Monsieur Paul et les peintres

- Par l'auteur HDS Mectôtverseau -
Auteur homme.
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Récit libertin : Monsieur Paul et les peintres Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2019 dans la catégorie Plus on est
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Monsieur Paul et les peintres
Avant tout, je cherche une égérie, et si vous êtes intéressée après lecture, vous pouvez m'écrire à Mectotverseau@orange.fr


Odette monte et descend du parking à l’étage pour amener ses toiles. Comme d’habitude, tout est bien préparé pour qu’elle puisse les y accrocher. Elle croise des connaissances mais se contente d’une bise, la mise en place prenant du temps.
Cette année, les artistes sont nombreux, et pour leur exposition, la mairie leur a réservé le premier étage en plus du rez-de-chaussée ; il n’y a pas que des peintures.
Il y a bien les tableaux de Philou, un bon copain, mais lui doit être en train bien évidemment, de papoter à droite et à gauche comme une concierge d’immeuble. Son style est inimitable, novateur, mais toujours du goût d’ Odette.
Elle prend son temps pour l’accrochage, car l’horizontalité et la bonne lumière sont primordiaux.
Quand elle a fini, elle va faire un tour pour juger du talent des autres, et à part les œuvres morbides d’une artiste, elle est plutôt satisfaite du niveau. Elle ne voit pas que des yeux la suivent avec beaucoup d’ attention.
Tiens, voilà le Philou ! Il lui tend les bras pour la bise, et a l’air rigolard d’un ado qui vient de faire une bêtise.
- Alors, lance Odette ? Toujours en quête de potins ? En tout cas, je suis toujours fan de ta patte !
- Moi aussi ma chère j’aime ce que tu fais. Et je ne suis pas le seul.
Un qui adore ton esthétique, c’est notre Jean-Jacques ! Continue-t-il, toujours malicieux.
Devant l’air interrogatif d’Odette, l’animal finit par lâcher : - Il a dit que tu avais … un beau cul !
Prise de court et sans réfléchir, pour rester maîtresse de la situation, elle répond : - Et encore, il n’a rien vu !
Elle n’imagine pas la portée que vont avoir ces quelques mots. Et elle passe la journée sans même y penser une seconde ; alors que Philou n’a pas manqué l’occasion de répéter sa réponse à Jean-Jacques.
- Enregistré ! Fait celui-ci comme unique commentaire.
Et c’est sans soupçonner la cause à effet qu’ Odette entend Jean-Jacques l’inviter à visiter son nouvel atelier par trois fois au téléphone. Les deux premières, elle ne pouvait pas. Mais là elle peut, et elle veut lui faire plaisir. On aime tous montrer ce qu’on a de neuf, et elle n’échappe pas à la règle. En plus, il l’a invitée au restaurant de sa ville, où officie un chef réputé dans la région. Ce n’est pas loin de son village. Et en fait, elle est tenaillée par la curiosité, elle qui travaille chez elle dans un petit périmètre.
Le jour est arrivé. Le soleil d’été tapant, et restaurant oblige, Odette s’habille léger, sans le moindre à priori : une robe souple blanche descendant jusque en haut des cuisses, décolletée devant, et dos nu jusqu’à la taille ; dos juste barré par quatre lanières qui vont de l’épaule gauche à la taille à droite, et quatre qui vont de l’épaule droite à la taille à gauche. Montée sur escarpins de la même couleur, zippés du talon à la cheville, elle n’a pas conscience de l’effet suscité par tant de féminité.
Il est onze heures ce mardi quand elle arrive à l’adresse et sonne. Jean-Jacques lui ouvre et tend le bras pour la prier d’entrer.
Ah oui se dit-elle, c’est grand ! Rien à voir avec son petit quatre mètres carrés ! Et en plus il y a un étage.
Etonnée de la présence d’un autre homme, son hôte le lui présente bien vite comme un ami, Monsieur Paul, venu voir lui aussi l’atelier, en voisin.
Jean-Jacques tend à nouveau le bras pour l’inviter à continuer un peu plus avant, jusqu’à un grand espace où trônent des toiles vierges, des tableaux finis, des ébauches, des tubes de peinture et tous les accessoires nécessaires.
D’un regard entendu et connaisseur, se faisant mutuellement une moue admirative, les deux hommes matent les hanches qui chaloupent et mettent la lourde croupe en valeur.
Son dos forme un très joli V bronzé, lisse comme une peau de bébé, et juste rayé par les fines lanières de la robe, signifiant l’ absence de bretelles de soutien-gorge ; ce que confirmaient les tétons légèrement protubérants aperçus un peu avant. Et Monsieur Paul pense tout seul : la proie est dans la tanière et le festin va être grandiose ! Tu vas connaître le raffinement dans les préliminaires ma douce ! Je vais te chauffer à mort ! Et tu ne mettras pas longtemps à réclamer, comme les autres !
Monsieur Paul sait de quoi il parle. Il est pharmacien et s’est spécialisé dans les crèmes et les extraits aphrodisiaques. Il en a maintenant une petite batterie des plus efficaces.
A force, il est connu de tous les baiseurs patentés du coin. Et s’il accepte volontiers de fournir, il participe!
Il se dit encore : je ne sais pas si tu es expansive ma cocotte, mais tu vas hurler de plaisir ! Et ici, personne ne va t’entendre à part nous !
Un bouchon saute et le rappelle à la réalité. Trois verres sont déjà sur une petite table, et Jean-Jacques s’adresse à lui : - Allez, sers-nous une coupette, qu’on arrose enfin !
Monsieur Paul comprend très bien l’allusion. Ca, elle va être arrosée la mignonne !
Jean-Jacques occupe l’attention d’Odette sur une de ses toiles, pendant que le pharmacien sort une petite fiole dont il verse la moitié du contenu dans le verre de la jeune femme en jubilant. Le reste ira dans le deuxième verre ; ainsi, elle sera complètement prête.
Le papotage reprend à trois, face aux toiles et dos à la table, et chacun y va de son commentaire.
Il faut dix minutes pour qu’ Odette commence un balancement à peine perceptible - à part pour Monsieur Paul - d’une jambe à l’autre. Il s’empresse, sous le regard attentif de Jean-Jacques et sans alarmer la jeune femme, de lui prendre le verre de la main pour la re-servir.
Le reste de la fiole est bien vite dissous dans le Champagne. Et après quelques minutes supplémentaires, Odette devient volubile, et s’esclaffe sans difficulté à des propos qui deviennent de plus en plus égrillards, en y participant sans même y songer.
Les deux hommes se rapprochent tout contre elle, et ne se privent plus de toucher la peau du dos ou des bras, pour lui montrer ceci ou cela, la faire regarder dans telle ou telle direction. A chaque attouchement, la visiteuse sent une mini secousse électrique qui comble les deux hommes.
Odette flageole un peu, rit fort, et ne peut empêcher ses tétins de pointer. Elle sent bien une chaleur grandissante, mais est trop grise pour se demander pourquoi.
- Bon ! Lance Jean-Jacques. Il faudrait quand même aller voir si le petit chat a faim !
- Le petit chat ? Fait Odette.
Jean-Jacques, qui sait quel amour elle porte à ces félins, la prend fermement par la main sans qu’elle y voie un inconvénient. Etourdie et brûlante sous l’effet de la préparation du pharmacien, elle monte, soumise et toujours plus rigolarde aux allusions cochonnes, les escaliers qui mènent à l’étage.
Le peintre ne lâche pas sa main tandis que Monsieur Paul sonne l’hallali ; il soulève le bas de la robe et dégage les fesses rebondies, dont la longue raie culière est parcourue par la ficelle du string, blanc lui aussi. Quel affriolant spectacle ! Et pourtant, ce n’est rien à côté de celui de tous ses trous embrochés par leurs queues, dont ils garderont précieusement le témoignage en lieu sûr. Elle est vraiment un appel à la luxure !
Odette retire la main du voyeur en s’indignant un peu, mais sans conviction tellement son corps la chauffe : - Qu’est-ce que tu fais espèce de cochon ?
Elle l’a tutoyé, et c’est un autre signe de reddition pour Monsieur Paul, expert en préparation de baise. Ils montent les dernières marches, la jeune femme tirée par la main et Monsieur Paul sortant un tube de sa poche.
Arrivés en haut, la porte est ouverte. Odette remarque bien l’immense lit très haut au milieu de la pièce, le paravent, mais cherche des yeux le matou affamé.
- Alors, il est où le petit chat ?
Monsieur Paul s’adosse au mur à côté de la porte, et attire le dos d’Odette contre sa poitrine solide. Il n’en peut plus d’attendre, mais on ne galvaude pas un mets de choix comme celui-ci. Qu’est-ce qu’on va lui mettre ! Se dit-il, sûr de lui.
La jeune femme ressent cette fois-ci l’immensité de son excitation au contact du long bâton qui s’imprime dans sa raie. Jusqu’à maintenant c’était naissant, mais là, elle est rattrapée par son tempérament et en frémit.
- Ecarte-lui les bras en croix et bouffe-lui la langue ! Ordonne-t-il à jean-Jacques.
Odette, malgré elle, est cinglée par les propos.
Quand elle livre sa bouche à Jean-Jacques, Monsieur Paul s’est enduit tous les doigts de sa crème, et ceux-ci entrent alors en action.
D’abord, il passe par les flancs de la robe pour se glisser jusqu’aux globes souples et s’en prend aux bouts érigés bien durs. Il les masse méticuleusement sans qu’ils perdent de leur superbe.
Puis, pour affirmer son autorité, pendant que son ami peintre baise les lèvres une à une et suce la langue domptée, il tire à nouveau la robe vers le haut d’un coup sec. Et toujours avec application, il fourre sa main entière à l’intérieur du string pour malaxer la motte, les grandes lèvres, les petites lèvres, et finit par le bouton dardé.
Enfin pendant que maintenant Jean-jacques lèche la femelle dans le cou, sur les épaules, lui gobe les lobes d’oreilles, reprend sa langue, la crucifiée sent des doigts qui écartent la ficelle de son string. Une main écarte une fesse, et à nouveau trois doigts inquisiteurs enduits copieusement d’ onguent délogent la rondelle fripée. Odette renâcle, se tord, ce qui finit par obliger les deux agresseurs à l’amener contre le lit et la jeter dessus.
- Il faut que je la finisse ! Décrète Monsieur Paul. Il lui faut sa dose !
Odette subit les yeux perçants du pharmacien qui la fixe comme un véritable prédateur.
Il lit très bien sur les visages et voit que cette femme, aux mirettes grandes ouvertes délicieusement pitoyables, commence à découvrir son potentiel sexuel et en est désorientée. Exactement comme sa petite préparatrice brune, Nathalie, quand sa femme et lui lui avaient joué la symphonie des godes.
Pour masquer ça, Odette se laisse allonger sur le ventre. Elle a les tétons qui réclament de se faire téter, le con qui mouille, et le petit trou qui frémit.
Chacun des deux hommes passe une jambe entre ses cuisses pour les écarter.
Ainsi immobilisée, leur proie ne voit pas le manège dans son dos : les phalanges qui se crèment, les langues qui passent entre les lèvres pour montrer leur joyeuse gourmandise, les yeux émerveillés de tant de beauté picturale.
Ce corps halé juste habillé du tissu blanc qui lui barre le dos, celui remonté en bouchon au-dessus des rondeurs jumelles, et le cuir ajouré qui lui ceint les pieds et les chevilles : tout est incitation à la possession.
Maintenant, c’est bel et bien les fesses d’ Odette qu’on ouvre, et son trou de balle que les salauds entreprennent de oindre lentement, savamment, de tous leurs doigts, la maintenant bien immobile. Elle donne du « ahhh » quand ça frotte, et bientôt du « ohhh » quand Monsieur Paul montre la voie en insérant la première, puis la deuxième phalange de son médius. Il sent parfaitement, aux soubresauts de son corps, qu’elle va se donner, et que ça va être particulièrement excitant de la faire patienter.
Elle avait bien eu raison de répondre « qu’encore, Jean-Jacques n’avait rien vu », quand il avait complimenté son derrière.
- Maintenant, lèche-la encore et écoute !
Le doigt toujours fiché dans l’orifice, il glisse son autre main sous le ventre de la femelle pour atteindre la moule suintante. Il ne lui faut que quelques secondes de frottis de clito pour la faire crier de jouissance en ruant du popotin.
- Tu l’entends sa belle chanson ?
Et il lui met le doigt entier dans le tunnel culier.
Alors pour bien se rendre compte du tempérament jouissif de la poupée à baise qu’elle semble être, il recommence encore ; avec cette fois-ci un « ouiiiiiiiii » à la clef de la branlette et du doigtage.
Là, c’est définitivement acquis, elle est à eux. La conjugaison du breuvage et des huiles opère avec succès, se félicite le pharmacien. Et elle finira comme les autres, à réclamer à mots crus les festivités qui se préparent.
La deuxième couche de crème qu’il envisage, dont il n’oubliera pas de barbouiller encore le minou docile, promet l’imminence d’un déchaînement sexuel de la part de leur victime. Il va juste falloir que les niqueurs entretiennent l’alternance de l’excitation et de la frustration ; et qu’ils n’oublient pas de tout immortaliser sur le plus de films possible.
Jean-Jacques, qui bande dur, et dont l’énorme gland a pris toute son ampleur, voudrait bien juguler son envie en prenant le relais, mais Monsieur Paul, en expert, intime : - Attends ! Tu vas avoir tout ton temps ! On va la tringler des heures !
Les mots sont salés mais Odette en a l’échine qui tremble d’énervement.
Monsieur Paul montre du menton la caméra de poing posée au pied du lit, à côté d’autres flacons mystérieux. Il y en a une autre au-dessus d’eux, invisible sur la structure métallique, qui sera mise en marche très bientôt et peut filmer très longtemps ; c’est une qui n’a pas été installée à la pharmacie.
Quand son ami est prêt, il enduit ses doigts et reprend la branlette, le doigt toujours logé dans l’anneau. Là, tout en lenteur, celui-ci se met à coulisser, toujours parfaitement huilé, pendant que tous les doigts de l’autre main malaxent le bonbon poilu. Le bouton a doublé de volume ; normal après le traitement.
Elle s’agite fort en miaulant, et encore quelques secondes passent avant une autre plainte, plus rauque et animale, la lune relevée haut.
Monsieur Paul découvre que cette belle dame démarre au quart de tour, et que les orgasmes pourraient être nombreux. Si c’est le cas, il a déjà dans sa tête de dépravé imaginatif une nouvelle session cul pour un autre jour, avec ce sublime jouet sexuel.
Il montre la caméra du même geste du menton que tout à l’heure à son acolyte pour s’enquérir de la réussite du petit film.
Jean-Jacques acquiesce d’un hochement de tête. Putain que c’était bandant, se dit-il, en se remémorant la scène, prise bien près des deux mains qui oeuvraient. Il faudra qu’on la filme dans toutes les positions, en montrant son visage qui change sous le plaisir que vont lui donner les bites qui la sabrent ; qu’on voie bien que c’est elle qui s’est fait emmancher de partout.
Odette semble un peu plus calme, mais irrémédiablement, le feu la prend partout.
Monsieur Paul, qui a l’habitude de mener de tels débats, renverse doucement la jeune femme sur le dos.
- Il est temps de faire la tétée et de nourrir le chat ! Décrète-t-il.
Odette ne comprend toujours pas ce qui se dit ; elle est en chaleur et a besoin d’être pelotée, caressée, rassasiée. Elle est devenue ultra-sensible de partout et ne peut s’empêcher de penser aux deux outils cachés dans les pantalons.
Maintenant, le grand jeu commence, avec mise en scène bien rôdée : le premier s’allonge sur un côté d’Odette, lui ramène le visage vers le sien pour jouer langue à langue, pendant que le deuxième place discrètement la caméra face à la fourche ouverte des cuisses féminines.
Puis le deuxième vient à son tour s’allonger, de l’autre côté de la belle. Une petite vérification rapide dans l’écran de la caméra, et le concerto pour sucettes et aspirations de mamelons, malaxage de tétons glissants, caresses de la peau livrée, peut commencer.
Pour lui bouffer les bourgeons dardés de la poitrine, juste repousser le devant de la robe sur les côtés pour les dégager. Ils restent drus et c’en est un délice que de les mordiller puis de les aspirer avec de grands bruits de succion qui la font geindre d’excitation. De leur côté, les doigts sont d’abord aériens sur la peau du ventre, des hanches, puis remontent dans l’intérieur des cuisses. Là, ils ne font qu’effleurer le mont broussailleux et la fente, jouant autour du triangle de tissu soyeux, lui faisant soulever le ventre à leur rencontre.
En même temps, habiles baiseurs, l’un se débarrasse de ses vêtements pendant que l’autre lui lèche le cou et lui tire des «  mmhh » de contentement. Et c’est au tour de l’autre de tout retirer, pendant que le premier apprend à Odette à rouler des pelles langoureuses, à sortir sa langue pour se la faire gifler, avant de le faire aussi lentement elle-même à l’autre langue, puis de se faire posséder la bouche.
Reprennent la tétée et le malaxage des nichons, pendant que les deux mâles poussent leurs colonnes contre les hanches chaudes.
Ils voient le regard d’Odette les jauger tour à tour, et à sa mine stupéfaite devant leurs tailles et leurs raideurs d’acier, ils se disent que le viagra fourni par le pharmacien et pris en temps voulu va leur permettre de performer à dérouiller la donzelle. Ils vont être intraitables et assidus à la démonter. Si le déjeuner de midi est déjà passé, elle pourra toujours accepter de dîner avec eux, étant donné que son mari est d’astreinte de nuit tous les mardis matin de début de mois. Et ça, Jean-Jacques le sait et a lancé son invitation en conséquence.
Leurs mains se font plus possessives. Là elles triturent les bras, le ventre, les cuisses, eux toujours à la tétée, et finissent par arriver au but final. Le string est écarté, et Monsieur Paul laisse Jean-Jacques, le visage rouge, officier à son tour. Il lui lance : - Astique-lui le bouton ! Fais-la gueuler !
Odette goûte maintenant sans gêne le langage dévastateur, et pense sans le dire : «  C’est ça mon salaud, fais-moi gueuler ! »Le peintre ne se fait pas prier, en ayant soin de garder dans le champ de la caméra son doigt qui masturbe méthodiquement l’entaille, harcèle le petit haricot, et le visage crispé d’ Odette sur le point de venir.
- Aaahhh ! Crie-t-elle toute gorge déployée.
Avant de supplier, de peur que le doigt l’abandonne : - Le lâche pas !
Quel bon coup se dit Monsieur Paul, qui prend à nouveau les rennes. Lui, c’est à deux mains qu’il s’occupe du baba. Des doigts de l’une il malaxe les grandes lèvres, et des doigts de l’autre il manipule le clitoris très enflé.
Presque immédiatement, elle jouit à nouveau, avec de grandes vagues du bassin. Et la petite garce ne repousse toujours pas le médius qui insiste.
- Allez ! Mange-lui l’abricot, elle en a pas assez ! Et à la prochaine giclée de mouille, on va bien nourrir le chat ! Monsieur Paul 1
Odette monte et descend du parking à l’étage pour amener ses toiles. Comme d’habitude, tout est bien préparé pour qu’elle puisse les y accrocher. Elle croise des connaissances mais se contente d’une bise, la mise en place prenant du temps.
Cette année, les artistes sont nombreux, et pour leur exposition, la mairie leur a réservé le premier étage en plus du rez-de-chaussée ; il n’y a pas que des peintures.
Il y a bien les tableaux de Philou, un bon copain, mais lui doit être en train bien évidemment, de papoter à droite et à gauche comme une concierge d’immeuble. Son style est inimitable, novateur, mais toujours du goût d’ Odette.
Elle prend son temps pour l’accrochage, car l’horizontalité et la bonne lumière sont primordiaux.
Quand elle a fini, elle va faire un tour pour juger du talent des autres, et à part les œuvres morbides d’une artiste, elle est plutôt satisfaite du niveau. Elle ne voit pas que des yeux la suivent avec beaucoup d’ attention.
Tiens, voilà le Philou ! Il lui tend les bras pour la bise, et a l’air rigolard d’un ado qui vient de faire une bêtise.
- Alors, lance Odette ? Toujours en quête de potins ? En tout cas, je suis toujours fan de ta patte !
- Moi aussi ma chère j’aime ce que tu fais. Et je ne suis pas le seul.
Un qui adore ton esthétique, c’est notre Jean-Jacques ! Continue-t-il, toujours malicieux.
Devant l’air interrogatif d’Odette, l’animal finit par lâcher : - Il a dit que tu avais … un beau cul !
Prise de court et sans réfléchir, pour rester maîtresse de la situation, elle répond : - Et encore, il n’a rien vu !
Elle n’imagine pas la portée que vont avoir ces quelques mots. Et elle passe la journée sans même y penser une seconde ; alors que Philou n’a pas manqué l’occasion de répéter sa réponse à Jean-Jacques.
- Enregistré ! Fait celui-ci comme unique commentaire.
Et c’est sans soupçonner la cause à effet qu’ Odette entend Jean-Jacques l’inviter à visiter son nouvel atelier par trois fois au téléphone. Les deux premières, elle ne pouvait pas. Mais là elle peut, et elle veut lui faire plaisir. On aime tous montrer ce qu’on a de neuf, et elle n’échappe pas à la règle. En plus, il l’a invitée au restaurant de sa ville, où officie un chef réputé dans la région. Ce n’est pas loin de son village. Et en fait, elle est tenaillée par la curiosité, elle qui travaille chez elle dans un petit périmètre.
Le jour est arrivé. Le soleil d’été tapant, et restaurant oblige, Odette s’habille léger, sans le moindre à priori : une robe souple blanche descendant jusque en haut des cuisses, décolletée devant, et dos nu jusqu’à la taille ; dos juste barré par quatre lanières qui vont de l’épaule gauche à la taille à droite, et quatre qui vont de l’épaule droite à la taille à gauche. Montée sur escarpins de la même couleur, zippés du talon à la cheville, elle n’a pas conscience de l’effet suscité par tant de féminité.
Il est onze heures ce mardi quand elle arrive à l’adresse et sonne. Jean-Jacques lui ouvre et tend le bras pour la prier d’entrer.
Ah oui se dit-elle, c’est grand ! Rien à voir avec son petit quatre mètres carrés ! Et en plus il y a un étage.
Etonnée de la présence d’un autre homme, son hôte le lui présente bien vite comme un ami, Monsieur Paul, venu voir lui aussi l’atelier, en voisin.
Jean-Jacques tend à nouveau le bras pour l’inviter à continuer un peu plus avant, jusqu’à un grand espace où trônent des toiles vierges, des tableaux finis, des ébauches, des tubes de peinture et tous les accessoires nécessaires.
D’un regard entendu et connaisseur, se faisant mutuellement une moue admirative, les deux hommes matent les hanches qui chaloupent et mettent la lourde croupe en valeur.
Son dos forme un très joli V bronzé, lisse comme une peau de bébé, et juste rayé par les fines lanières de la robe, signifiant l’ absence de bretelles de soutien-gorge ; ce que confirmaient les tétons légèrement protubérants aperçus un peu avant. Et Monsieur Paul pense tout seul : la proie est dans la tanière et le festin va être grandiose ! Tu vas connaître le raffinement dans les préliminaires ma douce ! Je vais te chauffer à mort ! Et tu ne mettras pas longtemps à réclamer, comme les autres !
Monsieur Paul sait de quoi il parle. Il est pharmacien et s’est spécialisé dans les crèmes et les extraits aphrodisiaques. Il en a maintenant une petite batterie des plus efficaces.
A force, il est connu de tous les baiseurs patentés du coin. Et s’il accepte volontiers de fournir, il participe!
Il se dit encore : je ne sais pas si tu es expansive ma cocotte, mais tu vas hurler de plaisir ! Et ici, personne ne va t’entendre à part nous !
Un bouchon saute et le rappelle à la réalité. Trois verres sont déjà sur une petite table, et Jean-Jacques s’adresse à lui : - Allez, sers-nous une coupette, qu’on arrose enfin !
Monsieur Paul comprend très bien l’allusion. Ca, elle va être arrosée la mignonne !
Jean-Jacques occupe l’attention d’Odette sur une de ses toiles, pendant que le pharmacien sort une petite fiole dont il verse la moitié du contenu dans le verre de la jeune femme en jubilant. Le reste ira dans le deuxième verre ; ainsi, elle sera complètement prête.
Le papotage reprend à trois, face aux toiles et dos à la table, et chacun y va de son commentaire.
Il faut dix minutes pour qu’ Odette commence un balancement à peine perceptible - à part pour Monsieur Paul - d’une jambe à l’autre. Il s’empresse, sous le regard attentif de Jean-Jacques et sans alarmer la jeune femme, de lui prendre le verre de la main pour la re-servir.
Le reste de la fiole est bien vite dissous dans le Champagne. Et après quelques minutes supplémentaires, Odette devient volubile, et s’esclaffe sans difficulté à des propos qui deviennent de plus en plus égrillards, en y participant sans même y songer.
Les deux hommes se rapprochent tout contre elle, et ne se privent plus de toucher la peau du dos ou des bras, pour lui montrer ceci ou cela, la faire regarder dans telle ou telle direction. A chaque attouchement, la visiteuse sent une mini secousse électrique qui comble les deux hommes.
Odette flageole un peu, rit fort, et ne peut empêcher ses tétins de pointer. Elle sent bien une chaleur grandissante, mais est trop grise pour se demander pourquoi.
- Bon ! Lance Jean-Jacques. Il faudrait quand même aller voir si le petit chat a faim !
- Le petit chat ? Fait Odette.
Jean-Jacques, qui sait quel amour elle porte à ces félins, la prend fermement par la main sans qu’elle y voie un inconvénient. Etourdie et brûlante sous l’effet de la préparation du pharmacien, elle monte, soumise et toujours plus rigolarde aux allusions cochonnes, les escaliers qui mènent à l’étage.
Le peintre ne lâche pas sa main tandis que Monsieur Paul sonne l’hallali ; il soulève le bas de la robe et dégage les fesses rebondies, dont la longue raie culière est parcourue par la ficelle du string, blanc lui aussi. Quel affriolant spectacle ! Et pourtant, ce n’est rien à côté de celui de tous ses trous embrochés par leurs queues, dont ils garderont précieusement le témoignage en lieu sûr. Elle est vraiment un appel à la luxure !
Odette retire la main du voyeur en s’indignant un peu, mais sans conviction tellement son corps la chauffe : - Qu’est-ce que tu fais espèce de cochon ?
Elle l’a tutoyé, et c’est un autre signe de reddition pour Monsieur Paul, expert en préparation de baise. Ils montent les dernières marches, la jeune femme tirée par la main et Monsieur Paul sortant un tube de sa poche.
Arrivés en haut, la porte est ouverte. Odette remarque bien l’immense lit très haut au milieu de la pièce, le paravent, mais cherche des yeux le matou affamé.
- Alors, il est où le petit chat ?
Monsieur Paul s’adosse au mur à côté de la porte, et attire le dos d’Odette contre sa poitrine solide. Il n’en peut plus d’attendre, mais on ne galvaude pas un mets de choix comme celui-ci. Qu’est-ce qu’on va lui mettre ! Se dit-il, sûr de lui.
La jeune femme ressent cette fois-ci l’immensité de son excitation au contact du long bâton qui s’imprime dans sa raie. Jusqu’à maintenant c’était naissant, mais là, elle est rattrapée par son tempérament et en frémit.
- Ecarte-lui les bras en croix et bouffe-lui la langue ! Ordonne-t-il à jean-Jacques.
Odette, malgré elle, est cinglée par les propos.
Quand elle livre sa bouche à Jean-Jacques, Monsieur Paul s’est enduit tous les doigts de sa crème, et ceux-ci entrent alors en action.
D’abord, il passe par les flancs de la robe pour se glisser jusqu’aux globes souples et s’en prend aux bouts érigés bien durs. Il les masse méticuleusement sans qu’ils perdent de leur superbe.
Puis, pour affirmer son autorité, pendant que son ami peintre baise les lèvres une à une et suce la langue domptée, il tire à nouveau la robe vers le haut d’un coup sec. Et toujours avec application, il fourre sa main entière à l’intérieur du string pour malaxer la motte, les grandes lèvres, les petites lèvres, et finit par le bouton dardé.
Enfin pendant que maintenant Jean-jacques lèche la femelle dans le cou, sur les épaules, lui gobe les lobes d’oreilles, reprend sa langue, la crucifiée sent des doigts qui écartent la ficelle de son string. Une main écarte une fesse, et à nouveau trois doigts inquisiteurs enduits copieusement d’ onguent délogent la rondelle fripée. Odette renâcle, se tord, ce qui finit par obliger les deux agresseurs à l’amener contre le lit et la jeter dessus.
- Il faut que je la finisse ! Décrète Monsieur Paul. Il lui faut sa dose !
Odette subit les yeux perçants du pharmacien qui la fixe comme un véritable prédateur.
Il lit très bien sur les visages et voit que cette femme, aux mirettes grandes ouvertes délicieusement pitoyables, commence à découvrir son potentiel sexuel et en est désorientée. Exactement comme sa petite préparatrice brune, Nathalie, quand sa femme et lui lui avaient joué la symphonie des godes.
Pour masquer ça, Odette se laisse allonger sur le ventre. Elle a les tétons qui réclament de se faire téter, le con qui mouille, et le petit trou qui frémit.
Chacun des deux hommes passe une jambe entre ses cuisses pour les écarter.
Ainsi immobilisée, leur proie ne voit pas le manège dans son dos : les phalanges qui se crèment, les langues qui passent entre les lèvres pour montrer leur joyeuse gourmandise, les yeux émerveillés de tant de beauté picturale.
Ce corps halé juste habillé du tissu blanc qui lui barre le dos, celui remonté en bouchon au-dessus des rondeurs jumelles, et le cuir ajouré qui lui ceint les pieds et les chevilles : tout est incitation à la possession.
Maintenant, c’est bel et bien les fesses d’ Odette qu’on ouvre, et son trou de balle que les salauds entreprennent de oindre lentement, savamment, de tous leurs doigts, la maintenant bien immobile. Elle donne du « ahhh » quand ça frotte, et bientôt du « ohhh » quand Monsieur Paul montre la voie en insérant la première, puis la deuxième phalange de son médius. Il sent parfaitement, aux soubresauts de son corps, qu’elle va se donner, et que ça va être particulièrement excitant de la faire patienter.
Elle avait bien eu raison de répondre « qu’encore, Jean-Jacques n’avait rien vu », quand il avait complimenté son derrière.
- Maintenant, lèche-la encore et écoute !
Le doigt toujours fiché dans l’orifice, il glisse son autre main sous le ventre de la femelle pour atteindre la moule suintante. Il ne lui faut que quelques secondes de frottis de clito pour la faire crier de jouissance en ruant du popotin.
- Tu l’entends sa belle chanson ?
Et il lui met le doigt entier dans le tunnel culier.
Alors pour bien se rendre compte du tempérament jouissif de la poupée à baise qu’elle semble être, il recommence encore ; avec cette fois-ci un « ouiiiiiiiii » à la clef de la branlette et du doigtage.
Là, c’est définitivement acquis, elle est à eux. La conjugaison du breuvage et des huiles opère avec succès, se félicite le pharmacien. Et elle finira comme les autres, à réclamer à mots crus les festivités qui se préparent.
La deuxième couche de crème qu’il envisage, dont il n’oubliera pas de barbouiller encore le minou docile, promet l’imminence d’un déchaînement sexuel de la part de leur victime. Il va juste falloir que les niqueurs entretiennent l’alternance de l’excitation et de la frustration ; et qu’ils n’oublient pas de tout immortaliser sur le plus de films possible.
Jean-Jacques, qui bande dur, et dont l’énorme gland a pris toute son ampleur, voudrait bien juguler son envie en prenant le relais, mais Monsieur Paul, en expert, intime : - Attends ! Tu vas avoir tout ton temps ! On va la tringler des heures !
Les mots sont salés mais Odette en a l’échine qui tremble d’énervement.
Monsieur Paul montre du menton la caméra de poing posée au pied du lit, à côté d’autres flacons mystérieux. Il y en a une autre au-dessus d’eux, invisible sur la structure métallique, qui sera mise en marche très bientôt et peut filmer très longtemps ; c’est une qui n’a pas été installée à la pharmacie.
Quand son ami est prêt, il enduit ses doigts et reprend la branlette, le doigt toujours logé dans l’anneau. Là, tout en lenteur, celui-ci se met à coulisser, toujours parfaitement huilé, pendant que tous les doigts de l’autre main malaxent le bonbon poilu. Le bouton a doublé de volume ; normal après le traitement.
Elle s’agite fort en miaulant, et encore quelques secondes passent avant une autre plainte, plus rauque et animale, la lune relevée haut.
Monsieur Paul découvre que cette belle dame démarre au quart de tour, et que les orgasmes pourraient être nombreux. Si c’est le cas, il a déjà dans sa tête de dépravé imaginatif une nouvelle session cul pour un autre jour, avec ce sublime jouet sexuel.
Il montre la caméra du même geste du menton que tout à l’heure à son acolyte pour s’enquérir de la réussite du petit film.
Jean-Jacques acquiesce d’un hochement de tête. Putain que c’était bandant, se dit-il, en se remémorant la scène, prise bien près des deux mains qui oeuvraient. Il faudra qu’on la filme dans toutes les positions, en montrant son visage qui change sous le plaisir que vont lui donner les bites qui la sabrent ; qu’on voie bien que c’est elle qui s’est fait emmancher de partout.
Odette semble un peu plus calme, mais irrémédiablement, le feu la prend partout.
Monsieur Paul, qui a l’habitude de mener de tels débats, renverse doucement la jeune femme sur le dos.
- Il est temps de faire la tétée et de nourrir le chat ! Décrète-t-il.
Odette ne comprend toujours pas ce qui se dit ; elle est en chaleur et a besoin d’être pelotée, caressée, rassasiée. Elle est devenue ultra-sensible de partout et ne peut s’empêcher de penser aux deux outils cachés dans les pantalons.
Maintenant, le grand jeu commence, avec mise en scène bien rôdée : le premier s’allonge sur un côté d’Odette, lui ramène le visage vers le sien pour jouer langue à langue, pendant que le deuxième place discrètement la caméra face à la fourche ouverte des cuisses féminines.
Puis le deuxième vient à son tour s’allonger, de l’autre côté de la belle. Une petite vérification rapide dans l’écran de la caméra, et le concerto pour sucettes et aspirations de mamelons, malaxage de tétons glissants, caresses de la peau livrée, peut commencer.
Pour lui bouffer les bourgeons dardés de la poitrine, juste repousser le devant de la robe sur les côtés pour les dégager. Ils restent drus et c’en est un délice que de les mordiller puis de les aspirer avec de grands bruits de succion qui la font geindre d’excitation. De leur côté, les doigts sont d’abord aériens sur la peau du ventre, des hanches, puis remontent dans l’intérieur des cuisses. Là, ils ne font qu’effleurer le mont broussailleux et la fente, jouant autour du triangle de tissu soyeux, lui faisant soulever le ventre à leur rencontre.
En même temps, habiles baiseurs, l’un se débarrasse de ses vêtements pendant que l’autre lui lèche le cou et lui tire des «  mmhh » de contentement. Et c’est au tour de l’autre de tout retirer, pendant que le premier apprend à Odette à rouler des pelles langoureuses, à sortir sa langue pour se la faire gifler, avant de le faire aussi lentement elle-même à l’autre langue, puis de se faire posséder la bouche.
Reprennent la tétée et le malaxage des nichons, pendant que les deux mâles poussent leurs colonnes contre les hanches chaudes.
Ils voient le regard d’Odette les jauger tour à tour, et à sa mine stupéfaite devant leurs tailles et leurs raideurs d’acier, ils se disent que le viagra fourni par le pharmacien et pris en temps voulu va leur permettre de performer à dérouiller la donzelle. Ils vont être intraitables et assidus à la démonter. Si le déjeuner de midi est déjà passé, elle pourra toujours accepter de dîner avec eux, étant donné que son mari est d’astreinte de nuit tous les mardis matin de début de mois. Et ça, Jean-Jacques le sait et a lancé son invitation en conséquence.
Leurs mains se font plus possessives. Là elles triturent les bras, le ventre, les cuisses, eux toujours à la tétée, et finissent par arriver au but final. Le string est écarté, et Monsieur Paul laisse Jean-Jacques, le visage rouge, officier à son tour. Il lui lance : - Astique-lui le bouton ! Fais-la gueuler !
Odette goûte maintenant sans gêne le langage dévastateur, et pense sans le dire : «  C’est ça mon salaud, fais-moi gueuler ! »Le peintre ne se fait pas prier, en ayant soin de garder dans le champ de la caméra son doigt qui masturbe méthodiquement l’entaille, harcèle le petit haricot, et le visage crispé d’ Odette sur le point de venir.
- Aaahhh ! Crie-t-elle toute gorge déployée.
Avant de supplier, de peur que le doigt l’abandonne : - Le lâche pas !
Quel bon coup se dit Monsieur Paul, qui prend à nouveau les rennes. Lui, c’est à deux mains qu’il s’occupe du baba. Des doigts de l’une il malaxe les grandes lèvres, et des doigts de l’autre il manipule le clitoris très enflé.
Presque immédiatement, elle jouit à nouveau, avec de grandes vagues du bassin. Et la petite garce ne repousse toujours pas le médius qui insiste.
- Allez ! Mange-lui l’abricot, elle en a pas assez ! Et à la prochaine giclée de mouille, on va bien nourrir le chat !

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Texte coquin : Monsieur Paul et les peintres
Histoire sexe : Une rose rouge
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