Opération hernie discale 2 - histoire érotique

Après cette première partie arrosée (voir partie 1),
…
Ça frappe à la porte de ma chambre et l’aide-soignante rentre avec le plateau.
- C’est l’heure du repas dit elle dans un sourire de la promesse d’un plat délicieux.
- J’en salive d’avance en lui faisant une grimace ironique.
- Purée de courgettes avec un morceau de bœuf.
Je n’ai pas le droit d’être assis alors je me mets debout, le plateau devant moi.
Juste avant qu’elle ne sorte, en rigolant, je lui dis « mes compliments au chef ».

…
Un petit quart d’heure après, l’aide-soignante, suivi de mon infirmière préférée, rentrent dans ma chambre.
- Alors ? Est-ce que le plat vous a plus ? Me demanda l’aide-soignante.
- Un RE-GAL ! Bien sûr, il restait la moitié de plat.
Mon infirmière rigole, l’aide-soignante s’empare du plat et disparaît.
- Comment ça va depuis tout à l’heure ?
Ses yeux derrière ses lunettes me regardent.
Elle m’hypnotise ou quoi ?! Parce que ça maaaaaarche !
- Bien, même mieux !… Vous faites la nuit alors ?
- Oui, je me suis arrangé. Tournez vous pour me montrer ce dos.
Mon dos et mes fesses à l’air, elle me change mon pansement.
- Je repasserais dans la nuit pour vous faire une piqûre et nous changerons aussi le pansement.
C’est moi où elle est distante ?… elle me dit « à toute à l’heure », là, stupeur, elle se penche, baisse son masque, me fait un smack appuyé et s’en va avec un clin d’œil.

…
Au milieu de la nuit, la porte s’ouvre sans ménagement.
Elle allume la lumière, et vient se mettre à côté moi avec le nécessaire pour me nettoyer la plaie.
- Désolé de vous réveiller, vous dormiez bien ?
- Oui, plutôt ! Je pense que j’ai encore des tranquillisants dans le sang.
- Oui, ça met quelques jours avant que le corps ne les absorbe.
Dos à moi, elle prépare la piqûre.

…Les yeux fermés, je revois mentalement son pantalon détrempé de mon urine… le lit… nos mains trempées qui se rejoignent. Elle qui prend ma main pour se doigter et jouir violemment…
Je réouvre les yeux la vois devant moi, avec la piqûre tenu entre 2 doigts, comme si elle tenait négligemment une cigarette. Elle a enlevé son masque et dans un magnifique sourire me dit « le rêve était doux, j’espère » ?!
Je lui renvoie son sourire. Bafouillant, je lui dis « oui… en fait… je repensais à tout à l’heure »- Tout à l’heure ? Me dit-elle avec un sourire moqueur.
Dans un sourire, elle plante un peu fort la piqûre dans mon ventre et me fait échapper un « ah » de douleur.
- Maintenant, on va se lever doucement, pour que je te change le pansement !
Elle m’aide à me lever délicatement, dans une chorégraphie particulière pour ne surtout pas faire d’effort au niveau du dos.
Elle me nettoie ma future cicatrice et complimente le travail du chirurgien. « Ça fera une jolie cicatrice » me dit-elle.

Je suis en train d’effectuer ma chorégraphie pour me rallonger lorsqu’elle me retient.
- Non, non, une dernière petite chose à vérifier.
Je me relève, droit comme un i. Elle pousse son chariot, où elle vient de poser les compresses usagées, contre le mur.
- Comme le chirurgien à toucher la colonne vertébrale, il y a certains tests à effectuer. Tout à l’heure, tu as réussi à uriner. Maintenant, c’est pas le plus désagréable, il va falloir bander.
- Tu me fais une blague, lui dis-je en rigolant !
- Non… Du tout !
Elle écarte ma blouse que j’ai depuis l’opération, elle met une main sur ma fesse pour se tenir, puis l’autre qui vient chercher mes testicules. Elle commence à me masser délicatement.
Je ferme un peu les yeux de plaisir. Elle scrute pour observer le plaisir qu’elle me procure, puis s’approche pour me déposer un petit baiser.
Je rouvre les yeux et nous nous embrassons passionnément. Un puissant baiser où nous ressentons l’excitation brûlante du moment.
Au milieu de nos baiser, elle glisse des mots.

-Surtout… Tu ne fais… Aucun effort… Tu me laisses faire !
Je dodeline de la tête, c’est alors qu’elle sent que ça y est, je bande. Le léger tissu de la blouse est poussé par mon sexe en feu et l’expression « avoir le chapiteau » n’a jamais aussi bien porté son nom.
Elle garde sa main sur mes testicules et c’est la main gauche qui la rejoint pour me branler doucement. Elle prend la goutte qui sort du méat, entre le pousse et l’index, et presse doucement le gland en le caressant.
Je chancelle sur mes jambes sous la caresse et elle arrête tout.
- Stop ! Tu bandes très bien, c’est bon !
Je reste sans voix et elle explose de rire quand elle voit ma réaction.

- Allonge-toi !
Elle m’aide à m’allonger, puis elle écarte ma blouse pour mater mon sexe. Elle continue sa caresse au niveau du gland. De ma main droite, je tire sur son pantalon pour le baisser, elle arrête sa caresse pour m’aider.
Étonné, je lui dis « tu n’as pas de culotte » ?
- Non, je m’étais dit que j’en aurais pas besoin ce soir !
Elle me regarde comme une tigresse, en posant ses lèvres sur les miennes puis elle me dit « humm j’adore quand je suis dans cet état qu’on me lèche la chatte, tu veux bien me le faire » ?
La seconde d’après, elle redevient sérieuse « par contre, tu ne fais aucun effort, sinon on arrête tout » !
Elle garde son haut et monte sur le lit, au-dessus de moi, en prenant garde de ne pas me faire mal.

Accrochée aux poignets du bout du lit, les jambes écartées et le dos cambré. Mon infirmière me fait faire connaissance avec son intimité.
Au début, de petits coups de langue, elle m’encourage « fais glisser ta langue partout… fais-moi jouir avec » !
Je donne maintenant de bons coups de langue et de temps en temps remonte jusqu’à l’anus, je vois a ce moment-là, ses gémissements accompagnés de contraction au niveau de son vagin et du cul.
- oh ouiiiii, tu fais ça bien cochon !
Je concentre maintenant ma bouche sur son clitoris, le lape, l’aspire, le presse entre mes lèvres. Deux doigts dans son vagin en train d’aller et venir dans un SPLOCK SPLOCK SPLOCK, ses gémissements deviennent des râles qu’elle essaie d’étouffer !
Elle me regarde, les cheveux bataillent, lunettes tordues, les mains accrochées au lit (pas sûre que les poignées du lit sont faites pour ça, mais elles sont bien utiles ;).

Elle reprend son souffle en se redressant doucement. Elle se retourne en levant juste une jambe, elle positionne son vagin brillant juste au-dessus de mon gland brillant aussi.
- Tu ne bouge pas, je fais tout ! Dit-elle avec un clin d’œil.
Elle prend mon gland entre ses doigts, les yeux fermés, et se frotte le clitoris et les lèvres avec, pour bien l'humidifier. Les yeux mi-clos, je regarde le spectacle sans avoir le droit de bouger.
Elle rentre mon sexe en elle et fais un va-et-vient sans venir taper contre mon bas-ventre. Un coup, elle descend droit dessus puis le coup d’après, elle va faire bouger juste son bassin pour faire monter mon sexe en elle.
Je me transforme en god, elle joue avec ma moi, et je la laisse faire. Elle s’amuse maintenant juste à faire rentrer et sortir le gland, de temps en temps, elle fait glisser sur son clitoris.
Elle recommence à juste bouger le bassin et me regarde, les yeux remplis de plaisir.
- Joui en moi chéri !
Puis en me regardant droit dans les yeux, elle bouge son bassin vite, vite, sans venir taper sur le bas ventre. J’ai vraiment la sensation de son sexe qui enserre le mien et rien d’autre.
-hummmm oui tu me fais jouiiir !
- Je viens avec toiiiiii hummmm !

…
Lorsque nous avons repris nos esprits, elle m’a nettoyé, délicatement, avec une étincelle dans les yeux.
Puis elle m’a souhaité une bonne nuit et m’a dit qu’on ne se reverrait plus, car elle ne travaillerait pas les prochains jours.
Déçu, je la laissa repartir, puis me rendormit.

…
Deux jours sont passés et c’est le jour de la sortie, l’ambulance est là pour me ramener chez moi. Le médecin donne son feu vert et en arrivant devant l’ambulance, mon infirmière est là.
- Ça y est, tu rentres à la maison ?
- Oui, me reste la rééducation , mais ça devrait le faire.
- Tiens ! Elle me tendit un papier plié. Pour les soins à domicile, des recommandations pour des infirmières à domicile.
- Je vais regarder avec attention.
Avec un peu de mélancolie dans la voix, on savait qu’on avait trouvé quelque chose l’un chez l’autre.
- Monsieur, il faut qu’on y aille, on a d’autres patients dans la journée !
Pris par le temps, elle me fit un petit signe de la main et les ambulanciers m’allongeaient déjà dans le véhicule.

…
Sur le route du retour, j’ouvre le papier qu’elle m’a donné : Élodie S 06…. J’attends ton appel.

Vous imaginez bien que je l’ai rappelé rapidement. Et aujourd’hui, bah… nous sommes heureux et ensemble.

Comme quoi, une hernie discale et son opération mène à tout ;)