Mon entraînement anal (3)
Récit érotique écrit par Minadream [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2024 dans la catégorie En solitaire
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Mon entraînement anal (3)
Troisième partie: Plus c'est long, plus c'est... bon?
Bonjour à tous! Vous êtes de plus en plus nombreux à lire mes petites histoires et je vous en remercie! Voir vos commentaires me donne vraiment envie de continuer à vous narrer mes petites bêtises! Certains me font même un peu mouiller, je l'avoue honteusement... Oui, il m'en faut peu mais ça, vous devez commencer à le comprendre: je n'en ai jamais assez et il m'en faut toujours plus pour me satisfaire!
C'est exactement le thème de l'histoire d'aujourd'hui!
Je n'en ai pas encore parlé ici mais en plus d'être une petite traînée virtuelle, je suis également ce qu'on peut communément nommer une "monsterfucker". En effet, je fantasme sur les "monstres", les créatures fantastiques et fantaisistes qu'on peut retrouver dans les univers de fiction les plus sombres. Et oui, je vous arrête de suite, je suis une grande consommatrice de hentais. Des orcs aux gobelins, en passant par des aliens tentaculaires, rien ne me fait plus tremper ma culotte que de m'imaginer à la merci de ces créatures sans pitié. Ma limite se situe évidemment dans le consentement mutuel: je ne m'intéresse pas aux monstres non conscients et incapables de donner un consentement libre et éclairé.
J'ai d'ailleurs une série en préparation sur ce thème, mais je ne suis pas venue pour parler de cela aujourd'hui!
J'ai l'habitude de commander mes sextoys sur une plateforme de créateurs. Je les aime texturés, colorés, en silicone... Parfois, je vais uniquement les regarder pour les imaginer en moi. Ce matin là, j'étais au travail et je m'ennuyais ferme. A cette époque, j'avais deux galants avec lesquels je discutais régulièrement. Très coquins, ils m'excitaient chacun de leur côté, et j'étais seule dans mon bureau... Allant sur l'application, je surfe un peu et je tombe sur une merveille... Quarante centimètres de longueur pour un diamètre de deux centimètres, une belle couleur transparente, des écailles de dragon qui créent un délicieux relief pour terminer par un petit gland sans équivoque... A la vie de cette beauté, mon sang ne fait qu'un tour, mon cul commence à palpiter, ma chatte se mouille de désir et mon cœur s'accélère. Ce n'est pas que je le veux, c'est que c'est un BESOIN. Je DOIS absolument sentir cette chose à l'intérieur de moi. Elle ressemble aux tentacules qui me font tant fantasmer, je l'imagine sonder tous les recoins de mon colon et me faire me sentir remplie comme une bonne esclave du plaisir.
J'envoie immédiatement une photo à mes galants "je t'en supplie, empêche moi d'acheter ça!". Evidemment, ils m'encouragent!
Je laisse passer un peu de temps mais en début d'après midi, ma merveille est commandée et prête à être expédiée...
Je dois attendre un mois qu'elle arrive à bon port. En l'attendant, je me masturbe en regardant des vidéos d'insertions extrêmes. Je m'imagine à la place de ces femmes, sentant mon gode glisser le long de mon petit anus écartelé... J'aime déjà la sensation que me procure mon petit gode lorsqu'il se faufile hors de moi, je songe au plaisir que j'aurai à expérimenter cette extase de manière plus intense.
Lorsque le gode arrive, première déconvenue: il se passe une semaine sans que je ne puisse avoir de temps pour moi. Mon conjoint est toujours présent, et je dois partir en week-end dans ma famille. Frustrée, je masturbe tous les soirs avec mes doigts en m'imaginant offerte et haletante, empalée sur la queue d'un majestueux reptilien.
Lorsque je rentre de mon week-end, je trouve la maison vide, mon compagnon étant au travail. J'ai à peine le temps de poser mes affaires que je suis déjà nue, le souffle court, en train de nettoyer mon incroyable jouet. Ma main remplie de savon le branle pour une pénétration sans risques, et je sens les écailles former de petites bosses sous ma paume. Sa petite circonférence ne nécessite pas de préparation préalable, de toute manière j'en ai beaucoup trop envie pour attendre.
Je commence par le tester dans ma chatte. Evidemment, il rentre sans problème, je suis habituée à prendre de belles et grosses verges, réelles ou en silicone! La sensation est agréable mais sans plus. Je le rentre sur peut-être quinze ou vingt centimètres, rien de bien étonnant en somme. Le plus intéressant est à venir.
Je me munis de mon lubrifiant et en applique sur toute la longueur du jouet. Je n'espère pas en rentrer plus que la moitié pour mon premier essai. A ce moment là, j'hésite à appeler un galant, mais je préfère finalement rester seule pour cette première fois (je comprendrai plus tard que c'était une bonne idée). J'ignore totalement ce que je vais ressentir. L'excitation mêlée à la peur me fait mouiller de plus belle. J'adore tellement faire de nouvelles expériences, et mon cul est le cobaye parfait pour cela! Si j'avais su que j'aimais à ce point me faire enculer, il est évident que j'aurai expérimenté beaucoup plus tôt, mais mon éveil anal coïncide avec ce nouveau statut de salope en ligne.
Le gode est assez mou, suffisamment pour s'adapter à chaque recoin de mon corps. Je suis obligée de m'y prendre à deux mains pour pouvoir pénétrer mon anus. A plusieurs reprises, il glisse sur le lit. Je suis alors très frustrée de ne pouvoir le rentrer. Je tente plusieurs postures, et c'est finalement à genoux que j'arrive à la délivrance. Le gland me pénètre, aidé par la dose importante de lubrifiant que je lui ai alloué. Aucune douleur à l'horizon, pour le moment, on est encore dans les limites de ce que je m'enfonce déjà en temps normal...
Je pousse un peu plus sur le gode, avec beaucoup de douceur car j'ignore où il va venir se loger. Il entre tendrement en moi, comme un amant pervers mais attentionné. J'imagine le monstre qui y serait rattaché me sonder délicatement les entrailles et je mouille derechef. Ma chatte est totalement ruinée alors que je n'y ai rien entré, mais mon cul me procure une sensation délicieuse. J'ai alors la moitié du gode en moi et je n'en peux plus d'attendre: mon clitoris me supplie de lui donner sa jouissance tant désirée. Je me lève et vais me laver les mains pour enlever le lubrifiant car je n'apprécie pas la sensation sur ma chatte. Le plug reste encré en moi, comme une petite queue. Je me surprends à me dire que j'adorerai avoir un plug de chienne avec une belle queue en fourrure qui se baladerait derrière moi de manière humiliante. Peut-être même un petit collier? Non, il faut que je me concentre... Je pousse légèrement le gode alors que je suis encore debout et je constate que je peux le rentrer encore plus profondément. Sans insister, je tente et je pense bien en avoir inséré les trois quarts. Je peux voir un très léger renflement sur mon ventre, prouvant que j'ai actuellement bien trente centimètres de bite en silicone logés confortablement au fond de mon cul.
Je ne sais si vous pouvez imaginer cette sensation extraordinaire que mon plug me procure. Je me sens totalement possédée, esclave sexuelle sans dignité, corps enculé et utilisé comme vide-couilles par un monstre imaginaire et dépravé. Je tire plusieurs fois sur cet incroyable phallus, me sodomise avec passion tout en frottant mon clitoris trempé de mouille avide. Mon gode fait des aller-retours dans mon cul et entre toujours plus profondément. Je ne me sens même plus humaine mais un simple objet de plaisir, au service de sa libido. Oh comme j'aimerai en faire profiter un galant !
Alors que je me doigte, le cul tendu et la tête écrasée contre l'oreiller, je sens l'objet commencer à glisser hors de moi. Mes yeux s'écarquillent, je sais que je bave mais je ne contrôle plus mon visage tant le plaisir est intense. Le temps me semble à la fois infini et très court. J'adore tant la sodomie, j'aime tant me faire enculer et me tenir ainsi, en levrette, soumise et pathétique, la langue tendue! Ah, si j'étais en vocal, je pousserai des jappements de petite chienne, comme j'aime tant le faire! J'aimerai, à ce moment, avoir un maître à mes côtés qui pousserait mon gode jusqu'au plus profond de mon fondement, comme une exquise torture. J'aimerai qu'il pose son pied sur mon visage pour enfoncer encore plus profondément ma tête dans mon oreiller et me rappeler où est ma place! Je perds toujours la tête lorsque je suis au bord de la jouissance, et me comporte comme la pire des traînées!
Au moment où le gland s'éjecte hors de mon anus et que le gode tombe mollement sur le lit, je jouis avec force. Je sens un liquide s'expulser de ma chatte et je constaterai plus tard que j'ai trempé la serviette que j'avais mis au cas où cela arriverait.
Je dois rester quelques instants, hébétée, à reprendre mon souffle suite à cette délicieuse et extrême sodomie. Je suis si fière du chemin que j'ai pu parcourir!
Plus tard, je réessayerai l'expérience avec un galant, tout en gâtant ma chatte qui était alors délaissée, mais elle fut moins plaisante. Je pense garder cette beauté pour des plaisirs solitaires, ou alors uniquement anaux car trop d'éléments de plaisir peuvent gâcher celui-ci. Et puis, vous vous en doutez, en bonne petite salope, j'aime aussi la frustration!
J'espère que mon récit vous aura mit l'eau à la bouche, ou plutôt la trique au pantalon! Comme d'habitude, n'hésitez pas à me faire part de vos impressions, je lis tous vos commentaires et sachez qu'ils me ravissent!
A bientôt pour de nouvelles aventures!
Bonjour à tous! Vous êtes de plus en plus nombreux à lire mes petites histoires et je vous en remercie! Voir vos commentaires me donne vraiment envie de continuer à vous narrer mes petites bêtises! Certains me font même un peu mouiller, je l'avoue honteusement... Oui, il m'en faut peu mais ça, vous devez commencer à le comprendre: je n'en ai jamais assez et il m'en faut toujours plus pour me satisfaire!
C'est exactement le thème de l'histoire d'aujourd'hui!
Je n'en ai pas encore parlé ici mais en plus d'être une petite traînée virtuelle, je suis également ce qu'on peut communément nommer une "monsterfucker". En effet, je fantasme sur les "monstres", les créatures fantastiques et fantaisistes qu'on peut retrouver dans les univers de fiction les plus sombres. Et oui, je vous arrête de suite, je suis une grande consommatrice de hentais. Des orcs aux gobelins, en passant par des aliens tentaculaires, rien ne me fait plus tremper ma culotte que de m'imaginer à la merci de ces créatures sans pitié. Ma limite se situe évidemment dans le consentement mutuel: je ne m'intéresse pas aux monstres non conscients et incapables de donner un consentement libre et éclairé.
J'ai d'ailleurs une série en préparation sur ce thème, mais je ne suis pas venue pour parler de cela aujourd'hui!
J'ai l'habitude de commander mes sextoys sur une plateforme de créateurs. Je les aime texturés, colorés, en silicone... Parfois, je vais uniquement les regarder pour les imaginer en moi. Ce matin là, j'étais au travail et je m'ennuyais ferme. A cette époque, j'avais deux galants avec lesquels je discutais régulièrement. Très coquins, ils m'excitaient chacun de leur côté, et j'étais seule dans mon bureau... Allant sur l'application, je surfe un peu et je tombe sur une merveille... Quarante centimètres de longueur pour un diamètre de deux centimètres, une belle couleur transparente, des écailles de dragon qui créent un délicieux relief pour terminer par un petit gland sans équivoque... A la vie de cette beauté, mon sang ne fait qu'un tour, mon cul commence à palpiter, ma chatte se mouille de désir et mon cœur s'accélère. Ce n'est pas que je le veux, c'est que c'est un BESOIN. Je DOIS absolument sentir cette chose à l'intérieur de moi. Elle ressemble aux tentacules qui me font tant fantasmer, je l'imagine sonder tous les recoins de mon colon et me faire me sentir remplie comme une bonne esclave du plaisir.
J'envoie immédiatement une photo à mes galants "je t'en supplie, empêche moi d'acheter ça!". Evidemment, ils m'encouragent!
Je laisse passer un peu de temps mais en début d'après midi, ma merveille est commandée et prête à être expédiée...
Je dois attendre un mois qu'elle arrive à bon port. En l'attendant, je me masturbe en regardant des vidéos d'insertions extrêmes. Je m'imagine à la place de ces femmes, sentant mon gode glisser le long de mon petit anus écartelé... J'aime déjà la sensation que me procure mon petit gode lorsqu'il se faufile hors de moi, je songe au plaisir que j'aurai à expérimenter cette extase de manière plus intense.
Lorsque le gode arrive, première déconvenue: il se passe une semaine sans que je ne puisse avoir de temps pour moi. Mon conjoint est toujours présent, et je dois partir en week-end dans ma famille. Frustrée, je masturbe tous les soirs avec mes doigts en m'imaginant offerte et haletante, empalée sur la queue d'un majestueux reptilien.
Lorsque je rentre de mon week-end, je trouve la maison vide, mon compagnon étant au travail. J'ai à peine le temps de poser mes affaires que je suis déjà nue, le souffle court, en train de nettoyer mon incroyable jouet. Ma main remplie de savon le branle pour une pénétration sans risques, et je sens les écailles former de petites bosses sous ma paume. Sa petite circonférence ne nécessite pas de préparation préalable, de toute manière j'en ai beaucoup trop envie pour attendre.
Je commence par le tester dans ma chatte. Evidemment, il rentre sans problème, je suis habituée à prendre de belles et grosses verges, réelles ou en silicone! La sensation est agréable mais sans plus. Je le rentre sur peut-être quinze ou vingt centimètres, rien de bien étonnant en somme. Le plus intéressant est à venir.
Je me munis de mon lubrifiant et en applique sur toute la longueur du jouet. Je n'espère pas en rentrer plus que la moitié pour mon premier essai. A ce moment là, j'hésite à appeler un galant, mais je préfère finalement rester seule pour cette première fois (je comprendrai plus tard que c'était une bonne idée). J'ignore totalement ce que je vais ressentir. L'excitation mêlée à la peur me fait mouiller de plus belle. J'adore tellement faire de nouvelles expériences, et mon cul est le cobaye parfait pour cela! Si j'avais su que j'aimais à ce point me faire enculer, il est évident que j'aurai expérimenté beaucoup plus tôt, mais mon éveil anal coïncide avec ce nouveau statut de salope en ligne.
Le gode est assez mou, suffisamment pour s'adapter à chaque recoin de mon corps. Je suis obligée de m'y prendre à deux mains pour pouvoir pénétrer mon anus. A plusieurs reprises, il glisse sur le lit. Je suis alors très frustrée de ne pouvoir le rentrer. Je tente plusieurs postures, et c'est finalement à genoux que j'arrive à la délivrance. Le gland me pénètre, aidé par la dose importante de lubrifiant que je lui ai alloué. Aucune douleur à l'horizon, pour le moment, on est encore dans les limites de ce que je m'enfonce déjà en temps normal...
Je pousse un peu plus sur le gode, avec beaucoup de douceur car j'ignore où il va venir se loger. Il entre tendrement en moi, comme un amant pervers mais attentionné. J'imagine le monstre qui y serait rattaché me sonder délicatement les entrailles et je mouille derechef. Ma chatte est totalement ruinée alors que je n'y ai rien entré, mais mon cul me procure une sensation délicieuse. J'ai alors la moitié du gode en moi et je n'en peux plus d'attendre: mon clitoris me supplie de lui donner sa jouissance tant désirée. Je me lève et vais me laver les mains pour enlever le lubrifiant car je n'apprécie pas la sensation sur ma chatte. Le plug reste encré en moi, comme une petite queue. Je me surprends à me dire que j'adorerai avoir un plug de chienne avec une belle queue en fourrure qui se baladerait derrière moi de manière humiliante. Peut-être même un petit collier? Non, il faut que je me concentre... Je pousse légèrement le gode alors que je suis encore debout et je constate que je peux le rentrer encore plus profondément. Sans insister, je tente et je pense bien en avoir inséré les trois quarts. Je peux voir un très léger renflement sur mon ventre, prouvant que j'ai actuellement bien trente centimètres de bite en silicone logés confortablement au fond de mon cul.
Je ne sais si vous pouvez imaginer cette sensation extraordinaire que mon plug me procure. Je me sens totalement possédée, esclave sexuelle sans dignité, corps enculé et utilisé comme vide-couilles par un monstre imaginaire et dépravé. Je tire plusieurs fois sur cet incroyable phallus, me sodomise avec passion tout en frottant mon clitoris trempé de mouille avide. Mon gode fait des aller-retours dans mon cul et entre toujours plus profondément. Je ne me sens même plus humaine mais un simple objet de plaisir, au service de sa libido. Oh comme j'aimerai en faire profiter un galant !
Alors que je me doigte, le cul tendu et la tête écrasée contre l'oreiller, je sens l'objet commencer à glisser hors de moi. Mes yeux s'écarquillent, je sais que je bave mais je ne contrôle plus mon visage tant le plaisir est intense. Le temps me semble à la fois infini et très court. J'adore tant la sodomie, j'aime tant me faire enculer et me tenir ainsi, en levrette, soumise et pathétique, la langue tendue! Ah, si j'étais en vocal, je pousserai des jappements de petite chienne, comme j'aime tant le faire! J'aimerai, à ce moment, avoir un maître à mes côtés qui pousserait mon gode jusqu'au plus profond de mon fondement, comme une exquise torture. J'aimerai qu'il pose son pied sur mon visage pour enfoncer encore plus profondément ma tête dans mon oreiller et me rappeler où est ma place! Je perds toujours la tête lorsque je suis au bord de la jouissance, et me comporte comme la pire des traînées!
Au moment où le gland s'éjecte hors de mon anus et que le gode tombe mollement sur le lit, je jouis avec force. Je sens un liquide s'expulser de ma chatte et je constaterai plus tard que j'ai trempé la serviette que j'avais mis au cas où cela arriverait.
Je dois rester quelques instants, hébétée, à reprendre mon souffle suite à cette délicieuse et extrême sodomie. Je suis si fière du chemin que j'ai pu parcourir!
Plus tard, je réessayerai l'expérience avec un galant, tout en gâtant ma chatte qui était alors délaissée, mais elle fut moins plaisante. Je pense garder cette beauté pour des plaisirs solitaires, ou alors uniquement anaux car trop d'éléments de plaisir peuvent gâcher celui-ci. Et puis, vous vous en doutez, en bonne petite salope, j'aime aussi la frustration!
J'espère que mon récit vous aura mit l'eau à la bouche, ou plutôt la trique au pantalon! Comme d'habitude, n'hésitez pas à me faire part de vos impressions, je lis tous vos commentaires et sachez qu'ils me ravissent!
A bientôt pour de nouvelles aventures!
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Dommage que ton chéri ne participe pas…
Moi j’adorerai jouer avec toi et ton gode en mode henyai 😜
Moi j’adorerai jouer avec toi et ton gode en mode henyai 😜