MAÎTRESSE
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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MAÎTRESSE
Je fus surpris de ne trouver dans cette école en ce lundi de très bonne heure, Sylvie et non pas Marguerite.
- Tu es seule ? L’ai-je interrogé.
- Oui, Marguerite m’a prévenu ce matin, comme quoi elle ne pouvait venir travailler. Étant souffrante.
- Tu vas pouvoir à toi seule faire tout le ménage ?
- Oui, je peux y arriver. Heureusement que samedi nous avions bien bossé, avec Marguerite.
- Je peux te faire venir une aide si tu veux ?
- Je ne dis pas non. Mais fais la venir pour mercredi.
- Tu ne veux pas plus tôt l’avoir pour demain ?
- Non ! Je préfère l’avoir pour mercredi.
- Comme tu veux. Mais dit moi, tu n’oublis rien là ?
- Non ! Je ne vois pas.
- Cherche ! Tu vas trouver.
Après réflexion elle a lâché.
- Non ! Je ne vois vraiment pas.
- Tu ne me proposes pas ce matin de me faire une pipe.
Elle s’est tout de suite mise à rire.
- C’est que… est-elle arrivée à lâcher avant que je la coupe.
- C’est l’absence de Marguerite qui te rend plus réserver ?
- Pas du tout. C’est que jusqu’à maintenant tu as toujours recalé toute mes invites.
- Peut-être ! Mais c’était par ce Marguerite était là.
- Et là, qu’elle n’est pas là, tu as envie que je te le dise. C’est ça ? Alors je vais te le dire si cela est ton souhait : voilà ! Bon Alain tu veux que je te fasse une pipe ? Me fit-elle, sourire aux lèvres.
- Tu ne peux pas la faire plus sexy, ta demande ?
- Si tu insistes. Alain, t’aimerais pas que je te fasse une petite gâterie ? Que je te branle avec ma bouche. Aller Alain ! J ’y tiens énormément.
- C’est bien parce que tu insistes ! Ai-je dis en me défaisant.
- Salaud ! M’a-t-elle envoyé.
Sylvie a saisit mon sexe bandé. S’est mise à en flatter les bourses. Puis elle a commencé à me masser, de bas en haut, et de haut en bas, d‘un geste lent. Elle a penché sa tête pour me renifler. Elle a froncé le nez, pour ensuite me regarder. L’air quelque peu malicieux. Je lui ai souris. Mes sens se sont éveillés, assez pour que mon sexe commence à durcir. Sylvie s’est agenouillée et elle a placé son visage à hauteur de mon ventre.
Elle a englobé ma verge, avec la bouche, et a commencé la fellation. Ses lèvres allaient et venaient, alors que sa main plus bas, accompagnait le mouvement, en parfaite synchronisation. Debout, j’ai contemplé la scène, muet, fasciné. Le silence n’était rompu que par le bruit de succion que faisait parfois la bouche de ma fellatrice. Les joues creusées par le traitement qu’elle m’administrait. Elle paraissait se délecter, et roucoulait de temps à autre, très doucement.
Je n’ai pas pus résister très longtemps sous un tel traitement. J’ai éjaculé brusquement, en épaisses giclées, tapissant son palais. Sous la force des jets elle a poussé un cri de surprise, avant de fermer la bouche pour me boire.
Avant de partir, émerveillée, elle m’a fait part de son choix de rester la semaine seule.
- En ne sait jamais. A-t-elle lâché. Si l’envie te venait, de me refaire une petite visite.
Et c’est comme ça que durant toute la semaine j’ai profité des faveurs sexuelles de Sylvie Quelques jours plus tard, je fus invité de passer voir la directrice. J’ai bien sûr, sur le moment, pas fait le parallèle avec ce qui s’était passé avec Sylvie. Et pourtant j’aurai dû ! Cela m’aurait évité bien des déconvenues.
La directrice était une femme proche de la quarantaine, du style imposante. Je ne pouvais pas dire qu’elle soit jolie, mais il se dégageait de toute sa personne, une sensualité animale.
Sitôt la porte de l’établissement franchi, elle s’est chargée personnellement de moi. D’ailleurs nous étions seuls. Me demandant aimablement de la suivre jusqu’à son bureau, où nous serions, sois disant plus tranquille pour discuter.
Après avoir fermer la porte, elle s’est retournée et sans un mot, elle m’a examiné de la tête aux pieds, insistant sans vergogne sur le centre de ma personne.
- Vous savez pourquoi vous êtes là. Me dit-elle dans un grand sourire.
- Non ! Pas du tout. Mais je pense que je ne vais pas tarder à le savoir.
Tout en me regardant dans les yeux, elle s’est déplacée jusqu’à arrivé à la hauteur de son bureau, où elle a s’est empressé d’ouvrir le plus grand tiroir. Elle en a sorti un cahier. Après l’avoir feuilleté elle s’est arrêtée à une page bien définie, et elle s’est mise à lire. « Lundi : Alain a assisté pour que je lui taille une pipe. Comme cela faisait un bout de temps que j’en avais envie de le lui faire je me suis exécuté ». « Mardi : Alain est revenu une autre pipe au programme ». « Mercredi après la pipe et comme il n’était pas pressé il a prit le temps de me sucer, longuement, et divinement. À un tel point que j’ai joui successivement trois fois, oui trois fois. Tant sa caresse buccale était fabuleuse. Et comme il en avait une énorme envie il m’a prise sur la table de la cuisine. À grand coups de riens. Cela a duré, avant qu’elle lâche son venin. Ça était, un bon moment pour moi ». « Jeudi : de nouveau pipe ». « Vendredi : je lui ai demandé qu’il me suce. Ce qu’il a fait sans résigner. J’ai joui de nouveau trois fois. J’ai voulu lui tailler une pipe mais il n’a pas voulu. Il n’avait pas le temps ».
- Elle n’est pas futée ta copine d’avoir laissé ce cahier traînée à la vue de tout le monde.
Le tutoiement soudain, mais surtout le regard appuyé qu’elle a porté de nouveau sur le centre de ma personne, m’a donné assez d’aplomb pour la suite de l’entretien. De son côté, elle a contourné le bureau, se laissant tomber dans son fauteuil.
- Là ! Fit-elle, posant de nouveau, les yeux sur le cahier. En bas, quatre ou cinq lignes ont été soigneusement raturées. Je n’ai pas réussis à les déchiffrer malgré mes efforts. Sans doute une confidence trop audacieuse.
Elle m’a regardé un moment en silence, avant d’ajouter : - Je vais dans un premier temps demander une sanction exemplaire sur la personne de Sylvie.
- Pourquoi faite-vous cela ? Si il y a une personne à sanctionné c’est bien moi.
- Mais ne t’inquiète pas, ton tour viendra.
- Je m’en fou, faite-moi ce que vous voulez mais de faites rien à Sylvie.
- Pourquoi ? Tu es tombé amoureux d’elle ?
- Pas du tout ! Où allez-vous chercher cela.
- Alors pourquoi ?
- Juste parce qu’elle a une famille à nourrir, voilà tout. Et elle a besoin de ce travail, elle est toute seule à travailler.
- À ma place qu‘est-ce que tu ferais ?
- Je punirais le responsable de tout ça. C’est-à-dire moi.
- Te punir ! En voilà une drôle d’idée ! Et te punir comment ?
- Il me vient de temps à autre le souvenir de comment ma maîtresse du CE2, me punissait.
- Et il est indiscret de le savoir ?
- Pas du tout. Je serais heureux de le partager avec vous. C’est tout simple. Pour ne pas dissiper la classe, elle me faisait me mettre sous son bureau.
- Ah oui ! Je ne connaissais pas cette méthode. Comme quoi on n’en apprend tous les jours.
- Vous voulez que je vous montre ?
- Pourquoi pas ! Je serais curieuse de voir un grand gaillard comme toi entrait dans cet espace si réduit.
Je me suis avancé jusqu’à elle et grâce aux roulettes, j’ai pu la déplacer, pour pouvoir me faufiler sous le bureau sous son regard médusé. À cet instant, une seule question me tarauder l’esprit, portait-elle un collant ou des bas ?
- Voilà-là une bien étrange façon de punir un gamin. Je n‘en vois pas le sens.
Quoi qu’il en soit, tout cela m’excita. Je le sentais à la façon dont mon cœur battait dans ma poitrine. Mais aussi à un certain alanguissement de tout mon corps, à la fermeté de ma verge au fond de mon slip. Comme je sentais qu’elle aussi de son côté était troublée. Je dirai même plus que ça, elle était sexuellement remuée.
Tout en m’exposant sa thèse sur cette drôle façon de punir, et dans un geste naturel elle a croisé ses jambes. Sachant qu’avec cette position, sa jupe allait se retrousser. Qu’elle allait alors m’offrir, une vue plus quintéressante sur les genoux et sur l’entame des cuisses gainées de nylon gris fumée.
Cette situation fit que j’étais de plus en plus à mon aise. Je savais à cet instant, ou du moins, je le devinais, pour quelle raison elle m’avait convoqué à cette heure si tardive. Par simple courtoisie et pour ne pas passer pour un obsédé, j’ai décollé mon regard de ses jambes pour la regarder droit dans les yeux.
- Mais revenant veux-tu, à notre problème du jour. Je pense quand même que je vais être obliger de déplacer Sylvie d’école.
- Mais pour quoi donc ?
- Parce que je suis la directrice et qu’en doit du respect une fois qu’en se trouve entre les murs de mon établissement. Et avec toujours autant de naturel, elle a décroisé les jambes.
Cela m’a permis de constater qu’elle portait bien des bas. Cette vue a déclenché une nouvelle montée d’adrénaline. Qui, instantanément, a provoqué une distension à mon sexe. Très visible pour quelqu’un s’y attarde dessus.
Alors a commencé une discussion absurde où chacun se moquait éperdument de ce que l’autre racontait. J’avais un mal fou pourtant, à pouvoir détacher mon regard de ce gouffre sombre. D’autant plus que la malhonnête, n’arrêtait pas de gesticuler, d’écarter, de fermer tour à tour ses jambes, et de les ouvrir l’instant d’après, me mettant au supplice. Très virtuose, elle me laissait apercevoir chaque fois, un peu plus d’elle. Sans pour autant que j’en ai le temps d’être sûr de ce j’avais vu.
La coquine de son côté ne se gêner pas de porter ses yeux, à intervalles de plus en plus rapprochés, sur la bosse que faisait mon érection sous la toile de mon pantalon. Provocatrice à souhait, elle attendait que je m’aperçoive de son manège pour détourner chastement les yeux dans un petit sourire entendu. Intuitivement, je sentais au plus profond de moi, qu’il fallait que je la laisse mener le jeu. Pour savoir jusqu’à où elle pouvait aller.
- Elle te punissait toujours de la sorte ? Me demanda-t-elle d’un air ironique.
Comprenant où elle voulait en venir. J’ai décidé tout de même de la provoquer.
- Pour moi oui.
- Ah bon ! Les autres n’avaient pas droit au même traitement que toi ? Tiens je suis sûr que ta maîtresse de l’époque était toujours en robe ?
- Toujours ! Par une seule fois je l’ai vu porter en pantalon. Et cela pour mon plus grand plaisir.
- Comment ça ? Tu avais quel âge à l’époque ?
- Il n’a pas d’âge pour prendre plaisir à regarder de belles gambettes. Et déjà à cette époque j’étais plus délurer qu’à la moyenne.
- Non ! Tu vas me dire que tu prenais déjà, plaisir à regarder sous sa jupe des femmes ?
- Et comment que j’aimais ça ! Il m’arrivait même quand elle se déplaçait dans la classe toujours pieds nus, de profiter de son absence pour renifler ses escarpins.
- Tu es vraiment du genre spécial, toi ! S’enflamma-t-elle, écartant, encore un peu plus les jambes.
J’en avais le souffle coupé. Non seulement, elle était adepte des bas mais de plus, elle semblait ignorer ce que c’était de porter une culotte. Là, je n’ai pas pris la peine de détourner mon regard, tout au contraire j’ai fais tout pour qu’elle s’en aperçoive. D’ailleurs elle n’a pas cherché mon regard, s’intéressant quant à elle au spasme qui faisait vivre mon érection sous l’étoffe de mon pantalon. Et là, elle n’a pas résisté de me faire part de sa découverte : - Je te fais de l’effet à ce que je vois ! Et moi ? A-t-elle ajouté en ouvrant largement ses cuisses.
Aussi largement que lui permettait sa jupe. Qui du même coup est remontée très, très haut sur ses cuisses. Je suis tombé comme en admiration devant la belle toison brune, très fournie, un vrai beau buisson de poils. D‘où émergeaient deux grandes lèvres lippues. Qui a en jugé l’humidité facilement identifiables, trahissait dans l’état d‘excitation où elle se trouvait. Sûr de moi, j’ai avancé la main pour toucher. Mais elle a refermé brutalement les jambes.
- Pas touche ! M’a-t-elle lâché.
- Mais alors tu es une allumeuse ?
- Je ne suis rien du tout. C’est toi qui à voulu te placer sous le bureau.
- Mais tu as accepté.
- Je l’admets, oui, mais c’était juste par curiosité. Mets dis moi de toi à moi, tu l’as touché ta maîtresse ?
- Quelle question ! Bien sûr que non !
- Ne me dis pas que cela ne t’a pas effleuré l’esprit à l’époque.
- Oui… mais je n‘ai pas osez !
- Elle aurait peut-être aimé, elle, que tu l‘as touche. Et c’est pour cela qu’elle insistait à te plaçait là.
- Va savoir !
- C’est tout vue ! On ne place un gamin sous le bureau, en portant une jupe sans avoir d’arrière pensée.
- Tu penses réellement à ce que tu dis ?
- Et comment j‘y pense, j‘en suis même certaine.
- Tu sais de quoi tu parles, toi !
- Comment ça ? Je ne te comprend pas.
- Oh que si tu me comprends. Tiens explique moi pourquoi tu n’arrêtes pas de m’exhiber ta chatte devant mes yeux. Aller dis-moi ?
Elle a rosit et a changé de conversation.
- Mon mari me laisse souvent seule. Je m’ennuie beaucoup. Me fit-elle en soupirant.
- Dans ma vie, se désola-t-elle, il n’y a pas beaucoup de distraction… pour une femme qui s’ennuie, comme moi.
- Il y en a qui prennent des amants ! Ai-je lâché, bien malgré moi, par pur réflexe Elle en a tressauté puis s’est fendu d’un petit rire minaudant, avant de laissé tomber : - Des amants ! Comme tu y va là, Alain ! Tu permets que je t’appelle Alain ?
- Je t‘en prie, Émilie.
- Mon mari est très vieux jeu. Si tu vois ce que je veux dire.
- Pas du tout !
- Si il apprenait que j’ai un amant ce serait le divorce sur le champ. Et finit pour moi le confort… Sans trop prêter l’oreille à ce qu’elle me disait, j’ai retiré son escarpin droit. Son odeur m'a atteint avant même que mes lèvres ne touche le pied gainé. Une senteur suave s‘en dégagea. Je me mis à l’embrasser, le lécher, bavant presque dessus, savourant chaque seconde passer avec lui. Ma caresse a enfanté chez elle, le silence. Et pas un moment elle a essayé de me fuir. Encouragé par son inaction, j’ai poursuis sur mon élan, embrassant tour à tour sa cheville et son mollet. Avant de remonter le long de sa jambe, jusqu‘à pouvoir titiller le derrière du genou. Suite à cela, j’ai lentement poursuivi mon chemin jusqu’à arrivé le long de sa cuisse gainée et même au-delà du bas.
- Alain, je… je ne sais pourquoi ! Je n’ai pas la force de te repousser !
- Alors laisse-toi faire. Je te promets que tu vas aimer !
- Je demande que ça. Me fit-elle en me prenant par les oreilles pour mieux me plaquer ma bouche contre son sexe, collant dans le même mouvement, mon nez dans la broussaille rêche et enivrante de son pubis.
J’ai pris les lèvres pendantes et molles dans ma bouche. Je les ai sucés, comme je l’aurai fait avec un bonbon. Elle sentait fort, la coquine. Une odeur de mouille, de pipi, de sueur. J’ai fait œuvrer ma langue, en l‘introduisant dans son vagin. J’ai taquiné le tunnel jusqu’à en avoir la mâchoire douloureuse. Puis j’ai butiné le petit bouton qui pointait son nez hors de sa cachette. Pour ensuite lapé avec avidité, le flot de mouille qui coulait de la moule d’Émilie.
Elle était en proie à une tension presque délirante, sous l'emprise de l’orgasme, elle m’a plaqué à m’étouffer, de nouveau contre elle à l’aide de ses mains. Resserrant fermement ses cuisses de part et d'autre de mon visage. L'emprisonnant, comme pour mieux le chevaucher comme une folle. J’ai pris en bouche ce qu’elle avait de plus sensible, et je me mis à le titiller. Elle a atteint ce pour quoi elle m’avait fait venir. Extériorisant bien fort son bien être.
Une fois l’emprise relâchée, j’ai pu reprendre mon souffle. Avec le goût de sa chatte dans la bouche. Les lèvres, le menton, voir le nez souillé de sa bonne mouille.
Elle m’a fixé avec un petit sourire énigmatique. Avec un délicieux regard d’invite, elle a quitté sa confortable place pour pivoter sur elle-même pour me tendre son dos. Lentement, elle a plaqué son buste sur le plateau de son bureau. Fesses offertes, bien écartées. Je n’ai pu résister à l’offrande qu‘il m‘était offert. Je me suis agenouillé devant son cul. Dans la raie humide, l’œil coquin de l’anus m’a semblé frétiller des cils. Dont son centre était entrouvert tant l’excitation de la belle cochonne était forte. Le fumet qui s’en exhalait a décuplé mon désir de mâle en rut.
Et que dire, quand elle m’a offerte une dance avec son cul. Un roulis lascif sous mes yeux. Je n’ai pas pu contrarier mon envie d’y coller ma bouche dans la vallée culière. J‘ai dardé ma langue, pour la poser sur le bord du conduit anal, au goût amer. Émilie, affalée sur le bureau, a grogné comme une truie. Sa muqueuse sensible s’est ouverte pour laisser passage à ma langue frétillante. Elle s’est abandonnée, me chuchotant vicieusement un : - Toi mon cochon tu sais mettre ta langue où ça fait du bien… je pense que j’ai trouvé en toi l’amant idéal… Par la suite Émilie a été une de mes plus merveilleuses amantes. Mais ce sera, (peut-être) une suite.
Mais sachez-bien que d’avoir écrit cette partie, m’a fait bander. Et il va falloir que je vous abandonne pour remédier à cela ! à bientôt..
- Tu es seule ? L’ai-je interrogé.
- Oui, Marguerite m’a prévenu ce matin, comme quoi elle ne pouvait venir travailler. Étant souffrante.
- Tu vas pouvoir à toi seule faire tout le ménage ?
- Oui, je peux y arriver. Heureusement que samedi nous avions bien bossé, avec Marguerite.
- Je peux te faire venir une aide si tu veux ?
- Je ne dis pas non. Mais fais la venir pour mercredi.
- Tu ne veux pas plus tôt l’avoir pour demain ?
- Non ! Je préfère l’avoir pour mercredi.
- Comme tu veux. Mais dit moi, tu n’oublis rien là ?
- Non ! Je ne vois pas.
- Cherche ! Tu vas trouver.
Après réflexion elle a lâché.
- Non ! Je ne vois vraiment pas.
- Tu ne me proposes pas ce matin de me faire une pipe.
Elle s’est tout de suite mise à rire.
- C’est que… est-elle arrivée à lâcher avant que je la coupe.
- C’est l’absence de Marguerite qui te rend plus réserver ?
- Pas du tout. C’est que jusqu’à maintenant tu as toujours recalé toute mes invites.
- Peut-être ! Mais c’était par ce Marguerite était là.
- Et là, qu’elle n’est pas là, tu as envie que je te le dise. C’est ça ? Alors je vais te le dire si cela est ton souhait : voilà ! Bon Alain tu veux que je te fasse une pipe ? Me fit-elle, sourire aux lèvres.
- Tu ne peux pas la faire plus sexy, ta demande ?
- Si tu insistes. Alain, t’aimerais pas que je te fasse une petite gâterie ? Que je te branle avec ma bouche. Aller Alain ! J ’y tiens énormément.
- C’est bien parce que tu insistes ! Ai-je dis en me défaisant.
- Salaud ! M’a-t-elle envoyé.
Sylvie a saisit mon sexe bandé. S’est mise à en flatter les bourses. Puis elle a commencé à me masser, de bas en haut, et de haut en bas, d‘un geste lent. Elle a penché sa tête pour me renifler. Elle a froncé le nez, pour ensuite me regarder. L’air quelque peu malicieux. Je lui ai souris. Mes sens se sont éveillés, assez pour que mon sexe commence à durcir. Sylvie s’est agenouillée et elle a placé son visage à hauteur de mon ventre.
Elle a englobé ma verge, avec la bouche, et a commencé la fellation. Ses lèvres allaient et venaient, alors que sa main plus bas, accompagnait le mouvement, en parfaite synchronisation. Debout, j’ai contemplé la scène, muet, fasciné. Le silence n’était rompu que par le bruit de succion que faisait parfois la bouche de ma fellatrice. Les joues creusées par le traitement qu’elle m’administrait. Elle paraissait se délecter, et roucoulait de temps à autre, très doucement.
Je n’ai pas pus résister très longtemps sous un tel traitement. J’ai éjaculé brusquement, en épaisses giclées, tapissant son palais. Sous la force des jets elle a poussé un cri de surprise, avant de fermer la bouche pour me boire.
Avant de partir, émerveillée, elle m’a fait part de son choix de rester la semaine seule.
- En ne sait jamais. A-t-elle lâché. Si l’envie te venait, de me refaire une petite visite.
Et c’est comme ça que durant toute la semaine j’ai profité des faveurs sexuelles de Sylvie Quelques jours plus tard, je fus invité de passer voir la directrice. J’ai bien sûr, sur le moment, pas fait le parallèle avec ce qui s’était passé avec Sylvie. Et pourtant j’aurai dû ! Cela m’aurait évité bien des déconvenues.
La directrice était une femme proche de la quarantaine, du style imposante. Je ne pouvais pas dire qu’elle soit jolie, mais il se dégageait de toute sa personne, une sensualité animale.
Sitôt la porte de l’établissement franchi, elle s’est chargée personnellement de moi. D’ailleurs nous étions seuls. Me demandant aimablement de la suivre jusqu’à son bureau, où nous serions, sois disant plus tranquille pour discuter.
Après avoir fermer la porte, elle s’est retournée et sans un mot, elle m’a examiné de la tête aux pieds, insistant sans vergogne sur le centre de ma personne.
- Vous savez pourquoi vous êtes là. Me dit-elle dans un grand sourire.
- Non ! Pas du tout. Mais je pense que je ne vais pas tarder à le savoir.
Tout en me regardant dans les yeux, elle s’est déplacée jusqu’à arrivé à la hauteur de son bureau, où elle a s’est empressé d’ouvrir le plus grand tiroir. Elle en a sorti un cahier. Après l’avoir feuilleté elle s’est arrêtée à une page bien définie, et elle s’est mise à lire. « Lundi : Alain a assisté pour que je lui taille une pipe. Comme cela faisait un bout de temps que j’en avais envie de le lui faire je me suis exécuté ». « Mardi : Alain est revenu une autre pipe au programme ». « Mercredi après la pipe et comme il n’était pas pressé il a prit le temps de me sucer, longuement, et divinement. À un tel point que j’ai joui successivement trois fois, oui trois fois. Tant sa caresse buccale était fabuleuse. Et comme il en avait une énorme envie il m’a prise sur la table de la cuisine. À grand coups de riens. Cela a duré, avant qu’elle lâche son venin. Ça était, un bon moment pour moi ». « Jeudi : de nouveau pipe ». « Vendredi : je lui ai demandé qu’il me suce. Ce qu’il a fait sans résigner. J’ai joui de nouveau trois fois. J’ai voulu lui tailler une pipe mais il n’a pas voulu. Il n’avait pas le temps ».
- Elle n’est pas futée ta copine d’avoir laissé ce cahier traînée à la vue de tout le monde.
Le tutoiement soudain, mais surtout le regard appuyé qu’elle a porté de nouveau sur le centre de ma personne, m’a donné assez d’aplomb pour la suite de l’entretien. De son côté, elle a contourné le bureau, se laissant tomber dans son fauteuil.
- Là ! Fit-elle, posant de nouveau, les yeux sur le cahier. En bas, quatre ou cinq lignes ont été soigneusement raturées. Je n’ai pas réussis à les déchiffrer malgré mes efforts. Sans doute une confidence trop audacieuse.
Elle m’a regardé un moment en silence, avant d’ajouter : - Je vais dans un premier temps demander une sanction exemplaire sur la personne de Sylvie.
- Pourquoi faite-vous cela ? Si il y a une personne à sanctionné c’est bien moi.
- Mais ne t’inquiète pas, ton tour viendra.
- Je m’en fou, faite-moi ce que vous voulez mais de faites rien à Sylvie.
- Pourquoi ? Tu es tombé amoureux d’elle ?
- Pas du tout ! Où allez-vous chercher cela.
- Alors pourquoi ?
- Juste parce qu’elle a une famille à nourrir, voilà tout. Et elle a besoin de ce travail, elle est toute seule à travailler.
- À ma place qu‘est-ce que tu ferais ?
- Je punirais le responsable de tout ça. C’est-à-dire moi.
- Te punir ! En voilà une drôle d’idée ! Et te punir comment ?
- Il me vient de temps à autre le souvenir de comment ma maîtresse du CE2, me punissait.
- Et il est indiscret de le savoir ?
- Pas du tout. Je serais heureux de le partager avec vous. C’est tout simple. Pour ne pas dissiper la classe, elle me faisait me mettre sous son bureau.
- Ah oui ! Je ne connaissais pas cette méthode. Comme quoi on n’en apprend tous les jours.
- Vous voulez que je vous montre ?
- Pourquoi pas ! Je serais curieuse de voir un grand gaillard comme toi entrait dans cet espace si réduit.
Je me suis avancé jusqu’à elle et grâce aux roulettes, j’ai pu la déplacer, pour pouvoir me faufiler sous le bureau sous son regard médusé. À cet instant, une seule question me tarauder l’esprit, portait-elle un collant ou des bas ?
- Voilà-là une bien étrange façon de punir un gamin. Je n‘en vois pas le sens.
Quoi qu’il en soit, tout cela m’excita. Je le sentais à la façon dont mon cœur battait dans ma poitrine. Mais aussi à un certain alanguissement de tout mon corps, à la fermeté de ma verge au fond de mon slip. Comme je sentais qu’elle aussi de son côté était troublée. Je dirai même plus que ça, elle était sexuellement remuée.
Tout en m’exposant sa thèse sur cette drôle façon de punir, et dans un geste naturel elle a croisé ses jambes. Sachant qu’avec cette position, sa jupe allait se retrousser. Qu’elle allait alors m’offrir, une vue plus quintéressante sur les genoux et sur l’entame des cuisses gainées de nylon gris fumée.
Cette situation fit que j’étais de plus en plus à mon aise. Je savais à cet instant, ou du moins, je le devinais, pour quelle raison elle m’avait convoqué à cette heure si tardive. Par simple courtoisie et pour ne pas passer pour un obsédé, j’ai décollé mon regard de ses jambes pour la regarder droit dans les yeux.
- Mais revenant veux-tu, à notre problème du jour. Je pense quand même que je vais être obliger de déplacer Sylvie d’école.
- Mais pour quoi donc ?
- Parce que je suis la directrice et qu’en doit du respect une fois qu’en se trouve entre les murs de mon établissement. Et avec toujours autant de naturel, elle a décroisé les jambes.
Cela m’a permis de constater qu’elle portait bien des bas. Cette vue a déclenché une nouvelle montée d’adrénaline. Qui, instantanément, a provoqué une distension à mon sexe. Très visible pour quelqu’un s’y attarde dessus.
Alors a commencé une discussion absurde où chacun se moquait éperdument de ce que l’autre racontait. J’avais un mal fou pourtant, à pouvoir détacher mon regard de ce gouffre sombre. D’autant plus que la malhonnête, n’arrêtait pas de gesticuler, d’écarter, de fermer tour à tour ses jambes, et de les ouvrir l’instant d’après, me mettant au supplice. Très virtuose, elle me laissait apercevoir chaque fois, un peu plus d’elle. Sans pour autant que j’en ai le temps d’être sûr de ce j’avais vu.
La coquine de son côté ne se gêner pas de porter ses yeux, à intervalles de plus en plus rapprochés, sur la bosse que faisait mon érection sous la toile de mon pantalon. Provocatrice à souhait, elle attendait que je m’aperçoive de son manège pour détourner chastement les yeux dans un petit sourire entendu. Intuitivement, je sentais au plus profond de moi, qu’il fallait que je la laisse mener le jeu. Pour savoir jusqu’à où elle pouvait aller.
- Elle te punissait toujours de la sorte ? Me demanda-t-elle d’un air ironique.
Comprenant où elle voulait en venir. J’ai décidé tout de même de la provoquer.
- Pour moi oui.
- Ah bon ! Les autres n’avaient pas droit au même traitement que toi ? Tiens je suis sûr que ta maîtresse de l’époque était toujours en robe ?
- Toujours ! Par une seule fois je l’ai vu porter en pantalon. Et cela pour mon plus grand plaisir.
- Comment ça ? Tu avais quel âge à l’époque ?
- Il n’a pas d’âge pour prendre plaisir à regarder de belles gambettes. Et déjà à cette époque j’étais plus délurer qu’à la moyenne.
- Non ! Tu vas me dire que tu prenais déjà, plaisir à regarder sous sa jupe des femmes ?
- Et comment que j’aimais ça ! Il m’arrivait même quand elle se déplaçait dans la classe toujours pieds nus, de profiter de son absence pour renifler ses escarpins.
- Tu es vraiment du genre spécial, toi ! S’enflamma-t-elle, écartant, encore un peu plus les jambes.
J’en avais le souffle coupé. Non seulement, elle était adepte des bas mais de plus, elle semblait ignorer ce que c’était de porter une culotte. Là, je n’ai pas pris la peine de détourner mon regard, tout au contraire j’ai fais tout pour qu’elle s’en aperçoive. D’ailleurs elle n’a pas cherché mon regard, s’intéressant quant à elle au spasme qui faisait vivre mon érection sous l’étoffe de mon pantalon. Et là, elle n’a pas résisté de me faire part de sa découverte : - Je te fais de l’effet à ce que je vois ! Et moi ? A-t-elle ajouté en ouvrant largement ses cuisses.
Aussi largement que lui permettait sa jupe. Qui du même coup est remontée très, très haut sur ses cuisses. Je suis tombé comme en admiration devant la belle toison brune, très fournie, un vrai beau buisson de poils. D‘où émergeaient deux grandes lèvres lippues. Qui a en jugé l’humidité facilement identifiables, trahissait dans l’état d‘excitation où elle se trouvait. Sûr de moi, j’ai avancé la main pour toucher. Mais elle a refermé brutalement les jambes.
- Pas touche ! M’a-t-elle lâché.
- Mais alors tu es une allumeuse ?
- Je ne suis rien du tout. C’est toi qui à voulu te placer sous le bureau.
- Mais tu as accepté.
- Je l’admets, oui, mais c’était juste par curiosité. Mets dis moi de toi à moi, tu l’as touché ta maîtresse ?
- Quelle question ! Bien sûr que non !
- Ne me dis pas que cela ne t’a pas effleuré l’esprit à l’époque.
- Oui… mais je n‘ai pas osez !
- Elle aurait peut-être aimé, elle, que tu l‘as touche. Et c’est pour cela qu’elle insistait à te plaçait là.
- Va savoir !
- C’est tout vue ! On ne place un gamin sous le bureau, en portant une jupe sans avoir d’arrière pensée.
- Tu penses réellement à ce que tu dis ?
- Et comment j‘y pense, j‘en suis même certaine.
- Tu sais de quoi tu parles, toi !
- Comment ça ? Je ne te comprend pas.
- Oh que si tu me comprends. Tiens explique moi pourquoi tu n’arrêtes pas de m’exhiber ta chatte devant mes yeux. Aller dis-moi ?
Elle a rosit et a changé de conversation.
- Mon mari me laisse souvent seule. Je m’ennuie beaucoup. Me fit-elle en soupirant.
- Dans ma vie, se désola-t-elle, il n’y a pas beaucoup de distraction… pour une femme qui s’ennuie, comme moi.
- Il y en a qui prennent des amants ! Ai-je lâché, bien malgré moi, par pur réflexe Elle en a tressauté puis s’est fendu d’un petit rire minaudant, avant de laissé tomber : - Des amants ! Comme tu y va là, Alain ! Tu permets que je t’appelle Alain ?
- Je t‘en prie, Émilie.
- Mon mari est très vieux jeu. Si tu vois ce que je veux dire.
- Pas du tout !
- Si il apprenait que j’ai un amant ce serait le divorce sur le champ. Et finit pour moi le confort… Sans trop prêter l’oreille à ce qu’elle me disait, j’ai retiré son escarpin droit. Son odeur m'a atteint avant même que mes lèvres ne touche le pied gainé. Une senteur suave s‘en dégagea. Je me mis à l’embrasser, le lécher, bavant presque dessus, savourant chaque seconde passer avec lui. Ma caresse a enfanté chez elle, le silence. Et pas un moment elle a essayé de me fuir. Encouragé par son inaction, j’ai poursuis sur mon élan, embrassant tour à tour sa cheville et son mollet. Avant de remonter le long de sa jambe, jusqu‘à pouvoir titiller le derrière du genou. Suite à cela, j’ai lentement poursuivi mon chemin jusqu’à arrivé le long de sa cuisse gainée et même au-delà du bas.
- Alain, je… je ne sais pourquoi ! Je n’ai pas la force de te repousser !
- Alors laisse-toi faire. Je te promets que tu vas aimer !
- Je demande que ça. Me fit-elle en me prenant par les oreilles pour mieux me plaquer ma bouche contre son sexe, collant dans le même mouvement, mon nez dans la broussaille rêche et enivrante de son pubis.
J’ai pris les lèvres pendantes et molles dans ma bouche. Je les ai sucés, comme je l’aurai fait avec un bonbon. Elle sentait fort, la coquine. Une odeur de mouille, de pipi, de sueur. J’ai fait œuvrer ma langue, en l‘introduisant dans son vagin. J’ai taquiné le tunnel jusqu’à en avoir la mâchoire douloureuse. Puis j’ai butiné le petit bouton qui pointait son nez hors de sa cachette. Pour ensuite lapé avec avidité, le flot de mouille qui coulait de la moule d’Émilie.
Elle était en proie à une tension presque délirante, sous l'emprise de l’orgasme, elle m’a plaqué à m’étouffer, de nouveau contre elle à l’aide de ses mains. Resserrant fermement ses cuisses de part et d'autre de mon visage. L'emprisonnant, comme pour mieux le chevaucher comme une folle. J’ai pris en bouche ce qu’elle avait de plus sensible, et je me mis à le titiller. Elle a atteint ce pour quoi elle m’avait fait venir. Extériorisant bien fort son bien être.
Une fois l’emprise relâchée, j’ai pu reprendre mon souffle. Avec le goût de sa chatte dans la bouche. Les lèvres, le menton, voir le nez souillé de sa bonne mouille.
Elle m’a fixé avec un petit sourire énigmatique. Avec un délicieux regard d’invite, elle a quitté sa confortable place pour pivoter sur elle-même pour me tendre son dos. Lentement, elle a plaqué son buste sur le plateau de son bureau. Fesses offertes, bien écartées. Je n’ai pu résister à l’offrande qu‘il m‘était offert. Je me suis agenouillé devant son cul. Dans la raie humide, l’œil coquin de l’anus m’a semblé frétiller des cils. Dont son centre était entrouvert tant l’excitation de la belle cochonne était forte. Le fumet qui s’en exhalait a décuplé mon désir de mâle en rut.
Et que dire, quand elle m’a offerte une dance avec son cul. Un roulis lascif sous mes yeux. Je n’ai pas pu contrarier mon envie d’y coller ma bouche dans la vallée culière. J‘ai dardé ma langue, pour la poser sur le bord du conduit anal, au goût amer. Émilie, affalée sur le bureau, a grogné comme une truie. Sa muqueuse sensible s’est ouverte pour laisser passage à ma langue frétillante. Elle s’est abandonnée, me chuchotant vicieusement un : - Toi mon cochon tu sais mettre ta langue où ça fait du bien… je pense que j’ai trouvé en toi l’amant idéal… Par la suite Émilie a été une de mes plus merveilleuses amantes. Mais ce sera, (peut-être) une suite.
Mais sachez-bien que d’avoir écrit cette partie, m’a fait bander. Et il va falloir que je vous abandonne pour remédier à cela ! à bientôt..
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