Ma nana
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma nana
On dit que je suis pas mal, certains même me trouve à leur goût, en tout cas dans la boite où je travaille.
C'est sans doute vrai, je m'en fous pas mal. J'aime déjà ailleurs: une belle fille sexy, à la poitrine agressive. Nous sommes ensemble depuis plusieurs mois. Nous nous aimons beaucoup, faisons l'amour plusieurs fois de suite, jusqu'à complet épuisement.
Toute notre histoire a débutée en plein été, au bord de la mer. Elle était presque nue avec seulement un tout petit string: elle se faisait bronzer. Moi, je n'aime pas tant que ça de me dorer sans raison aux rayons du soleil. Je la voyais de loin; elle était seule sur la plage, bien isolée. Elle pouvait être nue que personne ne pouvait l'apercevoir. Je n'aime pas les voyeurs: je passais loin d'elle. J'aller bien plus loin pour pêcher. A mon retour, bredouille comme souvent, elle était toujours là. Cette fois je jouais au voyeur: je passais entre elle et la plage: je la trouvais bien faite. Au fond de moi même je me dis que si je pouvais lui parler j'en dirai des choses agréables à entendre.
C'est ridicule d'être comme moi; aussi timide. Je m'enhardis pour me forcer à aller lui dire des mots. J'étais arrêté à quelques mètres d'elle. J'admire son corps, ses courbes attirantes, et surtout son entre jambe. Je pense même quelle est rasée. Je n'aime pas trop ça, mais si ça lui plait……..
Je suis immobile devant elle, juste en face du soleil. Elle réagit, bien sur, pour voir ce qui se passe. Je lui souris, elle me le rend. C'est peut être un encouragement. Je vais au plus près d'elle: je vois ses yeux qui me rendent aussitôt amoureux d'elle. Elle ne le sait pas encore: elle peut me demander n'importe quoi, je le ferai.
Je vais m'asseoir à coté d'elle. Enfin ma timidité s'envole:
- Vous êtes très jolie, mademoiselle.
- Ne me faite pas le coup, plusieurs s'y sont cassé les dents.
- Je ne risque rien, j'ai les dents solides comme les votre sans doute.
- Oubliez moi, s'il vous plait.
- Vous oublier, comment faire devant une réussite de la nature.
- Je ne suis pas une réussite.
- Regardez vous dans une glace, vous verrez que j'ai raison. Sinon, vous auriez peur.
- Flatteur.
- Non je ne flatte jamais, je dis la vérité simplement: j'ai envie de vous.
- Vous ne manquez pas de culot, on se connaît depuis moins de cinq minutes, vous trouvez le moyen de me faire des propositions indécentes?
- Ce n'est pas indécent, c'est la vérité. Je pense même que vous aussi avez envie de moi. D'ailleurs je vois une tâche grandir sur votre string: vous mouillait comme je bande.
C'est vrai que je bande et c'est vrai qu'une tache de cyprine mouille son string. Tant pis pour elle; je me penche cers elle et colle ma bouche sur la sienne. Réflexe ou désir, je ne sais pas, en tout cas elle me permet de l'embrasser longuement: nos langues se mélangent dans nos bouches. Je trouve qu'elle sent bon. Ce baiser dure longtemps: si elle ne voulait pas de moi, elle aurai arrêté ce baiser depuis longtemps.
Je tente d'aller plus loin encore: je caresse ses seins qui depuis le début me tentent. Elle se laisse faire: elle prend ma main y appuie dessus comme pour me dire de continuer. Elle commence à ronronner comme un chaton. Je descends mon autre main vers son string. J'arrive à la passer dessous. Elle pose encore une main sur la mienne. Je suis autorisé à la caresser là où les filles prennent leur plaisir. Je ne cherche pas longtemps pour trouver son bouton. J'avais raison: elle mouille sacrément. J'espère qu'à son tour elle va poser une main sut ma bite bien grosse. Elle n'en fait rien, elle n'attend qu'une seule chose: un orgasme. Pour y arriver plus vite, elle retire son seul obstacle: elle est enfin nue; Elle n'est pas rasée en tout cas pas complètement. J'ai arrêté la masturbation. Puisque j'ai enfin un accès direct, je passe ma tête entre ses jambes. Elle sait fort bien ce que je vais faire. Quand je passe ma langue dans son sexe, je n'ai que l'embarras du choix, devant, au milieu, derrière. Je choisis de commencer à l'envers. Ma langue va lécher son petit trou. Elle écarte ses fesses pour que je puisse lui faire du bien à cet endroit. J'y rentre à peine un petit bout de langue, avant de lécher les lèvres pour arriver à son vagin j'y mets le plus possible. Pour finir et la faire jouir, j'attrape son clitoris: je le lèche avec toute ma langue.
Elle pose une main sur ma tête pour me diriger. Je lape comme le ferai un petit chien. L'effet est rapide: elle jouit largement dans me bouche. J'aime le goût et l'odeur de son sexe. Je vais à nouveau l'embrasser et le lui dit. Elle murmure que je lui ai fait du bien.
- Pour quelque un d'indécent je me débrouille pas mal on dirait
- Non. Pas mal: très bien au contraire: tu m'a faire jouir comme je ne l'ai jamais fait.
- Tu veux que je recommence ?
- Bien sur, mais tout à l'heure, il faut que je te rende ce qui m'a fait jouir.
Elle se tourne, prend ma bite dans sa bouche, la tient par une main, la suce en me branlant. Je n'ai jamais connu un plaisir aussi fort. Je l'averti de ma prochaine jouissance: elle ne veut pas de mon sperme dans le bouche. Elle regarde simplement le jet de semence qui gicle sur son visage. Elle l'enlève, vient poser sa bouche sur la mienne, garde ma queue dans sa main, me la caresse toujours. Elle veut me faire bander. Elle sait comment faire: elle se relève, les jambes bien écartées au dessus de mes yeux, se masturbe jusqu'à jouir. Qui peut résister à une telle vision. Pas moi en tout cas. Je bande à nouveau:
- C'est bien que tu bandes, j'ai une envie de toi en moi.
- Moi aussi, et depuis le début j'ai envie de te la mettre là où tu voudras.
- Je la veux d'abord devant et après derrière si tu peux, sinon on fera l'arrière la prochaine fois.
- Tu penses à la prochaine fois déjà.
- Pourquoi pas: tu suce bien.
- Alors je commence par devant, d'ac ?
- D'accord mets moi là au con.
Elle se met confortablement sur le dos, les jambes ouvertes dans l'attente de ma venue. Je la regarde avant pour être imprégné de la beauté de ce corps que je vais prendre. Elle me supplie presque de la lui mettre. Je pose mon bout sur son con. J'y rentre d'abord sans qu'elle bouge: il me semble qu'elle va subir. Pourtant dès que je commence mes vas et viens elle les accompagne. Je pensais qu'elle allait prendre son temps pour jouir. Elle jouit presque aussitôt. Je n'ai pas jouis: je sens ses contractions autour de ma pine. Je lui demande si elle veut que je passe ailleurs: non elle veut continuer à se faire baiser. Elle jouit plusieurs fois consécutivement. Enfin elle me veut dans son cul. Elle se met en levrette, se mouille l'anus, me guide vers son joli trou. J'y rentre relativement rapidement. Quand je suis à fond, elle commence à se branler. Elle jouit encore avec son ronronnement. Qui se transforme presque en un miaulement. Je lime son anus tant que je peux. Nous jouissons pratiquement ensemble.
Depuis j'ai une nana qui n'hésite pas à se faire baiser, sodomiser, et qui en plus aime se branler. Que demander de mieux à une merveille de la nature.
C'est sans doute vrai, je m'en fous pas mal. J'aime déjà ailleurs: une belle fille sexy, à la poitrine agressive. Nous sommes ensemble depuis plusieurs mois. Nous nous aimons beaucoup, faisons l'amour plusieurs fois de suite, jusqu'à complet épuisement.
Toute notre histoire a débutée en plein été, au bord de la mer. Elle était presque nue avec seulement un tout petit string: elle se faisait bronzer. Moi, je n'aime pas tant que ça de me dorer sans raison aux rayons du soleil. Je la voyais de loin; elle était seule sur la plage, bien isolée. Elle pouvait être nue que personne ne pouvait l'apercevoir. Je n'aime pas les voyeurs: je passais loin d'elle. J'aller bien plus loin pour pêcher. A mon retour, bredouille comme souvent, elle était toujours là. Cette fois je jouais au voyeur: je passais entre elle et la plage: je la trouvais bien faite. Au fond de moi même je me dis que si je pouvais lui parler j'en dirai des choses agréables à entendre.
C'est ridicule d'être comme moi; aussi timide. Je m'enhardis pour me forcer à aller lui dire des mots. J'étais arrêté à quelques mètres d'elle. J'admire son corps, ses courbes attirantes, et surtout son entre jambe. Je pense même quelle est rasée. Je n'aime pas trop ça, mais si ça lui plait……..
Je suis immobile devant elle, juste en face du soleil. Elle réagit, bien sur, pour voir ce qui se passe. Je lui souris, elle me le rend. C'est peut être un encouragement. Je vais au plus près d'elle: je vois ses yeux qui me rendent aussitôt amoureux d'elle. Elle ne le sait pas encore: elle peut me demander n'importe quoi, je le ferai.
Je vais m'asseoir à coté d'elle. Enfin ma timidité s'envole:
- Vous êtes très jolie, mademoiselle.
- Ne me faite pas le coup, plusieurs s'y sont cassé les dents.
- Je ne risque rien, j'ai les dents solides comme les votre sans doute.
- Oubliez moi, s'il vous plait.
- Vous oublier, comment faire devant une réussite de la nature.
- Je ne suis pas une réussite.
- Regardez vous dans une glace, vous verrez que j'ai raison. Sinon, vous auriez peur.
- Flatteur.
- Non je ne flatte jamais, je dis la vérité simplement: j'ai envie de vous.
- Vous ne manquez pas de culot, on se connaît depuis moins de cinq minutes, vous trouvez le moyen de me faire des propositions indécentes?
- Ce n'est pas indécent, c'est la vérité. Je pense même que vous aussi avez envie de moi. D'ailleurs je vois une tâche grandir sur votre string: vous mouillait comme je bande.
C'est vrai que je bande et c'est vrai qu'une tache de cyprine mouille son string. Tant pis pour elle; je me penche cers elle et colle ma bouche sur la sienne. Réflexe ou désir, je ne sais pas, en tout cas elle me permet de l'embrasser longuement: nos langues se mélangent dans nos bouches. Je trouve qu'elle sent bon. Ce baiser dure longtemps: si elle ne voulait pas de moi, elle aurai arrêté ce baiser depuis longtemps.
Je tente d'aller plus loin encore: je caresse ses seins qui depuis le début me tentent. Elle se laisse faire: elle prend ma main y appuie dessus comme pour me dire de continuer. Elle commence à ronronner comme un chaton. Je descends mon autre main vers son string. J'arrive à la passer dessous. Elle pose encore une main sur la mienne. Je suis autorisé à la caresser là où les filles prennent leur plaisir. Je ne cherche pas longtemps pour trouver son bouton. J'avais raison: elle mouille sacrément. J'espère qu'à son tour elle va poser une main sut ma bite bien grosse. Elle n'en fait rien, elle n'attend qu'une seule chose: un orgasme. Pour y arriver plus vite, elle retire son seul obstacle: elle est enfin nue; Elle n'est pas rasée en tout cas pas complètement. J'ai arrêté la masturbation. Puisque j'ai enfin un accès direct, je passe ma tête entre ses jambes. Elle sait fort bien ce que je vais faire. Quand je passe ma langue dans son sexe, je n'ai que l'embarras du choix, devant, au milieu, derrière. Je choisis de commencer à l'envers. Ma langue va lécher son petit trou. Elle écarte ses fesses pour que je puisse lui faire du bien à cet endroit. J'y rentre à peine un petit bout de langue, avant de lécher les lèvres pour arriver à son vagin j'y mets le plus possible. Pour finir et la faire jouir, j'attrape son clitoris: je le lèche avec toute ma langue.
Elle pose une main sur ma tête pour me diriger. Je lape comme le ferai un petit chien. L'effet est rapide: elle jouit largement dans me bouche. J'aime le goût et l'odeur de son sexe. Je vais à nouveau l'embrasser et le lui dit. Elle murmure que je lui ai fait du bien.
- Pour quelque un d'indécent je me débrouille pas mal on dirait
- Non. Pas mal: très bien au contraire: tu m'a faire jouir comme je ne l'ai jamais fait.
- Tu veux que je recommence ?
- Bien sur, mais tout à l'heure, il faut que je te rende ce qui m'a fait jouir.
Elle se tourne, prend ma bite dans sa bouche, la tient par une main, la suce en me branlant. Je n'ai jamais connu un plaisir aussi fort. Je l'averti de ma prochaine jouissance: elle ne veut pas de mon sperme dans le bouche. Elle regarde simplement le jet de semence qui gicle sur son visage. Elle l'enlève, vient poser sa bouche sur la mienne, garde ma queue dans sa main, me la caresse toujours. Elle veut me faire bander. Elle sait comment faire: elle se relève, les jambes bien écartées au dessus de mes yeux, se masturbe jusqu'à jouir. Qui peut résister à une telle vision. Pas moi en tout cas. Je bande à nouveau:
- C'est bien que tu bandes, j'ai une envie de toi en moi.
- Moi aussi, et depuis le début j'ai envie de te la mettre là où tu voudras.
- Je la veux d'abord devant et après derrière si tu peux, sinon on fera l'arrière la prochaine fois.
- Tu penses à la prochaine fois déjà.
- Pourquoi pas: tu suce bien.
- Alors je commence par devant, d'ac ?
- D'accord mets moi là au con.
Elle se met confortablement sur le dos, les jambes ouvertes dans l'attente de ma venue. Je la regarde avant pour être imprégné de la beauté de ce corps que je vais prendre. Elle me supplie presque de la lui mettre. Je pose mon bout sur son con. J'y rentre d'abord sans qu'elle bouge: il me semble qu'elle va subir. Pourtant dès que je commence mes vas et viens elle les accompagne. Je pensais qu'elle allait prendre son temps pour jouir. Elle jouit presque aussitôt. Je n'ai pas jouis: je sens ses contractions autour de ma pine. Je lui demande si elle veut que je passe ailleurs: non elle veut continuer à se faire baiser. Elle jouit plusieurs fois consécutivement. Enfin elle me veut dans son cul. Elle se met en levrette, se mouille l'anus, me guide vers son joli trou. J'y rentre relativement rapidement. Quand je suis à fond, elle commence à se branler. Elle jouit encore avec son ronronnement. Qui se transforme presque en un miaulement. Je lime son anus tant que je peux. Nous jouissons pratiquement ensemble.
Depuis j'ai une nana qui n'hésite pas à se faire baiser, sodomiser, et qui en plus aime se branler. Que demander de mieux à une merveille de la nature.
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elle aime se faire metre ssaye la avec un black