MA FEMME EN A TROUVE UN AUTRE...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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MA FEMME EN A TROUVE UN AUTRE...
Nous avions avec ma femme, quittée le restaurant assez tard ce soir là. Une sortie pour fêter son anniversaire. J’ai profitais de ce tête à tête pour prendre des nouvelles de sa relation avec le jeune voisin. Elle s’était fait un plaisir de me conter quelques chaudes passades. Il lui en fallait pas plus pour l’exciter. Au point qu’à peine le contact mit dans la voiture, que déjà elle s’est penchée vers moi pour me caresser la queue à travers la toile de mon pantalon. Sous une si bonne attention de sa part, ma verge s’est aussitôt trouvée très vite à l’étroit dans son nid de coton. La coquine, pas mécontente du résultat, a voulu libérer mon oiseau de sa prison. Mais je le lui ai interdit. Lui demandant de patienter jusqu’à la maison. Mais elle a préféré que l’on aille rejoindre notre zone de débauche. Situé à quelques kilomètres de chez nous, sur une plaine, entrecoupée de chemins étroits, où personne ne venait, de peur de croiser de mauvaise rencontre.
Sitôt arrivé sur notre lieu de dévergondage, et alors que je coupais le contact, elle a augmenté le volume de la radio. J’ai porté sur elle un regard interrogateur, attendant une réponse sur sa conduite. Sans prendre la peine de m’éclairer, elle s’est penchée et a ouvert la portière.
Elle a mis pied à terre, tout de suite avalée par la nuit profonde. Elle a marché d’un pas lent en direction de la lueur des phares que je n’avais pas pris la peine de couper. Puis d’une démarche provocante, elle s’est éloignée d’une dizaine de mètres. Et elle a tout bonnement commencé à danser, langoureusement. Déboutonnant les boutons de son manteau en daim, au rythme de la musique. Qu’elle a envoyé choir sur le sol herbeux. Puis elle a remonté l’ourlet de sa robe sur ses cuisses. Dont le porte-jarretelles noir qu’elle portait, faisait ressortir la teinte laiteuse de sa peau. Toujours en se balançant, elle a pivoté sur elle-même, tout en relevant lentement le tissu de sa robe plus haut, sur ses hanches. Exposant au faisceau des phares le bas de sa croupe, lourde et rebondie. Séquestré dans un slip de dentelle blanc. Qui creusait deux profondes entailles dans la chair pleine. Tout, en se dandinant, elle a agité son cul de gauche à droite en rythme de la musique. Puis elle a porté les mains aux hanches. Pour très délicatement, glisser ses pouces sous l’élastique de sa culotte, qu’elle a commencé à la baisser lentement. Centimètre après centimètre, faisant apparaître ses fesses sous les feux des phares. Son postérieur m’est apparu. Un cul que je connaissais par cœur, pour l’avoir à maintes fois vu. Blanc, lourd, profondément fendues.
Transportée par la musique, ma femme s’est penchée en avant, genoux serrés, en tendant bien son cul dans ma direction, alors qu’elle faisait rouler sa petite lingerie sur ses cuisses gainées de nylon blanc.
Elle a profité d’être courbée en avant pour se peloter. Palpant la chair rebondie. Entrouvrant également son cul, tout en continuant à onduler en cadence avec la mélodie. Glissant sans sentiment de gêne et de honte, une main entre ses cuisses. Et la coquine s‘est lentement caressée, comme si je n‘existais pas. Puis perversement, à l’aide de ses deux mains, elle a écarté les fesses, présentant la raie sombre à la lueur des phares, ainsi que son orifice ridé. Malgré moi, j’ai serré les doigts sur mon gland gorgé de sang, à travers l’étoffe de mon pantalon.
Fièrement elle a passé de nouveau une main entre ses fesses. Se caressant le pourtour anal du bout de son index. Effleurant les fronces de son trou du cul d’un ongle manucuré. Qu’elle a porté l’instant d’après, jusqu’à ses narines et après l’avoir bien humé elle a tourné le visage vers moi et a fait une grimace.
Le message passé, elle s’est redressée lentement, remontant son slip toujours coincé au niveau de ses genoux, si haut sur les hanches que la dentelle blanche s’est infiltrée dans la raie, laissant les lourdes fesses crayeuses à nues. Elle s’est ensuite retournée, toujours en dansant et elle a écarté les jambes en se déhanchant sur les accords de musique. Elle a tellement tiré son slip que son sexe moulé dans la dentelle ressemblait à une boule dépassant entre ses cuisses, et que ses poils crépus s’immisçaient sous l’élastique et s’étiraient en tortillons serrés vers l’aine.
Elle s’est immobilisée d’un bloc et m’a regardé avec un sourire enjôleur, griffant du bout des ongles son pubis renflé toujours prisonnier dans la dentelle. Puis elle s’est penchée en arrière, faisant glisser sa culotte sur ses mollets. Elle s’est accroupie lentement, en appui sur ses talons hauts. Son sourire s’est élargi alors qu’un jet d’urine a jailli de sa chatte. Dessinant une parabole devant elle qui achevait sa course à quelques centimètres de ses pieds. Souillant ses escarpins de gouttelettes. J’ai regardé fasciné le jet qui se réduisait malheureusement pour moi, peu à peu, et cela jusqu’à ne plus être qu’un filet intermittent, qui ruisselait sur sa fente. Douchant ses babines, étirant les poils vers le bas. Je n’en pouvais plus de jouer le spectateur, au point de quitter mon siège pour aller la rejoindre. Dans le faisceau aveuglant des phares. Elle n’a pas bougé, toujours accroupie, me regardant par en dessous, ses yeux caché sous ses longs cils.
- Oui, oh ouiiiii, donnes-moi sa bite, vite ! A-t-elle, tout en se redressant.
Je l’ai traîné jusqu’au nez de la voiture. Elle a guidé ma queue dans le sillon formé par ses petites lèvres, alors que je soulevai une de ses jambes. Et j’ai poussé pour enfoncer la moitié de ma bite dans sa chatte. Son corps a frémit et a tremblé sous l‘intrusion. Et je l’ai baisé. Et cela, à grands coups de reins. Anéantie par son orgasme, elle s’est laissé tomber sur le capot. Et ma verge a glissé doucement de sa chatte. J’ai été obligé de suivre son mouvement pour ne pas la perdre. Allonger sur le dos sur le capot je l’ai cloué de nouveau sur ma queue. Et sauvagement, je l’ai ramoné en la maintenant par les hanches. Sous mes coups de boutoirs, elle n’a pas mis longtemps pour avoir un violent orgasme. Déclenchant le mien par la même occasion. J’ai envoyé une avalanche de sperme au fond de son antre.
Quelques jours après cette épisode, et alors que je dormais confortablement installé dans le lit conjugal, une envie pressante perturba mon sommeil au point de ne plus le retrouver. Me forçant à quitter ma couche. Et c’est là que je fus surpris d’apercevoir de la lumière venant du garage. Ma première pensée fut que ma femme avait sans doute oublié de l’éteindre après avoir rentré sa voiture. Ce qui était fréquent chez d’elle.
J’ai bien tenté après, de retrouver le sommeil une fois recoucher, mais à la seule pensée, que la lumière du garage soit allumé m’empêcha de m’endormir. Alors je me suis levé et j’ai ouvert la porte fenêtre, qui en passant n’était pas verrouiller, et là, dans le silence que seule la nuit peut produire, j’ai perçu des sons. Et cela venaient aussi, du côté du même garage. Et cerise sur le gâteau, j’ai reconnu des soupirs comme étant ceux de ma femme. Pour échafauder mon soupçon je suis revenu sur mes pas et j’ai éclairé la pièce pour m’apercevoir que le lit était vide. Pas de doute, c’était bien ma femme qui se trouvait dans le garage.
Encouragé par la curiosité, et après mettre passé le peignoir, j’ai rallié la courte distance qui me séparer du garage. Me servant de la lueur de la lune pour mieux me diriger. Je me suis collé tout d’abords à sa porte en bois et j’ai tendu l’oreille. Et très vite des murmures sont parvenu jusqu’à elle. Il était alors facile d’imaginer ce qui se passait à l’intérieur.
Et alors que j’étais en train de les écouter, une question me vint à l’esprit : avec quel partenaire ? Sans doute pas, avec le jeune voisin. Ça j’en étais certain. Sinon elle me l‘aurait dit. À cette pensée, mon sang n’a fait qu’un tour. À en avoir le souffle et les jambes coupés. La curiosité de savoir avec qui, étant la plus forte, je me suis faufilé jusqu’à la deuxième entrée. Là où j’étais sûr que je ne pourrai pas me faire surprendre. Une fois cela fait, je me suis fais le plus silencieux possible, pour approcher au plus près de la voiture, où grâce au plafonnier, j’ai pu percevoir ce qui se tramer à l‘intérieur de l‘habitacle.
Comme je l’ai deviné, ce n’était pas le voisin mais un autre gosse pas plus vieux, qui habitait plus loin dans le quartier. Elle était en train de lui offrir une petite gâterie. Sur le coup j‘ai été très déçu qu‘elle m’est cachée cette liaison. Mais là ! Deux choix vinrent à moi, soit dégager le jeunot illico, ou alors, ou alors oui, profiter du spectacle. Et bien sûr, mon choix s’est porté sur la seconde solution. Surtout que je ne risquais pas de me faire surprendre. Tant ils se sentaient à l’abri dans leur excitation. Loin de tous les dangers. Ne s’imaginant pas un seul instant qu’ils pourraient se faire surprendre. Surtout à cette heure très tardive.
Je me suis déplacé, pour avoir encore, un meilleur angle. De là, j’ai pu apercevoir nettement la tête de ma femme montée et descendre le long de la tige en chair du jeunot. Qui pousser à chaque engloutissement de son outil de plaisir, un gémissement de bonheur. Tout cela m’a donné une violente érection. À me torturer le bas-ventre. Au bout d’un certain temps, j’ai vu la bouche de ma femme recrachée le belle âtre, et je l’ai entendu murmurer à son jeune amant : - Viens ! Nous serions mieux à l’extérieur. Et elle l’a attiré par la main hors du véhicule.
Il s’est laissé entraîner, sans bien comprendre ce qu’il lui arrivait. Elle l’a traîné jusqu’au nez de sa voiture. Là sous mes yeux ébahis, elle a grimpé dessus pour prendre place sur le capot. C’était bien le truc à ma femme, de ce faire baiser sur le capot d‘une voiture. D’ailleurs, je n’ai pas assez de mes deux mains pour compter le nombre de fois que nous avions réalisé cette posture lors de nos ébats.
Le gamin ne s’en est pas laissé dire, se plaçant entre les jambes de ma femme, dont elle a troussé sa chemise de nuit en dentelle jusqu’aux aisselles. Laissant par ce délit, voir son ventre ainsi que ses gros nichons. Le regard fixant le beau appendis du jeune garçon, elle a relevé ses cuisses contre sa poitrine. Comme pour ouvrir davantage son puits d‘amour. Et à ne pas douter pour le plus grand plaisir de son partenaire. Qui n’a pas tardé à positionner sa hampe sur l’entrée de la cible. Et d’un coup de reins, il s’est enfoncé de toute la longueur de son sexe raide. À voir la tête de ma femme, elle était aux anges. Elle se dodelinait sous les coups de boutoirs. La bouche ouverte, gémissant de plus en plus fort, le visage crispé par le plaisir.
La scène était imprimée à jamais comme un fer rouge dans mon esprit. Il m’était impossible de faire quoi que ce sois. La vision m’a semblé si monstrueuse que je doutais de la réalité de ce qui se jouer devant mes yeux. Et bien que la queue qui labourait ma femme, fût bien réelle. Et vous pouvez me croire sur l’honneur, le jeunot m’était du cœur à l’ouvrage. Accélérant sans cesse le rythme de ses va-et-vient. Entrant et sortant sa verge luisante avec un bruit mouillé. Ma femme dont les plaintes devenaient stridentes, l’accompagner avec des mouvements de hanches désordonnés.
Très intéresser, j’ai bien sûr suivis la montée du plaisir sur sa figure. Guettant le moment où elle allait atteindre l’orgasme. Je ne vous cache pas, que j’étais moi-même étonné de ma passivité face à la situation. Pire encore, j’étais dans un tel point excitation que mon sexe me faisait mal. Tant il était comprimé au fond de mon slip.
Comme aimanter, mon regard s’est rivé sur le membre qui allait et venait dans la fissure. Comme l’aurait fait un piston dans une pompe. J’ai résisté à la tentation de me saisir de ma queue pour la branler. Sachant très bien que le résultat allait être irréductible. Au grognement du garçon, j’ai su que le coquin avait jouit. Sitôt le gamin écarté, elle s’est laissée tomber à genoux devant lui. Couvrant le gland luisant de mouille, de baisers, avec une expression extasiée.
Sous l’effet il a gémi de nouveau. Elle a posé ses lèvres en cul-de-poule sur celui-ci, et l’a sucé ensuite comme si elle avait dans la bouche un gros bonbon. En faisant un bruit mouillé avec sa bouche.
J’en avais assez vue. Et d’ailleurs ils n’allaient pas tarder de sortir de leur cachette. J’ai regagné ma chambre dans le plus grand silence. J’ai attendu ma femme, en feignant le sommeil. Une demi-heure, j’ai assisté à son entrée, par la même porte-fenêtre. Elle a reprit sa place dans le lit en toute discrétion.
Je n’ai pas pu fermer l’œil de la nuit tant je voulais évoquer avec elle la situation. Des tonnes de questions se sont bousculées dans ma tête, à m‘empêcher de trouver le sommeil. D’ailleurs elle m’avait fait la remarque alors qu’en déjeuner. J’ai prétendu que j’avais aussi bien dormi qu’un bébé. Il a fallu que je prenne sur moi pour ne pas l’interroger sur sa conduite inqualifiable de la nuit. Qui dit en passant m’a excité autant que ma femme m’intriguait.
Dans les jours qui ont suivis, j’ai eu beaucoup de mal à trouver le sommeil. Attentif aux moindres bruits. Vous n’allez pas me croire mais j’étais comme désespéré que rien n’arrive.
Il a fallu que je patiente une semaine pour que cela se décante. Comme d’habitude j’ai eu du mal à trouver le sommeil. Ma femme à mes côtés, n’a cessé pas de gigoter dans le lit. Sans doute d’impatience. J’ai su alors qu’il allait se passer quelques. Et bingo, elle s’est approchée de mon côté pour s’assurer que je dormais. Naturellement, je n’ai pas bougé, imitant à la perfection une personne plongée dans un profond sommeil. Une fois rassurée, elle a abandonné le lit. À pas feutrés, elle a quitté le lieu, par la fameuse porte fenêtre.
Je me suis alors levé à mon tour. Une fois derrière la vitre, j’ai pu m’apercevoir que la lumière du garage était à nouveau allumée. Et comme la précédente fois je me suis infiltré dans le garage.
Mes yeux ont eu droit à des frôlements de mains, à des baisers dans le cou, et bientôt sur les lèvres. Et enfin, de vraies embrassades d’amants où on mange la bouche en s’étreignant. Comme toujours, et malgré ma jalousie, mon sexe s’est raidi dans mon slip.
Elle s’est libérée, pour se pencher contre le capot se cramponnant dessus à deux mains. À genoux derrière elle, son amant se masturbait tout en lui léchant la fente. Elle a remué ses fesses, cambrées à l’extrême. Cette fois je n’ai pas pu m’interdire de sortir mon sexe de mon slip pour me branler.
Excité, j’ai cessé d’observer quelques instants le couple, pour me concentrer sur ma masturbation. Mais quand j’ai relevé les yeux, je me suis heurté au regard horrifié de ma femme.
Dès lors, il m’était impossible de cacher à ses yeux que je jouais les voyeurs. Alors bêtement je me suis surpris de lui sourire. Elle a prit cela pour un invite à continuer. D’ailleurs, elle a crié, en remuant son cul sous les coups de langue de son amant qui, le nez dans son entrecuisse, ne s’était aperçu de rien.
Un instant ramolli sous l’effet du flagrant délit, ma verge s’est s’érigée à nouveau. Augmenté par la façon dont ma femme braquait ses yeux sur moi.
Son amant s’est redressé et l’a soulevé en la saisissant à la taille. Un coup de reins accompagné d’un cri de bûcheron et il lui a enfilé sa queue dans le vagin. Je me suis mis à me branler. Elle était si excitée qu’elle a joui tout de suite, hurlant en secouant son corps en tous sens. J’ai alors accéléré le va-et-vient de ma main sur ma queue. Et bien sûr, j’ai éjaculé. Mon orgasme était si fort que j’ai fermé les yeux, me projetant l’image de ma femme râlant de plaisir sous les coups de boutoir de son amant.
Ai-je fait trop bruit ? Toujours est-il que quand j’ai rouvert les yeux, le jeunot pointait son regard de mon côté. Surpris, d’y trouvait âme qui vive, il s’est immobilisé, sans prendre la peine de retirer son pieu de chair toujours niché au plus profond du sexe de ma femme. Son étonnement a vite fait place à de la peur, en me reconnaissant.
- Ce n’est pas de ma faute ! A-t-il hurlé.
Il s’est écarté d’elle, cherchant à cacher son sexe qui avait perdu de son aisance. Mais elle s’est collée à lui, l’empêchant de bouger. Alors je me suis entendu leur dire : - Poursuivez, ne vous arrêtez pas pour moi. Vous faisiez un si beau tableau.
- Chéri, je t’en prie, je vais tout t’expliquer. A-t-elle répondu, d’un ton suppliant.
Sur le point de pleurer.
- Continuez, je vous le demande.
Elle semblait paralysée, mais le jeunot, lui ne s’est pas démonté. Sans aucune hésitation, il a écarté les cuisses de ma femme et s’est enfoncé de nouveau en elle. Excité sans doute d’avoir le mari en spectateur, il a donné le meilleur de lui-même. Je me suis agenouillé devant le spectacle, et cela, pour être au plus près du coït.
- Chérie, il te baise bien, j’espère que tu aimes ? Lui ai-je lancé.
Elle a baisé les yeux vers moi. Elle s’efforça de soutenir mon regard. Mais mon, j’étais fasciné par la verge luisante de mouille qui entrait et sortait entre les lèvres intime de ma femme, à une vitesse vertigineuse.
- Oooh oooooouuuiii ! Le salaud me bourre bien ! Oooooouuuuiii mon salaud continu à me bourrer la chatte….
Excité par ses mots crus, je me suis jeté, bouche avide, au centre des ébats. Je me suis mis à lécher, à baiser, à sucer, autant le sexe de ma femme que celui du jeune homme. J’ai aspiré leurs liquides. J’ai épié les bruits mouillés qui s‘en dégager. J’ai titillé, en haut, le clitoris. J’ai léché, en bas, les couilles fermes. Que je faisais rouler sous mes doigts pour reprendre mon souffle avant de réattaquer.
Ils ont joui tous deux avec une synchronisation parfaite. J’ai tiré alors la verge du gamin en la prenant par la racine. La sortant du vagin inondé de sperme et de mouille. Et sans réfléchir, j’ai refermé mes lèvres sur le membre encore à demi-érigé. J’ai recueilli les dernières gouttes de liqueur blanchâtre.
Quelques minutes plus tard, avec en bouche le goût âcre du sperme, je me suis redressé. J’ai écarté sans aménagement le jeunot afin de retourner ma femme, et d’un coup de reins j’ai enfoncé ma queue dans son anus. Furieusement je me suis branlé dedans. En plein délire j’ai lancé au jeunot : - Tu vois comment elle aime être prise cette salope !
Je n’ai pas mis longtemps à jouir.
Dès que le jeunot a déguerpi, bouleversé par ce que j’avais vu. Je souffrais le martyre. Mon cœur était comme serré dans un étau, brisé. Mais chose étrange je me sentais toujours autant excité, et cela comme jamais. C’était simple je ne débandais plus. Je venais pourtant d’éjaculer, mais cela n’empêcher pas à ma queue de se dresser vers le plafond. Comme jadis, quand j’étais encore adolescent. Je me suis de nouveau de ma femme et l’ai couché sur le capot. Et je l’ai enculé de nouveau, les yeux dans les yeux. Cela a mis plus de temps, avant que je jouisse.
Une fois dans le lit, ne trouvant pas le sommeil, et pour cause, nous avons discuté, je lui ai dit : - Ne t’inquiète pas, ça ne change rien entre nous, je t’ai négligée ces derniers temps avec mes horaires de fou, je comprends, ne pleure pas, c’est oublié.
J’ai attendu qu’elle se calme pour lui suggérer : - Mais dis-moi ton neveu.
- Quoi mon neveux.
- Il ne serait pas puceau ?
- C’n’est pas que tu as l’intention de ?
- Pourquoi pas. Une histoire comme une autre de donner à lire aux lecteurs de HDS.
- Pas question ! Fit-elle catégoriquement.
- Tu n’ais pas en position de discuter. C’est les lecteurs qui décideront.
Sitôt arrivé sur notre lieu de dévergondage, et alors que je coupais le contact, elle a augmenté le volume de la radio. J’ai porté sur elle un regard interrogateur, attendant une réponse sur sa conduite. Sans prendre la peine de m’éclairer, elle s’est penchée et a ouvert la portière.
Elle a mis pied à terre, tout de suite avalée par la nuit profonde. Elle a marché d’un pas lent en direction de la lueur des phares que je n’avais pas pris la peine de couper. Puis d’une démarche provocante, elle s’est éloignée d’une dizaine de mètres. Et elle a tout bonnement commencé à danser, langoureusement. Déboutonnant les boutons de son manteau en daim, au rythme de la musique. Qu’elle a envoyé choir sur le sol herbeux. Puis elle a remonté l’ourlet de sa robe sur ses cuisses. Dont le porte-jarretelles noir qu’elle portait, faisait ressortir la teinte laiteuse de sa peau. Toujours en se balançant, elle a pivoté sur elle-même, tout en relevant lentement le tissu de sa robe plus haut, sur ses hanches. Exposant au faisceau des phares le bas de sa croupe, lourde et rebondie. Séquestré dans un slip de dentelle blanc. Qui creusait deux profondes entailles dans la chair pleine. Tout, en se dandinant, elle a agité son cul de gauche à droite en rythme de la musique. Puis elle a porté les mains aux hanches. Pour très délicatement, glisser ses pouces sous l’élastique de sa culotte, qu’elle a commencé à la baisser lentement. Centimètre après centimètre, faisant apparaître ses fesses sous les feux des phares. Son postérieur m’est apparu. Un cul que je connaissais par cœur, pour l’avoir à maintes fois vu. Blanc, lourd, profondément fendues.
Transportée par la musique, ma femme s’est penchée en avant, genoux serrés, en tendant bien son cul dans ma direction, alors qu’elle faisait rouler sa petite lingerie sur ses cuisses gainées de nylon blanc.
Elle a profité d’être courbée en avant pour se peloter. Palpant la chair rebondie. Entrouvrant également son cul, tout en continuant à onduler en cadence avec la mélodie. Glissant sans sentiment de gêne et de honte, une main entre ses cuisses. Et la coquine s‘est lentement caressée, comme si je n‘existais pas. Puis perversement, à l’aide de ses deux mains, elle a écarté les fesses, présentant la raie sombre à la lueur des phares, ainsi que son orifice ridé. Malgré moi, j’ai serré les doigts sur mon gland gorgé de sang, à travers l’étoffe de mon pantalon.
Fièrement elle a passé de nouveau une main entre ses fesses. Se caressant le pourtour anal du bout de son index. Effleurant les fronces de son trou du cul d’un ongle manucuré. Qu’elle a porté l’instant d’après, jusqu’à ses narines et après l’avoir bien humé elle a tourné le visage vers moi et a fait une grimace.
Le message passé, elle s’est redressée lentement, remontant son slip toujours coincé au niveau de ses genoux, si haut sur les hanches que la dentelle blanche s’est infiltrée dans la raie, laissant les lourdes fesses crayeuses à nues. Elle s’est ensuite retournée, toujours en dansant et elle a écarté les jambes en se déhanchant sur les accords de musique. Elle a tellement tiré son slip que son sexe moulé dans la dentelle ressemblait à une boule dépassant entre ses cuisses, et que ses poils crépus s’immisçaient sous l’élastique et s’étiraient en tortillons serrés vers l’aine.
Elle s’est immobilisée d’un bloc et m’a regardé avec un sourire enjôleur, griffant du bout des ongles son pubis renflé toujours prisonnier dans la dentelle. Puis elle s’est penchée en arrière, faisant glisser sa culotte sur ses mollets. Elle s’est accroupie lentement, en appui sur ses talons hauts. Son sourire s’est élargi alors qu’un jet d’urine a jailli de sa chatte. Dessinant une parabole devant elle qui achevait sa course à quelques centimètres de ses pieds. Souillant ses escarpins de gouttelettes. J’ai regardé fasciné le jet qui se réduisait malheureusement pour moi, peu à peu, et cela jusqu’à ne plus être qu’un filet intermittent, qui ruisselait sur sa fente. Douchant ses babines, étirant les poils vers le bas. Je n’en pouvais plus de jouer le spectateur, au point de quitter mon siège pour aller la rejoindre. Dans le faisceau aveuglant des phares. Elle n’a pas bougé, toujours accroupie, me regardant par en dessous, ses yeux caché sous ses longs cils.
- Oui, oh ouiiiii, donnes-moi sa bite, vite ! A-t-elle, tout en se redressant.
Je l’ai traîné jusqu’au nez de la voiture. Elle a guidé ma queue dans le sillon formé par ses petites lèvres, alors que je soulevai une de ses jambes. Et j’ai poussé pour enfoncer la moitié de ma bite dans sa chatte. Son corps a frémit et a tremblé sous l‘intrusion. Et je l’ai baisé. Et cela, à grands coups de reins. Anéantie par son orgasme, elle s’est laissé tomber sur le capot. Et ma verge a glissé doucement de sa chatte. J’ai été obligé de suivre son mouvement pour ne pas la perdre. Allonger sur le dos sur le capot je l’ai cloué de nouveau sur ma queue. Et sauvagement, je l’ai ramoné en la maintenant par les hanches. Sous mes coups de boutoirs, elle n’a pas mis longtemps pour avoir un violent orgasme. Déclenchant le mien par la même occasion. J’ai envoyé une avalanche de sperme au fond de son antre.
Quelques jours après cette épisode, et alors que je dormais confortablement installé dans le lit conjugal, une envie pressante perturba mon sommeil au point de ne plus le retrouver. Me forçant à quitter ma couche. Et c’est là que je fus surpris d’apercevoir de la lumière venant du garage. Ma première pensée fut que ma femme avait sans doute oublié de l’éteindre après avoir rentré sa voiture. Ce qui était fréquent chez d’elle.
J’ai bien tenté après, de retrouver le sommeil une fois recoucher, mais à la seule pensée, que la lumière du garage soit allumé m’empêcha de m’endormir. Alors je me suis levé et j’ai ouvert la porte fenêtre, qui en passant n’était pas verrouiller, et là, dans le silence que seule la nuit peut produire, j’ai perçu des sons. Et cela venaient aussi, du côté du même garage. Et cerise sur le gâteau, j’ai reconnu des soupirs comme étant ceux de ma femme. Pour échafauder mon soupçon je suis revenu sur mes pas et j’ai éclairé la pièce pour m’apercevoir que le lit était vide. Pas de doute, c’était bien ma femme qui se trouvait dans le garage.
Encouragé par la curiosité, et après mettre passé le peignoir, j’ai rallié la courte distance qui me séparer du garage. Me servant de la lueur de la lune pour mieux me diriger. Je me suis collé tout d’abords à sa porte en bois et j’ai tendu l’oreille. Et très vite des murmures sont parvenu jusqu’à elle. Il était alors facile d’imaginer ce qui se passait à l’intérieur.
Et alors que j’étais en train de les écouter, une question me vint à l’esprit : avec quel partenaire ? Sans doute pas, avec le jeune voisin. Ça j’en étais certain. Sinon elle me l‘aurait dit. À cette pensée, mon sang n’a fait qu’un tour. À en avoir le souffle et les jambes coupés. La curiosité de savoir avec qui, étant la plus forte, je me suis faufilé jusqu’à la deuxième entrée. Là où j’étais sûr que je ne pourrai pas me faire surprendre. Une fois cela fait, je me suis fais le plus silencieux possible, pour approcher au plus près de la voiture, où grâce au plafonnier, j’ai pu percevoir ce qui se tramer à l‘intérieur de l‘habitacle.
Comme je l’ai deviné, ce n’était pas le voisin mais un autre gosse pas plus vieux, qui habitait plus loin dans le quartier. Elle était en train de lui offrir une petite gâterie. Sur le coup j‘ai été très déçu qu‘elle m’est cachée cette liaison. Mais là ! Deux choix vinrent à moi, soit dégager le jeunot illico, ou alors, ou alors oui, profiter du spectacle. Et bien sûr, mon choix s’est porté sur la seconde solution. Surtout que je ne risquais pas de me faire surprendre. Tant ils se sentaient à l’abri dans leur excitation. Loin de tous les dangers. Ne s’imaginant pas un seul instant qu’ils pourraient se faire surprendre. Surtout à cette heure très tardive.
Je me suis déplacé, pour avoir encore, un meilleur angle. De là, j’ai pu apercevoir nettement la tête de ma femme montée et descendre le long de la tige en chair du jeunot. Qui pousser à chaque engloutissement de son outil de plaisir, un gémissement de bonheur. Tout cela m’a donné une violente érection. À me torturer le bas-ventre. Au bout d’un certain temps, j’ai vu la bouche de ma femme recrachée le belle âtre, et je l’ai entendu murmurer à son jeune amant : - Viens ! Nous serions mieux à l’extérieur. Et elle l’a attiré par la main hors du véhicule.
Il s’est laissé entraîner, sans bien comprendre ce qu’il lui arrivait. Elle l’a traîné jusqu’au nez de sa voiture. Là sous mes yeux ébahis, elle a grimpé dessus pour prendre place sur le capot. C’était bien le truc à ma femme, de ce faire baiser sur le capot d‘une voiture. D’ailleurs, je n’ai pas assez de mes deux mains pour compter le nombre de fois que nous avions réalisé cette posture lors de nos ébats.
Le gamin ne s’en est pas laissé dire, se plaçant entre les jambes de ma femme, dont elle a troussé sa chemise de nuit en dentelle jusqu’aux aisselles. Laissant par ce délit, voir son ventre ainsi que ses gros nichons. Le regard fixant le beau appendis du jeune garçon, elle a relevé ses cuisses contre sa poitrine. Comme pour ouvrir davantage son puits d‘amour. Et à ne pas douter pour le plus grand plaisir de son partenaire. Qui n’a pas tardé à positionner sa hampe sur l’entrée de la cible. Et d’un coup de reins, il s’est enfoncé de toute la longueur de son sexe raide. À voir la tête de ma femme, elle était aux anges. Elle se dodelinait sous les coups de boutoirs. La bouche ouverte, gémissant de plus en plus fort, le visage crispé par le plaisir.
La scène était imprimée à jamais comme un fer rouge dans mon esprit. Il m’était impossible de faire quoi que ce sois. La vision m’a semblé si monstrueuse que je doutais de la réalité de ce qui se jouer devant mes yeux. Et bien que la queue qui labourait ma femme, fût bien réelle. Et vous pouvez me croire sur l’honneur, le jeunot m’était du cœur à l’ouvrage. Accélérant sans cesse le rythme de ses va-et-vient. Entrant et sortant sa verge luisante avec un bruit mouillé. Ma femme dont les plaintes devenaient stridentes, l’accompagner avec des mouvements de hanches désordonnés.
Très intéresser, j’ai bien sûr suivis la montée du plaisir sur sa figure. Guettant le moment où elle allait atteindre l’orgasme. Je ne vous cache pas, que j’étais moi-même étonné de ma passivité face à la situation. Pire encore, j’étais dans un tel point excitation que mon sexe me faisait mal. Tant il était comprimé au fond de mon slip.
Comme aimanter, mon regard s’est rivé sur le membre qui allait et venait dans la fissure. Comme l’aurait fait un piston dans une pompe. J’ai résisté à la tentation de me saisir de ma queue pour la branler. Sachant très bien que le résultat allait être irréductible. Au grognement du garçon, j’ai su que le coquin avait jouit. Sitôt le gamin écarté, elle s’est laissée tomber à genoux devant lui. Couvrant le gland luisant de mouille, de baisers, avec une expression extasiée.
Sous l’effet il a gémi de nouveau. Elle a posé ses lèvres en cul-de-poule sur celui-ci, et l’a sucé ensuite comme si elle avait dans la bouche un gros bonbon. En faisant un bruit mouillé avec sa bouche.
J’en avais assez vue. Et d’ailleurs ils n’allaient pas tarder de sortir de leur cachette. J’ai regagné ma chambre dans le plus grand silence. J’ai attendu ma femme, en feignant le sommeil. Une demi-heure, j’ai assisté à son entrée, par la même porte-fenêtre. Elle a reprit sa place dans le lit en toute discrétion.
Je n’ai pas pu fermer l’œil de la nuit tant je voulais évoquer avec elle la situation. Des tonnes de questions se sont bousculées dans ma tête, à m‘empêcher de trouver le sommeil. D’ailleurs elle m’avait fait la remarque alors qu’en déjeuner. J’ai prétendu que j’avais aussi bien dormi qu’un bébé. Il a fallu que je prenne sur moi pour ne pas l’interroger sur sa conduite inqualifiable de la nuit. Qui dit en passant m’a excité autant que ma femme m’intriguait.
Dans les jours qui ont suivis, j’ai eu beaucoup de mal à trouver le sommeil. Attentif aux moindres bruits. Vous n’allez pas me croire mais j’étais comme désespéré que rien n’arrive.
Il a fallu que je patiente une semaine pour que cela se décante. Comme d’habitude j’ai eu du mal à trouver le sommeil. Ma femme à mes côtés, n’a cessé pas de gigoter dans le lit. Sans doute d’impatience. J’ai su alors qu’il allait se passer quelques. Et bingo, elle s’est approchée de mon côté pour s’assurer que je dormais. Naturellement, je n’ai pas bougé, imitant à la perfection une personne plongée dans un profond sommeil. Une fois rassurée, elle a abandonné le lit. À pas feutrés, elle a quitté le lieu, par la fameuse porte fenêtre.
Je me suis alors levé à mon tour. Une fois derrière la vitre, j’ai pu m’apercevoir que la lumière du garage était à nouveau allumée. Et comme la précédente fois je me suis infiltré dans le garage.
Mes yeux ont eu droit à des frôlements de mains, à des baisers dans le cou, et bientôt sur les lèvres. Et enfin, de vraies embrassades d’amants où on mange la bouche en s’étreignant. Comme toujours, et malgré ma jalousie, mon sexe s’est raidi dans mon slip.
Elle s’est libérée, pour se pencher contre le capot se cramponnant dessus à deux mains. À genoux derrière elle, son amant se masturbait tout en lui léchant la fente. Elle a remué ses fesses, cambrées à l’extrême. Cette fois je n’ai pas pu m’interdire de sortir mon sexe de mon slip pour me branler.
Excité, j’ai cessé d’observer quelques instants le couple, pour me concentrer sur ma masturbation. Mais quand j’ai relevé les yeux, je me suis heurté au regard horrifié de ma femme.
Dès lors, il m’était impossible de cacher à ses yeux que je jouais les voyeurs. Alors bêtement je me suis surpris de lui sourire. Elle a prit cela pour un invite à continuer. D’ailleurs, elle a crié, en remuant son cul sous les coups de langue de son amant qui, le nez dans son entrecuisse, ne s’était aperçu de rien.
Un instant ramolli sous l’effet du flagrant délit, ma verge s’est s’érigée à nouveau. Augmenté par la façon dont ma femme braquait ses yeux sur moi.
Son amant s’est redressé et l’a soulevé en la saisissant à la taille. Un coup de reins accompagné d’un cri de bûcheron et il lui a enfilé sa queue dans le vagin. Je me suis mis à me branler. Elle était si excitée qu’elle a joui tout de suite, hurlant en secouant son corps en tous sens. J’ai alors accéléré le va-et-vient de ma main sur ma queue. Et bien sûr, j’ai éjaculé. Mon orgasme était si fort que j’ai fermé les yeux, me projetant l’image de ma femme râlant de plaisir sous les coups de boutoir de son amant.
Ai-je fait trop bruit ? Toujours est-il que quand j’ai rouvert les yeux, le jeunot pointait son regard de mon côté. Surpris, d’y trouvait âme qui vive, il s’est immobilisé, sans prendre la peine de retirer son pieu de chair toujours niché au plus profond du sexe de ma femme. Son étonnement a vite fait place à de la peur, en me reconnaissant.
- Ce n’est pas de ma faute ! A-t-il hurlé.
Il s’est écarté d’elle, cherchant à cacher son sexe qui avait perdu de son aisance. Mais elle s’est collée à lui, l’empêchant de bouger. Alors je me suis entendu leur dire : - Poursuivez, ne vous arrêtez pas pour moi. Vous faisiez un si beau tableau.
- Chéri, je t’en prie, je vais tout t’expliquer. A-t-elle répondu, d’un ton suppliant.
Sur le point de pleurer.
- Continuez, je vous le demande.
Elle semblait paralysée, mais le jeunot, lui ne s’est pas démonté. Sans aucune hésitation, il a écarté les cuisses de ma femme et s’est enfoncé de nouveau en elle. Excité sans doute d’avoir le mari en spectateur, il a donné le meilleur de lui-même. Je me suis agenouillé devant le spectacle, et cela, pour être au plus près du coït.
- Chérie, il te baise bien, j’espère que tu aimes ? Lui ai-je lancé.
Elle a baisé les yeux vers moi. Elle s’efforça de soutenir mon regard. Mais mon, j’étais fasciné par la verge luisante de mouille qui entrait et sortait entre les lèvres intime de ma femme, à une vitesse vertigineuse.
- Oooh oooooouuuiii ! Le salaud me bourre bien ! Oooooouuuuiii mon salaud continu à me bourrer la chatte….
Excité par ses mots crus, je me suis jeté, bouche avide, au centre des ébats. Je me suis mis à lécher, à baiser, à sucer, autant le sexe de ma femme que celui du jeune homme. J’ai aspiré leurs liquides. J’ai épié les bruits mouillés qui s‘en dégager. J’ai titillé, en haut, le clitoris. J’ai léché, en bas, les couilles fermes. Que je faisais rouler sous mes doigts pour reprendre mon souffle avant de réattaquer.
Ils ont joui tous deux avec une synchronisation parfaite. J’ai tiré alors la verge du gamin en la prenant par la racine. La sortant du vagin inondé de sperme et de mouille. Et sans réfléchir, j’ai refermé mes lèvres sur le membre encore à demi-érigé. J’ai recueilli les dernières gouttes de liqueur blanchâtre.
Quelques minutes plus tard, avec en bouche le goût âcre du sperme, je me suis redressé. J’ai écarté sans aménagement le jeunot afin de retourner ma femme, et d’un coup de reins j’ai enfoncé ma queue dans son anus. Furieusement je me suis branlé dedans. En plein délire j’ai lancé au jeunot : - Tu vois comment elle aime être prise cette salope !
Je n’ai pas mis longtemps à jouir.
Dès que le jeunot a déguerpi, bouleversé par ce que j’avais vu. Je souffrais le martyre. Mon cœur était comme serré dans un étau, brisé. Mais chose étrange je me sentais toujours autant excité, et cela comme jamais. C’était simple je ne débandais plus. Je venais pourtant d’éjaculer, mais cela n’empêcher pas à ma queue de se dresser vers le plafond. Comme jadis, quand j’étais encore adolescent. Je me suis de nouveau de ma femme et l’ai couché sur le capot. Et je l’ai enculé de nouveau, les yeux dans les yeux. Cela a mis plus de temps, avant que je jouisse.
Une fois dans le lit, ne trouvant pas le sommeil, et pour cause, nous avons discuté, je lui ai dit : - Ne t’inquiète pas, ça ne change rien entre nous, je t’ai négligée ces derniers temps avec mes horaires de fou, je comprends, ne pleure pas, c’est oublié.
J’ai attendu qu’elle se calme pour lui suggérer : - Mais dis-moi ton neveu.
- Quoi mon neveux.
- Il ne serait pas puceau ?
- C’n’est pas que tu as l’intention de ?
- Pourquoi pas. Une histoire comme une autre de donner à lire aux lecteurs de HDS.
- Pas question ! Fit-elle catégoriquement.
- Tu n’ais pas en position de discuter. C’est les lecteurs qui décideront.
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