'ont préparé. Mes fesses sont nues, sur le devant une ouverture permet de me dégager le sexe et les testicules, je dois moi aussi mettre une cagoule de soumis en latex. Ma bouche, mon nez et mes yeux sont dégagés.
Puis Béa m'ordonne de m'allonger sur la banquette. Elles m'attachent les chevilles aux pieds de la couchette, mes bras pendent de chaque côté, mes poignets sont menottés par en dessous, une lanière épaisse me fixe aussi sur cette espèce de brancard, au niveau de la poitrine.
- te voilà presque prêt, me dit Béa, on te mettra encore un cockring tout à l'heure, comme ça tu banderas bien toute la soirée pour mes invitées. Ta femme restera ici, masquée, en observatrice dans ce fauteuil. Mes invitées ont toutes reçu un petit « mode d'emploi », avec ce qu'elles peuvent te faire, ce qui est interdit. Ta femme veillera sur toi. On va te mettre le cockring maintenant, mes invitées vont arriver.

Elle va chercher le gadget, en fait c'est un triple. Aidée par ma femme elles me fixent le truc. Le premier anneau va enserrer les couilles et la verge, le deuxième anneau vient se mettre au bas de la queue, le troisième anneau sert à serrer les testicules. C'est un peu douloureux à mettre en place, je crois aussi qu'elles en profitent un peu. Mon érection est magnifique, le sexe dressé vers le ciel, les testicules gonflées par ces anneaux.

- te voilà paré pour la fête, me dit ma femme- voilà encore quelques outils pour te chauffer.

Béa dispose sur une petite table deux cravaches, quelques martinet, deux badines souples et trois petits fouets.

- je vous laisse, passez une bonne soirée tous les deux.

Les invitées arrivent, je le perçois aux bruits de voix, des déplacements, des rires. Ma femme a pris place sur son fauteuil, la lumière de la pièce est tamisée. L'attente me semble longue, je m'ankylose doucement, j'essaie de bouger, j'ai quelque latitude mais je suis bien attaché tout de même.

Béa fait une petite incursion.

- elles ont fini l'apéro, selon nos conventions elles peuvent maintenant venir te voir. Pour la plupart c'est une première. A bientôt.

Encore quelques minutes et la porte s'ouvre. Une dame, grande, queue de cheval, pénètre dans la pièce. Mon cœur s'accélère, je crois aussi que mon érection augmente, je sens osciller ma queue. La femme porte une jupe stricte, noire, des bottes et un pull foncé. Rien de spécial. Elle marque un temps puis s'avance vers moi, un rapide coup d'œil vers le fauteuil. Ma femme ne bouge pas.
L'autre tourne autour de moi et commence à promener ses mains sur tout mon corps, c'est sympa, j'aime bien. Elle s'enhardit et me tâte les nichons, elle regarde vers ma femme et commence à me les pincer, à les tourner. Je souffle un peu et m'agite, les petites chaînes qui m'attachent tintent contre ma couche, ça l'excite, elle pince plus fort, je gémis. Ma femme incline doucement la tête, comme pour l'encourager. Elle descend une main vers mon sexe et commence à me palper mes testicules bien gonflées, elle les fait rouler dans sa paume, ça fait mal. J'essaie instinctivement de m'échapper mais je suis bien attaché. De son autre main elle me saisit la verge, serre fort et me masturbe lentement, son pouce frotte mon gland. C'est bon, c'est fort, elle n'arrête pas. Je gonfle encore sous ses doigts. Elle me regarde, imperturbable, et arrête son jeu.
Elle s'éloigne et revient avec un martinet et une cravache. Elle commence avec des coups de cravache, sur les tétons, l'intérieur des cuisses, le ventre, ensuite elle me rougit au martinet.
Elle termine avec des séries de petits coups rapides sur les testicules, la verge et le gland.
Elle s'en va, sans un mot, ma femme vient me voir et retourne s'asseoir. J'essaie de récupérer un peu.

L'attente est courte, quelqu'un d'autre vient de rentrer. Je tourne la tête et je reconnais ma chef, une femme que je croise de temps en temps, boulot oblige. C'est quelqu'un que j'apprécie énormément, même si certains la jugent autoritaire. Que fait-elle chez Béa, mystère. Heureusement que j'ai un masque, ma femme aussi. Je sens qu'elle aussi l'a reconnue. Elle s'avance, vêtue d'une jolie robe moulante noire. Elle est presque timide. Elle nous regarde, j'entends son souffle s'accélérer.

- je peux le toucher ?
Ma femme lui fait signe de la main que oui, bien sûr.
Ma chef s'approche et me caresse doucement, timidement sur tout le corps. Elle effleure plusieurs fois ma queue, elle regarde vers ma femme. Un signe de tête l'encourage. Elle me prend la verge et commence une timide masturbation, son autre main se dirigeant fébrilement vers mes couilles qu'elle commence à triturer, de plus en plus excitée. Un regard vers ma femme qui lui sourit. Ça la débloque complètement et elle colle son visage contre ma queue, elle se la frotte contre la joue, lèche puis se la fourre en bouche. Elle grogne de contentement et me suce longuement. Heureusement que j'ai les cockrings. Je lance autant que je peux mon bassin vers son visage, elle pose ses mains de part et d'autre et se laisse faire. Je lui baise bien sa bouche, ma queue va frapper le fond de sa gorge. Ah ma chef ! Elle se dégage enfin, les yeux chavirés. Je pense qu'elle va nous laisser mais elle a l'air de se raviser. Elle s'approche de mon visage, j'ai peur qu'elle me reconnaisse, mais non. Elle se met derrière ma tête, relève sa robe et enlève sa culotte. Je l'entends chuchoter pour elle même « oh mon dieu, mon dieu », elle écarte les jambes et s'avance au dessus de mon visage. Je vois son joli cul, bien large, sa chatte poilue au-dessus de moi. Osera-t-elle ? Elle tient sa robe d'une main, de l'autre elle prend appui sur mon torse et doucement, timidement elle vient s'asseoir sur ma bouche. Sa chatte est humide à souhait, mon nez pénètre la raie de son cul. Je l'entends gémir « mon dieu, mon dieu ». Je prends l'initiative et je sors doucement la langue, je la fais tourner sur les lèvres de son sexe grand ouvert à présent. « oui, oui, mon dieu, mon dieu » souffle-t-elle. Je lui fourre ma langue dans le vagin et aspire ses lèvres dans ma bouche, puis je la suce. Elle râle de bonheur et commence à remuer les hanches, en rond, d'avant en arrière, de plus en plus fort, de plus en plus vite. De temps en temps elle s'arrête, j'en profite pour faire tournoyer ma langue sur son clitoris bien bandé. Elle commence à bien couler, je bois son jus. Elle pousse des petits cris rauques et continue un bon moment à s'astiquer sur moi. D'un coup elle se jette en avant, plonge vers ma queue et se la remet en bouche ; là c'est elle qui suce, elle me saisit la verge, me masturbe furieusement, me lèche le gland et la verge et me remet en bouche, aussi loin qu'elle peut. En même temps elle se frotte violemment sur mon visage et ma bouche ; une série d'orgasmes la secouent, espacés de courts moments de répit. Elle m'inonde le visage de son plaisir. Je jouis fort dans sa bouche, elle n'en perd pas une goutte et m'avale complètement. Elle reste longtemps sur moi, à reprendre ses esprits, elle se relève, récupère sa culotte, se rajuste. Elle dépose un rapide baiser sur mes lèvres encore trempées de sa mouille et ressort, chancelante.
Ma femme se lève et vient me nettoyer la figure, mon masque, elle me lave aussi la queue.
Je suis prêt pour la suite.

Ça y est, une nouvelle entrée, elles sont deux cette fois ci. Une femme mûre, jupe cuir moulante, blouse blanche, bien en chair. Derrière elle une femme plus jeune, mini jupe sur de jolies cuisses, bottes.
- viens ici, salope ! (la femme mûre à l'autre)- oui maîtresse.

Tiens donc, elles jouent aussi. La maîtresse saisit le poignet de sa soumise. De l'autre main elle lui prend la nuque et la pousse vers mon sexe.

- suce le, fais le bander, applique toi !
Elle me prend en bouche, sa maîtresse donne le rythme avec sa main dans la nuque, tantôt rapide, tantôt plus lent et plus profond. J'aime beaucoup.
La maîtresse la lâche, se munit de la badine souple et se met derrière moi. Elle s'avance au dessus de mon visage, elle ne porte pas de culotte. Sans un mot elle s'assied lourdement sur mon visage. Elle remue son bassin pour bien ouvrir son sexe et son cul sur ma bouche. Son esclave continue sa fellation sur moi, méthodique, efficace, profonde et rythmée. Du jus de moule commence à me couler dessus. Des coups de badine rapides sur mes seins et mon ventre m'ordonnent de faire quelque chose. Je commence à lécher bien profond la chatte de cette maîtresse. Elle se fait lourde et m'étouffe, mais c'est voulu. Je m'agite, manquant d'air, mais elle accentue la pression, l'autre suce plus fort, elle sait ce qu'elle a à faire. Puis la maîtresse se relève un peu, me permet de reprendre mon souffle et se remet de tout son poids sur moi. Quelquefois des coups de badine tombent également sur les fesses de son esclave. Elles me mettent longuement à l'épreuve, la fellation est calculée pour me faire souffrir un max, sans jouir. Une crispation ultime des fesses, un tremblement des cuisses et une bonne giclée de mouille dans ma bouche m'indiquent que la maîtresse a bien joui. Elle descend de moi.
- arrête, viens sur lui.

L'esclave obéit immédiatement. Elle remonte un peu sa jupe et s'assied sur mon visage, mais vers l'avant. Elle se penche bien, elle est trempée et sent bon. Je la lèche consciencieusement. La maîtresse m'agrippe la verge et m'inflige des coups de lanière sur le gland avec un des petits fouets. Je remue dans tous les sens mais je suis bien attaché et elle me serre fort la queue. Elle me met également des coups bien appuyés sur les testicules.

- tourne toi et mets lui ton cul à lécher ? Ôte le haut.

L'autre s'exécute, je lui fourre ma langue dans son petit trou, elle gémit de plaisir ; elle se débarrasse de son haut, de jolis petits seins jaillissent.

- penche toi en arrière, étouffe le avec ton cul, bouge.

L'esclave s'exécute, on me pose une capote sur la verge et je sens la maîtresse s'empaler sur moi. Elle prend le martinet et fouette la poitrine de son esclave. Je suis sauvagement baisé, le cul de la soumise, penchée en arrière m'étouffe, je la lèche comme je peux. Les deux femmes jouissent presque simultanément, leur orgasme est long, la soumise m'inonde de son plaisir, je ne parviens pas à l'orgasme mais ce n'est pas grave, c'était super bon.

Elles sortent, sans un mot, sans un regard vers nous. Ma femme me fait un petit signe discret de la main. J'ai l'impression que la coquine a trouvé moyen de se masturber en nous regardant.
Puis plus rien ne se passe pendant un bon moment,Ma femme s'approche, me demande si ça va, si ça me plaît.

Comment pourrai-je dire le contraire, je suis lessivé mais qu'est ce que c'est bon, elle m'assure qu 'elle prend un pied d'enfer à ce jeu, m'embrasse et me dit qu'elle m'aime super fort.

Quelqu'un arrive, c'est Béa. Elle explique à ma femme que quelques invitées sont parties mais que celles qui restent voudraient encore un peu s'amuser avec moi.
Elles me détachent, je dois me mettre debout, des barres d'écartement sont fixées à mes bras et à mes jambes, puis avec une poulie Bénia me fixe au plafond de telle sorte que je me retrouve bras et jambes en croix. Pour compléter le tout ma femme m'attache les jambes à des anneaux fixés au mur. Cette pièce est vraiment bien équipée !
- On va te mettre un bandeau sur les yeux et un baîllon, décide ma femme, ce sera encore meilleur. Profites en bien !

Me voilà bien exposé, la porte s'ouvre, je perçois du mouvement. Des mains me frôlent, me caressent, me griffent aussi. Une main autoritaire m'agrippe la verge, me tire dans tous les sens et me masturbe violemment. Une autre main m'agrippe les testicules par l'arrière et me les malaxe sans ménagement. D'autre doigts me pincent les tétons, on me claque les fesses ; elles doivent être quatre ou cinq à me tourmenter, je me demande si ma chef fait partie de la bande...
Une bouche avide me suce, puis une autre, et une autre ; deux langues me lèchent le gland. Le cockring placé par Bénia fait son office. Je bande douloureusement mais j'arrive à me retenir.
Des coups de cravache me cinglent le dos, les fesses, les cuisses. Les fellations se succèdent, tantôt douces, tantôt plus brutales. Mes testicules sont chauffées au martinet, puis des mains expertes me branlent à tour de rôle, personne ne parle.
Les garces font durer le plaisir, quand elles me sentent venir elles me laissent souffler et se contentent de me fouetter et de me cravacher, puis elle recommencent. Je perds la notion du temps.

Je tremble de plaisir et d'un seul coup je lâche un ultime et puissant jet de sperme dans la bouche qui était en train de me sucer avidement. La femme insiste longuement et me fait cracher ma dernière goutte. Je tremble sans pouvoir m'arrêter. Tout s'arrête d'un seul coup, on m'enlève le bandeau, c'est ma femme. Nous sommes seuls. Elle me détache, je m'écroule dans ses bras, elle me fait allonger au sol pour m'enlever les barres, le baîllon.
Elle se couche contre moi et me serre dans ses bras, me caresse tendrement et me demande si ça m'a plu, cette dernière partie.
Je balbutie des remerciements, je l'embrasse.
- Tu sais, me dit-elle, c'était moi qui t'ai sucé en dernier, tu es à moi, pour toujours.
Elle est vraiment formidable ma chérie.
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