Madame Armelle - histoire érotique

Un coup de sonnette sort Armelle de sa léthargie sur la chaise longue du jardin. Qui cela peut-il bien être ? Elle se lève de mauvaise grâce, et son pas tranquille de petite femme joliment boulotte la mène à l’entrée.
A travers les barreaux du vantail, elle reconnaît immédiatement Edwige, et un sourire éclaire son visage jusque là renfrogné. Jeune femme de trente-cinq ans, cette dernière est la voisine idéale : discrète, agréable, avec un mari tout semblable.
Et là ne s’arrête pas la similitude. Pour la gourmande Armelle, très attentive au physique des gens, c’est un bonheur d’avoir un si admirable couple juste à côté. Leurs corps sont aussi sportifs l’un que l’autre et ne la laissent, loin s’en faut, pas de glace ; et elle ne perd pas l’occasion de les croiser pour satisfaire ses prunelles.
Elle n’a pas encore trouvé le moyen de savoir si ses pulsions d’épicurienne du sexe peuvent ou non trouver écho auprès du charmant Maxime, mais ses sens la travaillent dès qu’elle l’aperçoit. Quant à la mignonne Edwige, elle la ferait bien danser sur le bout de sa langue agile !
- Je suis un peu gênée madame Armelle, mais j’aurais un service à vous demander !
- Ne le sois pas ma belle, et dis-moi ce qui t’arrive !
Les cinquante ans d’Armelle font qu’Edwige n’a jamais pu la tutoyer malgré ses demandes répétées. Et Armelle le déplore aussi pour Maxime, car le vouvoiement est comme un barrage au rapprochement plus intime de leurs relations.
- On doit partir ce soir car on a promis d’être demain à l’enterrement d’un de mes oncles. Seulement c’est aussi demain que Virginie et son cours de danse donnent leur représentation de fin d’année. Elle peut très bien dîner seule, il y a de quoi, et vous n’auriez qu’à l’emmener et assister au spectacle à notre place avec les billets que je vous donnerais.
- Et c’est ce qui te tracasse ma belle ? Alors relax, c’est d’accord ! Par contre elle ne va pas rester seule chez vous ; elle va manger avec nous et dormir dans la chambre des enfants.
- Oh madame Armelle, vous êtes décidément adorable ! Vous êtes sûre que ça ne va pas déranger Monsieur Edouard ?
Le « décidément » met Armelle dans ses petits souliers, et elle laisse aller son imagination débordante au-delà de la bienséance : tu ne sais pas à quel point je peux l’être mon chou !
- Il sera ravi de vous être agréable, ne vous inquiétez pas !
Ca, elle en est sûre Armelle ; elle connaît son fripon de mari, et mater cette jeunette va le faire saliver.
La petite arrive vers dix-neuf heures, et c’est Edouard qui l’accueille, d’un œil averti qui détaille le corps épanoui de la gamine.
- Ca te fait quel âge ma puce ? S’enquiert-il gentiment. Tu as l’air d’une femme maintenant ! Et très jolie ! Fait-il en lui faisant une bise.
- J’ai eu dix-sept ans le mois dernier monsieur Edouard.
- Tu fais plus ma puce ! Les garçons doivent drôlement te tourner autour !
- C’est vrai, confesse-t-elle dans un sourire qui lui rosit les joues.
Edouard suit, mis en valeur par la jupe légère, le popotin bien rond qui se balance sous la démarche chaloupée de la danseuse.
Armelle apprécie elle aussi la plastique avenante de son invitée, et lui montre où installer ses affaires pour la nuit.
- Un grand lit pour toi toute seule ma poupée !
Virginie se dit que madame Armelle surveille sa ligne, quand, penchée sur le couvre-lit, son regard glisse sur la poitrine rebondie de son hôte, qui semble se tenir parfaitement si elle en croit les pointes tendues qui trahissent l’absence de soutien-gorge. Et monsieur Edouard lui a fait l’effet d’un homme aussi charmant dans ses propos que bien conservé. Pour les compliments, ça la change de ses imbéciles de soupirants qui n’ont pas l’once d’un savoir-vivre. Leurs allusions fumeuses la laissent de glace alors que les compliments de monsieur Edouard la désarçonnent de belle manière.
Pendant le dîner, elle n’a pas été sans remarquer, malgré leurs précautions, les mains baladeuses de son voisin sur sa voisine. Et les grands sourires de madame Armelle en disent long sur les rapports coquins que ces deux-là doivent avoir ; et ça l’émeut plus que de raison au vu de l’humidité qu’elle sent entre ses cuisses.
Sur l’insistance de tous les deux, elle accepte même un très léger digestif pour rester plus longtemps en leur compagnie et continuer de surveiller leur manège. Et c’est bien émoustillée qu’elle se dirige vers sa chambre.
Elle se met nue sous le drap léger, et les idées bouillantes que lui ont donné les attouchements de monsieur Edouard font leur effet. Elle laisse une main descendre sur son ventre, et ne peut empêcher un doigt entêté de suivre sa fente au poil duveteux.
Dans la chambre du couple, madame Armelle a du mal à endiguer les assauts de plus en plus précis de son mari occupé à branler sa minouche sans culotte, toute à se demander si la petite va trouver le sommeil dans ce lit qui n’est pas le sien .
Elle finit par se lever :
- Je vais voir si Virginie s’est endormie !
Elle arrive à la porte de la chambre et l’ouvre doucement. La lampe de chevet est encore allumée et la lumière tamisée éclaire à peine l’intérieur.
Mais l’attention d’Armelle est tout d’abord attirée par une sorte de petit gémissement ; bien avant de distinguer un mouvement sous le tissu alors que la gamine a les yeux fermés.
- Ca va mon chou ? Demande-t-elle mi inquiète mi curieuse.
La petite a un sursaut et, sans savoir si elle a été surprise ou non, répond d’une petite voix bégayante :
- J’ai... J’ai une petite douleur au ventre ; et des picotements.
- Où ça ma mignonne ? Fais voir à madame Armelle !
D’autorité, celle-ci tire le tissu léger vers le bas et découvre la nudité de Virginie ; en même temps qu’un parfum qu’elle connaît bien : celui d’une minette en chaleur.
- Alors cette douleur, c’est là ? Demande Armelle en posant délicatement sa paume sur le ventre chaud.
- Oui c’est là madame Armelle ! Répond la belle enfant d’un filet de voix.
- Je vois ma petite chérie. Et tu as des picotements ici je suppose ? S’enquiert-elle en descendant à peine les doigts sur le pelage fourni.
Et sans attendre d’acquiescement, l’autre main cajole les globes des petits nichons avant d’en frôler les pointes et de continuer :
- Et là aussi tu as des picotements ?
Virginie sent ses pointes s’ériger en même temps qu’un long frisson la parcourt en lui donnant la chair de poule :
- Oui ! Souffle-t-elle brièvement.
- Alors là ça picote ?
Armelle a maintenant joint les deux mains pour palper les alentours de la chatte odorante à souhait.
- Et là aussi ?
Elle effleure à nouveau la gorge qui prend du volume en durcissant.
- Et ça ça te fait du bien ?
- Mmmhhh ! Fait seulement Virginie, les yeux à nouveau fermés pour mieux ressentir les massages savoureux.
Et c’est pressant entre ses doigts, et les grandes lèvres du berlingot de la petite et ses seins tendus, qu’ Armelle décoche, comme si de rien n’était :
- Ce dont tu as besoin mon petit poussin, c’est de te faire fourrer bien comme il faut !
- Me faire fourrer madame Armelle ?
- Oui mon ange, c’est une expression pour traduire un traitement qui va te relaxer totalement et te remplir de bien-être ! Répond évasivement Madame Armelle en se disant que remplir est bien le terme ad hoc.
Edouard a tout suivi de l’entrebâillement, venu aux nouvelles étant donné le retour tardif de son épouse. Il a une gaule si dure et si douloureuse qu’il est au bord de se précipiter sur elles et les sabrer comme des pouliches.
Armelle sent la gamine au bord de juter, tellement elle a le ventre qui ondule à la rencontre de ses phalanges, qui glissent lentement dans la faille liquoreuse. Oh non, se dit-elle en aparté au sujet de cette petite ingénue, tu ne vas pas crier maintenant ma cocotte ; tu serais capable de vouloir arrêter là.
- Mets-toi sur le ventre mon lapin ! Lui intime-t-elle en l’aidant à se retourner.
Virginie n’émet aucune objection, espérant seulement que le délicieux supplice va reprendre car elle est frustrée. Et son souhait est comblé, car après quelques passages sur ses épaules et son dos, les douces mains se sont emparées de ses collines fessières et les pétrissent de bon cœur.
Armelle a bien vu son polisson à la porte, et lui fait signe de venir pendant que la gamine est tournée vers le mur de la fenêtre. De la tête, elle lui indique le pied du lit en montrant la croupe offerte. Puis elle soulève sa nuisette et s’assied sur le dos de la donzelle, dos à sa patiente, la foune au contact de sa taille.
Puis elle se remet à triturer les rondeurs jumelles, en chevauchant une Virginie plaintive pour frotter son clito en même temps. Et quand son mari s’est installé à genoux au bord du lit, prêt à œuvrer, elle longe la raie du joli potiron du doigt, passe sur l’œillet qui se contracte de surprise, et le huile abondamment à ses sucs de figue.
S’ensuit un court ballet de celui-ci, aux alentours puis en plein sur la rosette pour l’apprivoiser.
Le massage inattendu tire des « mmhh » de la gorge de la petite, faisant comprendre à Armelle qu’il est temps pour le duo à quatre doigts et à deux langues.
Elle empoigne alors les deux collines de chair, les écarte, dévoilant le bel orifice froncé, et sa langue fait à son tour un ballet tournoyant à sa périphérie ; juste avant de pointer du bout sur le mignon ourlet et s’y enfoncer à peine.
- Oooohhhh ! Geint longuement Virginie.
- Elle te fait du bien madame Armelle ?
- Oh ouiiiiiiiii ! On ne m’avait jamais fait ça, c’est booon !
Toujours pelotant en séparant bien les deux hémisphères, madame Armelle fait alors signe à son forban de mari que c’est son tour pour la curée, en demandant :
- Tu as déjà baisé mon chaton ?
- Oui... madame Armelle. Mais ça... m’a fait un peu mal et... je n’ai pas eu droit... à des caresses pareilles... Ooohhhhh.
Sa réponse est saccadée car la langue s’est fait lourde dans toute la raie de son derrière, badigeonnant et léchant avec application, avant de s’enfoncer brusquement dans son trou du cul.
- Ouiiii ! Roucoule-t-elle encore sous les nombreuses incursions de la muqueuse pour une enculade chaude et mouillée.
Edouard a une trique d’enfer, mais il veut entendre encore et encore les gémissements qui le grisent, avant de songer à insérer sa pine dans la fournaise qui la première, voudra bien de lui.
Armelle aussi veut du festin ; et elle saisit les mains de son homme pour les poser sur les cuisses longilignes du joli tendron, et les lui fait descendre jusque sur ses mollets.
Edouard sait comme sa chérie aime qu’on lui caresse les pieds, et c’est significatif de la suite imminente qu’elle veut donner.
Quand son époux se met à palper les plantes souples, massant de ses pouces, léchant les doigts de pieds, elle se dit que elle sur son dos, et lui tenant les pieds, la petite ne pourra pas ruer quand elle va s’apercevoir des quatre mains et des deux langues sur elle.
Alors ses paumes reprennent possession du beau joufflu, et elle se jette come une morte de faim sur l’opercule de la gamine pour la lutiner avec délectation.
Virginie met un temps avant de prendre conscience du nombre des sensations, toute à la jouissance de ses fibres nerveuses. Mais il n’y a pas de doute, il y a deux mains sur ses pieds deux sur ses fesses, et une langue qui fore sa pastille pendant que l’autre suce ses orteils.
- Madame Armelle..... Commence Virginie d’un ton rebelle.
- Laisse-toi faire mon bébé ! Monsieur Edouard et moi on va te donner beaucoup de plaisir !
Et comme pour faire écho à cette promesse, l’ingénue clame un « ooohhhhh » retentissant alors qu’un petit serpent humide vient d’à nouveau forer son macaron brun.
Le relâchement de la mignonne est bien le signe qu’elle a pesé le pour et le contre. En effet, le plaisir l’a largement emporté sur la peur que cet intermède impromptu puisse arriver aux oreilles de ses parents, ajouté au laisser aller coupable de ses pulsions.
Et elle ne tarde pas à jeter les remords aux oubliettes, quand manipulée par quatre mains expertes, elle se retrouve allongée sur le côté ; deux corps à l’envers contre elle, un dans le dos l’autre face à elle, et deux langues lui dévorant l’une sa craquette de plus en plus trempée, l’autre son trou mignon.
Et les doigts ne sont pas en reste : alternant avec les langues, tantôt ils pelotent avec voracité, tantôt ils rampent dans la vallée des fesses ou sur la fente poisseuse, tantôt ils se plantent dans le chat ou dans le puits d’amour.
Les litanies du jouet sensuel des deux compères s’amplifient, et Armelle plante des banderilles verbales qui lui génèrent des cris à chaque jet de mouille qui suit l’autre.
- C’eeeeest ça ma belle ! Chante, hurle ! Il te lèche bien monsieur Edouard ! Et elle te suce bien madame Armelle, hein !? Oh oui tu aimes ça te faire brouter le minou ! Tu vas voir comme il va bien s’occuper de toi monsieur Edouard ! C’est un spécialiste de la feuille de rose et de la préparation du petit pétale !
Fouillée de partout, en voulant toujours plus, Virginie sent cette grosseur dure contre ses épaules, et hume le parfum doucereux de la chatte de madame Armelle, à portée de bouche. Que doit-elle faire ? Elle ne comprend rien aux allusions de cette femme qui la mange de bon cœur, et des élans illicites lui viennent maintenant entre deux orgasmes. Elle a aussi bien envie de rendre la pareille à sa suceuse que de gober le chybre dans son dos, pour voir si elle aimerait.
Edouard, lui, laisse sa moitié incendier le dos de la petite à coups de phrases assassines :
- Bouffe-lui le cul, Edouard, oh ouiii bouffe-lui le cul ! Regarde comme ça lui plaît à cette mignonne !
Et Armelle plante la langue au fond de la jeune cramouille pour voir se trémousser le petit pétard sous leurs jeux libidineux.
Virginie n’en finit plus de se plaindre sous ses petites cataractes de miel.
Quant à l’énervement d’Armelle, il fait écho à la frénésie surhumaine d’Edouard d’épingler la gamine apprivoisée. Elle n’a qu’une hâte, c’est de voir le beau champignon de son homme forcer les délicates lèvres de la mangue maintenant bien juteuse, labourer le ventre de cette coquine, puis disparaître dans son anneau fripé pour lui pilonner la lune.
- Mets-la, maintenant ! Donne-lui copieusement vieux vicieux !
Et ces mots osés font se joindre le désir impérieux de Virginie à la morgue d’Armelle.
La petite se laisse manipuler par le duo et se retrouve assise dos vers lui sur le ventre de Monsieur Edouard.
L’engin veiné qui la menace est appétissant et la fait couler à nouveau.
Puis c’est Madame Armelle qui positionne elle-même le chat sur le bourgeon violacé, en prenant chaque fesse dans une main pour ralentir l’intromission.
- Tu vas l’avoir ma poupée ! Tu vas voir comme c’est bon de se faire tringler !
Edouard s’est allongé et a attiré une Virginie griffée par les mots sur sa poitrine. Son gland gonflé à bloc fore lentement mais sûrement ; et un « ooohhhhhh » interminable franchit les lèvres de Virginie alors que le braquemart s’est enfilé de toute sa longueur dans sa mouniche.
Et le ballet continue, et les sensations abondent.
Deux paumes larges ont pris ses hanches et en cadence rythmée, la soulèvent avant de l’éperonner encore et encore.
Le frottement sur ses parois vaginales est un plaisir savoureux, augmenté qu’il est par un massage de motte par des doigts vernissés et une tétée goulue de ses mamelons par Madame Armelle.
Quand l’ingénue a les yeux qui dérivent et la gorge mélodieuse, Madame Armelle sait qu’elle ne va pas tarder à venir et elle veut des cris. Et par ses délires, elle invective autant l’un que l’autre :
- Emmanche-la ! Elle est prête, défonce-lui son con velu ! Donne-lui-en de la baise !
Pas besoin de prier Edouard ; le baba qui clapote appelle les coups de reins dévastateurs.
Alors lui maintenant le bassin soulevé, il la fait hurler tout le temps qu’il la pilonne pendant que sa femme astique le bouton tout dardé.
Et quant l’extase la fait se tétaniser, Edouard laisse le coulis napper ses couilles bien remplies sous les yeux hagards d’Armelle.
Cette dernière est toute frémissante de mater ce corps juvénile pistonné par le pieu noueux de son mari, et ses exigences sont tout autant pour la jeune fille que pour le spectacle qui lui est offert :
- Allez, défonce-la ! Elle en veut encore, hein ma beauté ?
- Ouiiiiii ! Fait une Virginie sabrée à la cosaque, sentant les gros œufs lui battre le minet à chaque fournée.
- Tu vas voir ce que tu vas te prendre mon poussin ! Lustre-la bien Edouard, que je l’entende gueuler !
Les mots crus aiguillonnent la donzelle au fur et à l’allure où elle se fait pistonner la moule. Et une autre vague finit par l’emporter alors que sa voisine lui pétrit les nichons.
- Maintenant, tu vas te faire finir par les choses sérieuses mon petit cœur ! Affirme madame Armelle. Et après tu dormiras comme un loir !
Ce disant, la rouée lève les cuisses de la jeunette pour se mettre à disposition le petit oignon, et son organe lingual danse un ballet suggestif, d’abord pour se gaver des sucs de Virginie, ensuite pour bien lui dilater l’œilleton étoilé, enfin pour noyer le mufle écarlate de salive. Elle la sodomise même du bout souple en se disant qu’elle, elle se fera jouir d’une branlette qui accompagnera la cavalcade finale.
Quand la gosse commence à geindre, c’est le signal pour l’hallali.
La bite exigeante est pointée vers le haut, et Armelle ramène d’abord les belles collines pour mettre en contact la grosse olive mauve et la capsule inexplorée. Puis elle devient intarissable :
- Déflore-la à répétition avant de la bourrer mon Edouard ! Tu va voir ma petite biche comme c’est bon d’être enculée ! Il est bien élastique ton trou de balle mon bébé, il va tout avaler ! Làààààààà enfourne ! Envoie-toi le beau bulbe !
Et à quatre mains gourmandes, ils font monter et descendre très lentement le petit joufflu pour qu’il se fasse dépuceler à plusieurs reprises.
Et Armelle se délecte à entendre les « ohhh », les « ahhha » qui accompagnent la succion de la cocarde brune sur le gros bigarreau.
Et puis par saccades, ils l’empalent dans une longue litanie enivrante. Le corridor étroit est bien labouré par le manche dur, et pour aider à l’envolée lyrique de la gamine, Armelle administre un frottis lancinant au petit ergot enchâssé au milieu d’un friselis de poils.
La trique baratte le boyau culier et Madame Armelle continue d’encanailler Virginie avec ses expressions électrisantes :
- Tu le branles bien le gourdin de Monsieur Edouard ! Et tu sens comme elle est toute distendue ta collerette ? Tu vas bien te faire défoncer mon trésor ! Tu vas devenir une femme !
Et Armelle pétrit, broie les tétons pointus ; mais a plus de mal à agiter la petite lentille émergée de sa gangue tellement Edouard tambourine les lombes rebondies de la danseuse.
Il est au bord de décharger et il a bien envie lui aussi de malmener sa vertu, parce que oui, c’est sur sa banane qu’elle danse le petit rat, c’est son pilon qui lui explose le trou de balle, c’est lui qui va lui foutre le tunnel de crème onctueuse.
Armelle connaît son loustic, et elle voit qu’il va libérer son sirop ; alors elle se déchaîne autant par son verbe que par sa branloche :
- Vas-y petite, laisse-toi masser la rondelle par Monsieur Edouard !
Et elle frotte et frotte encore :
- Ramone-moi ce cul chéri ! Tu entends comme ça lui plaît ? Envoie-lui la purée, inonde-la de ta gelée !
Et alors que Virginie hoquette au raz-de-marée qui s’annonce :
- Tu reviendras baiser chérie ? Tu reviendras t’envoyer la belle queue de Monsieur Edouard et te faire sucer par Madame Armelle ?
- Oui ! Ouiiiiiiiiiiiiiiii !
Le premier oui était un acquiescement au futur, mais le deuxième salua une avalanche de sperme chaud dans son conduit, et qui lui déclencha un orgasme démentiel.
Et Armelle, qui avait fait subir un sort aussi enviable à son pistil qu’à celui de leur proie, hurla à la petite mort tellement elle avait attendu.