Ma premiere amante - histoire érotique

J'ai toujours eu peur de la baise comme me l'on décrit mes amis. Ca me semble trop compliqué, baratiner, caresser, mais où, mettre ma queue dans un con. Bref je m'inventais une foultitude de raison pour ne pas m'approcher des filles. Je me contentais de ma main qui elle au poins me donnait de la jouissance à bon compte. Pourtant un jour je rencontrais
Lucie. Je voyais enfin une fille qui me plaisait beaucoup:jambes, des seins hauts perchés, une taille fine des hanches larges et des jambes, des jambes..........................! Bref je tombais amoureux d'elle et je ne sais toujours pas comment j'ai fait, j'ai vaincu ma timidité un jour en lui disant simplement que je la trouvais belle. Elle en rosissait de plaisir.
Finalement ce n'étais pas si difficile que ça de dire des mots gentils surtout quand on les pensait.
Le lendemain nous nous sommes croisés et je lui ai sourit. Elle m'a répondu et j'ai osé l'approcher. Encore une fois j'osais lui dire que je la désirais. Elles ne rosissait plus, elle me regardait sérieusement et finalement à mon grand étonnement elle s'approchait et m'embrassait légèrement sur la bouche. J'acceptais ce petit baiser comme un
encouragement. Je l'ai prise dans mes bras et lui ai pris la bouche. Je n'avais jamais embrasser une fille sur la bouche. Je suis resté surpris quand j'ai senti ses lèvres s'ouvrir et sa langue venir chercher la mienne. Ce premier baiser est tellement nouveau que je bande immédiatement. Elle doit bien sentir que ma queue est tendue. Elle fait comme si elle ne sent rien. Je poursuis mes "exploits" en lui touchant un sein. Elle le tend vers moi. Elle sait que je suis puceau. Elle murmure dans mon oreille: je vais t'apprendre, laisse toi faire. Je ne pensais pas qu'elle soit déjà bien au courant. Pourtant la suite me prouve que je me
trompe.
Elle m'emmène dans sa chambre, ferme légèrement les volets au cas où? Elle me demande de la déshabiller. Catastrophe: je ne sais même pas lui enlever le t-shirt, alors pensez au reste. Elle se déshabille toute seule et je la vois en entier. Que c'est beau un corps de femme surtout el sien et que c'est excitant d'aller plus loin. Avant d'aller plus loin elle me
demande de me mettre tout nu. Je bande de plus en plus. Elle m'embrasse encore et cette fois je répond normalement: nos langues rentrent dans nos bouches, c'est formidablement bon. Elle me demande de lui caresser les seins, comme elle le veux. J'y vais très doucement sans appuyer ou les pincer. Elle m'encourage. Il faut maintenant franchir un pas de plus. C'est simple elle fait d'elle même le premier pas. Elle prend ma bite dans sa main et avec dextérité elle me branle presque mieux que moi. Je m'écroule sur le lit, je la laisse faire et je jouis rapidement: c'est trop rapide. Elle m'embrasse encore et me dit qu'elle a fait
exprès pour que pour la suite je jouisse plus longtemps et que je la fasse jouir. Je débande, elle ranime ma flamme vite fait Quand elle me voit bander, elle me demande de lui passer la main entre ses cuisses et de chercher son bouton. Je lui met la main ente ses cuisses et je
cherche un moment avant d'arriver à son clitoris. C'est là qu'elle m'apprend à branler une fille. Elle me dirige tellement que malgré moi je la fait jouir. Elle me demande ensuite de lui mettre trois doigts dans son vagin. Je troue l'entrée facilement et j'y plonge mes doigts. Elle
me dit d'aller et venir en elle. Je doit le faire bien puisque je sens autour de mes doigts son con qui se crispe et se décrispe sans arrêt. D'ailleurs elle me le dit. Je voudrai lui mettre autre chose que des doigts. elle s'en doute, puisque elle écarte bien les jambes pour me
montrer tout son con et me demande de venir sur elle. Je me couche sur son corps, en faisant attention de ne pas l'écraser, elle prend ma pine la guide vers sa grotte secrète et je pénètre en elle en savourant déjà mon plaisir qui va venir. l'instinct me commande de faire des allers et venues dans son sexe. Elle gémit beaucoup et me dit de ne pas arrêter de la
baiser comme ça. Je la sens jouir encore autour de mon mandrin, je n'arrête pas: elle jouit encore, enfin moi aussi je jouis dans son con. Je me relève et l'embrasse longtemps. Elle murmure encore qu'elle va me montrer tout ce qu'elle sait faire pour jouir ensemble. Je la crois volontiers après cette première expérience.
Comme je débande encore un peu, elle se tourne et me présente son con en le mettant sur ma bouche et me dit de lécher son clitoris. Je commence à le faire, quand je sens qu'elle aussi s'occupe de moi. Sa bouche me prend en entier, et je sens aussi sa langue sucer mon gland. Je pense à sa bouche sans arrêt. Je continue ma lèche et elle jouit dans ma bouche: un liquide d'un bon goût vient envahir ma bouche et mes narines. Je suis occupé par son con et j'ai presque oublié ce que fait sa bouche: elle me fait jouir et malgrès moi je lui ai mis ma dose de sperme sans la bouche. Je pense n'avoir pas fait ce qu'il fallait. Au contraire, elle reviens vers moi, du sprme plein la bouche et me colle ses lèvres aux
miennes. elle partage mon sperme avec moi. J'en suis surpris et je ne trouve pas que ce soit mauvais. Elle me touche le bas ventre pour que ma pine retrouve visage humain. Cette fois quand je bande à nouveau, elle se met à quatre patte sur le lit et me dit de venir derrière elle. Elle me demande de l'enculer. Je ne sais pas trop si je vais réussir cet exploit,
après tout ce n'est que ma première baise. Elle pend ma queue, la plonge dans son con et la ressort entièrement mouillée et ensuite la pose sur son trou et me demande de la lui mettre lentement. Je rentre en elle comme elle veut et elle gémit de plus en plus fort en disant qu'elle aime se faire enculer, que je le fait bien , qu'elle est une putain, une fille de rien.Ttout ce langage abaissant pour elle m'excite au plus haut point et je crois qu'elle aussi le dit pour être encore plus excitée. Elle ne se cache pas pour jouir encore et encore de son cul.
Quand nous finissons elle me félicite: je l'ai bien baisée. elle a aimé. Elle me demande de revenir la voir dès que possible pour tirer un coup.