Ma première femme mure.

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma première femme mure. Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(7.0 / 10)

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Ma première femme mure.
Après une déception amoureuse, ou plutôt sexuelle, j’ai quittée mon amie. Mes façons de lui faire l’amour ne lui plaisaient plus. Je me retrouve seul, sans regrets sinon de ne pas avoir une femme pour me soulager les roubignolles. J’en suis réduit à me masturber, arriver 30 ans pour ça !! Ce n’est pas que je j’aime pas jouir ainsi, au contraire, j’aime quand ma main prend ma bite à pleine main et qu’elle fait des aller et retour: je jouis toujours ainsi. Ce n’est pas suffisant, il manque un corps à caresser, un sexe féminin à lécher.
Ce soir j’ai décidé de sortir pour me changer les idée. Je choisis un bar où par expérience je sais qu’on peut y faire des rencontres intéressantes. En effet quand j’arrive il y a pas mal de monde. Surtout des filles en mal d’amants sans doute. Parmi elle je remarque une nana, plus âgée que la moyenne. Une grande blonde, presque châtain, qui possède tout ce dont j’ai besoin: une belle poitrine, des hanches parfaites. Je m’approche d’elle et je lui parle de tout. Elle me regarde en souriant:- Si vous voulez de moi, il faut simplement me le dire.
- Comme ça ,- Oui, vous me plaisez beaucoup: il me semble que vous avez ce que je cherche: Elle me regarde l’entre jambe où j’ai en effet un bon paquet. Je suis étonné d’entendre une femme me parler ainsi. Je dois lui plaire, puisqu’elle m’a fait comprendre qu’elle n’était pas contre.
- D’accord, vous me plaisait et j’ai envie de vous, voulez vous coucher avec moi ?
- Où allons nous?
Elle m’étonne de plus en plus. Elle est directe et doit avoir une envie folle de baiser. Avant d’aller plus loin je l’embrasse: ses lèvres s’écartent et sa langue est la première dans ma bouche. Notre baiser est très long.
Nous partons bras dessus bras dessus, vers chez moi: je préfère ça à un hôtel anonyme. J’ai la surprise en la voyant de près qu’elle est bien plus âgée que je ne le pensais: Elle est plus proche de 50 que de 35 comme le croyais. Seules quelques rides le montre. Finalement elle n’est pas mal conservée, avec sa bouche pulpeuse (peut-être arrangée) et sa poitrine qui ne tombe qu’à peine. Et puis je n’ai jamais fait l’amour avec une femme mure. Pourquoi ne pas essayer une fois au moins.
Elle a l’air un peu inquiète, elle doit se demander si je vais la vouloir. Elle vient contre moi, me tend ses lèvres. Notre baiser est très agréable. Elle arrive à me faire bander avec ses lèvres. Elle doit avoir une expérience extraordinaire. Je l’installe sur mon lit, sans rien lui demander. Elle s’assoit et me demande de venir contre elle. Son visage est contre ma bite qui grossit sans arrêt. Lentement elle descend ma braguette et sans effort elle sort ma bite:- C’est bien se que je pensais, tu es bien nanti de ce coté là.
- Elle est pour toi ce soir.
- C’est gentil, merci, tu ne le regrettera pas.
Sans plus rien me dire, elle avale presque la partie sortie de ma bite. Elle la tient avec sa main droite, me masturbe en même temps: elle est sacrément salope ainsi. Je sens ses lèvres descendre mon prépuce, sa langue envelopper le gland. Elle agit avec une maestria rare. J’ai la tête tendue vers ma bite et sa bouche. Elle connait parfaitement le corps d’un homme: je ne sais combien d’hommes elle a eu, plusieurs centaine sans doute pour arriver à ce niveau de perfection.
Dommage, elle arrête: - Ne jouis pas maintenant, tu dois me sucer, me baiser et m’enculer, si tu en es capable, j’aime beaucoup la sodomie.
- Mets toi toute nue pour me faire plaisir.
Je préfère que ce soit elle qui se montre: Je me mets également tout nu: elle ne peux s’empêcher de me prendre la bite encore une fois dans sa main pour la faire coulisser.
Je la regarde nue: elle est bien faite, mis à part une légère tombée de sa poitrine: il n’empêche qu’elle estbaisable. Sans que je ne, lui demande rien, elle se couche, les jambes ouvertes:- Suces moi le con.
- Tu veux ma langue où ?
- Où te voudra, fais moi jouir, c’est tout.
En ayant carte libre je ne me gêne plus: je pose toute ma bouche sur sa chatte: qu’elle odeur agréable: elle ferai réveiller un mort. Je n’ai jamais ressentis une telle odeur, alliant le musc, les épices comme le girofle et autres épices plus ou moins concentrés. Si je devais la manger il me semble que je m’en régalerai. Pour le moment je vais lui bouffer le con. Je suis bien entre ses jambes, surtout quand je commence par lécher ses lèvre, avant de monter vers son clitoris. A cet instant elle commence a gémir fortement. Je lui entre deux doigts dans le vagin, puis un autre, le pouce dans le cul- Oui, suces moi comme ça, et garde ton doigt dans mon cul, j’aime ce que tu me fais.
Elle me caresse la tête, jouit plusieurs fois, toujours en gémissant. Elle me demande de me tourner pour qu’elle prenne encore une fois ma bite. Je suis sur elle pendant qu’elle me suce: ce n’est pas la meilleure des positions; elle se mets sur moi, sans que je retire ma bouche de sa chatte. Elle ne se sert plus de sa main, seule sa langue commence avec le gland puis lentement elle prend ma bite dans la bouche. Je sens ses lèvres d’abord sur le gland et sur le membre lui-même. Elle sait parfaitement ce qu’elle fait: elle arrête encore avant que je jouisse. Quand elle se relève, elle vient directement sur moi. Je bande encore fort bien, elle prend ma queue m’enjambe après la voir embrasser. Elle est presque à genoux, ma bite dans sa main, elle la dirige vers son vagin et s’y pose lentement. Pour elle je ne sais pas encore, en tout cas pour moi c’est le paradis. C’est extraordinaire d’être dans son fourreau à la fois chaud et humide. Elle dirige tout pour son propre plaisir. Elle jouit je ne sais combien de fois. Je sens couler sa cyprine sur mon bas ventre. Je suis sur le point de jouir quand elle se retire, m’embrasse:- Tu es un bon baiseur, je n’en ai pas connu comme toi depuis longtemps. Si tu veux on recommencera plusieurs fois dans la semaine.
- Tu baises très bien toi aussi. Combien tu as eu d’amants ?
- Je n’ai jamais compté sans doute plusieurs centaine depuis mon premier quand j’avais 15 ans et qu’il m’a faite jouir. Tu sais j’ai eu des filles pendant des partouzes mais je préfère baiser en couple comme nous.
Recommençons cette fois tu va jouir comme tu ne l’a jamais fais.
- Comment ?
- Tu vas me mettre la bite au cul.
Elle s’installe à peu près en levrette, me demande de lui lécher le cul pour bien le mouiller. Elle prend ma queue la met juste sur l’anus:- Vas-y à fond, tu ne me fera pas mal au contraire.
Je suis ses désirs, ma bite entre facilement dans son Cul, j’en profite pour la lui mettre à fond. Elle recommence à gémir, passe une main sur son clitoris, se masturbe et jouis encore. Je ne peux plus me retenir: je l’averti que je vais juter. Elle accélère ses vas et vient pour enfin sentir mon jus dans ses fesses. Quand je veux sortir, elle me retiens à la fois pas les paroles et surtout par son cul. Je ne sais comment elle arrive à resserrer son anus pour m’empêcher de sortir d’elle. En tout cas je me trouve prisonnier, avec un gros avantage: quand elle sait que je n’ai plus envie de sortir, elle me branle avec son anus de telle façon que je suis obliger de replonger dans son cul. Cette fois je suis très long à venir, à sa grande satisfaction. Elle est contente avec une pine au cul. Sans doute un bon quart d’heure après je jouis encore: cette fois j’ai un orgasme inconnu tellement il est long.
Je m’écroule quand elle se lève, m’embrasse et me dit à demain soir pour une autre séance. C’est ma première femme très mure que j’ai eu.

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