Ma première jouisance après masturbation
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2014 dans la catégorie En solitaire
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Ma première jouisance après masturbation
Ceci se passait dans les année 60. A cette époque les rapports hommes/femmes n'étaient pas les mêmes que maintenant. Je vous raconte donc un vieux souvenir.
Je fréquentais un garçon de mon âge qui au bout de quelques jour de flirt agissait comme à cette époque. Après plusieurs semaines il m'a caressé la poitrine à travers le polo que je portais. Il me pelotait gentiment: ça me plaisait beaucoup.Un peu plus tard il me mettait une main sur un genoux et la montait très haut, à toucher ma culotte. Je me sentais fondre en me disant que j'aimerai bien qu'il me la passe sur mon sexe. J'écartais bien les jambes. Je m'appuyait sur le dossier du banc du jardin public. Enfin il me caressait mon sexe. Je ne savait pas ce qu'il faisait. Il me faisait du bien, je mouillais, sans plus. Il prenait ma main et me la mettait sur son sexe que je sentais bien gros. Il sortait sa queue: pour la première fois de ma vie je touchais le sexe d'un homme. Il m'apprenait comment le masturber. Un petit moment après, il me demandait d'arrêter. Je voyais son sperme sortir de son méat. Il venait de jouir.
Moi, je restais sur ma faim, il avait commencé à m'exciter et pourtant je n'avait pas été satisfaite.
Plus tard, bien plus tard, je me suis marié avec un autre garçon que j'aimais énormément. Je lui avais interdit d'aller au delà d'un "touche pipi". Pourtant à l'époque souvent dès les fiançailles, les promis commençaient à se faire l'amour. Je ne voulais pas: nous attendrions la nuit de noce.
Cette nuit était pour moi la découverte d'être pénétrée par un organe étranger. Il m'avait bien déshabillée, caressée, il me désirait, moi aussi je voulais qu'il me fasse femme.
Nous étions nus, couchés: sa langue dans ma bouche venait à la rencontre de la mienne. Il m'embrassait les seins que je sentais durcir. Une main venait sur mon sexe, ce n'était pas le première fois. Il venait me caresser le clitoris. je le laissait faire: il ne savait pas trop s'y prendre. J'étais déçue de ne pas sentir ce à quoi je m'attendais. Malgré cette petite déception je lui prenais le sexe dans ma main et je le branlais comme je savais le faire depuis longtemps. J'avais du trop aller vite quand il jouissait sur moi.
Il s'en excusait et me promettait de me baiser dans un instant. Cet instant s'éternisait: je ne faisais plus d'illusion: les rapports avec mon mari ne se passeraient pas bien.
Il était toujours très amoureux. Je l'aimais aussi. j'acceptais toujours qu'il me prenne. Je ne ressentais pas grand chose, sinon qu'un vide en moi quand il jouissait. Il ne jouissait pas en moi: à l'époque il n'existait pas de pilule. Il essayait de me faire jouir. Peut-être après 6 mois de mariage, je ne sentais toujours rien de bien.
J'en parlais avec honte à ma meilleure amie. Elle était plus au fait que moi des questions sexuelles. Elle me disait que si je ne jouissais pas c'était de ma faute. pourtant je ne faisait qu'obéir à la nature en faisant l"amour avec mon mari.
Elle me demandait si je me touchais quelques fois. Je lui demandais ce qu'elle entendait par la: "se toucher". Elle commençait à me prendre pour une cruche. Elle m'expliquait que si je ne connaissais pas bien mon sexe, je ne pourrais jamais demander à mon époux de me faire jouir.
En rentrant chez moi, dans l'après midi finissant, je me mettais nue, me couchais et passais ma main dans tout mon sexe. Je dis bien partout. Au bout d'un petit moment je sentais que je mouillais, comme quand mon mari me caressait avant de me baiser. J'insistais et comme mon amie me l'avait recommandé, j'explorais tous mes endroits où je n'avais jamais osé toucher. Je mettais même un doigts sur mon anus. C'est là que je sentais que j'avais perdu beaucoup de temps: je mouillais encore plus. je me mettais deux doigts dans le vagin et le les faisais aller et venir, comme la queue de mon mari. Je trouvais un petit endroit ma loin de l'entrée, moins doux que le reste un peu grumeleux: j'insistais un moment et je ressentais enfin un plaisir intense. Brusquement je m'arquais en poussant un soupir: je sentais un plaisir profond envahir et mon sexe et le reste de mon corps. Enfin je jouissais. J'enlevais les doigts de mon con et continuais mon exploration pour arriver sur mon bouton. Je sentais là encore une autre satisfaction en le caressant. J'avais la même réaction que le première fois: je jouissais. Je redescendais vers mon anus où j'avais senti une drôle se sensation. Je frôlais simplement les pourtours de mon cul. Je sentais qu'il fallait que j'en fasse plus: j'y mettais deux doigts encore et je me forçais un peu pour les rentrer. Une fois dedans, je n'en croyais pas mes sens: j'arrivais encore une fois à jouir. J'allais me rhabiller quand mon cher époux rentrait. J'avais honte de me montre nue, en train de me faire de caresses devant lui. Il arrivait très vite dans la chambre.
J'étais surtout bête d'avoir honte. Me voyant ainsi, mon mari venait m'embrasser sur la bouche, sur les seins, enfin comme toujours. il se dévêtait et venait à coté de moi pour que je recommence à me branler devant lui. Avec réticence, au moins au début, je recommençais depuis le début. Il bandait de plus en plus. J'en étais encore à me caresser le bouton qu'il venait sur moi, entre mes jambes, sa tête mise entre mes cuisses pour venir me sucer le con. Il ne me l'avait jamais fait, tout simplement parce qu'il pensait que j'étais frigide. Ah, sa langue sur mon clitoris était délicieuse et me faisait jouir. Je tenais sa tête, en la caressant. Je lui disais que j'aimais ce qu'il me faisait. Après la première jouissance je lui demandais de me la mettre. Mon langage l'étonnait un peu. Il venait sur moi me baiser. J'ouvrais grand les jambes et je poussais un soupir quand il rentrait en moi. Cette fois je jouissais encore. Au risque d'être enceinte je lui demandais de jouir en moi. Pour la première fois de ma vie mon corps ne m'appartenait plus, il faisait des mouvements que normalement je ne faisais jamais. et je jouissais toujours. Pour cette première baise de ma vie je lui demandais de venir sur mon cul. Il venait de jouir et ne pouvais pas me rendre heureuse. Pour celà il fallait que je lui suce la queue. Avec un certain dégout je le prenais dans la bouche: il était plein de ma cyprine. Finalement comme je ne trouvais pas que mon goût de con était mauvais, je le prenais en bouche. Il était mou et petit à petit, grâce à mes suçons sa queue reprenait du volume.
Il me mettait en levrette, me mouillait bien la rondelle et très lentement rentais en moi, par l'autre porte. Je serrais les dents pour ne pas crier quand il passait mon sphincter. Mais une fois son gland dans mon cul je sentais un plaisir différent m'envahir. Sa bite allait et venait dans mon anus. je trouvais ça tellement bon que j'avais plusieurs orgasmes à la suite. Je ne me reconnaissais plus. Je devenais prête à tout pour jouir.
Nous sommes restés couchés jusqu'au lendemain. J'étais de plus en plus heureuse de jouir et de faire jouir mon mari. Nous n'avons pas arrêté de faire l'amour.
Depuis, il m'arrive souvent de me branler sans lui. Il nous arrive de baiser plusieurs fois par jour. Nous avons fait un deuxième voyage de noce. Nos nuits étaient trop courtes. Il bande facilement et plus longtemps. Nous faisons souvent des 69 et j'ai pris gout à son sperme.
Je suis enfin une femme comme les autres.
Je fréquentais un garçon de mon âge qui au bout de quelques jour de flirt agissait comme à cette époque. Après plusieurs semaines il m'a caressé la poitrine à travers le polo que je portais. Il me pelotait gentiment: ça me plaisait beaucoup.Un peu plus tard il me mettait une main sur un genoux et la montait très haut, à toucher ma culotte. Je me sentais fondre en me disant que j'aimerai bien qu'il me la passe sur mon sexe. J'écartais bien les jambes. Je m'appuyait sur le dossier du banc du jardin public. Enfin il me caressait mon sexe. Je ne savait pas ce qu'il faisait. Il me faisait du bien, je mouillais, sans plus. Il prenait ma main et me la mettait sur son sexe que je sentais bien gros. Il sortait sa queue: pour la première fois de ma vie je touchais le sexe d'un homme. Il m'apprenait comment le masturber. Un petit moment après, il me demandait d'arrêter. Je voyais son sperme sortir de son méat. Il venait de jouir.
Moi, je restais sur ma faim, il avait commencé à m'exciter et pourtant je n'avait pas été satisfaite.
Plus tard, bien plus tard, je me suis marié avec un autre garçon que j'aimais énormément. Je lui avais interdit d'aller au delà d'un "touche pipi". Pourtant à l'époque souvent dès les fiançailles, les promis commençaient à se faire l'amour. Je ne voulais pas: nous attendrions la nuit de noce.
Cette nuit était pour moi la découverte d'être pénétrée par un organe étranger. Il m'avait bien déshabillée, caressée, il me désirait, moi aussi je voulais qu'il me fasse femme.
Nous étions nus, couchés: sa langue dans ma bouche venait à la rencontre de la mienne. Il m'embrassait les seins que je sentais durcir. Une main venait sur mon sexe, ce n'était pas le première fois. Il venait me caresser le clitoris. je le laissait faire: il ne savait pas trop s'y prendre. J'étais déçue de ne pas sentir ce à quoi je m'attendais. Malgré cette petite déception je lui prenais le sexe dans ma main et je le branlais comme je savais le faire depuis longtemps. J'avais du trop aller vite quand il jouissait sur moi.
Il s'en excusait et me promettait de me baiser dans un instant. Cet instant s'éternisait: je ne faisais plus d'illusion: les rapports avec mon mari ne se passeraient pas bien.
Il était toujours très amoureux. Je l'aimais aussi. j'acceptais toujours qu'il me prenne. Je ne ressentais pas grand chose, sinon qu'un vide en moi quand il jouissait. Il ne jouissait pas en moi: à l'époque il n'existait pas de pilule. Il essayait de me faire jouir. Peut-être après 6 mois de mariage, je ne sentais toujours rien de bien.
J'en parlais avec honte à ma meilleure amie. Elle était plus au fait que moi des questions sexuelles. Elle me disait que si je ne jouissais pas c'était de ma faute. pourtant je ne faisait qu'obéir à la nature en faisant l"amour avec mon mari.
Elle me demandait si je me touchais quelques fois. Je lui demandais ce qu'elle entendait par la: "se toucher". Elle commençait à me prendre pour une cruche. Elle m'expliquait que si je ne connaissais pas bien mon sexe, je ne pourrais jamais demander à mon époux de me faire jouir.
En rentrant chez moi, dans l'après midi finissant, je me mettais nue, me couchais et passais ma main dans tout mon sexe. Je dis bien partout. Au bout d'un petit moment je sentais que je mouillais, comme quand mon mari me caressait avant de me baiser. J'insistais et comme mon amie me l'avait recommandé, j'explorais tous mes endroits où je n'avais jamais osé toucher. Je mettais même un doigts sur mon anus. C'est là que je sentais que j'avais perdu beaucoup de temps: je mouillais encore plus. je me mettais deux doigts dans le vagin et le les faisais aller et venir, comme la queue de mon mari. Je trouvais un petit endroit ma loin de l'entrée, moins doux que le reste un peu grumeleux: j'insistais un moment et je ressentais enfin un plaisir intense. Brusquement je m'arquais en poussant un soupir: je sentais un plaisir profond envahir et mon sexe et le reste de mon corps. Enfin je jouissais. J'enlevais les doigts de mon con et continuais mon exploration pour arriver sur mon bouton. Je sentais là encore une autre satisfaction en le caressant. J'avais la même réaction que le première fois: je jouissais. Je redescendais vers mon anus où j'avais senti une drôle se sensation. Je frôlais simplement les pourtours de mon cul. Je sentais qu'il fallait que j'en fasse plus: j'y mettais deux doigts encore et je me forçais un peu pour les rentrer. Une fois dedans, je n'en croyais pas mes sens: j'arrivais encore une fois à jouir. J'allais me rhabiller quand mon cher époux rentrait. J'avais honte de me montre nue, en train de me faire de caresses devant lui. Il arrivait très vite dans la chambre.
J'étais surtout bête d'avoir honte. Me voyant ainsi, mon mari venait m'embrasser sur la bouche, sur les seins, enfin comme toujours. il se dévêtait et venait à coté de moi pour que je recommence à me branler devant lui. Avec réticence, au moins au début, je recommençais depuis le début. Il bandait de plus en plus. J'en étais encore à me caresser le bouton qu'il venait sur moi, entre mes jambes, sa tête mise entre mes cuisses pour venir me sucer le con. Il ne me l'avait jamais fait, tout simplement parce qu'il pensait que j'étais frigide. Ah, sa langue sur mon clitoris était délicieuse et me faisait jouir. Je tenais sa tête, en la caressant. Je lui disais que j'aimais ce qu'il me faisait. Après la première jouissance je lui demandais de me la mettre. Mon langage l'étonnait un peu. Il venait sur moi me baiser. J'ouvrais grand les jambes et je poussais un soupir quand il rentrait en moi. Cette fois je jouissais encore. Au risque d'être enceinte je lui demandais de jouir en moi. Pour la première fois de ma vie mon corps ne m'appartenait plus, il faisait des mouvements que normalement je ne faisais jamais. et je jouissais toujours. Pour cette première baise de ma vie je lui demandais de venir sur mon cul. Il venait de jouir et ne pouvais pas me rendre heureuse. Pour celà il fallait que je lui suce la queue. Avec un certain dégout je le prenais dans la bouche: il était plein de ma cyprine. Finalement comme je ne trouvais pas que mon goût de con était mauvais, je le prenais en bouche. Il était mou et petit à petit, grâce à mes suçons sa queue reprenait du volume.
Il me mettait en levrette, me mouillait bien la rondelle et très lentement rentais en moi, par l'autre porte. Je serrais les dents pour ne pas crier quand il passait mon sphincter. Mais une fois son gland dans mon cul je sentais un plaisir différent m'envahir. Sa bite allait et venait dans mon anus. je trouvais ça tellement bon que j'avais plusieurs orgasmes à la suite. Je ne me reconnaissais plus. Je devenais prête à tout pour jouir.
Nous sommes restés couchés jusqu'au lendemain. J'étais de plus en plus heureuse de jouir et de faire jouir mon mari. Nous n'avons pas arrêté de faire l'amour.
Depuis, il m'arrive souvent de me branler sans lui. Il nous arrive de baiser plusieurs fois par jour. Nous avons fait un deuxième voyage de noce. Nos nuits étaient trop courtes. Il bande facilement et plus longtemps. Nous faisons souvent des 69 et j'ai pris gout à son sperme.
Je suis enfin une femme comme les autres.
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super