Mon entraînement anal (2) - histoire érotique

Deuxième partie: lavements et défis...

Bonjour tout le monde! Est-ce que je vous ai manqué? Me voici de retour pour vous narrer la prochaine étape de mon entraînement anal! Je vous invite à me découvrir à travers mes deux premières histoires si vous ne me connaissez pas encore;, pour les autres: bonne lecture!

Ma découverte du plaisir anal a eu beaucoup de conséquences sur mes pratiques solitaires. Il est désormais compliqué pour moi d'envisager de me faire du bien sans flatter mon petit cul. D'ailleurs, je suis actuellement en train d'écrire ce texte toute fourrée de partout, ma chatte et mon cul remplis de mes godes favoris! Voyez comme je suis dédiée à mon art!

Après une petite semaine d'enculades délicieuses, j'ai décidé que j'étais prête à passer à la vitesse supérieure. Oh, bien sûr, je n'étais pas prête à prendre tout de suite une queue, mais quelque chose d'un peu plus gros, peut-être?
Je possède chez moi une poire anale qui a servi quelques temps à mon conjoint, lorsque celui-ci était également obsédé par son cul, une passion qui s'est tarie mais qui m'a donné l'occasion de le découvrir sous un autre angle, mais je raconterai peut-être cette histoire une autre fois...
Je suis très attachée à l'hygiène, il est donc indispensable que je bénéficie, avant toute stimulation, d'un nettoyage complet et en profondeur...

Je tremble d'appréhension et d'excitation alors que je remplis la poire avec de l'eau du robinet, suffisamment tiède pour que je la sente sans qu'elle me brûle. Je m'allonge sur mon lit, une serviette sur les draps, cul relevé, jambes pliées, dans une posture humiliante et vulgaire. J'insère la canule en moi, je ne l'ai pas lubrifiée donc je la sens bien me transpercer l'anus. Enfin, j'appuie sur la poire pour faire glisser de l'eau au fond de mon rectum. A cet instant précis, et bien qu'il n'y ait personne pour m'observer, je me sens honteuse, obsédée, dégoutante, mais cette sensation m'excite au plus haut point. Mon vagin chauffe et me fait sentir qu'il aime les émotions que je ressens.

Mon intérieur se met à chauffer. Mon ventre fait un bruit de gargouillis, indiquant que l'eau est en train de s'y déverser. Je me sens si bien, à me remplir le cul ainsi. Je me lève, essaie de garder un peu le liquide en moi mais je ressens trop vite le besoin d'aller le déverser dans les toilettes.
L'eau sort, chaude, douce, en un jet puissant qui me nettoie les entrailles. Oh, comme c'est bon de pisser par le cul! Ma petite chatte salope mouille abondamment, réclamant qu'on la remplisse. Patience, c'est mon cul que je satisfait!

Je recommence l'opération quatre fois. Seules deux auraient suffit mais je suis si gourmande que je ne peux m'empêcher de me remplir davantage. Mon cul boit l'eau comme un affamé, ma chatte coule sur la serviette et mon esprit dérangé se satisfait de tout ce stupre. J'ai l'impression que des hommes me jutent dans le cul et, à chaque fois que je déverse ce liquide, je ne pense qu'à m'en remettre au fond du rectum. Voici donc la chienne anale que je suis devenue!

Je n'en reste pas là: aussitôt ma soif assouvie, j'enfonce mon plug et je me met au défi de le garder en moi en plus longtemps possible!
Pour m'occuper, je vais sur mon tchat favori et je discute. Ces derniers temps, j'ai installé un réseau social spécialement pour le sexe, où quelques galants réguliers me rejoignent, mais je préfère souvent les plans ponctuels sans engagement.
Au bout d'une heure, j'estime être assez ouverte et je vais insérer un nouveau jouet: un chapelet anal. Il appartient à mon conjoint mais qu'importe, il ne s'en sert plus actuellement, et j'en ai vraiment trop envie!

Le jouet a un peu de mal à passer. Les quatre boules se succèdent et remplissent mon cul délicieusement. En essayant de m'installer, je déclenche le mécanisme et tout se met soudain à vibrer au fond de mon cul. La sensation est incroyable! Je suis à ce moment là en conversation orale avec un galant et je ne peux contenir mes gémissements de plaisir.

Je fini par ne plus tenir et je m'enfonce mes deux godes, en position de levrette. La sensation est indescriptible: je suis affalée sur mon lit, le cul en l'air, je me touche furieusement le clitoris d'une main tout en envoyant des vocaux à mon partenaire. Je deviens totalement folle, je bave de plaisir, complètement noyée sous mes fluides.
Je ne sais plus exactement ce que je dis, je commence timidement "oh c'est trop bon, oui, encore, traite-moi encore de chienne...", c'est si étrange de parler à haute voix! Mon galant me répond par messages (une demande de ma part) et je continue à enregistrer ma voix qui supplie de plus en plus. Je réécoute mes vocaux et cela m'excite de plus belle de m'entendre m'avilir ainsi pour un inconnu rencontré quelques heures auparavant.
Mon cerveau se vide, je me surprends à dire "aaaah mon cul, mon cul, mon cul, c'est si BON dans mon cul!" comme une idiote.
Tout d'un coup, à force de plaisir, mon gode est éjecté hors de moi. La sensation est divine! Je m'épanche immédiatement: "Oh c'est sorti...! Mon dieu c'est tellement bon, encore, encore, encore dans mon cul, je le veux encore dans mon cul!". Je me saisit du gode et l'enfonce de nouveau en moi. Je veux encore qu'il sorte, qu'il glisse et qu'il stimule tout mon anus. A plusieurs reprises, cela arrive et je meurs de plaisir.
Parfois, je le maintiens avec ma main pour qu'il tape bien le fond mais rapidement je dois le lâcher pour m'occuper de mon clito. Je jouis furieusement en une dernière éjection, étalant bien ma mouille partout, puis je gis sur mes draps sales, hébétée.

Les lavements font à présent partie de mon quotidien. Dés que je suis seule, je ne pense qu'à remplir mon ventre de ce liquide chaud et délicieux. J'arrive à les garder de plus en plus longtemps en moi et préparer mes jouets tout en ayant les intestins remplis d'eau. J'adorerai parvenir à gonfler mon ventre rien qu'avec du liquide, mais je crains de ne pas en être encore prête.

J'ai si hâte de passer à l'étape suivante! Si vous savez ce que j'ai réservé, vous auriez hâte aussi!

A très bientôt pour partager mes folles aventures!