Ma femme....Eva
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma femme....Eva
Depuis qu'elle a disparu il y a 10 ans, je me souviens de tous ces moments où nous
vivions une romance, salée, sans doute, mais combien agréable. J'ai en tête quand elle
se masturbait devant moi qui tenait ma bite en la regardant se faire du bien. Une fois
elle m'en voulait parce que mon jet de semence était tombé hors de sa chatte, juste au
moment de son orgasme. Et quand après m'avoir sucé elle prenant le sperme avec
contentement dans sa bouche gourmande de ma liqueur. J'ai encore en mémoire le goût de
sa cyprine fluide sous ma langue.
Depuis je me contente seul. Surtout sous la douche, comme elle quand elle prenait le
jet juste sur son abricot ou son cul, selon l'inspiration du moment. Elle jouissait
toujours ainsi le matin tôt pour la première fois de la journée. Je pouvais la baiser
ensuite sans problème : elle s'était dérouillé la chatte.
Donc ma main est ma seule compagne de jouissance. Je rêve toujours de sa présence. Je
me masturbe souvent en mettant des fois un doigt dans le cul. Comme elle me faisait
souvent. Rien que d'en parler, je bande.
Il y a peu un événement est intervenu : une nouvelle et jeune voisine a remplacé les
anciens locataires. Elle est venu se présenter un soir : Éva, une grande belle brune.
En signe de bienvenue, je lui ai servi un verre d'apéritif. Assise presque en face de
moi je voyais ses cuisses appétissantes s'ouvrir lentement pour se fermer quand elle
voyait que je regardais. J'avais enfin envie d'une femme. J'ai su de suite que mes 50
ans ne la rebutait pas quand je lui ai parlé de ma femme, mon vieil amour de son âme
et son corps, surtout son corps.
Je sentais que je bandais en me dévoilant ainsi. Sans doute prise par ma nostalgie,
elle venait me donner un simple baiser sur les joues. Et puis, simplement tout est
arrivé, elle s'est offerte à moi comme pour me consoler, sans penser à elle, sauf
qu'elle y a prit du plaisir.
Quand sa bouche quitté ma joue, je l'ai faite dévier sur ma bouche. Ma langue a passé
la barrière de ses lèvres pour trouver sa langue. Un vraie langue, bien vivante qui
supportait mes mouvements. Mon instinct de mâle a eu le dessus. J'ai eu envie d'elle
aussitôt.
Je me suis assis près d'elle. Mon baiser, notre baiser devenait le début de quelque
chose. Je craignais qu'elle me quitte quand j'ai touché à peine sa poitrine. Éva
tendait sa poitrine vers moi. Je pouvais passer ma main sous le débardeur pour trouver
des seins nus durcis par le désir. Avec mon pouce je tripotais ses tétons.
De son coté, elle aussi défaisait ma chemise pour caresser ma poitrine. Sa main
commençait à parcourir mon corps : des mains de femmes depuis le temps. Ma bite s'en
rendait compte en étant plus grosse de seconde et seconde. J'avais plus qu'un envie,
un besoin, une nécessité de son sexe. J'allais vite entre ses cuisses qui s'ouvraient
comme un don.Je cheminais sur sa chatte que je trouvais plus qu'humide. Elle aussi
avait envie de moi ou de jouir, je n'en sais rien.
Je me retenais comme je pouvais, je n'allais pas la baiser ainsi. Je voulais lui
donner un premier orgasme sans mon membre dans son con. Comme en adoration devant
elle, à genoux, j'arrivais à lui enlever le slip puis, passer ma tête en sentant son
odeur de femelle en chaleur arriver jusqu'à moi. Maintenant j'allais lui bouffer la
chatte. Sa jupe ne pesait plus rien quand elle la faisait passer sur ma tête.
Ma bouche en entier sur sa bouche du bas, nous faisions bon ménage. Je léchais
partout, surtout juste sous le sexe, sur le périnée. J'avais le choix entre le haut ou
le bas. Je me souvenant d'avant : j'allais perdre ma langue du coté de son anus. Il me
semblait presque trop doux pour un petit trou. Et sans forcer j'arrivais à y entrer
presque toute ma langue. Éva gémissait, ouvrait encore plus ses jambes, me les passait
sur mes épaules, elle se donnait toute. Chacun sait que quand on a le cul, on a la
femme. Elle s'étirait totalement, son pubis tendu vers moi. Je pouvais même en
profiter pour lui mettre deux doigts dans son sexe élastique.
Assez rapidement, tout compte fait, elle partait vers ces rivages ensoleillés de
l'orgasme.
Viens me donner ta bite, que je te suce.
Attend un peu, je veux passer entre tes seins d'abord.
Oui, et si tu jouis, donne moi ton sperme dans la bouche, que je te goûte. Son maillot
enlevé, elle se trouvait le torse nu, alors que j'enlevais mon pantalon et la suite.
Je sentais mes couilles venir contre son ventre d'abord et presque ses seins ensuite.
Je regardais, comme elle ma bite coincée entre sa gorge : j'allais et venais, comme
elle qui m'aidais à prendre mon pied. Dans le dernier sursaut de jouissance,
j'avançais ma bite vers sa bouche ouverte. Je lâchais mon sperme pour la première fois
dans sa bouche. Éva attendait mon dernier jet pour tout avaler.
Je remarquait à cet instant seulement que sa main droite s'agitait sur le clitoris. La
garce, elle faisait comme ma femme : elle se branlait sans pudeur devant moi qu'elle
avalait. J'aurais du débander, mais sachant ce qu'elle se faisait, je ne pouvait faire
moins que la baiser.
Nous avons changé d'endroit. Sur le lit, c'était plus confortable. Elle était encore
plus chaude que ma femme, à moins que son esprit soit descendu sur elle.
Baises moi, j'en meurs d'envie, fous moi ta queue.
Où ? Dans le cul ou le con.
Dans le con pour le moment.
Je passe sur Éva, elle écarte les jambes, les passe sur mes reins, me tend son bas
ventre. Elle se donne totalement. Je la pénètre lentement, très lentement. Je veux que
nous profitions ensemble de la baise. Quand je suis profondément dans son vagin, elle
me caresse les fesses avant de piquer un doigt dans mon cul. Je sursaute devant ce
plaisir oublié. Que dire de cette étreinte sinon que nous prenons notre pied ensemble.
Je sens deux fois ses contractions autour de ma queue. Le tout accompagné de gros mots
distinction de bonne baiseuse.
Elle est une garce, une salope, une putain des ruelles, une vache, une fille qui aime
se faire mettre qui aime la baise.
J'approuve ce qu'elle dit sur elle. Surtout quand elle me fait mettre sur le dos,
qu'elle se lève pour se faire planter ma queue dans son cul : elle se branle encore.
Et moi je me laisse faire, emprisonné par ses fesses, ma queue loin dans son ventre,
dans ses boyaux. Je vois ses seins ballottés par ses mouvements saccadés au débuts
puis carrément le galop d'un cheval vers la fin. Mon orgasme déchaîné dévaste mon
service trois pièces. Il me semble qu'elle se fini quand je suis mou.
Elle en jouit avant de me reprendre encore une fois dans sa bouche. C'est meilleur
pour elle après la sodomie. Pour moi c'est encore une érection de plus. Je ne pensais
jamais pouvoir bander encore. Mais là il ne lui reste plus qu'à retirer encore ma
moële de la queue. Elle se tourne : nous nous finissons en 69, la meilleure au monde
pour un baisser de rideau.
Ce n'est que le lendemain matin qu'elle me demande de rester la journée avec moi. Tant
pis pour le quand dira-t-on. Elle tient à me garder pour baiser la journée et la nuit
suivante, sauf que depuis trois mois ,elle est encore chez moi, en ayant résilié le
bail de son logement : elle baise de mieux en mieux. Je la baise toujours autant. J'en
ai oublié ma femme, sexuellement elle est fort bien remplacée.
vivions une romance, salée, sans doute, mais combien agréable. J'ai en tête quand elle
se masturbait devant moi qui tenait ma bite en la regardant se faire du bien. Une fois
elle m'en voulait parce que mon jet de semence était tombé hors de sa chatte, juste au
moment de son orgasme. Et quand après m'avoir sucé elle prenant le sperme avec
contentement dans sa bouche gourmande de ma liqueur. J'ai encore en mémoire le goût de
sa cyprine fluide sous ma langue.
Depuis je me contente seul. Surtout sous la douche, comme elle quand elle prenait le
jet juste sur son abricot ou son cul, selon l'inspiration du moment. Elle jouissait
toujours ainsi le matin tôt pour la première fois de la journée. Je pouvais la baiser
ensuite sans problème : elle s'était dérouillé la chatte.
Donc ma main est ma seule compagne de jouissance. Je rêve toujours de sa présence. Je
me masturbe souvent en mettant des fois un doigt dans le cul. Comme elle me faisait
souvent. Rien que d'en parler, je bande.
Il y a peu un événement est intervenu : une nouvelle et jeune voisine a remplacé les
anciens locataires. Elle est venu se présenter un soir : Éva, une grande belle brune.
En signe de bienvenue, je lui ai servi un verre d'apéritif. Assise presque en face de
moi je voyais ses cuisses appétissantes s'ouvrir lentement pour se fermer quand elle
voyait que je regardais. J'avais enfin envie d'une femme. J'ai su de suite que mes 50
ans ne la rebutait pas quand je lui ai parlé de ma femme, mon vieil amour de son âme
et son corps, surtout son corps.
Je sentais que je bandais en me dévoilant ainsi. Sans doute prise par ma nostalgie,
elle venait me donner un simple baiser sur les joues. Et puis, simplement tout est
arrivé, elle s'est offerte à moi comme pour me consoler, sans penser à elle, sauf
qu'elle y a prit du plaisir.
Quand sa bouche quitté ma joue, je l'ai faite dévier sur ma bouche. Ma langue a passé
la barrière de ses lèvres pour trouver sa langue. Un vraie langue, bien vivante qui
supportait mes mouvements. Mon instinct de mâle a eu le dessus. J'ai eu envie d'elle
aussitôt.
Je me suis assis près d'elle. Mon baiser, notre baiser devenait le début de quelque
chose. Je craignais qu'elle me quitte quand j'ai touché à peine sa poitrine. Éva
tendait sa poitrine vers moi. Je pouvais passer ma main sous le débardeur pour trouver
des seins nus durcis par le désir. Avec mon pouce je tripotais ses tétons.
De son coté, elle aussi défaisait ma chemise pour caresser ma poitrine. Sa main
commençait à parcourir mon corps : des mains de femmes depuis le temps. Ma bite s'en
rendait compte en étant plus grosse de seconde et seconde. J'avais plus qu'un envie,
un besoin, une nécessité de son sexe. J'allais vite entre ses cuisses qui s'ouvraient
comme un don.Je cheminais sur sa chatte que je trouvais plus qu'humide. Elle aussi
avait envie de moi ou de jouir, je n'en sais rien.
Je me retenais comme je pouvais, je n'allais pas la baiser ainsi. Je voulais lui
donner un premier orgasme sans mon membre dans son con. Comme en adoration devant
elle, à genoux, j'arrivais à lui enlever le slip puis, passer ma tête en sentant son
odeur de femelle en chaleur arriver jusqu'à moi. Maintenant j'allais lui bouffer la
chatte. Sa jupe ne pesait plus rien quand elle la faisait passer sur ma tête.
Ma bouche en entier sur sa bouche du bas, nous faisions bon ménage. Je léchais
partout, surtout juste sous le sexe, sur le périnée. J'avais le choix entre le haut ou
le bas. Je me souvenant d'avant : j'allais perdre ma langue du coté de son anus. Il me
semblait presque trop doux pour un petit trou. Et sans forcer j'arrivais à y entrer
presque toute ma langue. Éva gémissait, ouvrait encore plus ses jambes, me les passait
sur mes épaules, elle se donnait toute. Chacun sait que quand on a le cul, on a la
femme. Elle s'étirait totalement, son pubis tendu vers moi. Je pouvais même en
profiter pour lui mettre deux doigts dans son sexe élastique.
Assez rapidement, tout compte fait, elle partait vers ces rivages ensoleillés de
l'orgasme.
Viens me donner ta bite, que je te suce.
Attend un peu, je veux passer entre tes seins d'abord.
Oui, et si tu jouis, donne moi ton sperme dans la bouche, que je te goûte. Son maillot
enlevé, elle se trouvait le torse nu, alors que j'enlevais mon pantalon et la suite.
Je sentais mes couilles venir contre son ventre d'abord et presque ses seins ensuite.
Je regardais, comme elle ma bite coincée entre sa gorge : j'allais et venais, comme
elle qui m'aidais à prendre mon pied. Dans le dernier sursaut de jouissance,
j'avançais ma bite vers sa bouche ouverte. Je lâchais mon sperme pour la première fois
dans sa bouche. Éva attendait mon dernier jet pour tout avaler.
Je remarquait à cet instant seulement que sa main droite s'agitait sur le clitoris. La
garce, elle faisait comme ma femme : elle se branlait sans pudeur devant moi qu'elle
avalait. J'aurais du débander, mais sachant ce qu'elle se faisait, je ne pouvait faire
moins que la baiser.
Nous avons changé d'endroit. Sur le lit, c'était plus confortable. Elle était encore
plus chaude que ma femme, à moins que son esprit soit descendu sur elle.
Baises moi, j'en meurs d'envie, fous moi ta queue.
Où ? Dans le cul ou le con.
Dans le con pour le moment.
Je passe sur Éva, elle écarte les jambes, les passe sur mes reins, me tend son bas
ventre. Elle se donne totalement. Je la pénètre lentement, très lentement. Je veux que
nous profitions ensemble de la baise. Quand je suis profondément dans son vagin, elle
me caresse les fesses avant de piquer un doigt dans mon cul. Je sursaute devant ce
plaisir oublié. Que dire de cette étreinte sinon que nous prenons notre pied ensemble.
Je sens deux fois ses contractions autour de ma queue. Le tout accompagné de gros mots
distinction de bonne baiseuse.
Elle est une garce, une salope, une putain des ruelles, une vache, une fille qui aime
se faire mettre qui aime la baise.
J'approuve ce qu'elle dit sur elle. Surtout quand elle me fait mettre sur le dos,
qu'elle se lève pour se faire planter ma queue dans son cul : elle se branle encore.
Et moi je me laisse faire, emprisonné par ses fesses, ma queue loin dans son ventre,
dans ses boyaux. Je vois ses seins ballottés par ses mouvements saccadés au débuts
puis carrément le galop d'un cheval vers la fin. Mon orgasme déchaîné dévaste mon
service trois pièces. Il me semble qu'elle se fini quand je suis mou.
Elle en jouit avant de me reprendre encore une fois dans sa bouche. C'est meilleur
pour elle après la sodomie. Pour moi c'est encore une érection de plus. Je ne pensais
jamais pouvoir bander encore. Mais là il ne lui reste plus qu'à retirer encore ma
moële de la queue. Elle se tourne : nous nous finissons en 69, la meilleure au monde
pour un baisser de rideau.
Ce n'est que le lendemain matin qu'elle me demande de rester la journée avec moi. Tant
pis pour le quand dira-t-on. Elle tient à me garder pour baiser la journée et la nuit
suivante, sauf que depuis trois mois ,elle est encore chez moi, en ayant résilié le
bail de son logement : elle baise de mieux en mieux. Je la baise toujours autant. J'en
ai oublié ma femme, sexuellement elle est fort bien remplacée.
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