Ma première expérience en ligne... - histoire érotique

Il y a peu, j'ai découvert la domination en ligne, et je voulais vous raconter mon histoire...

Je suis ce qu'on peut appeler une femme bien sous tout rapports: bon métier, bonne situation, bonne éducation, discrète, sage, prête à tout pour faire plaisir autour de moi...
J'ai un fiancé qui m'aime et que j'aime, un bel appartement et des amis qui comptent pour moi.

J'ai toujours eu une très forte libido mais elle a été grandement atténuée par les différents contraceptifs que j'ai pu essayer ces dernières années. Rien ne fonctionnant, j'ai prit la décision de ne plus me gaver d'hormones. Mon conjoint et moi utilisons des préservatifs et cela nous convient très bien. Ma libido est donc revenue en force et, comme nous travaillons beaucoup, nous n'avons pas l'occasion de faire l'amour aussi souvent que je le voudrais.

La masturbation n'a jamais été un sujet tabou dans notre couple, nous aimons d'ailleurs partager les pornos qui nous plaisent et discuter de nos fantasmes solitaires...

A cours de supports de plaisir, j'ai eu l'idée de me connecter sur un tchat en ligne, ne sachant pas réellement moi-même ce que je cherchais. J'ai juste tapé "chat sex" dans mon navigateur privé et je me suis connectée à un serveur 100% anonyme.

Mes premiers partenaires étaient particulièrement ennuyeux, me demandant de me décrire, ce que je portais, ce que je faisais dans la vie... Rien de très stimulant pour moi, à vrai dire, et j'étais toujours un peu déçue de devoir répéter sans cesse la même chose... Mais l'un d'entre eux a attiré mon attention...

Après quelques banalités d'usage, il me demande si je suis chaude, me propose de me caresser un peu avec lui, puis il me balance le mot... "Salope"...
A la lecture de cette insulte qui aurait du m'horrifier, je sens mon sexe se contracter et une vague de chaleur envahir mon bas-ventre. Moi? Une salope? Je n'ose pas vraiment me l'avouer mais j'adore ça! Je l'encourage timidement et à chaque insulte, je mouille encore plus dans ma culotte. Savoir que j'excite un inconnu me fait beaucoup de bien, et plus je pense à sa queue tendue, plus je me languis de mon vagin si vide.

Je finis par aller chercher un gode dans ma table de nuit. J'en choisis un petit, long mais fin. Je le glisse dans la chatte et il rentre sans problème: ma culotte est inondée de mouille. Je signale à mon interlocuteur que je suis en train de me goder et il s'excite de plus belle, me faisant savoir à quel point une petite chienne comme moi est rare sur ce serveur. Je m'assois sur mon gode, bouge d'avant en arrière, mes reins ne veulent pas s'arrêter de danser et ma chatte dégouline de plaisir. C'est si bon de se sentir remplie ainsi alors que mon partenaire inconnu se branle en lisant mes messages cochons.

Ce petit gode ne me satisfait qu'un temps. Je veux quelque chose de plus gros, plus long, plus profond en moi. Je sais que j'ai ce qu'il me faut: un énorme gode en silicone m'attend au fond de mon placard. Il est si gros que, même excitée comme je suis, je vais avoir besoin de beaucoup de lubrifiant pour le rentrer. Ma chatte l'appelle et mon cerveau, envahi par le plaisir, ne fait que penser à cette queue factice. Oh comme j'aimerai l'avoir à l'intérieur de moi, me sentir ravagée et ouverte en deux comme la dernière des trainées!

J'annonce à mon partenaire du jour que je vais le chercher et lui demande cinq minutes le temps de le nettoyer.
Alors que j'astique le gros manche qui sera bientôt à l'intérieur de moi, je mouille de plus belle. Jamais de ma vie je n'avais eu autant faim de bites. La jeune femme forte et indépendante a laissé place à une pitoyable petite salope en manque qui ne demande qu'à s'assoir sur une grosse queue en érection. Ma mouille coule sur mes jambes, je tremble presque tant le désir devient pressant. Si un homme était devant moi à ce moment là, je le supplierai de me prendre, à quatre pattes devant lui, la langue pendante, dans la position la plus avilissante qu'il soit.

Alors que je reviens, excitée, devant mon écran, j'informe mon partenaire que je vais me pénétrer. Je n'attends pas sa réponse et je m'empale sur mon gode. Je dois m'y prendre à plusieurs reprises mais enfin ce coquin me perfore et je me sens tout à la fois remplie, comblée, à ma place. Je comprends enfin que je n'ai plus rien à prouver, je ne suis qu'un réceptacle destiné à accueillir toutes les queues qui auront la gentillesse de me fourrer.

En extase, je regarde ma conversation... Et je m'aperçois que mon partenaire s'est déconnecté! J'en pleurerai presque! Je suis là, assise sur mon gode, excitée comme jamais, et plus personne pour me faire du bien! Désespérée, je vais sur la conversation de groupe et je poste un message pathétique suppliant qu'on vienne m'aider à jouir.

Un deuxième galant vient alors me contacter. Je lui explique rapidement la situation et il prend le relais d'une main de maître. Sans relâche, il m'insulte, me rappelle ma place de vide-couilles à son service, m'encourage à sauter sur mon gode et je m'exécute, fidèle soumise avilie à ses désirs. Mon esprit n'a plus une once de rébellion, je ne vis que pour satisfaire ma petite chatte trempée.

Je sens que le moment arrive et je change de position. Je me mets sur le ventre, en position de levrette allongée. Le gode en moi me pénètre profondément et je signale à mon maître que je vais commencer à me toucher le clitoris. Je n'ai plus que ma main gauche qui écrit sur le clavier, je suis lente, je fais des fautes, mon visage est écrasé sur le canapé dans une posture de soumission absolue. A ce moment là, je ne vaux pas mieux qu'un animal en chaleur, implorant qu'on le baise.

Alors que mon partenaire donne tout ce qu'il a, je l'encourage de plus belle. Mes messages ne sont plus que des "encore encore encore, insulte moi encoreeee" et je suis de plus en plus excitée au fur et à mesure que je me rabaisse. Il demande ce que je suis et je réponds honnêtement: "je suis une énorme chienne qui ne vit que pour la bite". Ah, si il savait tout le bien qu'il me procure! Ma chatte est au paradis, j'aimerai que ce moment ne s'arrête jamais!
Il me porte alors le coup de grâce: "tu n'es vraiment qu'une grosse salope qui jouit en demandant au premier venu de l'insulter". Tout en me ravageant furieusement le clito, je relis sa phrase en boucle. Il a tout à fait raison. Je ne suis qu'une pitoyable petite pute qui aime exciter n'importe qui!

Mon orgasme est phénoménal. Je m'écroule sur le canapé, haletante, reconnaissante, comblée de bonheur.

Nous prenons le temps de débriefer la séance. Je ne sais que penser de tout ce qu'il vient de se passer.

Cette séance occupera mon esprit une bonne partie de la soirée et le lendemain, dés mon réveil, je me reconnecte sur le site pour revivre cette expérience hors du temps...

Depuis, j'ai fais un peu de chemin et j'embrasse avec plaisir ce statut temporaire de traînée virtuelle. J'aurai encore d'autres belles histoires à raconter, alors j'espère que vous me lirez avec plaisir !