Ma sorcière de l'amour
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-06-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma sorcière de l'amour
Nous attendons ce moment depuis des jours et des jours. Ca y est les enfants sont expédiés chez leur grand-mère, heureuse d’avance de les voir plusieurs jours.
Avec Jeanne, ma femme nous baisons comme tous les couples, sauf que nous sommes très inventifs, ma femme surtout. D’accord, elle se masturbe souvent pendant la semaine, et nous faisons l’amour le soir dans la chambre. Maintenant pour plusieurs jours nous pourrons faire tout.
Dès le matin du départ, après les avoir accompagnés à la gare, je me sens brusquement soulagé d’être « veuf » des garnements. J’entre dans la maison bien calme. Jeanne est dans la cuisine, préparant le repas. Selon son envie, elle est nue, juste avec un petit tablier protecteur sur le ventre. Je ne sais ce qu’elle prépare. Je sais que ma bite se met en mouvement vers le haut. Je pourrais me mettre nu contre elle ma queue entre ses fesses. J’allais le faire quand elle me demande d’aller prendre un douche, de me branler sous l’eau avant de revenir.
La proposition me plait. Seulement me branler seul quand ma femme n’est pas loin ne me plait pas trop. Sous l’eau chaude, ma bite se regonfle facilement. Je la prends à pleine main. J’allais obéir à ma femme quand je pense que je jouirais bien mieux si elle me voyait. Elle me connait tellement qu’elle est là juste avant. Ma main retourne sur la queue. Jeanne est nue, maintenant, juste avec son petit gode dans la main droite. Elle regarde ma pine, elle se caresse à peine un sein, elle pose les fesses sur le lavabo, écarte à peine les jambes pour montrer un peu de chatte.
Sous la pression de l’eau le prépuce descend assez pour faire apparaitre le gland. Les gouttes arrivent en cascade, ma queue se dresse encore un peu. Jeanne commence à se baiser devant moi. Je n’en peux plus, j’empoigne la queue, je la serre un peu pour descendre la peau vers le bas. C’est vachement bon de se branler. Je ne fais pas durer le plaisir. J’éjacule longuement : mon jus part avec l’eau. Jeanne jouit aussi.
C’est dommage que je me sois laissé tenter par la masturbation, j’aurais jouis mieux dans son fourreau. C’est elle qui m’enveloppe dans le peignoir de bain. Elle y fourre le gode, le laisse ouvert : j’ai toujours la queue dehors. Si les enfants étaient encore là, je n’aurais pas pu rejoindre le salon dans cette tenue. Jeanne se colle à moi, m’embrasse sur la bouche, sa langue entre dans la mienne. Ses mains passent sous le peignoir, sur les épaules. Elle se serre contre moi, contre ma bite. Son ventre serre mon sexe. Je ne demande rien, je la laisse faire ce qu’elle veut. Son ventre se met à avoir des mouvements de pressions de vas et vient. J’accentue ses gestes par mes mains sur ses fesses. Elle les durcit volontairement comme pour un appel. Dommage j’ai débandé.
Elle s’y attendait, c’est pour faire durer notre baise qu’elle m’a obligé à me branler. Sa bouche se déplace vers mon oreille pour y murmurer des insanités. C’est une salope, une pute, je suis un bon baiseur, elle me veut partout, dans le con, la bouche, le cul et recommencer par la bouche. En somme une suite que nous ne faisons pratiquement jamais. Elle passe ses mains sur ma taille. Je ne fais pas attention à la suite, elle a pris le gode, le passe sur les fesses. C’est la première fois qu’elle cherche mon cul. Je ne veux pas qu’elle fasse ce qu’elle désire. Je contracte mes fesses fortement. Elle y passe la main doucement amoureusement Un doigt seul passe entre les fesses. C’est fait tellement gentiment que je la laisse faire. C’est encore doux quand le doigt caresse l’anus, le tour de l’anus, comme je lui fais. C’est vrai que c’est bon. Quand elle jouit quand je l’encule , je commence à comprendre. Et puis, zut, nous sommes seuls profitons en.
Elle m’embrasse profondément, sa main change approfondissant la caresse. Je sens le bout de son doigt entrer doucement, et facilement dans le cul. Je la laisse faire, je vais même plus loin en tendant mes fesses. Je n’en demandais pas plus quand elle prend le gode. La voilà qui pose le bout sur l’anus, force un peu pour m’enculer. C’est bien pour lui faire plaisir que j’accepte la chose. Je sens quand elle rentre, elle me fait mal et pourtant je recommence à bander. Elle se baisse, m’encule complètement, sa bouche prend ma queue. Elle allie la sodomie et la fellation. Si elle continue je vais jouir dans sa bouche.
Heureusement elle arrête. D’un coté je regrette sa bouche et de l’autre je ne regrette pas le gode dans le cul.
Elle me demande de la baiser, comme si j’avais envie de refuser. Seulement c’est elle qui a décidé d’être la meneuse de jeu. Jeanne se colle le ventre contre la cloison. Elle me tend l’arrière train. La voilà cabrée plus que nature. Je vois sa chatte juste après l’anus. Elle forme une motte humide avec quelques poils autour. Ma queue a grossi un peu plus. Même si je sens encore le cul endolori, je peux la baiser longtemps. Je me baisse, les genoux pliés, les jambes réunies, la queue raide. Je passe entre ses jambes, en touchant à peine le cul, où je pourrais entrer facilement. Ses lèvres s’ouvrent pour laisser passer le mandrin. Qu’elle est douce à baiser. C’est, comme chaque fois une découverte que dis-je, ne redécouverte. Ses fesses viennent à ma rencontre quand je m’enfonce en elle. Mes mains entourent ses seins encore durs. Je ne sais comment elle arrive à le faire, elle passe ses mains pour me tenir la taille.
Je laboure un bon moment sa moule. Je suis obligé de sortir d’elle quand elle jouir tellement ses spasmes sont violents. Un peu soulagée, elle me guide vers le lit. Je me propose de la baiser, couchée sur le dos. Elle ouvre ses jambes me montre sa chatte avant de me demander de la sucer.
Ce n’est pas un nectar, c’est un délice des dieux que son jus de femelle. Ma bouche dévore son abricot. Après avoir mordillé le pubis je descends ma langue sur son point féminin. Elle se tend vers moi, me donne tout son sexe en confiance. Elle est parfumée de désir. Mon menton de perd dans son trou. Je dois avoir tout le visage peint de cyprine. J’avale le clitoris. Je le lèche dans ma bouche. Elle est douce à cet endroit. Ma main la fouille. Au début je me contente de mettre deux doigts dans le con ouvert. Je la doigte un moment avant de lui mettre un autre doigt dans le cul. Ses gémissements deviennent des cris quand elle jouit encore.
J’arrive à la basculer sur le lit. Elle m’accueille les bars ouverts. Je peux lui faire ce que je veux. Je prends ses jambes que je passe sur mes fesses. Elle s’y accroche avec les talons. Son sexe est ouvert, totalement offert à ma queue. Je gémis quand j’entre encore dans son ventre. Elle est chaude, accueillante, baisable. Mon gland me donne tous les plaisirs souhaitables en elle. Je ne sais comment elle arrive à partir encore une fois.
Elle me veut ailleurs. Je me couche sur le coté, ma queue juste sur son cul. Je le sens palpiter contre ma bite. J’allais l’enculer quand elle commence à se branler. Je regarde sa main lui donner un plaisir qu’elle seule connait. De temps en temps, elle mouille ses doigts avec sa salive. Elle revient au même endroit, sur le clitoris.
J’entre doucement en elle. Elle gémit encore, sa main continue la masturbation. Je l’encule longtemps : j’ai trop jouis avant. Si mon plaisir est long à venir, les siens est en rafale. Je ne me souviens pas l’avoir vu autant jouir. J’éjacule une dernière fois. Un peu de sperme sort du cul quand je sors. Elle le ramasse avec deux doigts qu’elle porte à sa bouche pour ne pas laisser perdre ma semence.
Le lendemain, dimanche nous allons recommencer avec encore plus de fantaisie de ma part cette fois, j’espère en tout cas, à moins qu’elle soir aussi inspirée qu’aujourd’hui. Vivement qu’on baise encore. C’est une véritable sorcière de la baise.
Avec Jeanne, ma femme nous baisons comme tous les couples, sauf que nous sommes très inventifs, ma femme surtout. D’accord, elle se masturbe souvent pendant la semaine, et nous faisons l’amour le soir dans la chambre. Maintenant pour plusieurs jours nous pourrons faire tout.
Dès le matin du départ, après les avoir accompagnés à la gare, je me sens brusquement soulagé d’être « veuf » des garnements. J’entre dans la maison bien calme. Jeanne est dans la cuisine, préparant le repas. Selon son envie, elle est nue, juste avec un petit tablier protecteur sur le ventre. Je ne sais ce qu’elle prépare. Je sais que ma bite se met en mouvement vers le haut. Je pourrais me mettre nu contre elle ma queue entre ses fesses. J’allais le faire quand elle me demande d’aller prendre un douche, de me branler sous l’eau avant de revenir.
La proposition me plait. Seulement me branler seul quand ma femme n’est pas loin ne me plait pas trop. Sous l’eau chaude, ma bite se regonfle facilement. Je la prends à pleine main. J’allais obéir à ma femme quand je pense que je jouirais bien mieux si elle me voyait. Elle me connait tellement qu’elle est là juste avant. Ma main retourne sur la queue. Jeanne est nue, maintenant, juste avec son petit gode dans la main droite. Elle regarde ma pine, elle se caresse à peine un sein, elle pose les fesses sur le lavabo, écarte à peine les jambes pour montrer un peu de chatte.
Sous la pression de l’eau le prépuce descend assez pour faire apparaitre le gland. Les gouttes arrivent en cascade, ma queue se dresse encore un peu. Jeanne commence à se baiser devant moi. Je n’en peux plus, j’empoigne la queue, je la serre un peu pour descendre la peau vers le bas. C’est vachement bon de se branler. Je ne fais pas durer le plaisir. J’éjacule longuement : mon jus part avec l’eau. Jeanne jouit aussi.
C’est dommage que je me sois laissé tenter par la masturbation, j’aurais jouis mieux dans son fourreau. C’est elle qui m’enveloppe dans le peignoir de bain. Elle y fourre le gode, le laisse ouvert : j’ai toujours la queue dehors. Si les enfants étaient encore là, je n’aurais pas pu rejoindre le salon dans cette tenue. Jeanne se colle à moi, m’embrasse sur la bouche, sa langue entre dans la mienne. Ses mains passent sous le peignoir, sur les épaules. Elle se serre contre moi, contre ma bite. Son ventre serre mon sexe. Je ne demande rien, je la laisse faire ce qu’elle veut. Son ventre se met à avoir des mouvements de pressions de vas et vient. J’accentue ses gestes par mes mains sur ses fesses. Elle les durcit volontairement comme pour un appel. Dommage j’ai débandé.
Elle s’y attendait, c’est pour faire durer notre baise qu’elle m’a obligé à me branler. Sa bouche se déplace vers mon oreille pour y murmurer des insanités. C’est une salope, une pute, je suis un bon baiseur, elle me veut partout, dans le con, la bouche, le cul et recommencer par la bouche. En somme une suite que nous ne faisons pratiquement jamais. Elle passe ses mains sur ma taille. Je ne fais pas attention à la suite, elle a pris le gode, le passe sur les fesses. C’est la première fois qu’elle cherche mon cul. Je ne veux pas qu’elle fasse ce qu’elle désire. Je contracte mes fesses fortement. Elle y passe la main doucement amoureusement Un doigt seul passe entre les fesses. C’est fait tellement gentiment que je la laisse faire. C’est encore doux quand le doigt caresse l’anus, le tour de l’anus, comme je lui fais. C’est vrai que c’est bon. Quand elle jouit quand je l’encule , je commence à comprendre. Et puis, zut, nous sommes seuls profitons en.
Elle m’embrasse profondément, sa main change approfondissant la caresse. Je sens le bout de son doigt entrer doucement, et facilement dans le cul. Je la laisse faire, je vais même plus loin en tendant mes fesses. Je n’en demandais pas plus quand elle prend le gode. La voilà qui pose le bout sur l’anus, force un peu pour m’enculer. C’est bien pour lui faire plaisir que j’accepte la chose. Je sens quand elle rentre, elle me fait mal et pourtant je recommence à bander. Elle se baisse, m’encule complètement, sa bouche prend ma queue. Elle allie la sodomie et la fellation. Si elle continue je vais jouir dans sa bouche.
Heureusement elle arrête. D’un coté je regrette sa bouche et de l’autre je ne regrette pas le gode dans le cul.
Elle me demande de la baiser, comme si j’avais envie de refuser. Seulement c’est elle qui a décidé d’être la meneuse de jeu. Jeanne se colle le ventre contre la cloison. Elle me tend l’arrière train. La voilà cabrée plus que nature. Je vois sa chatte juste après l’anus. Elle forme une motte humide avec quelques poils autour. Ma queue a grossi un peu plus. Même si je sens encore le cul endolori, je peux la baiser longtemps. Je me baisse, les genoux pliés, les jambes réunies, la queue raide. Je passe entre ses jambes, en touchant à peine le cul, où je pourrais entrer facilement. Ses lèvres s’ouvrent pour laisser passer le mandrin. Qu’elle est douce à baiser. C’est, comme chaque fois une découverte que dis-je, ne redécouverte. Ses fesses viennent à ma rencontre quand je m’enfonce en elle. Mes mains entourent ses seins encore durs. Je ne sais comment elle arrive à le faire, elle passe ses mains pour me tenir la taille.
Je laboure un bon moment sa moule. Je suis obligé de sortir d’elle quand elle jouir tellement ses spasmes sont violents. Un peu soulagée, elle me guide vers le lit. Je me propose de la baiser, couchée sur le dos. Elle ouvre ses jambes me montre sa chatte avant de me demander de la sucer.
Ce n’est pas un nectar, c’est un délice des dieux que son jus de femelle. Ma bouche dévore son abricot. Après avoir mordillé le pubis je descends ma langue sur son point féminin. Elle se tend vers moi, me donne tout son sexe en confiance. Elle est parfumée de désir. Mon menton de perd dans son trou. Je dois avoir tout le visage peint de cyprine. J’avale le clitoris. Je le lèche dans ma bouche. Elle est douce à cet endroit. Ma main la fouille. Au début je me contente de mettre deux doigts dans le con ouvert. Je la doigte un moment avant de lui mettre un autre doigt dans le cul. Ses gémissements deviennent des cris quand elle jouit encore.
J’arrive à la basculer sur le lit. Elle m’accueille les bars ouverts. Je peux lui faire ce que je veux. Je prends ses jambes que je passe sur mes fesses. Elle s’y accroche avec les talons. Son sexe est ouvert, totalement offert à ma queue. Je gémis quand j’entre encore dans son ventre. Elle est chaude, accueillante, baisable. Mon gland me donne tous les plaisirs souhaitables en elle. Je ne sais comment elle arrive à partir encore une fois.
Elle me veut ailleurs. Je me couche sur le coté, ma queue juste sur son cul. Je le sens palpiter contre ma bite. J’allais l’enculer quand elle commence à se branler. Je regarde sa main lui donner un plaisir qu’elle seule connait. De temps en temps, elle mouille ses doigts avec sa salive. Elle revient au même endroit, sur le clitoris.
J’entre doucement en elle. Elle gémit encore, sa main continue la masturbation. Je l’encule longtemps : j’ai trop jouis avant. Si mon plaisir est long à venir, les siens est en rafale. Je ne me souviens pas l’avoir vu autant jouir. J’éjacule une dernière fois. Un peu de sperme sort du cul quand je sors. Elle le ramasse avec deux doigts qu’elle porte à sa bouche pour ne pas laisser perdre ma semence.
Le lendemain, dimanche nous allons recommencer avec encore plus de fantaisie de ma part cette fois, j’espère en tout cas, à moins qu’elle soir aussi inspirée qu’aujourd’hui. Vivement qu’on baise encore. C’est une véritable sorcière de la baise.
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