Ma vie sexuelle (fin)
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2015 dans la catégorie Plus on est
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Ma vie sexuelle (fin)
Le médecin conseille à mon mari d'aller aux bords de la mer pendant au moins trois mois. Il pourrait revenir en forme. Comme c'est moi qui ai pris les rênes à la maison je me renseigne pour choisir le meilleur endroit qui soit bon pour lui et pour moi. J'ai besoin de pouvoir aller en fin de semaine facilement. La SNCF a bien fait les choses, ainsi que mon patron. Je peux me libérer le vendredi à partir de midi jusqu'au lundi 14 heures. Reste le lieu. Je choisis selon mes goûts le Cap d'Agde et son paradis de naturistes. Je me déplace pour trouver au moins un lieu de résidence pas loin des naturistes. Je trouve à moins de 100 mètres un bungalow qui conviendra parfaitement. Je m'arrange avec un traiteur qui portera les repas.
J'en parle à mon amie/amante Annie qui pense que j'ai bien choisi: elle pourrai même passer ses vacances avec nous. Pour l'aller je prends ma voiture, c'est plus commode. Mon mari est tout heureux de savoir où nous allons, d'autant plus qu'il n'est mon mari qu'en titre: il ne peux plus me toucher depuis longtemps. Il sait qu'Annie sera avec moi. Il sait que nous nous faisons l'amour, par contre il ignore tout de mes amants et de mes autre turpitudes. Je suis devenu une cinglée de sexe.
Le bungalow est loué pour les mois de Juillet, Août et Septembre, je prépare tout ce qu'il lui faut. Je m'échappe pour aller au club de naturistes. Je n'ai qu"à payer une modique somme. Je pénètre, cherche où je pourrai bronzer un peu, sans chercher de contact avec qui que ce soit. J'erre un moment, je trouve en endroit presque désert: je suis nue dés mon entrée. Je m'installe à l'abri du vent, bien au soleil. Je ne risque même pas un coup de soleil: je ne veux pas rester longtemps. Être nue m'excite toujours un peu. Je ne peux résister à la tentation: j'écarte mes cuisse pas trop largement, juste pour passer un doigt vers le clitoris. Je jouis rapidement? Je me relève pour partir quand je vois ce que j'appellerai un gamin qui se branle en me regardant. Petit vicieux.
Je rentre sur Paris. La semaine se passe en baise diverses avec Annie qui vient souvent passer la nuit avec moi. Nous baisons souvent comme nous aimons: doigts, mains, godes, et nouveauté nous nous excitons beaucoup avec notre position: jambes écartées, à moitié couchée, nos deux boutons que nous frottons. C'est je pense le summum pour nous.
Elle est libre en Août…..Les week-ends, je les passe au Cap. Mon mari est satisfait de son séjour, il lui semble aller bien mieux. Comme chaque fois je vais avec les naturistes. Je reconnais qu'il est fort rare d'avoir des propositions particulièrement explicites, sinon des yeux qui traînent un peu. Par contre le soir, dans la discothèque voisine, ce 'est pas le même refrain. J'ai envie de baiser, j'y vais seule, je suis fort bien reçue: Une jeune femme me demande dès l'entrée si je veux boire quelque chose. Je ne veux rien qu'une bite. J'entre dans la pièce principale: j'aperçois ne nombreux couples mixtes ou pas: un majorité d'hétéros. Au fond je n'ai qu'à choisir celui où celle qui fera mon bonheur.
C'est moi qui suis choisie par un couple semble-t-il marié: lui est bien monté: tant mieux. Elle est de ma taille même seins et sans doute un sexe à être bien sucé. Il m'entraîne sur le matelas, par terre. Je suis entre du coté droit de l'homme, sa femme du coté gauche. Il m'embrasse avant que sa femme vienne par-dessus son homme pour m'embrasser à son tour. Je sens que nous allons bien nous amuser ensemble, particulièrement avec elle. L'homme veut commencer par me baiser. J'arrive à lui faire comprendre que je veux d'abord sa langue sur mon bouton. Il se met à l'envers, sa tête entre mes jambes. Sa femme prend de l'avance en lui mettant deux doigts dans le cul. Je reconnais qu'il me lèche fort bien. Je jouis plusieurs fois, comme souvent. Je cherche sa bite qui bande elle est de bonne taille. J'espère surtout qu'elle pourra nous satisfaire, sa femme et moi. Il me fait écarter encore les jambes pour venir me la mettre dans le cul. Il a du deviné que j'aime depuis presque la première fois une bonne sodomie. Sa femme profite aussi des talents de son époux: il l'a fait mettre à mes cotés, lui ouvre aussi les jambes, lui prend la bouton dans la bouche. Je remarque la grosseur et la longueur de clitoris. Il doit bien faire dans les 10 centimètres de long. C'est la première fois que je vois un tel phénomène. Presque tout ce clito est dans la bouche de son propriétaire, en attendant que j'en profite.
Il me la mise à fond, va et vient relativement doucement. Je lui offre encore plus mes fesses. Il comprend ma demande et accélère son rythme. J'entends sa femme gémir de plus en plus. Elle jouit en le disant bien haut. Peu après c'est à mon tour de jouir. Comme il débande, nous nous mettons ensemble, les deux femmes. Je ne peux m'empêcher de lui demander comme elle peut se branler avec un tel bouton: facile, elle se mouille deux doigts et quand il bande il se branle presque comme un homme. Elle me le montre. C'est excitant de voir cette monstruosité de clitoris sa faire caresser ainsi. Je l'accompagne un moment. Nous nous regardons en éclatant de rire: on doit se baiser et non pas se masturber. J'ai peur de ne pas réussir à la branler, je lui propose plutôt un 69. Elle me dit qu'elle aime se faire sucer, c'est pour elle le meilleur moyen de jouir. Nous ne nous mettons pas l'une sur l'autre. Nous sommes sur le cotés, nos têtes appuyées sur une cuisse de l'autre et l'autre jambes posée sur l'autre tête. Nos langues sucent sans arrêt. J'avoue prendre un étrange plaisir avec ce bouton long. Je l'aspire, le rejette pour recommencer. Elle aussi sait bien sucer les filles. Elle me lèche d'abord le cul où elle rentre un peu sa langue, me lèche les lèvres intimes avant de venir enfin sur mon bouton qui n'attend que ça.
Nous ne nous arrêtons plus nos 69. Le mari voudrait bien baiser encore. Nous n'en voulons pas. Il se console en allant vers une nouvelle arrivante, l'emmène près de nous. Ils font ce qu'ils veulent, nous nous en fichons complètement, nous nous entendons trop bien.
Je rentre au bungalow fort tard: mon mari dors comme un bien heureux. Je ne le réveille pas: que pourrai-je lui dire: que je viens d'une boite échangiste ? Je ne sais comment il prendrai la chose.
Enfin Annie vient en vacances. Nous bavardons longuement sur le chemin du camp; je lui raconte que de temps en temps je me fais baiser au club. Elle est excitée. Dans le bus, elle trouve le moyen de se branler devant les gens qui heureusement de la regardent pas. Elle voudrait que j'en fasse autant. Je ne peux pas, compte tenu de ma situation que je perdrai en cas de problème policiers.
Dès l'après midi, nous allons toutes nues chercher un endroit tranquille. C'est dur à trouver à cette époque. Nous arrosons enfin à trouver notre bonheur dans une petite crique difficile d'accès, ce qui nous convient bien pour notre première fois sur le sable.
Nous nous enduisons de crème solaire. C'est le bon moyen de nous caresser et de nous exciter. Elle connais mes point faibles: mes tétons qu'elle manipule comme j'adore. Je l'embrasse longuement sur la bouche. Nos langues semblent se redécouvrir. Nous nous fouillons, nous nous regardons dans les yeux avant de recommencer. Nous nous aimons presque comme un couple, depuis le temps de nous baisons ensemble. Mon mari le sait et n'en n'a jamais rien dit de mal.
C'est moi qui lui mets deux doigts sur son clito. Je la branle en étant moi-même assise, comme elle au début: elle se couche pour mieux profiter de mes caresses. Les yeux fermés, elle me demande de ne pas arrêter. Je la laisse jouir avant de recommencer. Je la laisse jouir une seule fois. Il faut que je lui rappelle qu'elle n'est pas seule. Pour m'avoir oublier, elle "s'inflige" elle même la punition: elle me renverse, me faire ouvrir les cuisses, pose sa tête entre elles. Sa langue vient me lécher depuis l'intérieur du genou juste mon sexe. Elle lèche tout ce qu'elle trouve sur son passage. Elle me fait partir deux ou trois fois. Elle trouve le moyen de me doigter le cul et là, je ne peux me retenir: je jouis un bon moment.
Nous allons nous baigner. Dans l'eau nous ne pouvons nous empêcher de nous peloter. Nous nous branlons encore. Nous sommes tellement occupées à nous donner du plaisir que nous ne remarquons les deux beaux apollons qui sont tout près de nous. Nous nous apercevons de leur présence quand nous sentons contre nos fesses les queues bandées. Tans pis, nous restons enlacées, prenons les mains des hommes pour nous caresser les seins, ce qu'ils font remarquablement bien, surtout sur moi. Nous sentons les deux bites sur nos raies culières. Nous sommes dans l'eau, donc assez mouillées. Nous penons les bites pour les mettre à leurs justes places; nos anus. Ils se baissent un peu avant de nous les mettre presque ensemble dans le cul.
Que dire de cette double sodomie, sinon qu'ils nous font jouit et giclent leur jet de sperme dans nos culs. Que dire de cette situation où deux filles se font enculer, s'embrassent sur la bouche pendant toute la sodomie et qui en redemandent. Nos amants ne sont que des hommes, ils peuvent assurer un moment puis baisser pavillon. Nous sortons tous de l'eau. Nous ne nous séchons pas. Le soleil suffit à lui seul. Nous aurions voulu encore des bites. Nous nous entendons bien, avec Annie: nous prenons dans nos bouche une des queues, sans même savoir si c'est celle qui était en nous. Nous les suçons un petit moment avant qu'elles ressuscitent. Ils auraient bien voulu que nous continuions nos fellations. Pas question; nous avons un sexe à faire remplir de leur foutre. Au début nous sommes sur eux qui nous laissent faire comme si c'était normal. Je me mets en levrette pour attirer le mien vers mon con. Puisque un des deux personnages m'a enculée. Je reçois enfin une pine là où j'en avais envie. Ses vas et viens me font jouir encore et encore, jusqu'au moment final de la jouissance que je sens quand son jus vient en moi. Annie a fait comme moi. Quand les hommes s'en vont, après avoir pris rendez vous pour le lendemain, nous nous embrassons une dernière fois. Nous nous mettons f'accord sur la fable à raconter à mon mari.
Toute la durée des vacances d'Annie se passent ainsi: baise, baise et baise. Quand elle part je reste encore au Cap. Je me branle maintenant souvent devant mon mari qui ne l'acceptait plus. J'ai la chance de voir sa bite de dresser. Enfin il bande. Il peux et veux me baiser. Mon sexe a tellement reçu de bites étrangère que je ne peux le lui refuser. Pour faciliter la baise je me mets sur lui. J'assure seule les mouvements, Je jouis avec lui pour la première fois depuis longtemps. Il jouit aussi. Je voudrai recommencer: il ne peut plus bander. En tout cas c'est un bon début. Il me fait promettre de continuer à baiser avec Annie, qu'il aime bien. Je le rassure.
J'en parle à mon amie/amante Annie qui pense que j'ai bien choisi: elle pourrai même passer ses vacances avec nous. Pour l'aller je prends ma voiture, c'est plus commode. Mon mari est tout heureux de savoir où nous allons, d'autant plus qu'il n'est mon mari qu'en titre: il ne peux plus me toucher depuis longtemps. Il sait qu'Annie sera avec moi. Il sait que nous nous faisons l'amour, par contre il ignore tout de mes amants et de mes autre turpitudes. Je suis devenu une cinglée de sexe.
Le bungalow est loué pour les mois de Juillet, Août et Septembre, je prépare tout ce qu'il lui faut. Je m'échappe pour aller au club de naturistes. Je n'ai qu"à payer une modique somme. Je pénètre, cherche où je pourrai bronzer un peu, sans chercher de contact avec qui que ce soit. J'erre un moment, je trouve en endroit presque désert: je suis nue dés mon entrée. Je m'installe à l'abri du vent, bien au soleil. Je ne risque même pas un coup de soleil: je ne veux pas rester longtemps. Être nue m'excite toujours un peu. Je ne peux résister à la tentation: j'écarte mes cuisse pas trop largement, juste pour passer un doigt vers le clitoris. Je jouis rapidement? Je me relève pour partir quand je vois ce que j'appellerai un gamin qui se branle en me regardant. Petit vicieux.
Je rentre sur Paris. La semaine se passe en baise diverses avec Annie qui vient souvent passer la nuit avec moi. Nous baisons souvent comme nous aimons: doigts, mains, godes, et nouveauté nous nous excitons beaucoup avec notre position: jambes écartées, à moitié couchée, nos deux boutons que nous frottons. C'est je pense le summum pour nous.
Elle est libre en Août…..Les week-ends, je les passe au Cap. Mon mari est satisfait de son séjour, il lui semble aller bien mieux. Comme chaque fois je vais avec les naturistes. Je reconnais qu'il est fort rare d'avoir des propositions particulièrement explicites, sinon des yeux qui traînent un peu. Par contre le soir, dans la discothèque voisine, ce 'est pas le même refrain. J'ai envie de baiser, j'y vais seule, je suis fort bien reçue: Une jeune femme me demande dès l'entrée si je veux boire quelque chose. Je ne veux rien qu'une bite. J'entre dans la pièce principale: j'aperçois ne nombreux couples mixtes ou pas: un majorité d'hétéros. Au fond je n'ai qu'à choisir celui où celle qui fera mon bonheur.
C'est moi qui suis choisie par un couple semble-t-il marié: lui est bien monté: tant mieux. Elle est de ma taille même seins et sans doute un sexe à être bien sucé. Il m'entraîne sur le matelas, par terre. Je suis entre du coté droit de l'homme, sa femme du coté gauche. Il m'embrasse avant que sa femme vienne par-dessus son homme pour m'embrasser à son tour. Je sens que nous allons bien nous amuser ensemble, particulièrement avec elle. L'homme veut commencer par me baiser. J'arrive à lui faire comprendre que je veux d'abord sa langue sur mon bouton. Il se met à l'envers, sa tête entre mes jambes. Sa femme prend de l'avance en lui mettant deux doigts dans le cul. Je reconnais qu'il me lèche fort bien. Je jouis plusieurs fois, comme souvent. Je cherche sa bite qui bande elle est de bonne taille. J'espère surtout qu'elle pourra nous satisfaire, sa femme et moi. Il me fait écarter encore les jambes pour venir me la mettre dans le cul. Il a du deviné que j'aime depuis presque la première fois une bonne sodomie. Sa femme profite aussi des talents de son époux: il l'a fait mettre à mes cotés, lui ouvre aussi les jambes, lui prend la bouton dans la bouche. Je remarque la grosseur et la longueur de clitoris. Il doit bien faire dans les 10 centimètres de long. C'est la première fois que je vois un tel phénomène. Presque tout ce clito est dans la bouche de son propriétaire, en attendant que j'en profite.
Il me la mise à fond, va et vient relativement doucement. Je lui offre encore plus mes fesses. Il comprend ma demande et accélère son rythme. J'entends sa femme gémir de plus en plus. Elle jouit en le disant bien haut. Peu après c'est à mon tour de jouir. Comme il débande, nous nous mettons ensemble, les deux femmes. Je ne peux m'empêcher de lui demander comme elle peut se branler avec un tel bouton: facile, elle se mouille deux doigts et quand il bande il se branle presque comme un homme. Elle me le montre. C'est excitant de voir cette monstruosité de clitoris sa faire caresser ainsi. Je l'accompagne un moment. Nous nous regardons en éclatant de rire: on doit se baiser et non pas se masturber. J'ai peur de ne pas réussir à la branler, je lui propose plutôt un 69. Elle me dit qu'elle aime se faire sucer, c'est pour elle le meilleur moyen de jouir. Nous ne nous mettons pas l'une sur l'autre. Nous sommes sur le cotés, nos têtes appuyées sur une cuisse de l'autre et l'autre jambes posée sur l'autre tête. Nos langues sucent sans arrêt. J'avoue prendre un étrange plaisir avec ce bouton long. Je l'aspire, le rejette pour recommencer. Elle aussi sait bien sucer les filles. Elle me lèche d'abord le cul où elle rentre un peu sa langue, me lèche les lèvres intimes avant de venir enfin sur mon bouton qui n'attend que ça.
Nous ne nous arrêtons plus nos 69. Le mari voudrait bien baiser encore. Nous n'en voulons pas. Il se console en allant vers une nouvelle arrivante, l'emmène près de nous. Ils font ce qu'ils veulent, nous nous en fichons complètement, nous nous entendons trop bien.
Je rentre au bungalow fort tard: mon mari dors comme un bien heureux. Je ne le réveille pas: que pourrai-je lui dire: que je viens d'une boite échangiste ? Je ne sais comment il prendrai la chose.
Enfin Annie vient en vacances. Nous bavardons longuement sur le chemin du camp; je lui raconte que de temps en temps je me fais baiser au club. Elle est excitée. Dans le bus, elle trouve le moyen de se branler devant les gens qui heureusement de la regardent pas. Elle voudrait que j'en fasse autant. Je ne peux pas, compte tenu de ma situation que je perdrai en cas de problème policiers.
Dès l'après midi, nous allons toutes nues chercher un endroit tranquille. C'est dur à trouver à cette époque. Nous arrosons enfin à trouver notre bonheur dans une petite crique difficile d'accès, ce qui nous convient bien pour notre première fois sur le sable.
Nous nous enduisons de crème solaire. C'est le bon moyen de nous caresser et de nous exciter. Elle connais mes point faibles: mes tétons qu'elle manipule comme j'adore. Je l'embrasse longuement sur la bouche. Nos langues semblent se redécouvrir. Nous nous fouillons, nous nous regardons dans les yeux avant de recommencer. Nous nous aimons presque comme un couple, depuis le temps de nous baisons ensemble. Mon mari le sait et n'en n'a jamais rien dit de mal.
C'est moi qui lui mets deux doigts sur son clito. Je la branle en étant moi-même assise, comme elle au début: elle se couche pour mieux profiter de mes caresses. Les yeux fermés, elle me demande de ne pas arrêter. Je la laisse jouir avant de recommencer. Je la laisse jouir une seule fois. Il faut que je lui rappelle qu'elle n'est pas seule. Pour m'avoir oublier, elle "s'inflige" elle même la punition: elle me renverse, me faire ouvrir les cuisses, pose sa tête entre elles. Sa langue vient me lécher depuis l'intérieur du genou juste mon sexe. Elle lèche tout ce qu'elle trouve sur son passage. Elle me fait partir deux ou trois fois. Elle trouve le moyen de me doigter le cul et là, je ne peux me retenir: je jouis un bon moment.
Nous allons nous baigner. Dans l'eau nous ne pouvons nous empêcher de nous peloter. Nous nous branlons encore. Nous sommes tellement occupées à nous donner du plaisir que nous ne remarquons les deux beaux apollons qui sont tout près de nous. Nous nous apercevons de leur présence quand nous sentons contre nos fesses les queues bandées. Tans pis, nous restons enlacées, prenons les mains des hommes pour nous caresser les seins, ce qu'ils font remarquablement bien, surtout sur moi. Nous sentons les deux bites sur nos raies culières. Nous sommes dans l'eau, donc assez mouillées. Nous penons les bites pour les mettre à leurs justes places; nos anus. Ils se baissent un peu avant de nous les mettre presque ensemble dans le cul.
Que dire de cette double sodomie, sinon qu'ils nous font jouit et giclent leur jet de sperme dans nos culs. Que dire de cette situation où deux filles se font enculer, s'embrassent sur la bouche pendant toute la sodomie et qui en redemandent. Nos amants ne sont que des hommes, ils peuvent assurer un moment puis baisser pavillon. Nous sortons tous de l'eau. Nous ne nous séchons pas. Le soleil suffit à lui seul. Nous aurions voulu encore des bites. Nous nous entendons bien, avec Annie: nous prenons dans nos bouche une des queues, sans même savoir si c'est celle qui était en nous. Nous les suçons un petit moment avant qu'elles ressuscitent. Ils auraient bien voulu que nous continuions nos fellations. Pas question; nous avons un sexe à faire remplir de leur foutre. Au début nous sommes sur eux qui nous laissent faire comme si c'était normal. Je me mets en levrette pour attirer le mien vers mon con. Puisque un des deux personnages m'a enculée. Je reçois enfin une pine là où j'en avais envie. Ses vas et viens me font jouir encore et encore, jusqu'au moment final de la jouissance que je sens quand son jus vient en moi. Annie a fait comme moi. Quand les hommes s'en vont, après avoir pris rendez vous pour le lendemain, nous nous embrassons une dernière fois. Nous nous mettons f'accord sur la fable à raconter à mon mari.
Toute la durée des vacances d'Annie se passent ainsi: baise, baise et baise. Quand elle part je reste encore au Cap. Je me branle maintenant souvent devant mon mari qui ne l'acceptait plus. J'ai la chance de voir sa bite de dresser. Enfin il bande. Il peux et veux me baiser. Mon sexe a tellement reçu de bites étrangère que je ne peux le lui refuser. Pour faciliter la baise je me mets sur lui. J'assure seule les mouvements, Je jouis avec lui pour la première fois depuis longtemps. Il jouit aussi. Je voudrai recommencer: il ne peut plus bander. En tout cas c'est un bon début. Il me fait promettre de continuer à baiser avec Annie, qu'il aime bien. Je le rassure.
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