Monsieur Paul et les peintres - suite-

- Par l'auteur HDS Mectôtverseau -
Auteur homme.
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Récit libertin : Monsieur Paul et les peintres - suite- Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Monsieur Paul et les peintres - suite-
Chez Jean-Jacques
Après une exposition à Pau, le groupe de peintres et leurs conjoints respectifs avaient prévu d’aller dîner dans le restaurant « au Gourmet », tenu par un chef renommé devenu l’ami de Jean-Jacques, qui s’y mettait régulièrement à table.
Le mari d’Odette est aussi bavard que Jean-Jacques, qui le fait parler de tout, en l’orientant habilement vers sa vie privée.
C’est ainsi qu’il apprend deux choses essentielles, mais pas indiscrètes : qu’il part lundi faire un stage de deux semaines afin d’être informé des toutes nouvelles normes de sécurité pour former son équipe tout de suite après ; et qu’ Odette et lui vont régulièrement faire de la danse de salon.
Sa femme à lui adore danser elle aussi, et porte quelquefois des tenues à la limite de l’excommunication. D’ailleurs, elle n’a pas encore osé porter la dernière achetée.
Durant le repas, Odette ne rate pas l’occasion de porter aux nues la qualité des mets qui lui sont servis ; suivie par les autres, qui remercient Jean-Jacques de les avoir amenés là.
Avant que chacun ne règle son écot, celui-ci insiste pour qu’ Odette l’accompagne aux cuisines, de manière à lui présenter le restaurateur, et qu’elle le félicite de vive voix.
Quand elle fait son entrée au milieu de la brigade, perchée sur ses hauts talons habituels, féminine en diable, tous s’immobilisent pour la laisser passer.
Le chef se fend d’un grand sourire et laisse le peintre faire les présentations : - Odile, je te présente Etienne, le ravisseur de tes papilles !
Le nommé tend sa grosse patte d’ours à l’apparition de rêve, et la mimine de celle-ci y disparaît pour y être gardée plus que nécessaire.
Il la lâche finalement quand il entend : - Vous nous avez régalés !
A quoi il répond, la scrutant de la tête aux pieds : - Ce serait dommage de servir une jolie femme et de ne pas la régaler !
Si Odette ne comprend pas le second degré, Jean-Jacques, lui, y voit le sens caché. Sacré Etienne !
Alors que tout ce beau monde se quitte, Marilyne, la femme de Jacques, lui met une carte dans la main en disant : - Ca me ferait très plaisir que vous veniez dîner jeudi soir ! Etienne m’a donné une de ses recettes secrètes, et j’aimerais vous la faire goûter ! On parlera danse ! Et puis j’aurais un petit cadeau à vous faire ! Alors, vous viendrez ? Hein ?
Elle aurait pu m’inviter avec mon mari, pensa-t-elle ; et puis balaie ça en se disant que ce serait peut-être juste entre femmes.
Le jeudi arrive vite. Odette met une robe noire sage, se perche sur des escarpins noirs aussi, et se rend à l’adresse.
Le portail s’ouvre automatiquement, et elle se gare dans la cour.
Sur le pas de la porte d’entrée, Marilyne s’efface pour la faire entrer.
Ah non, doit-elle constater, ce n’est pas entre femmes ! Car s’il y a là le mari, il y a aussi le restaurateur.
- Vous connaissez Etienne maintenant ? Je tenais à l’avoir aussi ce soir pour qu’il me donne son avis et qu’il retouche si nécessaire.
Le chef tend son gros battoir et emprisonne à nouveau la menotte aux ongles carminés.
Comment des mains pareilles peuvent-elles confectionner des choses aussi raffinées ? Se demande Odette.
L’ apéritif la grise un peu. Et si le plat est très goûteux, il est bien arrosé et peaufine son état d’ébriété.
Ce qui fait qu’au café, elle rit fort.
L’épouse du peintre en profite : - Venez voir mon petit cadeau Odette !
Elle l’emmène jusqu’à sa chambre, ouvre une boîte rectangulaire, et lui tend une longue étoffe : - Essayez ça, et si elle vous va et qu’elle vous plaît , elle est à vous !
Odette met la main sur la fermeture du côté de sa robe mais s’arrête, jetant un regard à son hôtesse.
- Allez-y Odette on est entre femmes !
Et elle l’aide à l’ôter, avant de la récupérer pour la poser sur le lit.
La peintre passe la pièce de vêtement rouge sur elle, qui a la douceur infinie du satin, eh oh merveille, c’est comme si elle avait été taillée sur son corps.
Si Odette est admirative de la robe, Marilyne l’est de la plastique de la jeune femme - Pas de soutif ! Ca gâcherait tout ! Fait cette dernière en le dégrafant.
Odette laisse faire ; son éventuel refus est parti avec sa griserie.
Marilyne la prend par le poignet en disant : - L’avis des hommes va nous être précieux ! Pour ma part, l’affaire est entendue !
Et elle la tire doucement mais fermement jusque dans le salon, où ces messieurs se sont installés dans la lumière avec un digestif à la main.
- Alors, lui va-t-elle ou ne lui va-t-elle pas ?
C’est plus un déshabillé qu’une robe, et les hommes la détaillent du cou jusqu’aux pieds. Elle est faite d’un cordon qui passe derrière la nuque, et qui du dessus des seins, part en triangle étroit jusqu’à la taille, pour former une espèce de ceinture ; d’où partent deux pans dissociés, qui descendent jusqu’aux chaussures, un derrière, et un devant qui couvre celui de derrière de deux centimètres au plus.
Ce qui fait que du buste d’Odette, on voit le dos complètement nu, les épaules et les bras nus, les flancs nus, et un peu de la rondeur de la poitrine de chaque côté des triangles.
Et pour couronner la vision de paradis, Marilyne la fait tourner sur elle-même, juste pour que les pans s’écartent et que l’on voie les cuisses jusqu’aux hanches, et le bout de string qui ne couvre pas entièrement la motte velue.
- Tu as eu raison, chérie ! S’extasie Jean-Jacques d’un petit mouvement de tête. C’est d’une redoutable beauté ! Pas vrai Etienne ?
Celui-ci n’est pas loin de l’apoplexie et abonde dans ce sens : - Chère Odette, vous êtes sublime ! Votre mari est un chanceux !
- Est-ce qu’il ne faudrait pas l’étrenner ? Demande Marilyne. Et sans attendre d’approbation, elle continue : - Moi je dis que oui ! Chéri, mets-nous de la musique lente !
Quand c’est fait, elle baisse l’intensité de la lumière au variateur, et se love dans les bras de son mari en lançant : - Etienne, faites-moi danser cette jolie dame !
Le slow commence, et le peintre en a mis un très très long pour la circonstance.
Odette pose ses mains aériennes sur les épaules du restaurateur, et lui ses larges battoirs à sa taille. Et le tangage commence.
Protégé par la semi-pénombre, il donne des yeux partout où la peau est découverte. Et puis au fil des secondes, ses pouces sont au-dessus de la taille sur les flancs, et ses auriculaires sous la taille sur les hanches.
La peau est lisse et tiède, et il se contente pour le moment de la toucher, d’en éprouver le grain ; ce qui ne manque pas de le faire bander.
Il reste le bassin en retrait, pour ne pas effaroucher sa cavalière avec son engin libre de boxer, et pousse plus loin l’investigation. Ses paumes sont descendues sur les hanches pour s’accaparer plus d’épiderme, et caressent.
Odette lui prend les mains pour les remonter ; puis replace les siennes.
Etienne réitère bientôt son manège, mais les doigts vont plus loin vers les fesses.
Elle veut chercher de l’aide en se tournant vers ses hôtes, mais ils ont disparu.
- Où sont Marilyne et Jean-Jacques ? S’inquiète-t-elle.
- Je crois pouvoir dire sans me tromper que vous avez fait beaucoup d’effet à Jean-Jacques, et qu’ils ont dû aller baiser en pensant à vous !
Elle ne relève pas le fait que tous les deux puissent penser à elle pour s‘envoyer en l’air, et dit : - Quand même, nous planter sans rien dire !
Le restaurateur se dit : petite, moi je vais te planter, mais en te disant plein de choses !
Elle remet à nouveau les mains d’Etienne dans une position décente, mais l’animal fait plus qu’insister. Il lui prend les poignets et les met derrière son cou de taureau. Et habilement, à mouvements tournants, il l’attire vers le dos du canapé. Et cette fois-ci, il pousse ses grosses mains qui s’emparent des fesses d’Odette, pendant qu’il vient imbriquer son nœud en plein sur la chatte.
La petite lutte l’a légèrement émoustillée, et elle s’émeut du diamètre qui s’invite dans le sillon de sa minette : c’est pas possible d’en avoir une aussi grosse ?!
Alors qu’il mime la possession en agitant son bassin, ses mains peloteuses quittent le postérieur pour caresser les flancs, avant de se faufiler sous les triangles de la poitrine pour empaumer les tétons douillets. Il les triture avec méthode pour les modeler comme de la pâte, et prend les pointes tendues entre le pouce et l’index pour les étirer. Quand ils ont pris de l’ampleur, il écarte les triangles vers l’extérieur pour dégager la chair nue.
Il reprend le cul d’une main, la moule d’une autre, et se jette sur les aréoles pour les sucer à grand bruit excitant.
- Ohhh ! Gémit la jeune femme quand il les mordille avec précaution.
Dans la pénombre, une voix féminine presque inaudible mais toujours aussi mordante, souffle à une oreille attentive : - Elle est vraiment bonne à la nique cette petite chienne !
Odette est contre le dossier du sofa ; elle ne peut pas échapper à la tétée goulue, bruyante à souhait.
Après un petit moment de ce traitement, Etienne relève le buste. Il prend d’une main la nuque, pour être lèvres à lèvres, et de l’autre le mont de vénus enfiévré qui ruisselle.
Yeux dans les yeux, il poursuit à voix haute, pour que ses amis entendent, sa tentative de séduction totale, en mêlant vouvoiement de respect et mots irrespectueux : - Vous avez un corps magnifique, Odette ! Et une peau douce comme la soie ! On ne peut pas faire autrement qu’avoir envie de vous tringler ! Vous aimez comme je vous astique le clito ? Ca vous fait du bien ? Dîtes que vous en voulez encore ! Allez, dîtes-le !
Toujours pareil pour la peintre : les mots crus, les sensations du plaisir qu’on lui donne alors qu’elle balance entre accepter et refuser, tout concourt à ce qu’elle ne soit qu’une proie sexuelle.
- Oui, j’en veux encore ! Souffle-t-elle.
Devant son petit minois pitoyable, le restaurateur pique plus profond, toujours parlant fort : - Qu’est -ce que vous voulez ? De la branlette ? Du doigtage de pastille ? Vous avez envie de vous faire enfiler ?
- Tooouuuuut ! Lâche-t-elle dans un long râle de jouissance, en fléchissant légèrement sur des jambes qui la supportent à peine.
- Voilà Odette ! Laissez vos sens vous submerger ! Il n’y a pas de mal à vouloir se faire grimper !
Puis il attire le visage de la jeune femme pour chercher sa bouche. Il pense : allez, donne ta langue ! Ca voudra définitivement dire que tu te livres, et je te possèderai par tous tes trous !
Elle tente la dérobade, s’apercevant en même temps que c’est juste pour défier son suborneur.
La main sur la foufoune introduit maintenant les trois doigts du milieu, pendant que le pouce frotte l’ergot et que l’auriculaire s’enlise dans le tunnel culier.
C’est là qu’il part de nouveau à l’assaut de la langue, qui finit par accepter la joute. Quand les muqueuses s’enroulent, les doigts s’activent plus vite.
- Mmmhh ! Fait la gorge d’Odette.
Dans un coin noir, quatre yeux suivent les débats avec assiduité. Et deux bouches chuchotent.
Le ton de Marilyne est nerveux tellement le spectacle la met dans tous ses états : - Je veux le voir la monter, cette pouliche ! Je veux voir son gros chybre dans le berlingot de cette vicieuse ! Je veux qu’il l’épingle par derrière en lui ouvrant bien la rondelle ! Ah vous vous êtes bien amusés à l’atelier mes salauds !
Jean-Jacques et elle ne se cachent rien - T’inquiète ! Bien empalée sur Etienne, tu vas l’entendre beugler !
- Ooohh ! Entendent-ils juste aussitôt.
Odette vient de juter une deuxième fois.
- Tiens ! La voilà encore partie ! Constate Jean-Jacques à voix basse.
Le restaurateur continue à lui limer le con, alors que le médius de derrière masse maintenant entre les deux rondeurs jumelles. Quand il s’y enfonce d’une phalange, le cri est plus fort sous le troisième orgasme.
Etienne la fixe, le temps d’apprécier les grands yeux pitoyables qui semblent dire «  Oh non ! J’ai encore pris mon pied ! », et vient lui dire à l’oreille d’un ton suffisamment élevé pour leurs spectateurs : - Laissez-moi vous lécher la craquette ! J’aime beaucoup quand vous giclez votre mouille ! Après vous me pomperez, et je vous matraquerai à mort ! Vous en voulez, hein, de la grosse queue, Odette ?
La jeune femme veut cesser ce flot de paroles qui l’enivrent et souffle un timide « « ouich » - Allez hein Odette, vous aimez ça prendre du gros boutoir ? Vous en avez envie que je vous emmanche ? Hein, vous en voulez de la baise ?
Odette cède : - Oooh oui j’en veux !
Marilyne a du mal à croire que cette femme soit aussi malléable. Elle murmure à son mari, qui est en train de la tripoter : - Il faut qu’on lui trouve d’autres étalons !
Sous les yeux des deux voyeurs, Etienne disparaît sous le pan de devant de la robe. Une culotte tombe en bas des jambes d’Odette.
Alors, des formes se meuvent sous le tissu, devant et derrière.
Devant, c’est un mouvement de haut en bas ; certainement celui de lèvres qui suivent l’entaille pendant que la langue gifle le clito.
Derrière, celui de paluches qui pétrissent les collines épanouies, les écartent, avant qu’un doigt ne s’enfile dans le trou du cul humide.
La bouche mange les grandes lèvres, suivie par la langue qui lape en passant à répétition sur le pistil. Odette geint.
Accélération de la sucette, doigt enfourné tout entier dans la lune ; s’ensuivent un autre violent spasme et un coulis de miel.
Etienne n’en a ni assez de ses cris, ni assez de l’exhiber devant ses hôtes en train de se faire troncher.
Et comme Odette lui a posé la main derrière le crâne, Etienne en déduit qu’elle veut encore se faire brouter. Alors il l’entraîne sur un fauteuil où il la positionne comme un pantin : elle a le dos sur le dossier du fauteuil, et les cuisses complètement écartées sur les accoudoirs. Les mollets et les pieds habillés de leurs escarpins pendent de chaque côté. Et il dégage le tissu rouge autour des nichons pointus et de la figue poilue pour leur faire un écrin.
Puis il se relève, se débarrasse de son pantalon, et l’arme de destruction, massive, jaillit à l’air libre.
Etienne reste immobile le temps qu’elle jauge le membre déployé.
Odette regarde la matraque, hypnotisée. Qu’est-ce qu’elle a envie de se la goinfrer !
Alors le restaurateur se jette à genoux dans son compas béant, passe ses bras sous les cuisses pour que ses mains empaument les rondeurs du buste, et colle sa bouche à la minouche odorante.
Le ballet de la langue commence, vif, appliqué, amenant la jeune femme à gémir fort : - Anhhh !… Anhhh !… Anhhh !… Fait-elle au fur et à mesure que la muqueuse gifle, pénètre profond.
Puis : - Ohhh ouiiiiii! Dans un nouveau geyser de cyprine.
C’est si bon de la voir gigoter par vagues de grande amplitude, en levant le ventre et abaissant les jambes, mouvant le baba à l’envers de la langue pour se faire lustrer le bouton.
Les deux voyeurs entretiennent leur plaisir, sans jouir ; pour ne pas trahir leur présence, et laisser Etienne continuer à en jouer comme d’une poupée. Mais c’est d’une telle lubricité qu’ils sont obligés de laisser aller de leur tension dans des commentaires à mots paillards, presque bouche à oreille : - Regarde comme elle se tortille, cette garce ! C’est une putain de baiseuse ! Grogne Marilyne.
- On ne va avoir aucun mal à en faire une femme à partouzes ! Regarde comme elle aime ça ! Continue son homme.
- On devrait aussi la gouiner, chéri ! Ce serait bien de la livrer toute chaude à des expertes !
- Tu veux dire comme la femme de Jean-Jacques ? Sourit-il.
- C’est ça ! Elle m’a sacrément bien déniaisée, celle-là, avec ses mains de kiné !
De son côté, Etienne commence à peaufiner son approche de ce qu’il appelle l’apothéose : l’ultime outrage, celui qui va la faire hurler de plaisir.
Il laisse retomber Odette dans le fauteuil, mais jambes dans la même position délicieusement indécente. Puis il vient debout sur le côté et présente sa massue à la bouche de la peintre. Il ne fait plus rien, attendant de savoir si elle va prendre une initiative.
Elle lui jette un regard, et la tentation est trop forte pour résister. Elle saisit le bas de la hampe, pour s’apercevoir que ses doigts n’en font pas le tour. Puis à la surprise générale, elle se met à jouer : elle prend les bourses dans ses menottes, suit tout le long du bâton avec ses lèvres, lui fait des bisous, le lèche de la langue ; et hop, elle se précipite de la bouche pour gober le gros champignon. Il passe tout juste.
Elle branle à deux mains, aspire bruyamment, puis lèche à nouveau des burnes au gland, en prenant tout son temps pour se régaler.
Le restaurateur l’encourage : - Allez-y Odette ! Pipez-moi la trique ! Faites-la bien raide !
- Mmmhh ! Fait-elle la bouche pleine.
Etienne continue : - Il est pour vous ce gros joujou ! Faites-le bander, vous allez finir embrochée dessus !
La pine à la bouche, la jeune femme sent bientôt une main sur ses grandes lèvres, qui se met à lui parcourir la fente, lui masturber la fève, lui masser le trou mignon. Elle ondule, se plaint la bouche pleine.
L’approche avant le grand final continue dans l’entrecuisses offert ; il faut du lubrifiant.
C’est beaucoup plus rapidement qu’il frotte l’entaille, les doigts enduits de coulis de chatte. Il en enduit le macaron brun, qu’il investit d’un doigt, qu’il dilate largement.
Elle a lâché le vît pour donner du « oh c’est bon ».
Cette fois-ci, il lui loge deux doigts dans le calice et le pilonne à toute vitesse.
En quelques secondes, ses doigts sont inondés de gerbes de liqueur, qui se répandent jusque dans la raie des fesses. Sous le pilonnage effréné, elles se succèdent encore et encore.
Il lui bouffe la langue, lui allonge les tétons, pendant que les doigts barattent la moune embroussaillée. Et toujours la vouvoyant, il n’oublie pas de l’ agresser verbalement ; il sait maintenant l’effet produit sur elle : - C’est de la bonne branlette, ça Odette ! Régalez-vous ! Elle en veut votre minette !
Et elle, alors que les doigts clapotent à grande vitesse, ne peut que chevroter : - Oh oh ah mmmhhh ouiiii ooouuhhh oooh !
Quand il arrête quelques secondes après un spasme, elle enfourne le nœud pour le téter ; tout en agitant ses hanches pour en demander encore.
Alors le clapotis reprend, toujours aussi fort, jusqu’à d’autres : - Ouiiiii ooouuhhh oohhh aaahhhh !
La mouille se répand ; et Etienne en barbouille abondamment le trou du cul en le massant.
Dans le noir, on ne rate rien ; et on commente : - Elle est insatiable cette petite pute ! Elle va me tacher mon fauteuil ! Murmure Marilyne.
- Mmmhh, ça laisse augurer de longues parties fines ! On connaît suffisamment de salons pour l’emmener danser… sur des gros braquemarts ! Lui répond son mari.
Etienne plante ses yeux dans ceux de la jeune femme et l’aiguillonne : - Vous êtes une divine jouisseuse, Odette ! Maintenant je vais vous fourrer ma bite ! Vous ne pouvez plus cacher que vous la voulez ! Hein, vous la voulez ?
Les yeux d’Odette cherchent à fuir, mais Etienne l’a sous son joug : - Oh oui vous la voulez ! Quand on taille des plumes pareilles, c’est qu’on a envie de se faire niquer ! Vous en mourez d’envie que je vous nique pas vrai ?
- Vous me faites dire de ces choses ! Se défend-elle.
- Allons, allons ! Ca nous excite à mort vous et moi, mon petit trésor ! Je vois bien que ça vous fait frissonner tous ces mots crus ! Allez dites-le bien fort, ça va vous libérer ! Dîtes : niquez-moi avec votre grosse banane, Etienne !
Elle cède à nouveau, mais en fait ça lui plaît vraiment : - Niquez-moi avec votre grosse banane, Etienne !
- C’est çaaaaa ! Allez, mettez-vous à genoux dans le fauteuil ! Je vais bien vous ramoner ! Vous allez réclamer !
Odette se met comme demandé, et le restaurateur dégage encore la robe sur les côtés. Quel spectacle de débauche ! Ces collines rondes séparées par une longue raie qui descend jusqu’à la chattoune touffue, et qui abrite un œilleton presque entièrement caché, ces tétons pointus qui vont bientôt balancer sous les coups de reins appuyés : quel régal pour un baiseur libidineux comme le restaurateur ! Et par la même occasion pour les deux voyeurs de l’ombre.
Etienne pousse son bigarreau contre les chairs complètement trempées du matou. Il le oint avec les sécrétions abondantes, la prend d’un bras à la taille, empoigne son pieu, et commence la pénétration.
Malgré le doigtage intensif subi, Odette sent que le pal imposant doit se faire patient.
- Oh Etienne ! Fait la jeune femme quand le bourgeon est passé.
Le restaurateur ressort du nid douillet ; puis l’y remet, mais quelques centimètres en plus.
- Oohh Etienne ! Chante-t-elle plus fort.
Il s’immobilise, le temps qu’elle encaisse le calibre. Puis il s’extrait à nouveau ; avant de s’enfoncer lentement bien plus loin.
- Oooohhh Etieeeeenne ! Crie-t-elle de sa voix de gorge.
Les deux voyeurs se sont légèrement déplacés, et ils ont suivi la progression du phallus.
- Elle l’a jusqu’aux couilles ! Fait Marilyne à son mari.
Le restaurateur anime alors son bassin, à longues glissades, bien serré par la gaine élastique.
- Voilà Odette ! Dit Etienne. Prenez-la bien toute entière ! Vous sentez comme vous êtes bien remplie ? Elle vous fait du bien ma biroute ?
- Oh ça c’est du gourdin ! Je le sens bien ! S’enhardit-elle, tellement c’est bon.
- Je vais bien vous travailler ! Fait-il en accélérant la cadence.
Plus besoin de la tenir ; elle donne le tempo, s’embroche, gémit.
Alors il pose une main sur les rondeurs joufflues, et masse la bague brune du pouce avant de l’y enficher.
- Ooohhh ! Fait-elle dans une nouvelle coulée de nectar d’abricot.
Il fait quelques va-et-vient ; et elle vient à la rencontre du doigt.
Il saisit alors chacune des rotondités fessières pour les écarter, se rince l’œil sur le petit fripé, et lui envoie cette fois-ci les deux pouces sans difficulté tellement le tunnel est glissant.
- Je vais vous faire reluire, mon petit chou ! Laissez-vous faire !
Et c’est à grands coups de reins qu’il la besogne, en lui dilatant fermement le trou de balle.
Le ventre claque sur le cul à chaque coup de pilon.
Et il l’affole encore : - Il n’est pas question que je vous laisse partir sans vous faire la croupe Odette ! Ca va être grisant de vous écouter hurler ! Je veux vous voir rebondir sur mon gros dard ! Qu’est-ce que vous allez dérouiller !
Les grands assauts du bassin, le doigt dans l’anneau et les mots, comme des coups de griffes, conduisent encore la jeune femme à un violent orgasme.
- Allez, sodomise-la salaud ! Murmure encore Marilyne. Donne-lui son content ! Démonte-la !
- Oui, fais-la gueuler mon Etienne ! Renchérit tout bas Jean-Jacques. Explose-lui l’oignon !
Il est temps de la finir, se dit justement le chef étoilé, qui a le membre douloureux tellement l’attente a été longue.
Il s’agenouille derrière elle, ouvre grand les lombes potelés, et s’applique à parfaire le huilage en règle du trou de balle ; qu’il bouffe avec voracité, léchant autour, dessus, y enfonçant la pointe de la langue en attirant le postérieur vers lui. Il le baise comme une bouche et le barbouille d’une salive abondante.
Alors il se relève, et pointe sa queue sur la cible gluante.
Et au moment de lui introduire sa grosse prune, il fait encore jouer le vocabulaire : - Vous allez voir comme ma grosse flûte va vous enchanter ! Je vais vous bourrer le fion jusqu’aux couilles ! Je vais bien vous tarauder le médaillon !
- Oohhh ! Fait-elle d’excitation.
- Voi…làààààààààà ! Vous l’avez dedans petite cochonne !
- Aaahhhhh ! Crie-t-elle au passage du bulbe violacéQuelques secondes, et il décule. Puis le renvoie.
- Voi…lààààààààà !
- Ooohhhh Etieeeeenne ! Fait-elle encore, de plaisir.
Lui s’amuse d’abord à juste passer et repasser son gros bout une bonne dizaine de fois par l’orifice, pour entendre son enivrant « ooohhh » éructé la tête en arrière.
Et puis il veut l’entendre bramer. Alors quand le gland est à nouveau entré, il la prend aux hanches et l’empale d’une très lente poussée. Les grosses noix sont maintenant contre le coquelicot, et ça excite la jeune femme.
- Je vais vous bourrer le petit trou Odette ! Lààà ! Comme ça !
Il la bite de plus en plus fort, et a passé une main sous le ventre pour s’occuper du clitounet. Il le manipule à plusieurs doigts pendant qu’il lui laboure les reins. Elle geint ; elle va encore venir sous les : - Je vous branle et je vous encule ! Je vous branle et je vous encule ! Qui ponctuent chaque frottis de fève et chaque envahissement de goulet serré - Ooohhh ooohhh aaaaaahhhhh ! Gueule-t-elle à pleine gorge.
- Vas-y petite pute, couine ! Maugrée Marilyne, mauvaise de ne pas être en première ligne.
- Oh oui c’est bon ça ! Lui scande Etienne à l’oreille. Vous en voulez encore, hein ? Ca fait du bien de se faire bourrer la lunette ! Allez mon petit cœur, réclamez mon beau boutoir !
- Oh oui ! Oh oui Etienne ! Oh oui j’en veux de votre gros outil !
- Alors mangez-le avec votre petite bouche ! Tiens, prenez ça ! Tiens ! Tiens !
Et toujours astiquant la petite perle, il la défonce méthodiquement, à coups de nouveaux : - Je vous branle et je vous encule !… Je vous chatouille la groseille et je vous lime l’ourlet ! Là ! Là ! Làààà !
Il vient de la sentir vibrer de tout son corps, et ce que ça présageait se confirme : - Aaahh ! Aaahh ! Ouiiiiiii ! Hurle-t-elle dans de grands tremblements qui ne semblent pas vouloir s’arrêter.
Cette femme est une véritable incitation à la luxure, se dit Etienne pendant qu’elle se calme. Allez, maintenant je la crème sévère !
- Venez ! Lui intime-t-il en lui tenant la main pour la faire descendre du fauteuil.
Il l’entraîne vers le canapé, où il s’assied. Il lui fait comprendre de venir s’agenouiller de face au-dessus de sa trique, et de descendre lentement pour enfourner le bulbe dans sa petite médaille.
- Enculez-vous lentement chérie ! Faîtes durer ! Laissez-moi vous butiner les mamelons pendant que vous me baisez la bite !
Il écarte à nouveau le tissu rouge sur les côtés, pour le tableau licencieux, et la prend à la taille pour rythmer la baise.
Quand il ne suce pas, il parle : - Oui mon bébé, dansez ! Faites-moi monter la purée !
Elle, elle a les mains sur ses épaules à lui, et s’abaisse et se relève sur le mat veineux.
De derrière eux, leurs hôtes se gavent de l’apparition et la disparition du gros joujou dans le conduit anal.
Mais maintenant, le restaurateur est au bord de la rupture, et il veut son apothéose ; dans sa position préférée.
Il manipule sa cavalière pour l’amener dos sur son torse velu, lui fait écarter les cuisses et poser les pieds de chaque côté de ses genoux, et la prend à la taille pour l’empaler sur son organe.
- Ooooohhh ! Gémit-elle longuement.
Il prend ses seins de velours pour les peloter et en faire ériger les pointes. Et puis enfin, il saisit sa taille pour l’aider aux mouvements ascendants et descendants.
- Enculez-vous encore ma poupée ! Et si vous êtes bien diserte, je vous démonterai l’anneau !
Et Il continue à la haranguer, pour qu’elle se laisse aller, lui suggérant même les réponses dans ses questions : - Il vous fait du bien mon gros nœud Odette ? Vous aimez qu’il vous possède à fond ? Vous en voulez encore ?
- Oh oui j’en veux encore ! Eperonnez-moi bien jusqu’aux boules ! Faites-moi encore gicler Etienne !
Le restaurateur est galvanisé ; il se met à la pilonner rudement. Il va éjaculer.
- Je vais vous foutre copieusement mon bijou ! Je vais vous envoyer la sauce blanche !
Il s’essouffle ; ahane ; la poix monte ; et les mots jaillissent, sans filtre : - Je vais crémer votre cul de salope ! Lààààà !
Le bouillon chaud se répand par longues saccades dans le boyau accueillant, et le trop plein déborde, faisant encore jouir Odette.
Marilyne et Jean-Jacques les laissent récupérer un long moment, puis se montrent en applaudissant.
Odette est sidérée !
- Vous nous avez regardés ? S’inquiète-t-elle.
- Oh que oui on t’a regardée te faire culbuter ! Convient leur hôte.
- Et on vous a écoutés, aussi ! Ajoute Marilyne. Je crois bien que je n’ai jamais vu une baiseuse comme vous ! Vous gardez la robe, parce que vous l’avez bien méritée !
Odette est honteuse de ce qu’elle vient de faire et dire devant témoins, et elle lance timidement : - Vous êtes des gros cochons !
Ce à quoi Marilyne répond : - Oh mais dîtes donc, bienvenue au club ma chère ! Et la douche est là ! Finit-elle en montrant une porte du couloir.

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