Ma jeune employée
Récit érotique écrit par MBoubou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Ma jeune employée
Bonjour à tous, Je suis Corinne Vidal. Vous avez déjà pu entendre parler de moi dans des précédentes histoire de MBoubou, « Le jeune confiné ».
Aujourd’hui c’est à moi de raconter.
Pour rappel, je suis une femme mûre (non non, je ne vous donnerais pas mon âge), une petite soixantaine de kilos, et toujours bien mis en valeur dans des tailleurs avec des talons.
Si vous avez lu les histoire de mon jeune amant Guillaume, vous en savez déjà pas mal. Mais Guillaume n’étant plus aussi présent qu’au confinement, je suis un peu à la diète au niveau du sexe.
Les plaisirs charnels me manquent.
Mais dernièrement quelqu’un à réveillé le feu brulant endormi en moi. J’ai un magasin de tissu, et le commerce tournant bien, j’ai décidé de me faire aider en employant quelqu’un. Quelques CV, quelques entretiens, mais la seule à m’avoir tapé dans l’œil, c’est Clarisse.
Une petite jeunette de 20 ans tout juste, qui rentre dans la vie active, bien sous tous rapports et j’étais enchanté de lui apprendre le monde du tissu.
Clarisse prenait de l’assurance et développait ses qualités, on apprenait également à se connaître et en l’observant avec certaines clients très mignonnes, je compris qu’elle était au moins bi, sinon lesbienne.
Dès ce jour là, mon regard changea quelque peu, et je commençais à la déshabiller du regard, une jolie blonde d’1m65 pour 55k, une trés jolie poitrine mis en valeur par ses décolletés. Comme moi, elle avait repris mes codes, tailleur et talon, qu’est ce qu’elle était sexy !
On va ce le dire, j’étais vraiment en train de fantasmer sur mon employé et j’avais envie d’elle, d’ailleurs plusieurs fois le soir, dans l’arrière boutique je me suis masturbé en repensant à la journée. Je faisais exprès de la frôler, de la prendre par les hanche quand je devais passer derrière elle.
Humm rien qu’en y pensant, j’ai la chatte qui me titille.
Ce vendredi soir, lorsque nous fermons le magasin avec Clarisse, après la semaine de fou que nous venons d’avoir, je lui propose de boire un petit coup dans l’arrière boutique.
Rien de fou, mais pour les semaine dure, j’ai toujours une petite bouteille pour fêter le début du weekend.
Pendant que je sors la bouteille, elle se laisse tomber dans le canapé en cuir une place, elle jette avec ses pieds ses talons, les jambes écartées et les bras sur les accoudoirs et lache un looooong soupir. Elle me fait rire car elle fait comme si elle était chez elle, et cela me fait plaisir qu’elle se sente bien dans son emploi.
-Dure semaine hein Clarisse ?!
- M’en parlez pas, j’ai galérer une heure avec Mme Pervenche !
- Elle a trouver son bonheur ?
- Elle était contente… Elle le trouvera peut être dans les bras du colonel moutarde ce soir !
Après avoir rigoler, je m’assis en face d’elle sur un escabeau, pile à sa hauteur. Nous trinquâmes en faisant tinter nos verres l’un contre l’autre.
Et là mon regard resta bloqué, j’avais en face de ses yeux son intimité dévoilé.
Les jambes écartés et la jupe assez haute me montraient qu’elle n’avait absolument aucun dessous. Déjà que je fantasmais sur elle, je me masturbais en pensant à elle, la semaine dure avec la fatigue…. Je n’arrivais absolument pas à décrocher mon regard, j’étais littéralement à l’intérieur de sa jupe.
Au bout de quelques secondes d’un monologue de sa part où elle voyait que je n’avais aucune réaction, elle me regarda et comprit l’objet de mon désir.
Un petit sourire en coin, elle s’étala un peu plus dans le canapé pour faire remonter sa jupe quasiment jusqu’en haut. Clarisse était dans le même état de fatigue que Corinne, et elle l’a trouvé très sexy pour son âge.
- Mme Vidal, ça va ? Dit Clarisse en souriant. Je vois que vous n’en perdez pas une miette !
Elle fit glisser un doigt le long de son sexe, puis le fit remonter en frôlant les lèvres.
Corinne la regarda et se rapprocha avec un sourire, en se regardant droit dans les yeux, Clarisse prit la main de Corinne et commença à se masturber avec ses doigts.
Les yeux dans les yeux, Clarisse s’activait sur son sexe qui s’humidifier grandement avec la main de sa patronne. Qui aurait cru que le journée allait se finir comme ça.
Clarisse la laissa faire en remontant ses 2 mains sur les accoudoirs, jambes écartés et Corinne avait glissait 2 doigts dans sa chatte trempés.
Corinne s’approcha et embrassa Clarisse.
- Oh ma petite Clarisse, j’avais envie de toi depuis si longtemps !!
- Hummm Mme Vidal continuez, vous allez me jouir. Clarisse avait enlevé son haut, les seins fières, elle se pinçait les tétons.
-Hummm Mme Vidal, sucez moi le téton !! Ohhh et Corinne ne se fit pas prié pour l’attraper avec ses lèvre et l’aspirait.
Corinne se releva et se mit nu, et Clarisse en profita pour retirer sa jupe également. Elle reprit sa position dans le canapé en mettant cette fois ci ses jambes sur les accoudoirs.
Corinne avait devant elle Clarisse totalement offerte, la chatte dégoulinante de cyprine, elle se mit à genou et plongea la tête sur sa fente. 2 doigts dans le vagin et la langue qui jouait avec son clitoris.
- Ohh Mme Vidal, pourquoi on a pas fais ça avant !
- En guise d’entretien hummm- Oh ouiiiClarisse lâchait des flots de cyprine, elle mouillait énormément.
- Oh ma chérie, ce que tu es chaude, tu mouilles comme un dingue.
Dans un sourire très cochon, Clarisse répondit.
- Ça vous plait ?!
- Tu n’as pas idée !
Et Corinne Accéléra ses doigts.
-Ouiiii oh ouiiiii… Mme Vidal, je jouieeeeee hummmmmm ooooohhhhh.
Des jets incontrôlés sortirent de son vagin et Corinne en avait plein le visage, elle s’approcha du visage de Clarisse pour l’embrasser à pleine bouche.
- HUmmm Mme Vidal j’ai envie de vous.
Le sourire insatiable de Corinne en disait long, elle n’était pas rassasié, la bête avait besoin de jouir. Corinne se releva.
Clarisse se mit bien droit dans le fauteuil et plaça une main sur chaque fesse de Corinne et la tira vers elle. Clarisse commença par de petits coups de langues autour du sexe de Corinne, intégralement épilé et avec une douce odeur d’excitation.
Puis elle passa sa langue entre les lèvres en remontant, une fois deux fois, le sexe s’ouvrît un peu plus, devenait de plus en plus brillant, l’odeur d’excitation s’accentuait…Pour ouvrir un peu plus ses cuisses, Corinne mit une jambe sur l’accoudoir.
La chatte brillante de mouille, et ouverte en grand, Clarisse y allait avec plaisir, elle fouilla son vagin puis remonta sur la clitoris. Elle lui mit un doigts dans l’anus pendant qu’elle la léchait. Corinne mit ses mains sur la tête de Clarisse.
- Ohhh oui Clarisse, ce que tu es cochonne, tu vas me faire jouirrr…. Ouiii hummm je vais te jouir dans la bouche hummm ohhhhhhh oouhhhhhhDans des soubresaut, les jambes tremblotantes, Corinne jouissait grâce à la langue de Clarisse.
Elles se mirent toutes les deux dans le canapé. Clarisse les jambes écartés et Corinne sur elle, les jambes sur l’accoudoir qui retombaient de l’autre côté. Elle s’embrassèrent pendant une dizaine minutes.
Clarisse la regardant lui dit.
- vivement le prochain vendredi.
- Qui te dit qu’on attendra vendredi.
et Corinne reposa sa bouche sur la sienne
Aujourd’hui c’est à moi de raconter.
Pour rappel, je suis une femme mûre (non non, je ne vous donnerais pas mon âge), une petite soixantaine de kilos, et toujours bien mis en valeur dans des tailleurs avec des talons.
Si vous avez lu les histoire de mon jeune amant Guillaume, vous en savez déjà pas mal. Mais Guillaume n’étant plus aussi présent qu’au confinement, je suis un peu à la diète au niveau du sexe.
Les plaisirs charnels me manquent.
Mais dernièrement quelqu’un à réveillé le feu brulant endormi en moi. J’ai un magasin de tissu, et le commerce tournant bien, j’ai décidé de me faire aider en employant quelqu’un. Quelques CV, quelques entretiens, mais la seule à m’avoir tapé dans l’œil, c’est Clarisse.
Une petite jeunette de 20 ans tout juste, qui rentre dans la vie active, bien sous tous rapports et j’étais enchanté de lui apprendre le monde du tissu.
Clarisse prenait de l’assurance et développait ses qualités, on apprenait également à se connaître et en l’observant avec certaines clients très mignonnes, je compris qu’elle était au moins bi, sinon lesbienne.
Dès ce jour là, mon regard changea quelque peu, et je commençais à la déshabiller du regard, une jolie blonde d’1m65 pour 55k, une trés jolie poitrine mis en valeur par ses décolletés. Comme moi, elle avait repris mes codes, tailleur et talon, qu’est ce qu’elle était sexy !
On va ce le dire, j’étais vraiment en train de fantasmer sur mon employé et j’avais envie d’elle, d’ailleurs plusieurs fois le soir, dans l’arrière boutique je me suis masturbé en repensant à la journée. Je faisais exprès de la frôler, de la prendre par les hanche quand je devais passer derrière elle.
Humm rien qu’en y pensant, j’ai la chatte qui me titille.
Ce vendredi soir, lorsque nous fermons le magasin avec Clarisse, après la semaine de fou que nous venons d’avoir, je lui propose de boire un petit coup dans l’arrière boutique.
Rien de fou, mais pour les semaine dure, j’ai toujours une petite bouteille pour fêter le début du weekend.
Pendant que je sors la bouteille, elle se laisse tomber dans le canapé en cuir une place, elle jette avec ses pieds ses talons, les jambes écartées et les bras sur les accoudoirs et lache un looooong soupir. Elle me fait rire car elle fait comme si elle était chez elle, et cela me fait plaisir qu’elle se sente bien dans son emploi.
-Dure semaine hein Clarisse ?!
- M’en parlez pas, j’ai galérer une heure avec Mme Pervenche !
- Elle a trouver son bonheur ?
- Elle était contente… Elle le trouvera peut être dans les bras du colonel moutarde ce soir !
Après avoir rigoler, je m’assis en face d’elle sur un escabeau, pile à sa hauteur. Nous trinquâmes en faisant tinter nos verres l’un contre l’autre.
Et là mon regard resta bloqué, j’avais en face de ses yeux son intimité dévoilé.
Les jambes écartés et la jupe assez haute me montraient qu’elle n’avait absolument aucun dessous. Déjà que je fantasmais sur elle, je me masturbais en pensant à elle, la semaine dure avec la fatigue…. Je n’arrivais absolument pas à décrocher mon regard, j’étais littéralement à l’intérieur de sa jupe.
Au bout de quelques secondes d’un monologue de sa part où elle voyait que je n’avais aucune réaction, elle me regarda et comprit l’objet de mon désir.
Un petit sourire en coin, elle s’étala un peu plus dans le canapé pour faire remonter sa jupe quasiment jusqu’en haut. Clarisse était dans le même état de fatigue que Corinne, et elle l’a trouvé très sexy pour son âge.
- Mme Vidal, ça va ? Dit Clarisse en souriant. Je vois que vous n’en perdez pas une miette !
Elle fit glisser un doigt le long de son sexe, puis le fit remonter en frôlant les lèvres.
Corinne la regarda et se rapprocha avec un sourire, en se regardant droit dans les yeux, Clarisse prit la main de Corinne et commença à se masturber avec ses doigts.
Les yeux dans les yeux, Clarisse s’activait sur son sexe qui s’humidifier grandement avec la main de sa patronne. Qui aurait cru que le journée allait se finir comme ça.
Clarisse la laissa faire en remontant ses 2 mains sur les accoudoirs, jambes écartés et Corinne avait glissait 2 doigts dans sa chatte trempés.
Corinne s’approcha et embrassa Clarisse.
- Oh ma petite Clarisse, j’avais envie de toi depuis si longtemps !!
- Hummm Mme Vidal continuez, vous allez me jouir. Clarisse avait enlevé son haut, les seins fières, elle se pinçait les tétons.
-Hummm Mme Vidal, sucez moi le téton !! Ohhh et Corinne ne se fit pas prié pour l’attraper avec ses lèvre et l’aspirait.
Corinne se releva et se mit nu, et Clarisse en profita pour retirer sa jupe également. Elle reprit sa position dans le canapé en mettant cette fois ci ses jambes sur les accoudoirs.
Corinne avait devant elle Clarisse totalement offerte, la chatte dégoulinante de cyprine, elle se mit à genou et plongea la tête sur sa fente. 2 doigts dans le vagin et la langue qui jouait avec son clitoris.
- Ohh Mme Vidal, pourquoi on a pas fais ça avant !
- En guise d’entretien hummm- Oh ouiiiClarisse lâchait des flots de cyprine, elle mouillait énormément.
- Oh ma chérie, ce que tu es chaude, tu mouilles comme un dingue.
Dans un sourire très cochon, Clarisse répondit.
- Ça vous plait ?!
- Tu n’as pas idée !
Et Corinne Accéléra ses doigts.
-Ouiiii oh ouiiiii… Mme Vidal, je jouieeeeee hummmmmm ooooohhhhh.
Des jets incontrôlés sortirent de son vagin et Corinne en avait plein le visage, elle s’approcha du visage de Clarisse pour l’embrasser à pleine bouche.
- HUmmm Mme Vidal j’ai envie de vous.
Le sourire insatiable de Corinne en disait long, elle n’était pas rassasié, la bête avait besoin de jouir. Corinne se releva.
Clarisse se mit bien droit dans le fauteuil et plaça une main sur chaque fesse de Corinne et la tira vers elle. Clarisse commença par de petits coups de langues autour du sexe de Corinne, intégralement épilé et avec une douce odeur d’excitation.
Puis elle passa sa langue entre les lèvres en remontant, une fois deux fois, le sexe s’ouvrît un peu plus, devenait de plus en plus brillant, l’odeur d’excitation s’accentuait…Pour ouvrir un peu plus ses cuisses, Corinne mit une jambe sur l’accoudoir.
La chatte brillante de mouille, et ouverte en grand, Clarisse y allait avec plaisir, elle fouilla son vagin puis remonta sur la clitoris. Elle lui mit un doigts dans l’anus pendant qu’elle la léchait. Corinne mit ses mains sur la tête de Clarisse.
- Ohhh oui Clarisse, ce que tu es cochonne, tu vas me faire jouirrr…. Ouiii hummm je vais te jouir dans la bouche hummm ohhhhhhh oouhhhhhhDans des soubresaut, les jambes tremblotantes, Corinne jouissait grâce à la langue de Clarisse.
Elles se mirent toutes les deux dans le canapé. Clarisse les jambes écartés et Corinne sur elle, les jambes sur l’accoudoir qui retombaient de l’autre côté. Elle s’embrassèrent pendant une dizaine minutes.
Clarisse la regardant lui dit.
- vivement le prochain vendredi.
- Qui te dit qu’on attendra vendredi.
et Corinne reposa sa bouche sur la sienne
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