Malins plaisirs
Récit érotique écrit par Gabi34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Malins plaisirs
L’année suivant ma découverte avec Lula, je me sens débordant d’assurance sexuelle. Cela m’a rempli d’envies de découvertes et a mis à mal ma timidité. La fac reprend sens cours, et moi avec. Ecumant les couloirs de l’université, j’ai l’impression que tout le monde me dévisage, m’envie, me désire. Un sentiment que j’ai peu connu jusque-là ! Et qui, malheureusement, s’estompe dans le mois qui suit la rentrée. Cette rentrée est d’ailleurs particulière, c’est la première année de Master et cela implique une nouvelle promotion, de nouvelle tête que je n’avais jamais vu en licence. Lors de ce passage, certains partent et certaines arrivent. Et parmi ces nouvelles venues, il y a Cynthia.
Cynthia a un an de plus que moi. Elle est petite, d’environ 1m55, et elle m’oblige à plier mes 1m90 pour lui faire la bise. C’est quelqu’un de très joviale, toujours de bonne humeur, sans filtre, les yeux marrons, de petits seins craquant et des fesses à faire pâlir un mort. Et le mieux, c’est qu’elle le sait ! Pour ma part, je suis d’autant plus subjugué par Cynthia qu’elle arbore fièrement des cheveux aux couleurs de feu qui rendent sa beauté insoutenable. Très vite, elle et moi devenons de très bons amis. Trop peut-être, pour les idées que j’ai en tête… Elle me parle vite de ses conquêtes, de ses exploits sexuels dans les moindres détails. De quoi me rendre complètement dingue !
Un jour, elle m’avoue qu’à travers tous ses ébats, elle ne cherche qu’une chose : un orgasme. Cynthia n’a jamais connu la jouissance sexuelle et cela l’inquiète. Elle s’imagine avoir un problème quelconque puisqu’aucune homme qu’elle rencontre et déshabille ne lui procure ce plaisir ultime. Elle s’imagine l’orgasme comme inatteignable.
C’est au mois de mai qu’elle craque. Pendant nos révisions à la Bibliothèque Universitaire, elle pleure, sans raison apparente. Je la prends dans mes bras et l’amène dehors pour qu’elle puisse s’aérer l’esprit. Dans ma tête, la cause est la pression des examens, un classique en cette période chez les étudiants. J’essaie tant bien que mal à la rassurer sur ce sujet. Mais je me trompe. Elle me dit que, dans une énième tentative d’atteindre l’orgasme, la veille, elle s’est contractée au point de faire fuir sa proie. Elle est à bout, elle n’en peut plus. J’aimerais pouvoir l’aider mais aucune parole ne lui ferait du bien. Je la serre contre moi car ça, je le peux.
Nous sommes en face de la bibliothèque, il y a un grand soleil (vive le sud !) donc je lui propose de faire une pause dans nos révisions et d’aller errer dans la fac, de se laisser porter pour se vider la tête. Elle accepte, donc nous déambulons, bras dessus pour ma part, bras dessous pour elle, pour faire passer ce chagrin et peut-être reprendre la discussion après. Mais après une centaine de pas, je sens sa main glissée sur mes fesses, ce que je ne manque pas de lui faire remarquer avec un petit sourire en coin. Elle me dit « Viens », en me tirant vers l’arrière d’un bâtiment au fin fond de la fac.
« Qu’est-ce que tu fous ? interviens-je-Tais toi » répond-t-elle, en accompagnant ses paroles d’un baiser sur mes lèvres comme pour m’empêcher de réagir.
Je la trouve si belle, si désirable, que je n’ai pas eu le cœur à résister. La fougue de ce baiser, auquel j’avais cessé de fantasmer, me fait perdre la tête et me retira tout le sang de mon cerveau. L’érection de mon sexe me fait terriblement mal. Nos mains respectives s’égarent sur nos corps. J’effleure ses seins, dont les tétons pointent d’excitation avant d’aller glisser l’une de mes mains sous son jean, sur ses fesses. J’y découvre avec plaisir un string, ce qui me laisse la chair de ses fesses libre d’accès. De son côté, ses mains déboutonnent ma chemise et me griffent le torse. Je la sens bouillir. Quand je passe ma main droite à l’avant de son pantalon, j’ai à peine le temps de sentir le tissu de sa lingerie trempé qu’elle se glisse à genoux.
Tout en défaisant la ceinture de mon jean, elle me caresse le ventre. Le tout dans un silence que l’on respecte, uniquement rompu par les oiseaux chantonnant dans l’arbre à côté de nous. Une fois mon sexe libéré de sa contrainte, elle le masturbe très doucement, en le fixant avec un air de défi. Me sentant respirer de plus en plus fort, elle accélère un peu le rythme de sa main avant de mettre mon gland en bouche avec douceur. Ses lèvres et sa langue sont une douce caresse… Je la sens s’appliquer à me procurer du plaisir. Je la regarde et j’ai une vision d’elle, ma bite à moitié dans sa bouche, avec sa main saisissant la base. Elle est terriblement concentrée. Et je le ressens par une vague de plaisir qui me submerge.
Mais je l’arrête. J’ai la sensation qu’elle ne s’est jamais laissé aller, que jamais un homme, tout égoïste que nous pouvons être, ne s’est attelé à lui procurer du plaisir. Elle ne comprend pas pourquoi je lui retire sa sucette. Délicatement, je l’embrasse. Et je l’amène à s’adosser au mur. Quand je la sens se décontracter, ma main droite s’en va en quête de son bouton de plaisir, qui m’a été refusé quelques minutes plus tôt. Gêné par son jean, je le déboutonne, tout en l’embrassant. Puis je lui retire humblement. Il fait bon dehors, en ce mois de Mai. Je la vois en string, debout.
« Laisse-toi faire, je ne te ferais rien de mal ». Et j’approche mes doigts du tissu violet de son string. Je sens la chaleur de son entrejambe. Je le caresse doucement. Elle ne comprend pas, mais se laisse faire. J’en profite pour poser mes lèvres sur son cou. Son parfum est sucré. Il m’enivre. Je l’entends soupirer de plaisir. Ma main passe par-dessous son string et mon majeur se glisse dans sa fente pendant que mon pouce presse son clitoris. Elle gémit, je prends sa réaction comme un assentiment. Je continue. Mon majeur est rejoint par mon index et, à deux, ils font des va-et-vient dans sa chatte qui ne cesse de détremper. Mon pouce se fait de plus en plus insistant. Elle gémit plus fort. J’accélère en enfonçant mes doigts plus avant et je perçois ses jambes trembler.
Elle me demande d’arrêter, sans grandes convictions. J’u suis presque. Je continue. Ses cris sont rapprochés, excitant. Je n’arrête pas. D’un coup, je l’entends crier et je sens un liquide sortir de sa vulve. Elle a joui. Et éjaculée dans le même temps. Ses jambes lâchent, mais je la rattrape. Elle est un peu sonnée, avec un sourire béat et me regarde.
« Avec tes doigts…. Je veux ta bite maintenant ». Je m’exécute. Je la porte, ses jambes m’entourent la taille, et en écartant ce qu’il reste de son string, je la fais retomber sur mon sexe : elle s’empale. Ça glisse tout seul, à tel point que ma bite s’enfonce un peu loin, lui arrachant un cri teinté de plaisir et de douleur. Reposant sur le mur et sur moi, je la baise avec tendresse, les yeux dans les yeux. Du moins tant que le plaisir ne nous impose pas de les fermer.
« Je vais jouir…-Vas-y ! Moi aussi ! Jouis en moi ! »Et dans un duo de râles, je finis en elle. De long jet de sperme qui ne s’arrête pas tout de suite et qu’elle accompagne de long jet de cyprine. Quand nous n’en pouvons plus, on s’arrête. Elle toujours accrochée à moi. Nous sommes trempées, sans rechange mais nous rions d’extase. Elle vient de découvrir l’orgasme et moi un plaisir inoubliable.
Nous avons dû, par la suite, s’échapper comme des enfants de la fac pour aller nous réfugier chez elle. Euphorique, nous nous sommes endormis l’un contre l’autre après une douche durant laquelle nos bouches avaient du mal à se décoller.
A mince, le cours de 17h… Tant pis !
Cynthia a un an de plus que moi. Elle est petite, d’environ 1m55, et elle m’oblige à plier mes 1m90 pour lui faire la bise. C’est quelqu’un de très joviale, toujours de bonne humeur, sans filtre, les yeux marrons, de petits seins craquant et des fesses à faire pâlir un mort. Et le mieux, c’est qu’elle le sait ! Pour ma part, je suis d’autant plus subjugué par Cynthia qu’elle arbore fièrement des cheveux aux couleurs de feu qui rendent sa beauté insoutenable. Très vite, elle et moi devenons de très bons amis. Trop peut-être, pour les idées que j’ai en tête… Elle me parle vite de ses conquêtes, de ses exploits sexuels dans les moindres détails. De quoi me rendre complètement dingue !
Un jour, elle m’avoue qu’à travers tous ses ébats, elle ne cherche qu’une chose : un orgasme. Cynthia n’a jamais connu la jouissance sexuelle et cela l’inquiète. Elle s’imagine avoir un problème quelconque puisqu’aucune homme qu’elle rencontre et déshabille ne lui procure ce plaisir ultime. Elle s’imagine l’orgasme comme inatteignable.
C’est au mois de mai qu’elle craque. Pendant nos révisions à la Bibliothèque Universitaire, elle pleure, sans raison apparente. Je la prends dans mes bras et l’amène dehors pour qu’elle puisse s’aérer l’esprit. Dans ma tête, la cause est la pression des examens, un classique en cette période chez les étudiants. J’essaie tant bien que mal à la rassurer sur ce sujet. Mais je me trompe. Elle me dit que, dans une énième tentative d’atteindre l’orgasme, la veille, elle s’est contractée au point de faire fuir sa proie. Elle est à bout, elle n’en peut plus. J’aimerais pouvoir l’aider mais aucune parole ne lui ferait du bien. Je la serre contre moi car ça, je le peux.
Nous sommes en face de la bibliothèque, il y a un grand soleil (vive le sud !) donc je lui propose de faire une pause dans nos révisions et d’aller errer dans la fac, de se laisser porter pour se vider la tête. Elle accepte, donc nous déambulons, bras dessus pour ma part, bras dessous pour elle, pour faire passer ce chagrin et peut-être reprendre la discussion après. Mais après une centaine de pas, je sens sa main glissée sur mes fesses, ce que je ne manque pas de lui faire remarquer avec un petit sourire en coin. Elle me dit « Viens », en me tirant vers l’arrière d’un bâtiment au fin fond de la fac.
« Qu’est-ce que tu fous ? interviens-je-Tais toi » répond-t-elle, en accompagnant ses paroles d’un baiser sur mes lèvres comme pour m’empêcher de réagir.
Je la trouve si belle, si désirable, que je n’ai pas eu le cœur à résister. La fougue de ce baiser, auquel j’avais cessé de fantasmer, me fait perdre la tête et me retira tout le sang de mon cerveau. L’érection de mon sexe me fait terriblement mal. Nos mains respectives s’égarent sur nos corps. J’effleure ses seins, dont les tétons pointent d’excitation avant d’aller glisser l’une de mes mains sous son jean, sur ses fesses. J’y découvre avec plaisir un string, ce qui me laisse la chair de ses fesses libre d’accès. De son côté, ses mains déboutonnent ma chemise et me griffent le torse. Je la sens bouillir. Quand je passe ma main droite à l’avant de son pantalon, j’ai à peine le temps de sentir le tissu de sa lingerie trempé qu’elle se glisse à genoux.
Tout en défaisant la ceinture de mon jean, elle me caresse le ventre. Le tout dans un silence que l’on respecte, uniquement rompu par les oiseaux chantonnant dans l’arbre à côté de nous. Une fois mon sexe libéré de sa contrainte, elle le masturbe très doucement, en le fixant avec un air de défi. Me sentant respirer de plus en plus fort, elle accélère un peu le rythme de sa main avant de mettre mon gland en bouche avec douceur. Ses lèvres et sa langue sont une douce caresse… Je la sens s’appliquer à me procurer du plaisir. Je la regarde et j’ai une vision d’elle, ma bite à moitié dans sa bouche, avec sa main saisissant la base. Elle est terriblement concentrée. Et je le ressens par une vague de plaisir qui me submerge.
Mais je l’arrête. J’ai la sensation qu’elle ne s’est jamais laissé aller, que jamais un homme, tout égoïste que nous pouvons être, ne s’est attelé à lui procurer du plaisir. Elle ne comprend pas pourquoi je lui retire sa sucette. Délicatement, je l’embrasse. Et je l’amène à s’adosser au mur. Quand je la sens se décontracter, ma main droite s’en va en quête de son bouton de plaisir, qui m’a été refusé quelques minutes plus tôt. Gêné par son jean, je le déboutonne, tout en l’embrassant. Puis je lui retire humblement. Il fait bon dehors, en ce mois de Mai. Je la vois en string, debout.
« Laisse-toi faire, je ne te ferais rien de mal ». Et j’approche mes doigts du tissu violet de son string. Je sens la chaleur de son entrejambe. Je le caresse doucement. Elle ne comprend pas, mais se laisse faire. J’en profite pour poser mes lèvres sur son cou. Son parfum est sucré. Il m’enivre. Je l’entends soupirer de plaisir. Ma main passe par-dessous son string et mon majeur se glisse dans sa fente pendant que mon pouce presse son clitoris. Elle gémit, je prends sa réaction comme un assentiment. Je continue. Mon majeur est rejoint par mon index et, à deux, ils font des va-et-vient dans sa chatte qui ne cesse de détremper. Mon pouce se fait de plus en plus insistant. Elle gémit plus fort. J’accélère en enfonçant mes doigts plus avant et je perçois ses jambes trembler.
Elle me demande d’arrêter, sans grandes convictions. J’u suis presque. Je continue. Ses cris sont rapprochés, excitant. Je n’arrête pas. D’un coup, je l’entends crier et je sens un liquide sortir de sa vulve. Elle a joui. Et éjaculée dans le même temps. Ses jambes lâchent, mais je la rattrape. Elle est un peu sonnée, avec un sourire béat et me regarde.
« Avec tes doigts…. Je veux ta bite maintenant ». Je m’exécute. Je la porte, ses jambes m’entourent la taille, et en écartant ce qu’il reste de son string, je la fais retomber sur mon sexe : elle s’empale. Ça glisse tout seul, à tel point que ma bite s’enfonce un peu loin, lui arrachant un cri teinté de plaisir et de douleur. Reposant sur le mur et sur moi, je la baise avec tendresse, les yeux dans les yeux. Du moins tant que le plaisir ne nous impose pas de les fermer.
« Je vais jouir…-Vas-y ! Moi aussi ! Jouis en moi ! »Et dans un duo de râles, je finis en elle. De long jet de sperme qui ne s’arrête pas tout de suite et qu’elle accompagne de long jet de cyprine. Quand nous n’en pouvons plus, on s’arrête. Elle toujours accrochée à moi. Nous sommes trempées, sans rechange mais nous rions d’extase. Elle vient de découvrir l’orgasme et moi un plaisir inoubliable.
Nous avons dû, par la suite, s’échapper comme des enfants de la fac pour aller nous réfugier chez elle. Euphorique, nous nous sommes endormis l’un contre l’autre après une douche durant laquelle nos bouches avaient du mal à se décoller.
A mince, le cours de 17h… Tant pis !
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