Ma jeunesse; suite de l'épisode 2: Le FJT dévridé
Récit érotique écrit par Portdebrest [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma jeunesse; suite de l'épisode 2: Le FJT dévridé
J’ai connu Joël à l’internat du Lycée. C’est là que sous couvert de jeux virils nous avons connus nos premiers plaisirs gays. Nous nous sommes retrouvé au foyer des jeunes travailleurs (pour jeunes garçons) et après avoir réussi à nous retrouver dans la même chambre, nous avons immédiatement fait l’amour. Joël m’a fécondé de toutes ses forces en me disant que c’était meilleur qu’avec sa copine. J’aurais préféré qu’il ne me parle pas d’elle car je crois que je serais jaloux. Il a tenté de faire oublier sa remarque en me demandant de le posséder à mon tour. Mais c’était l’heure du dîner ! Nous sommes descendus au resto du FJT.
Nous sommes attablés, 6 par table. Ce soir, deux filles sont à notre table en effet, elles peuvent venir pour les repas mais à cette époque, l’hébergement n’est pas mixte. Le tour de table étant fait, la discussion tourne autour de l’été passé et des voyages que les uns et les autres ont pu vivre. Pour ma part j’ai fait la saison chez un grossiste alimentaire puis trouvé un emploi. J’écoute donc. Joël, comme au Lycée s’exprime facilement en racontant ses vacances à la plage avec beaucoup d’humour. Il fait rire toute la tablée et les filles ne sont pas les dernières. J’en viens à me demander s’il ne veut pas les draguer et je fixe Joël du regard, histoire de lui faire comprendre que cela ne me plait pas vraiment.
Comme souvent, entre le plat et le dessert, l’animateur passe entre les tables pour proposer des jeux, du sport ou de la lecture… L’objectif étant que la télévision ne soit pas l’unique loisir. Les filles sont candidates pour prendre des livres, les garçons pour le sport. Comme je ne réponds rien, car je ne cesse d’observer Joël, ce dernier me fixe, les yeux dans les yeux, et déclare :- « Ce soir avec Rémi, nous sommes occupés !
- « C’est vrai, vos cours de dessin, j’avais oublié…C’est l’animateur qui a répondu. Avec Joël nous nous fixons toujours et maintenant que j’y pense, je sens l’humidité sous mes fesses. Je rougis… heureusement personne ne le remarque car le dessert arrive sur la table roulante. Le repas se termine ainsi. Tout le monde se lève et j’hésite à sortir immédiatement. J’espère que ça n’a pas traversé mon pantalon. Je fais semblant de rêvasser puis me lève tout en vérifiant d’un geste que mon futal est bien sec. C’est bon. Tout le monde discute un peu dans le hall puis des groupes se forment. Joël est toujours en discussion avec les deux filles. Quand les groupes commencent à se disperser je décide de monter dans notre chambre, seul.
Je me sens déçu. Si je ne sais pas très bien quel genre de sentiments j’ai pour Joël. Je sais qu’il n’est pas amoureux de moi. Il a une copine, il me l’a rappelé… Mais je sais que s’il la saute, pour reprendre son expression, il ne l’aime pas non plus et il m’a dit qu’avec moi c’est meilleur qu’avec elle. Alors je pensais pouvoir peu à peu, me rendre incontournable et pourquoi pas construire une vraie relation. Je tourne un peu en rond. Enfin, vu la taille de la chambre, je tombe vite sur mes cours de dessin. Je sors les livres et le matériel que j’installe sur la table et m’y assoit. Sans bouger, je pense et plus je réfléchis, plus la colère monte. Je suis seul et Joël est avec les filles alors qu’on les voyait pour la première fois. Encore un peu et je suis exaspéré. C’est alors que la porte s’ouvre. Je me lève d’un bond : - « Joël que faisais tu ?
- « Ho ! Rémi, du calme… Il referme la porte. « J’ai le droit de causer à qui je veux, ne soit pas jaloux, je ne t’ai rien promis !
- « Mais ?
- « C’est toi qui ne m’écoutes pas. J’ai dit que nous étions occupés ce soir. As-tu oublié ?
- « Excuses moi ! Je ne voulais pas…Il regarde ce que j’ai mis sur la table- « Je ne pensais pas au travail en disant cela, sauf si tu restes bloqué là-dessus.
Je suis penaud et baisse les yeux, ne sachant quoi faire et quoi dire. Joël s’approche de moi, me relève le menton et pose un petit baiser sur ma bouche.
- « J’aime être avec toi, j’adore te faire l’amour et je sais que c’est réciproque… Rémi, tu ne dois pas être jaloux, je parle à tout le monde.
- « Mais je…- « Tu peux exprimer librement ta sexualité avec un garçon comme moi, des filles, d’autres hommes aussi si tu veux… Tu es libre. Laisse-moi ma liberté…Il m’embrasse à nouveau puis va fermer la porte à clé. Il revient, me serre contre lui, m’embrasse dans le cou. Je voudrais lui parler, lui dire qu’il est le seul à compter pour moi. J’hésite car je ne veux pas le fâcher ni lui poser des exigences qu’il n’accepterait pas ! Il ne me laisse pas le temps de me reprendre car déjà il défait ma ceinture, déboutonne ma chemise et mon pantalon. D’une main il enlève le gant de toilette qui a recueilli son sperme durant le dîner.
- « Rémi, je sais que tu aimes me faire plaisir… Tu peux sentir l’odeur de ma semence et la goûter !
Il me le met sous le nez puis m’ouvre la bouche et y introduit ce tissus d’éponge qui sent sa liqueur et aussi mes suintements.
- « Je préfère que tu ne dises rien car tu le regretterais ensuite Rémi. Goûte nos humeurs et pense aux plaisirs partagés, D’ailleurs, je vois que tu bandes ! » dit-il en appuyant sa main sur mon paquet.
- « Mumm…- « Mais avant, je vais m’occuper de tes mains. Je n’aime pas les ongles longs dans l’anus !
Il s’assoit à côté de moi et entreprend de me couper les ongles que j’ai un peu long puis les limer afin d’enlever toutes les aspérités. Après chaque doigt, il le suce puis m’embrasse à pleine bouche. Je n’aurais jamais imaginé que le passage de sa bouche sur mes doigts puis de sa langue sur la mienne serait aussi sensuel.
Joël finit d’enlever ma chemise, mon pantalon et le caleçon avec puis rapidement il se met à poil. Je le regarde avec envie. Son bassin encore moins bronzé que le reste. Cela me fait penser que cet été il a dû faire un peu de nudisme même si la texture de sa peau ne lui permet pas de prendre beaucoup de couleurs. Qu’importe, j’aime ses petites rondeurs notamment, ses seins et son petit bidon. La course à pied qu’il fait en amateur lui fait des fesses musclées et fermes… - « Tu vas me baiser comme un mec doit le faire avec sa partenaire…Il m’allonge sur le dos dans mon lit. En enlevant mon bâillon, il vient s’asseoir sur ma figure et écarte ses deux brioches avec ses mains :- « Ne dis rien, lèche et assoupli bien mon trou. Il ne s’est pas ouvert souvent, je vais te l’offrir ; ensuite tu te laisseras guider.
Je me tais donc et commence à passer ma langue le long de son sillon, de haut en bas et de bas en haut. J’hésite et tourne autour du pot au sens propre. Enfin propre ! je sais que nous avons pris une douche ensemble voici 3 heures et je l’ai savonné à cet endroit. Cependant je dois mettre ma langue sur cet orifice et c’est une expérience qui ne m’enchante pas vraiment. C’est avec mon nez que je commence les travaux d’approche. Comme dans cette position j’ai parfois du mal à respirer, je soutiens ses fesses avec mes mains.
Après l’avoir reniflé et frotté, je me décide à bien enduire ma langue de salive et je l’avance vers son anneau pour l’humecter. Ainsi j’espère le rincer car je sais que Joël en veut plus. Maintenant ma langue glisse sur son muscle percé. Je le mouille bien. Finalement ce n’est pas désagréable. Joël remue son popotin au-dessus de ma figure ce qui me permet aussi de lécher son sillon et ses burnes. Il a l’air d’aimer car il reste longtemps dans cette position. Parfois je suis obligé de le soulever un peu plus pour reprendre mon souffle. Après quelques minutes qui m’ont semblé très longues Joël se relève pour me dire :- « Reste sur le dos… On passe en 69, On va se sucer mutuellement la bite ! En en plus, toi, tu mouilleras régulièrement tes doigts avec ta salive pour me les enfiler un par un !
Nous voici allongés tête-bêche tous les deux sur le lit. Sa bouche est située au niveau de mon pénis et mon membre devant ses lèvres. Le 69 est une excellente façon d’ouvrir les festivités. La position est très confortable pour moi et je pense également pour mon amant. Je suis attentif à ce qu’il me fait pour reproduire le mieux possible afin qu’il n’y ait pas de jaloux. Tout le monde doit être gagnant dans l’histoire. Il me prend en bouche, entoure mon gland de ses lèvres. Sa langue en caresse le bout puis descend sur la hampe qu’il tente d’avaler. La première minute, je savoure intensément. Je tente de suivre le mouvement pour booster son plaisir…Quand, au cours de la deuxième ou troisième minute il serre mes boules dans une main et ma queue de l’autre, il me dit :- Rémi, tu réfléchi trop ! Suce tes doigts et prépare mon œillet à la pénétration, je ne voudrais pas que tu jouisses avant d’y entrer !
Je me concentre donc et après avoir abondamment mouillé mon index je caresse son trou du cul, lentement en cercles concentriques. Puis plus vite et j’appuie sur le centre de l’objectif. En tournant le doigt le muscle s’ouvre pour une phalange puis deux et le doigt entier. Je l’agite à l’intérieur. C’est entré facilement. Joël n’en est pas à son coup d’essai. Je le retire, il sent un peu ! Je suce le majeur et lui fais prendre le même chemin, il est plus long mais il n’y a pas besoin de forcer. Je m’aperçois que ma bouche a quitté sa tige, j’y reviens un peu.
- « Rémi, mouille deux doigts et fais-les pénétrer dans mon intimité !
J’hésite encore à sucer ces doigts qui ont pris son odeur rectale aussi je crache dessus à plusieurs reprises avant d’enfiler facilement l’extrémité du majeur. Je présente mon index à côté pour l’accompagner. Malgré plusieurs caresses, il a du mal à se faire une place.
- « Mets-y ta bouche et mouille bien, ça doit passer !
Je caresse à nouveau, suce et lèche encore. Peu à peu, le muscle s’assouplit et l’index entre. Effectivement, si Joël n’est plus vierge de ce côté-là, l’accès a peu servi pour l’amour. C’est serré, je le sens bien quand j’entreprends un mouvement de rotation pour élargir l’accès. Cela fait bien cinq minutes que nous sommes en 69 quand je tente d’ajouter mon annuaire à la pénétration. Je mouille à nouveau beaucoup afin de lubrifier l’entrée. Joël souffle fort et se tortille. Ses mains agrippent les draps, sa bouche a lâché mon membre, ce qui ne m’empêche pas de bander. Et c’est peut-être mieux s’il veut que j’évite l’éjaculation précoce. Mes trois doigts sont à moitié entrés. Il ne me semble pas possible d’aller plus loin et je commence à réfléchir à la suite quand mon chéri bouge, m’embrasse dans un long baiser fougueux et après avoir caressé ma bite afin qu’elle soit à nouveau bien dure, il me dit :- « On va se mettre en cuiller, Rémi, toi derrière moi.
Mon homme s’allonge sur le côté et moi derrière lui, collé-serré contre son corps. Pour moi, cette vue sur sa nuque est imprenable tandis que son cul l’est complétement. C’est pratique, même si on ne peut plus s’embrasser à pleine bouche. Ma queue se présente devant sa chatte offerte. Bien préparée, elle s’ouvre et mon gland entre simplement. Petite pose, je l’embrasse dans le cou et j’en profite pour glisser une main sous lui histoire de la rapprocher de ses seins. Ensuite j’avance un peu mon bassin… Pour moi c’est une meilleure position. Nous sommes comme encastrés l’un dans l’autre comme deux cuillers collées par de la pâte à tartiner. Et je m’enfonce encore en lui. Son muscle se referme sur ma hampe ; ma queue se frotte dans son boyau.
- « C’est bon Rémi, caresse moi les tétons, branle aussi ma tige !
La position est plus que voluptueuse, elle devient vite scandaleuse car je n’y vais pas avec le dos de la cuillère… Mon sexe d’homme enfourné dans son antre, m’aidant de mes mains pour exciter toutes ses zones érogènes, le plaisir monte vite. Son corps jeune, lisse et peu bronzé se moule devant le mien, ses tétons se tendent sous ma main gauche, son chibre se dresse flatté par la droite. Bien plus, son con, car il faut bien l’appeler ainsi, a avalé toute ma verge. Je l’agite en lui dans un rythme de plus en plus endiablé. Nous serons damnés et exclus si cela s’apprend mais c’est si bon ! Comment penser que tant de douceur partagée, tant de plaisir offert, tant de tendres attentions pourraient ne pas paraître naturelles et normales. Qu’importe rien ne peut me faire renoncer.
Il râle de plaisir, il m’encourage « je l’aime ta queue » et je lui réponds « Oui, elle se trouve bien au chaud, j’adore te la mettre ! »Je lui fais l’amour plus lentement, en dévorant des yeux son corps nu, comme amoureuse. Il semble envoûté et ne bouge plus. Il gémit « putain, je deviens dingue de toi, je ne pensais pas que tu pouvais être aussi actif ! ». J’accélère et fait claquer mon bassin sur ses fesses à chaque mouvement. Il gémit de plus en plus fort, son souffle se fait bruyant...
Je me tourne sur le dos en l’entraînant sur moi. Ça lui plait, je le sens :- « Oh ! Rémi, ne t’arrêtes pas, continue, mon cul est en feu ;- « Mon Chéri, j’aime te sentir prendre du plaisir avec moi ;- « Fourre moi à fond et fais-moi gicler encore ;- « J’aime ta Bite Joël, j’aime ton cul, j’aime ton corps et… Je t’aimeMa main caresse son sexe et je frotte aussi son mont de vénus pour exciter sa prostate encore et encore. Je m’empale fort dans lui et le vois contracter tous ses muscles. Son sexe explose, je sens sous ses abdos son abdomen tressaillir. Il gicle sur son ventre, hurle de plaisir ! De longs jets de sperme jaillissent et se répandent sur son corps. Mon amant ne contrôle plus rien, il se vide en inondant son torse et son visage... Lentement il reprend ses esprits, me regarde.
Moi, Je n’ai pas joui… Il m’a manqué quelque chose. Il le voit et me demande :- Que se passe-t-il ? Ne me dis pas que tu ne peux plus !
- Non, ce n’est pas ça…- Tu préfères être passif ? C’est ça ?
Et sans attendre ma réponse, il s’allonge à côté de moi, commence à me sucer. Il sait y faire. Me titille le gland et le méat avec la langue, serre de ses lèvres le pourtour de mon phallus puis le ramone de haut en bas et inversement. Mes noisettes sont malaxées et emprisonnées dans une main. Rapidement ma vigueur est revenue. Il se remet sur le dos et écartes ses jambes, ce qui m’oblige à bouger compte tenu de la largeur du lit : - « Finalement Rémi, je vois que tu préfères faire la fille. Mets-toi à cheval sur moi au-dessus de mon ventre… Maintenant, fais ce que tu aimes… ce que tu as fait tout l’été quand tu étais tout seul… Branle ton clitoris ! Mais regarde-moi !
Je me caresse comme une folle, je fixe l’homme qui m’a fécondé avant d’aller dîner. J’admire le corps de mon amant à qui je viens à l’instant de donner du plaisir. Une partie de son sperme est restée sur sa poitrine. Il caresse ma poitrine doucement. Que c’est bon ces attouchements sur mes seins. J’aimerais qu’ils soient plus volumineux… Ceux de Joël le sont car il est un peu enrobé. Il saisit mes deux tétons dont il frotte les bouts. Ces derniers sont très sensibles, même si je les voudrais plus pointus… Tout en fixant mon amoureux, je passe ma langue sur mes lèvres pour qu’il voit bien comment il fait de moi ce qu’il veut. Je deviens sa femelle qui va lui montrer ce qu’elle pourrait faire pour garder son homme. Il sourit et lui aussi agite sa langue et sensuellement mouille ses lèvres.
Je me soulève un peu sur les genoux et tandis que d’une main je poursuis ma branlette, l’autre passe dans mon dos et j’enfile directement deux doigts dans mon cul. J’imagine, que c’est la bite de Joël qui s’enfonce. C’est la pensée que j’ai à chaque fois que je me masturbe en rêvant de lui. Par devant, je me concentre sur la tige qui sert de Clito à la femelle que je suis et par derrière je fouille mon anus ouvert et accueillant comme une Chatte !
- « Vas-y Rémi, laisse-toi aller, tu es vraiment une belle salope... Tu vas jouir en te branlant avec les doigts dans le cul…- « Oui… Joël, j’aime ça !
- « C’est mieux que ta bite en moi ? Répond moi !
- « Non… c’est…- « Si, si, tu n’as pas giclé dans mon trou et tu n’as jamais baisé de filles !
- « Mais Joël… c’est parce que…- « Parce que tu es une salopette de fille qui aime offrir sa chatoune !
- « Oui, Je jouiiiiiisssss….
C’en est trop, dans une transe, une main crispée, l’autre avec les doigts tendus, je perds le contrôle, mon corps tremble. Un spasme me traverse pour éjecter un liquide blanc devant moi, aussitôt suivi par d’autres qui arrosent Joël resté sous moi. Je m’écroule sur lui tandis mon réservoir séminal finit de se vider entre nous.
Je suis vidé au sens propre comme au figuré et reste là, couché sur ce corps si doux. Joël me serre dans ses bras et m’embrasse dans le cou :- « C’est bien, ça confirme mon opinion… Reste là un peu, tu es une bonne fille, reprend ta respiration.
- « Je voulais te dire…- « Non, ne dis rien, attend un peu, ou plutôt avec ta langue, lape toutes nos liqueurs qui ont coulé sur moi … Mon foutre et la liqueur de ton clito !
Sans rien objecter, je le lèche, me régale de nos semences mélangées. Quand j’en ai lapé quelque peu je l’embrasse et lui fait goûter ce mélange que nous ajoutons à nos salives dans un baiser passionné. Puis je recommence… Au bout d’un moment on se met à rire ensemble... je l’essuie et me blottis contre lui, on se recouvre d’un drap et nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.
Au matin, je m’aperçois que Joël a regagné son lit. Je n’ai rien senti. C’est vrai que j’étais vanné. Comme je dois partir tôt travailler, je prends une douche rapide, m’habille et je vais embrasser Joël sur la joue, il ne bouge pas. Je lui dis :- « Je t’aime Joël, je t’aime tellement.
Je sors, j'ai l'impression qu’il ne dormait plus. J’espère qu’il m’a entendu.
Nous sommes attablés, 6 par table. Ce soir, deux filles sont à notre table en effet, elles peuvent venir pour les repas mais à cette époque, l’hébergement n’est pas mixte. Le tour de table étant fait, la discussion tourne autour de l’été passé et des voyages que les uns et les autres ont pu vivre. Pour ma part j’ai fait la saison chez un grossiste alimentaire puis trouvé un emploi. J’écoute donc. Joël, comme au Lycée s’exprime facilement en racontant ses vacances à la plage avec beaucoup d’humour. Il fait rire toute la tablée et les filles ne sont pas les dernières. J’en viens à me demander s’il ne veut pas les draguer et je fixe Joël du regard, histoire de lui faire comprendre que cela ne me plait pas vraiment.
Comme souvent, entre le plat et le dessert, l’animateur passe entre les tables pour proposer des jeux, du sport ou de la lecture… L’objectif étant que la télévision ne soit pas l’unique loisir. Les filles sont candidates pour prendre des livres, les garçons pour le sport. Comme je ne réponds rien, car je ne cesse d’observer Joël, ce dernier me fixe, les yeux dans les yeux, et déclare :- « Ce soir avec Rémi, nous sommes occupés !
- « C’est vrai, vos cours de dessin, j’avais oublié…C’est l’animateur qui a répondu. Avec Joël nous nous fixons toujours et maintenant que j’y pense, je sens l’humidité sous mes fesses. Je rougis… heureusement personne ne le remarque car le dessert arrive sur la table roulante. Le repas se termine ainsi. Tout le monde se lève et j’hésite à sortir immédiatement. J’espère que ça n’a pas traversé mon pantalon. Je fais semblant de rêvasser puis me lève tout en vérifiant d’un geste que mon futal est bien sec. C’est bon. Tout le monde discute un peu dans le hall puis des groupes se forment. Joël est toujours en discussion avec les deux filles. Quand les groupes commencent à se disperser je décide de monter dans notre chambre, seul.
Je me sens déçu. Si je ne sais pas très bien quel genre de sentiments j’ai pour Joël. Je sais qu’il n’est pas amoureux de moi. Il a une copine, il me l’a rappelé… Mais je sais que s’il la saute, pour reprendre son expression, il ne l’aime pas non plus et il m’a dit qu’avec moi c’est meilleur qu’avec elle. Alors je pensais pouvoir peu à peu, me rendre incontournable et pourquoi pas construire une vraie relation. Je tourne un peu en rond. Enfin, vu la taille de la chambre, je tombe vite sur mes cours de dessin. Je sors les livres et le matériel que j’installe sur la table et m’y assoit. Sans bouger, je pense et plus je réfléchis, plus la colère monte. Je suis seul et Joël est avec les filles alors qu’on les voyait pour la première fois. Encore un peu et je suis exaspéré. C’est alors que la porte s’ouvre. Je me lève d’un bond : - « Joël que faisais tu ?
- « Ho ! Rémi, du calme… Il referme la porte. « J’ai le droit de causer à qui je veux, ne soit pas jaloux, je ne t’ai rien promis !
- « Mais ?
- « C’est toi qui ne m’écoutes pas. J’ai dit que nous étions occupés ce soir. As-tu oublié ?
- « Excuses moi ! Je ne voulais pas…Il regarde ce que j’ai mis sur la table- « Je ne pensais pas au travail en disant cela, sauf si tu restes bloqué là-dessus.
Je suis penaud et baisse les yeux, ne sachant quoi faire et quoi dire. Joël s’approche de moi, me relève le menton et pose un petit baiser sur ma bouche.
- « J’aime être avec toi, j’adore te faire l’amour et je sais que c’est réciproque… Rémi, tu ne dois pas être jaloux, je parle à tout le monde.
- « Mais je…- « Tu peux exprimer librement ta sexualité avec un garçon comme moi, des filles, d’autres hommes aussi si tu veux… Tu es libre. Laisse-moi ma liberté…Il m’embrasse à nouveau puis va fermer la porte à clé. Il revient, me serre contre lui, m’embrasse dans le cou. Je voudrais lui parler, lui dire qu’il est le seul à compter pour moi. J’hésite car je ne veux pas le fâcher ni lui poser des exigences qu’il n’accepterait pas ! Il ne me laisse pas le temps de me reprendre car déjà il défait ma ceinture, déboutonne ma chemise et mon pantalon. D’une main il enlève le gant de toilette qui a recueilli son sperme durant le dîner.
- « Rémi, je sais que tu aimes me faire plaisir… Tu peux sentir l’odeur de ma semence et la goûter !
Il me le met sous le nez puis m’ouvre la bouche et y introduit ce tissus d’éponge qui sent sa liqueur et aussi mes suintements.
- « Je préfère que tu ne dises rien car tu le regretterais ensuite Rémi. Goûte nos humeurs et pense aux plaisirs partagés, D’ailleurs, je vois que tu bandes ! » dit-il en appuyant sa main sur mon paquet.
- « Mumm…- « Mais avant, je vais m’occuper de tes mains. Je n’aime pas les ongles longs dans l’anus !
Il s’assoit à côté de moi et entreprend de me couper les ongles que j’ai un peu long puis les limer afin d’enlever toutes les aspérités. Après chaque doigt, il le suce puis m’embrasse à pleine bouche. Je n’aurais jamais imaginé que le passage de sa bouche sur mes doigts puis de sa langue sur la mienne serait aussi sensuel.
Joël finit d’enlever ma chemise, mon pantalon et le caleçon avec puis rapidement il se met à poil. Je le regarde avec envie. Son bassin encore moins bronzé que le reste. Cela me fait penser que cet été il a dû faire un peu de nudisme même si la texture de sa peau ne lui permet pas de prendre beaucoup de couleurs. Qu’importe, j’aime ses petites rondeurs notamment, ses seins et son petit bidon. La course à pied qu’il fait en amateur lui fait des fesses musclées et fermes… - « Tu vas me baiser comme un mec doit le faire avec sa partenaire…Il m’allonge sur le dos dans mon lit. En enlevant mon bâillon, il vient s’asseoir sur ma figure et écarte ses deux brioches avec ses mains :- « Ne dis rien, lèche et assoupli bien mon trou. Il ne s’est pas ouvert souvent, je vais te l’offrir ; ensuite tu te laisseras guider.
Je me tais donc et commence à passer ma langue le long de son sillon, de haut en bas et de bas en haut. J’hésite et tourne autour du pot au sens propre. Enfin propre ! je sais que nous avons pris une douche ensemble voici 3 heures et je l’ai savonné à cet endroit. Cependant je dois mettre ma langue sur cet orifice et c’est une expérience qui ne m’enchante pas vraiment. C’est avec mon nez que je commence les travaux d’approche. Comme dans cette position j’ai parfois du mal à respirer, je soutiens ses fesses avec mes mains.
Après l’avoir reniflé et frotté, je me décide à bien enduire ma langue de salive et je l’avance vers son anneau pour l’humecter. Ainsi j’espère le rincer car je sais que Joël en veut plus. Maintenant ma langue glisse sur son muscle percé. Je le mouille bien. Finalement ce n’est pas désagréable. Joël remue son popotin au-dessus de ma figure ce qui me permet aussi de lécher son sillon et ses burnes. Il a l’air d’aimer car il reste longtemps dans cette position. Parfois je suis obligé de le soulever un peu plus pour reprendre mon souffle. Après quelques minutes qui m’ont semblé très longues Joël se relève pour me dire :- « Reste sur le dos… On passe en 69, On va se sucer mutuellement la bite ! En en plus, toi, tu mouilleras régulièrement tes doigts avec ta salive pour me les enfiler un par un !
Nous voici allongés tête-bêche tous les deux sur le lit. Sa bouche est située au niveau de mon pénis et mon membre devant ses lèvres. Le 69 est une excellente façon d’ouvrir les festivités. La position est très confortable pour moi et je pense également pour mon amant. Je suis attentif à ce qu’il me fait pour reproduire le mieux possible afin qu’il n’y ait pas de jaloux. Tout le monde doit être gagnant dans l’histoire. Il me prend en bouche, entoure mon gland de ses lèvres. Sa langue en caresse le bout puis descend sur la hampe qu’il tente d’avaler. La première minute, je savoure intensément. Je tente de suivre le mouvement pour booster son plaisir…Quand, au cours de la deuxième ou troisième minute il serre mes boules dans une main et ma queue de l’autre, il me dit :- Rémi, tu réfléchi trop ! Suce tes doigts et prépare mon œillet à la pénétration, je ne voudrais pas que tu jouisses avant d’y entrer !
Je me concentre donc et après avoir abondamment mouillé mon index je caresse son trou du cul, lentement en cercles concentriques. Puis plus vite et j’appuie sur le centre de l’objectif. En tournant le doigt le muscle s’ouvre pour une phalange puis deux et le doigt entier. Je l’agite à l’intérieur. C’est entré facilement. Joël n’en est pas à son coup d’essai. Je le retire, il sent un peu ! Je suce le majeur et lui fais prendre le même chemin, il est plus long mais il n’y a pas besoin de forcer. Je m’aperçois que ma bouche a quitté sa tige, j’y reviens un peu.
- « Rémi, mouille deux doigts et fais-les pénétrer dans mon intimité !
J’hésite encore à sucer ces doigts qui ont pris son odeur rectale aussi je crache dessus à plusieurs reprises avant d’enfiler facilement l’extrémité du majeur. Je présente mon index à côté pour l’accompagner. Malgré plusieurs caresses, il a du mal à se faire une place.
- « Mets-y ta bouche et mouille bien, ça doit passer !
Je caresse à nouveau, suce et lèche encore. Peu à peu, le muscle s’assouplit et l’index entre. Effectivement, si Joël n’est plus vierge de ce côté-là, l’accès a peu servi pour l’amour. C’est serré, je le sens bien quand j’entreprends un mouvement de rotation pour élargir l’accès. Cela fait bien cinq minutes que nous sommes en 69 quand je tente d’ajouter mon annuaire à la pénétration. Je mouille à nouveau beaucoup afin de lubrifier l’entrée. Joël souffle fort et se tortille. Ses mains agrippent les draps, sa bouche a lâché mon membre, ce qui ne m’empêche pas de bander. Et c’est peut-être mieux s’il veut que j’évite l’éjaculation précoce. Mes trois doigts sont à moitié entrés. Il ne me semble pas possible d’aller plus loin et je commence à réfléchir à la suite quand mon chéri bouge, m’embrasse dans un long baiser fougueux et après avoir caressé ma bite afin qu’elle soit à nouveau bien dure, il me dit :- « On va se mettre en cuiller, Rémi, toi derrière moi.
Mon homme s’allonge sur le côté et moi derrière lui, collé-serré contre son corps. Pour moi, cette vue sur sa nuque est imprenable tandis que son cul l’est complétement. C’est pratique, même si on ne peut plus s’embrasser à pleine bouche. Ma queue se présente devant sa chatte offerte. Bien préparée, elle s’ouvre et mon gland entre simplement. Petite pose, je l’embrasse dans le cou et j’en profite pour glisser une main sous lui histoire de la rapprocher de ses seins. Ensuite j’avance un peu mon bassin… Pour moi c’est une meilleure position. Nous sommes comme encastrés l’un dans l’autre comme deux cuillers collées par de la pâte à tartiner. Et je m’enfonce encore en lui. Son muscle se referme sur ma hampe ; ma queue se frotte dans son boyau.
- « C’est bon Rémi, caresse moi les tétons, branle aussi ma tige !
La position est plus que voluptueuse, elle devient vite scandaleuse car je n’y vais pas avec le dos de la cuillère… Mon sexe d’homme enfourné dans son antre, m’aidant de mes mains pour exciter toutes ses zones érogènes, le plaisir monte vite. Son corps jeune, lisse et peu bronzé se moule devant le mien, ses tétons se tendent sous ma main gauche, son chibre se dresse flatté par la droite. Bien plus, son con, car il faut bien l’appeler ainsi, a avalé toute ma verge. Je l’agite en lui dans un rythme de plus en plus endiablé. Nous serons damnés et exclus si cela s’apprend mais c’est si bon ! Comment penser que tant de douceur partagée, tant de plaisir offert, tant de tendres attentions pourraient ne pas paraître naturelles et normales. Qu’importe rien ne peut me faire renoncer.
Il râle de plaisir, il m’encourage « je l’aime ta queue » et je lui réponds « Oui, elle se trouve bien au chaud, j’adore te la mettre ! »Je lui fais l’amour plus lentement, en dévorant des yeux son corps nu, comme amoureuse. Il semble envoûté et ne bouge plus. Il gémit « putain, je deviens dingue de toi, je ne pensais pas que tu pouvais être aussi actif ! ». J’accélère et fait claquer mon bassin sur ses fesses à chaque mouvement. Il gémit de plus en plus fort, son souffle se fait bruyant...
Je me tourne sur le dos en l’entraînant sur moi. Ça lui plait, je le sens :- « Oh ! Rémi, ne t’arrêtes pas, continue, mon cul est en feu ;- « Mon Chéri, j’aime te sentir prendre du plaisir avec moi ;- « Fourre moi à fond et fais-moi gicler encore ;- « J’aime ta Bite Joël, j’aime ton cul, j’aime ton corps et… Je t’aimeMa main caresse son sexe et je frotte aussi son mont de vénus pour exciter sa prostate encore et encore. Je m’empale fort dans lui et le vois contracter tous ses muscles. Son sexe explose, je sens sous ses abdos son abdomen tressaillir. Il gicle sur son ventre, hurle de plaisir ! De longs jets de sperme jaillissent et se répandent sur son corps. Mon amant ne contrôle plus rien, il se vide en inondant son torse et son visage... Lentement il reprend ses esprits, me regarde.
Moi, Je n’ai pas joui… Il m’a manqué quelque chose. Il le voit et me demande :- Que se passe-t-il ? Ne me dis pas que tu ne peux plus !
- Non, ce n’est pas ça…- Tu préfères être passif ? C’est ça ?
Et sans attendre ma réponse, il s’allonge à côté de moi, commence à me sucer. Il sait y faire. Me titille le gland et le méat avec la langue, serre de ses lèvres le pourtour de mon phallus puis le ramone de haut en bas et inversement. Mes noisettes sont malaxées et emprisonnées dans une main. Rapidement ma vigueur est revenue. Il se remet sur le dos et écartes ses jambes, ce qui m’oblige à bouger compte tenu de la largeur du lit : - « Finalement Rémi, je vois que tu préfères faire la fille. Mets-toi à cheval sur moi au-dessus de mon ventre… Maintenant, fais ce que tu aimes… ce que tu as fait tout l’été quand tu étais tout seul… Branle ton clitoris ! Mais regarde-moi !
Je me caresse comme une folle, je fixe l’homme qui m’a fécondé avant d’aller dîner. J’admire le corps de mon amant à qui je viens à l’instant de donner du plaisir. Une partie de son sperme est restée sur sa poitrine. Il caresse ma poitrine doucement. Que c’est bon ces attouchements sur mes seins. J’aimerais qu’ils soient plus volumineux… Ceux de Joël le sont car il est un peu enrobé. Il saisit mes deux tétons dont il frotte les bouts. Ces derniers sont très sensibles, même si je les voudrais plus pointus… Tout en fixant mon amoureux, je passe ma langue sur mes lèvres pour qu’il voit bien comment il fait de moi ce qu’il veut. Je deviens sa femelle qui va lui montrer ce qu’elle pourrait faire pour garder son homme. Il sourit et lui aussi agite sa langue et sensuellement mouille ses lèvres.
Je me soulève un peu sur les genoux et tandis que d’une main je poursuis ma branlette, l’autre passe dans mon dos et j’enfile directement deux doigts dans mon cul. J’imagine, que c’est la bite de Joël qui s’enfonce. C’est la pensée que j’ai à chaque fois que je me masturbe en rêvant de lui. Par devant, je me concentre sur la tige qui sert de Clito à la femelle que je suis et par derrière je fouille mon anus ouvert et accueillant comme une Chatte !
- « Vas-y Rémi, laisse-toi aller, tu es vraiment une belle salope... Tu vas jouir en te branlant avec les doigts dans le cul…- « Oui… Joël, j’aime ça !
- « C’est mieux que ta bite en moi ? Répond moi !
- « Non… c’est…- « Si, si, tu n’as pas giclé dans mon trou et tu n’as jamais baisé de filles !
- « Mais Joël… c’est parce que…- « Parce que tu es une salopette de fille qui aime offrir sa chatoune !
- « Oui, Je jouiiiiiisssss….
C’en est trop, dans une transe, une main crispée, l’autre avec les doigts tendus, je perds le contrôle, mon corps tremble. Un spasme me traverse pour éjecter un liquide blanc devant moi, aussitôt suivi par d’autres qui arrosent Joël resté sous moi. Je m’écroule sur lui tandis mon réservoir séminal finit de se vider entre nous.
Je suis vidé au sens propre comme au figuré et reste là, couché sur ce corps si doux. Joël me serre dans ses bras et m’embrasse dans le cou :- « C’est bien, ça confirme mon opinion… Reste là un peu, tu es une bonne fille, reprend ta respiration.
- « Je voulais te dire…- « Non, ne dis rien, attend un peu, ou plutôt avec ta langue, lape toutes nos liqueurs qui ont coulé sur moi … Mon foutre et la liqueur de ton clito !
Sans rien objecter, je le lèche, me régale de nos semences mélangées. Quand j’en ai lapé quelque peu je l’embrasse et lui fait goûter ce mélange que nous ajoutons à nos salives dans un baiser passionné. Puis je recommence… Au bout d’un moment on se met à rire ensemble... je l’essuie et me blottis contre lui, on se recouvre d’un drap et nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.
Au matin, je m’aperçois que Joël a regagné son lit. Je n’ai rien senti. C’est vrai que j’étais vanné. Comme je dois partir tôt travailler, je prends une douche rapide, m’habille et je vais embrasser Joël sur la joue, il ne bouge pas. Je lui dis :- « Je t’aime Joël, je t’aime tellement.
Je sors, j'ai l'impression qu’il ne dormait plus. J’espère qu’il m’a entendu.
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