Mise en boite

- Par l'auteur HDS Gabi34 -
Récit érotique écrit par Gabi34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Mise en boite Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Mise en boite
*Réveil qui sonne*« Oh putain… Il est déjà 18h… ». Gabi se lève après une sieste bien mérité en ce samedi de détente. La semaine de boulot a été terrible : le travail semble se démultiplier de jour en jour. Mais aujourd’hui, il a coupé son téléphone, c’est un jour off. Et en plus, il y a l’anniversaire de Francis, son ami depuis toujours. D’où la nécessité de se reposer l’après-midi, ce soir il rejoint Francis et les autres au bar pour terminer la soirée en boite. Gabi n’a jamais été très fan de la danse, d’autant moins en boite de nuit, mais pour Francis, il fera l’effort.
Il se lève, difficilement, peu motivé à l’idée d’une grosse soirée, se sert un café et commence à réfléchir à son accoutrement. Gabi a tendance à préférer un habillement coloré le week-end, contraint la semaine à un esthétique plus sobre. Son choix s’arrête donc sur un pantalon orange foncé, et chemise blanche quelque peu saillante. Puisqu’il s’agit d’un temps printanier, cela suffira. En dessous, il fait une petite folie : un caleçon rouge bordeaux avec une inscription « eat me », très élégante, sur le devant. « Bwarf, personne ne la verra, je le sais bien… ! » se dit-il, légèrement dépité. Mais avant d’enfiler tout ça, un tour à la douche.
L’eau chaude est agréable au contact de sa peau, et il en profite un peu. Bloqué sous les jets du pommeau au-dessus de sa tête, Gabi se met à rêvasser à une délicate femme se déhanchant sur la piste de danse, qu’il approcherait et avec qui il danserait des heures avant de rentrer avec elle pour une nuit torride. Le sexe de Gabi se durcit à cette pensée, et sa main commence à le caresser. Rien de bien méchant, juste un moment de pause. Qui se voit gâcher lorsque le téléphone sonne. C’est Francis.
« Merde ! » Rapidement, il coupe l’eau, sort de la douche et se sèche brièvement pour tenter de répondre à l’appel de son ami. « Tu fais quoi Gabi ?! Il est 19h ! Je t’attends bordel ! ». Francis ne semble pas ravi du retard que Gabi a pris pour son propre plaisir. « Je me dépêche, j’ai presque fini, t’inquiète ». Dans la précipitation, Gabi enfile les fringues qu’il a décidé de porter, se met du déo, un coup de parfum, une main dans les cheveux, et c’est bon. Il déboule les escaliers de son immeuble et cours rejoindre Francis au bar prévu.
« Franchement Francis, 30 minutes de retard ça va ! Je m’améliore ! Bon anniversaire mec ! Et salut tout le monde. » Gabi est arrivé 45 minutes après l’heure prévue, et malgré quelques bougonnements de Francis, l’ambiance est détendue et festive. Les comparses vont enchainer 3 pintes de bière avant de changer de bar : c’est la tradition avant d’aller en boite. 1h avant l’ouverture des pistes de danse, le groupe se retrouve toujours au même bar, un bar à rhum dont les arrangements rendent traitre la présence d’alcool fort dans les verres. Qui plus est, c’est un bar musical dont la musique fait trémousser les fessiers de tout le monde. Sauf Gabi. L’ambiance n’en demeure pas moins festive, et les 29 ans de Francis se passent pour le mieux.
L’heure fatidique approche, Gabi commence à être bien pompette, comme ces collègues de beuverie. Sa motivation se fait de plus en plus présente. En tentant de rejoindre les toilettes du bar qui commencent à être bondé, Gabi rentre en collision avec une jeune femme élégante qui passait avec des verres remplis. L’effet de cette rencontre fut immédiat : une partie des verres s’est retrouvé par terre.
« Putain mais quel con ! » furent les premières paroles de cette charmante demoiselle.
-Oh pardon… Je m’excuse… Je vous paie un autre verre si vous le souhaitez.
-Non c’est bon… Y’a trop de monde, c’est pas votre faute, bonne soirée ».
Et la demoiselle s’en va rejoindre son groupe d’ami. Gabi n’a pas perdu de vue son objectif : les toilettes. En revenant, il aperçoit la belle brune en train de rigoler, au fond à gauche du bar. Il reste bloqué, à l’admirer. Elle est délicieusement belle. Il est figé au point de ne pas remarquer les coups d’œil qu’elle lui envoie, mi-agacés mi-amusés. L’un de ses amis finit par le bousculer, le prendre par l’épaule et le ramener à leur table. La soirée pu continuer à ce rythme jusqu’à ce que commence les hostilités de la danse.

00h45, le bar annonce sa fermeture. L’heure de se déplacer vers la boite, deux rues plus loin. Gabi, Francis et les autres s’y rendent, plus ou moins droitement. Et, chose classique, la moitié des gens de ce bar se rend au même endroit qu’eux ! Les videurs de la boite ont l’habitude. Et laisse toujours rentrer cette première fournée d’arrivants. Ce qui fait que Gabi pénètre dans cet antre qui ne lui plait guère. Musique déjà à fond, pistes vides, fumoir propre. Comme à chaque fois qu’il arrive ici. D’habitude, il reste jusqu’à 2-3 heure du matin, et s’en va discrètement, dissimulé par la foule. Il lui faut donc tenir ce temps !
Le groupe d’amis se prend le rituel « vodka/redbull » pour commencer la soirée et s’attaque à la piste de danse du bas, la plus grande. Les gens affluent vite, et en 30 minutes, la salle est remplie. Gabi se dit qu’il pourra peut-être partir un peu plus tôt ! Il voit ses amis se dandiner, lui-même commence à s’y mettre, plein de mauvaises volontés… Le groupe reste soudé dans cette foule, ils forment un petit cercle entre eux, au-devant de la scène. Petit à petit, ce cercle s’émiette. L’un va chercher à boire, l’autre part aux toilettes, et finalement ne reviennent pas. Surement pris dans les filets d’une tigresse. Gabi commence à s’extirper : « je vais fumer une clope ! », excuse parfaite pour que personne ne le suive et qu’on ne lui demande rien ! Il s’éloigne donc et prend la direction du fumoir. Il y rentre et fume réellement une clope. Le fumoir est déjà crade. Pendant que son esprit se prend la tête avec la nature profondément égoïste de l’être humain, il voit rentrer dans le fumoir la même demoiselle au langage châtié du bar, accompagné de plus de ses amies. Son regard se glisse sur lui, il l’entraperçoit, furtivement. Robe rouge sombre, aux bretelles fines et tombant juste au-dessus du genou, et manteau en cuir noir par-dessus, cette brune empêche Gabi de détourner le regard qui s’attarde notamment sur une paire de fesses à faire bander un eunuque…Quand elle s’en va, le programme de Gabi a changé. Il a dorénavant très envie de rester ici et de danser toute la nuit. Il veut savoir qui est cette beauté, et veut pouvoir entamer quelque chose : s’il a une possibilité de lui parler, d’ouvrir le dialogue, il veut savoir ce qu’il en est. Alors il s’engage hors du fumoir, et descend, comme cette déesse, dans la grande salle. Il la perd de vue assez vite, mais il sait qu’elle est là. Gabi rejoint ses amis, devant, même s’il y en a moins qu’à son départ, et se met à bouger son corps, au point de faire ressembler ces mouvements à de la danse. Et du regard, il scrute. Il danse, danse, danse… et se perd dans cette transe. Il ne se rend pas compte que son groupe n’est plus là, qu’il est au milieu de la foule. Il danse au rythme de la grosse caisse synthétique. Et finit par rentrer dans quelqu’un !
« Oh pardon… » Crie-t-il sans regarder. Et le visage de la charmante brune se rapproche de lui et s’en va vers son oreille. « Encore toi, lui beugle-t-elle, deux fois que tu me rentres dedans… A croire que tu le fais exprès ! » et elle rigole. Tout en disant cela, les mains de Gabi se sont posées sur sa taille et les bras de la demoiselle reposent sur les épaules de Gabi. Sans plus de mots, les voilà dansant ensemble, s’oubliant l’un et l’autre dans leur étreinte. Sur plusieurs musiques à la suite, ils sont collés, les mains de chacun cherchant la limite que l’autre posera. Gabi explore le dos de la demoiselle, s’arrêtant aux reins, pendant que la demoiselle, assez grande, profite pour caresser les cheveux de Gabi. S’en suit une musique bien plus zouk. Les deux inconnus se regardent, et d’un sourire commun, se collent. Ils commencent à danser un coller-serrer des plus sensuel. Le contact des bas-ventres ne permet pas à Gabi de cacher l’érection qui nait. Il essaie de se dégager un petit peu mais l’inconnue, sentant sa proie s’esquiver, le bloque en lui souriant. Elle l’embrasse sans attendre. Leur danse se fait plus calme. Et jusqu’à la fin de la musique, leurs lèvres ne se quittent pas. Quand vient la fin de la musique, l’étrangère repousse espièglement Gabi et s’en va, toute contente, vers le fond de la salle. Béat, Gabi ne réagit pas. Il est là, inutile et sidéré.
Un ami de Gabi le rejoint et l’oblige à danser. Un peu déçu, il se force un peu et finit pas apercevoir la brune, le fixant, dansant avec un autre. Elle l’invite à les rejoindre. Gonflé à bloc, il s’approche, et quand il arrive, tout en dansant, madame repousse l’autre homme et vient se coller à Gabi. « Je m’appelle Lou, et toi ? » « Gabi. » Et dans ce le silence de parole qui s’en suit, leur danse reprend. Jusqu’à ce que l’autre, honteusement repoussé, vienne se coller au dos de Lou pendant qu’elle danse de face avec Gabi. Elle en profite, passant ses mains sur le cou de l’inconnu, caressant le torse de Gabi, se retournant pour tourner le dos à Gabi. Ses fesses vont et viennent sur les deux corps de ces hommes qu’elle appâte, ses lèvres également. Il n’est pas difficile de comprendre que cette Lou veut profiter au maximum de la gent masculine.
Rouge d’excitation et d’effort, Lou prend la main des deux hommes et les tire vers l’étage. En haut, elle les amène au fond du couloir de droite, où se trouve des toilettes. Etrangement assez vides. Et sans discrétion aucune, elle s’enferme avec les deux hommes dans la grande cabine. Tour à tour, elle se met à les embrasser, pendant que les 4 mains masculines commencent leur tour du corps de Lou. Gabi ne connait pas trop ce genre de situation mais se laisse entièrement porter par l’assurance de Lou. Elle finit par se glisser entre eux, comme lors de la danse. Pendant qu’elle embrasse goulument celui de devant, Gabi lui remonte la robe et laisse apparaitre son string blanc à dentelle. Il commence à lui caresser les fesses et la chatte, déjà trempée. Lou se cambre un peu en arrière, ce que Gabi prend pour une invitation. Alors il descend son visage jusqu’à l’intimité de Lou et commence à la lui lécher. Pendant se doux moment, Lou, se penchant d’autant plus, déboutonne le pantalon de l’autre homme et lui libère sa bite, droite de désir, et la lui suce. D’une main experte, elle joue avec ses couilles pendant cette gâterie. Gabi, se sentant tous les droits, finit par faire balader sa langue sur le petit trou du cul de Lou, ce qu’elle ne repousse pas, bien au contraire. Alternant entre les deux orifices, Lou semble apprécier même si ses gémissements sont atténués par la bite dans sa bouche.
L’heure n’est plus à la séduction. Lou se relève, baveuse et espiègle, et se tourne dans l’autre sens. Elle enlève son string qui n’est plus qu’une éponge de sa mouille, et offre sa chatte à l’inconnu. Elle ne manque pas de sortir un préservatif de son soutien-gorge et de lui tendre avant ! Et se penchant sur Gabi, elle l’embrasse amoureusement et lui retire également son pantalon. A peine eût-elle pris son gland en bouche qu’elle senti la bite de l’autre rentrer pleinement en elle, ce qui lui fit lâcher un petit cri bien audible. La surprise passée, elle se laissa labourer par l’un, suçant l’autre. Le plaisir pris est intense. Lou se sent remplie, et pendant que l’autre jouit de tout son plein en la prenant, Gabi se retient pour espérer la pénétrer aussi. Sentant que l’homme jouit en elle, Lou ne put se contenir et, sortant la bite de Gabi de sa bouche, se mit à crier de plaisir tout en le masturbant. Puis, reprenant ses esprits, « Non ! Hugo, je te veux en moi avec Gabi ! Je veux deux bites en moi !! » Le dénommé Hugo semble prendre peur par tant d’exigences sexuelles et se rhabilla en toute vitesse avant de laisser Lou et Gabi seuls dans leur cabine.
« Le lâche ! » Gabi entreprit d’embrasser Lou, pour lui faire comprendre que lui était toujours là et qu’il ferait de son mieux. Et ni une ni deux, Lou se tourna de nouveau et présenta son intimité à la bite de Gabi qui frémissait. Glissant facilement en elle, il la baisa, car il n’y a plus d’autres mots, sans scrupule et avec vigueur. Jusqu’à ce qu’on frappe à la porte, le bruit ayant alerté du monde ! C’était une amie de Lou. « Arrête-toi, j’ai une idée… J’habite pas loin, tu es en forme j’espère ! » susurra Lou à l’oreille de Gabi. Rejoignant l’amie de Lou, ils partirent précipitamment de la boite…

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