Opération hernie discale - histoire érotique

Cela faisait quelques temps que je n’avais pas publié d’histoire.
Cela à cause d’une… hernie discale ! 35 ans et déjà une hernie, sur le bas du dos.
J’étais totalement à l’arrêt, un véritable petit vieux.
Tout juste bon à occuper le canapé, allongé, avec mon plaid.
Un vieux je vous dis !
Le moindre déplacement était une torture, la douleur allant jusque dans le pied (plus loin, elle n’aurait pas pût aller me direz-vous).
Heureusement, bien suivi, j’ai une infiltration, puis une deuxième.
Pff, comme pisser dans un violon ce truc.
Donc, avec mon rhumatologies, nous partons sur une opération du dos, et hospitalisation pendant quelque jours.
…Jour de l’hospitalisation arrivé, je suis reçu par une jeune infirmière (35 ans également), c’est elle qui s’occupe des papiers d’admissions.
Avec le masque, nous nous concentrons sur d’autres détails du physique, et elle, avait des yeux de biche, avec une jolie paire de lunettes et des cheveux bouclés attachés en chignon. Vous rajoutez à ça sa gentillesse, et vous aurez compris que j’étais sous un charme certain.
…Elle m’emmena dans ma chambre, une chambre seul,au bout du service, avec une vue sur la montagne.
Vu la douleur que j’avais et comment mon « séjour » commençait, j’étais plutôt ravi.
Pour tout vous dire, dans le service où j’étais, aucune infirmière n’avait plus de 40 ans, et comme j’étais le seul « jeune » homme en patient de tout le service (la moyenne d’âge devait osciller entre 65 et 75ans), elles adoraient s’occuper de moi, ou de juste venir discuter…Traitement médical… NonAllergies… NonVous fumez… NonAllergies à des médicament, bétadine… NonLe rêve pour une infirmière…Et elles restaient discuter avec moi.
…Jour de l’opération arrivé, un peu de stresse quand même ! Douche à la bétadine, blouse et culotte chirurgical, so sexy…Dans la salle d’opération, tout le monde me met à l’aise.
D’un coup, on accroche mes poignées, retourné sur le ventre sans ménagement, PLAM. Et là, en face de moi, le chirurgien qui aiguise son scalpel, passe la lame sous un chalumeau pour la stériliser et me regarde en souriant…Pour ceux qui ont une hernie discale et qui vont se faire opérer… Je déconne… …L’opération s’est bien passée, 2 heures après, hop retour en chambre.
C’est maintenant que ça devient interessant.
Il faut savoir que dès le premier soir après l’opération, on vous fait marcher et uriner. C’est ici que je vois arriver mon infirmière préféré aux yeux de biches.
On ne se tutoie pas, mais on sent tous les deux, une certaine proximité. Elle ne porte pas de blouse mais, un pantalon et un haut bleu, ils sont très fin, avec un décolleté très sympa.
Elle me fait mettre debout et faire quelques pas, puis me dit « allez stop, c’est bon, on se rallonge ».
Elle part dans les toilettes et en revient avec un urinoir en plastique et me dit en souriant derrière son masque « maintenant, il va falloir faire pipi dedans. Je repasse tout à l’heure quand c’est fini ».
Et puis elle se casse comme ça. L’urinoir dans la main.
Son attitude me fait sourire et me laisse sans voix. N’ayant pas trop le droit de me lever et étant allongé, comment je vais faire pour uriner comme ça.
…Elle repasse une heure après et me demande « alors, c’est fait ? »- J’ai tout essayé, j’ai même incliné le lit pour m’aider avec la gravité, dis je en rigolant.
- Il va falloir réussir, sinon je vais devoir mettre une sonde pour vider la vessie !
Et là d’un coup je rigole moins, et elle repart en promettant de revenir dans une heure.
Ok ! J’ai une heure pour réussir à pisser ! Je bois, je bois beaucoup d’eau pour m’aider. Quasiment une bouteille pleine y passe, 1,5L !
…L’heure est passé, elle revient, et… rien, pas de pipi, pourtant j’ai envie.
- Ça ne va pas être agréable, mais il faut que je vide la vessie !
La porte de la chambre fermé, elle prend le tube qui doit aller dans mon sexe jusqu’à ma vessie.
Elle vient contre le lit et voit mes yeux rempli d’appréhension.
De sa main gauche, elle prend mon sexe flasque dans sa main délicate, en soupesant les testicules. Sa main droite approche avec le tuyau et là… jaillit de mon sexe l’urine chaude et d’or qui m’évite cet acte.
Elle garde mon sexe en main, le tenant avec une grande délicatesse.
Mon urine coule abondamment, sur le lit, sur son habit (où j’ai le sentiment qu’elle vient se coller encore plus au lit) qui se colle à son corps et me laisse entrevoir sa peau et sa culotte blanche par transparence.
Ses yeux me scrutent, sa main me caresse en même temps que j’urine, j’ai les yeux mi clos.
Elle pose son genou sur le lit, et de son autre main, elle la caresse en se collant un peu plus le vêtement fin sur le peau. Une sacrée quantité de ce liquide d’or est sur le lit entre nous et ça coule encore !
Ça doit faire maintenant 20 secondes que j’urine et mon jet se calme enfin. Je lui caresse sa cuisse tremper avec elle, on se touche nos main chaude et trempés.
Son autre main commence à me branler tout doucement, je dirige la mienne aussi sur sa culotte que je vois. Je pose délicatement mon pouce et mon index sur le tissu chaud et elle avance son bassin pour venir à la rencontre de mes doigts.
Elle me caresse mais avec les antidouleurs et les restes de l’opération, je ne bande pas plus que ça. Elle le comprend mais néanmoins continue sa caresse.
Je continue aussi. Mes doigts impriment un peu plus de pression à chaque passage, le tissu trempé est maintenant collé à ses lèvres. Au touché, je sens que son humidité de femme vient se mêler à mon urine.
Dans le silence de ses petits gémissements, elle prend mes doigts et les glissent dans son pantalon, sur la culotte. Je sens encore plus la forme de son sexe, sa cyprine qui commence à prendre le dessus sur mon urine et qui nous excites tant.
D’une main, elle se palpe un sein, le serrant petit à petit en allant jusqu’au teton. L’autre main, elle, rentre dans son pantalon, attrape mon index et mon majeur pour plus que je les bouges. C’est maintenant elle qui dirige. Elle bouge son bassin d’avant en arrière comme elle le désir pour se masturber sur mes doigts.
Elle gémit de plus en plus, ferme les yeux, puis les ouvres en me regardant.
Elle écarte ensuite sa culotte, toujours en me tenant les doigts, les glisses dans son sexe qui est trempé. Elle prend désormais mon poignet et imprime un rythme de va et vient rapide, toujours en bougeant son bassin.
Je me mord les lèvres en la voyant se déchaîner comme ça sur mes doigts. Elle enlève son masque pour pouvoir respirer.
Elle gémit fort tout en se contenant pour pas faire trop de bruit. Les clapotis de son sexe avec mes doigts font pas mal de bruit, je sens qu’avec la quantité de mouille, elle va jouir !
- Oh oui, humm ouiii, ouiiii ouiiii ouhhhhSon corps se raidit, elle tient mon poignet collé contre son sexe avec mes doigts aux plus profond d’elle. Sans la connaître plus que ça, je sens que mon infirmière aux yeux de biche à eu une de ses meilleures jouissances.
Elle se frotte un peu a mes doigts et puis retire ma main. Elle se remet bien le pantalon, entre le lit et son habit, nous sommes trempés tous les deux.
Sans me prévenir, elle appuie sur la télécommande pour appeler une collègue, qui arrive quelques secondes plus tard.
…- Oh bah ça… qu’est ce qu’il s’est passé dit l’infirmière qui vient de rentrer !
- Ce jeune homme à eu peur de la sonde urinaire et m’a explosé dans les mains dit-elle en rigolant.
En attendant je suis toujours nu avec le lit rempli d’urine.
- Bon d’accord, y’en a partout ! Je vais m’en occuper ! Va te doucher !
Juste avant qu’elle passe la porte sa collègue rajouta « la chef veut te voir en plus, y’a un problème pour ce soir, il manque quelqu’un ».
- Ça ne m’arrange pas, j’avais quelque chose de prévu ce soir… Ses yeux se posèrent sur moi. Mais bon je vais voir si je peux m’arranger !

Elle me fit un clin d’œil et sortit de la pièce.

Suite la nuit prochaine.