Tendres découvertes - histoire érotique

Pour la première fois, je me lance dans le récit d'une aventure datant d'il y a quelques années. J'espère que celle-ci vous plaira. N'hésitez pas à me laisser votre avis, tout avis constructif est bon à prendre !

Je m’appelle Gabi, j’ai 21 ans et je suis d’un physique plutôt banal, grand et svelte. Je n’ai jamais trop attiré les femmes, ni même leur regard, surement dû à ma grande timidité, mais je n’ai jamais manqué non plus d’affection de leurs parts. Je n’ai jamais très bien compris comment je me débrouillais, ni ce qui chez moi pouvait attirer. M’enfin. Je ne m’en plains pas. Ce qui me pèse cependant, c’est qu’avec toutes les femmes que j’ai pu connaitre intimement, aucune ne m’a poussé (et moi non plus d’ailleurs !) dans la découverte d’une sexualité autre que le missionnaire, la levrette et la fellation. Plusieurs fois j’ai voulu entamer un cunnilingus, l’un de mes grands fantasmes, mais jamais il n’a été accepté. Pourtant, je me demande ce qui peut être désagréable à sentir un baiser fougueux sur ces lèvres juteuses...

Un jour que nous partions en vacances avec un groupe d’amis, 3 hommes et 3 femmes, tout a basculé. Nous nous connaissions bien, depuis longtemps, et à ce moment-là, nous étions tous célibataires. D’où cette idée de partir ensemble pour noyer notre chagrin. A leur grand désarroi, c’est moi qui devais tout organiser, ce qui fait que le premier jour, nous avons mis plus de 2h à trouver l’appartement que j’avais loué sur le bord de la plage. A l’arrivée, tous les regards qui m’étaient adressés ne cachaient pas la haine de mes amis. Mais comme à notre habitude, lorsque nous arrivons quelque part tous ensemble, nous arrivons chargés de plusieurs litres d’alcool pour décompresser du voyage. Les tensions se sont apaisées lorsque, à la quatrième bière, nous nous sommes lancés dans le fameux jeu d’alcool du « je n’ai jamais / j’ai déjà », une sorte de jeu de la vérité, qui tourne généralement au salace et nous permet de nous tenir informé d’où en est chacun dans sa sexualité.
Ce jeu me met toujours un peu mal à l’aise ; je suis quelqu’un de foncièrement honnête et avec peu d’expériences sexuelles. Et cela n’a pas manqué ce jour là de me faire défaut. Mais d’habitude, je ne suis jamais le seul à ne pas avoir fait, alors quand un ami nous dit « j’ai déjà pratiqué la sodomie » et que je constate que je suis le seul à boire – parce que je ne l’ai jamais fait – je me sens rougir. Tous en rigolent. L’alcool aidant, je me vexe, et part pisser. Je n’avais pas fait attention que Lula m’avait suivi discrètement. Lorsque je suis sorti des toilettes, elle m’a pris par le col et m’a amené dans une chambre. Elle m’a jeté sur le lit et j’ai vite compris qu’on ne resterait pas habiller très longtemps.

Elle vient sur moi, m’embrasse passionnément, et vient me susurrer à l’oreille : « Moi non plus je n’ai jamais fait. Mais j’avais un peu honte…. Ça te dit on découvre ça ensemble ? » Pour seule réponse, je l’embrasse de nouveau. Un oui franc. Lula a toujours été très séduisante, et chaque fois que l’un de nous est célibataire, nous avons une fâcheuse tendance à tenter l’autre. Mais jamais, ni l’un ni l’autre n’avons craqué. Et jamais nous nous sommes retrouvés célibataire au même moment.
Je la relève, je lui enlève son t-shirt. Je lui caresse ses petits seins craquant au travers de son soutien-gorge, avant de lui retirer ce dernier, avec une pointe de férocité. J’avais déjà vu ses seins avant, au détour de nos voyages communs, mais ils étaient, à ce moment précis, plus beau que jamais. J’entrepris donc de vérifier qu’ils étaient aussi bon. Mordillant ses tétons, j’entendis Lula commencer à gémir pendant qu’elle cherchait à me déboutonner ma chemise. Lorsqu’elle atteignit son but, et que ma peau se révélait à l’obscurité de la chambre, je l’étreignis, rapprochant nos corps qui commençaient à suinter d’excitation. Je profitais de ce moment pour retourner cette bête à deux dos et que ce soit le sien contre le lit ; prendre le dessus sur elle, tout en lui embrassant les arrondis de ses seins.
Délicatement, je descendais avec mes lèvres, pendant que mes mains s’afféraient à retirer son short. Short qui cachait un string rouge foncé que je pris un malin plaisir à baiser de ma bouche, me laissant savourer une mouille que je sentais dégouliner au travers de ce mince bout de tissu. Je me régalais. Malgré quelques râles de plaisir, il semblait que Lula n’en avait pas assez. Elle ressentit le besoin d’écarter son string pour me laisser son intimité à disposition. Je ne me fis pas attendre pour lui glisser ma langue au travers de sa fente, en remontant sur son clitoris que je sentais gorgé d’excitation, en plus de la mouille qui ne cessait de s’échapper. Les râles du début se sont transformés en cri. Le premier n’a pas pu être retenu, conséquence de la rencontre de ma langue et de son clitoris, mais elle réussit à étouffer les suivant. Il fallait faire attention, nous n’étions pas seul !
Pris dans ma propre excitation, ma langue, qui s’affairait du mieux qu’elle le pouvait sur sa délicate fente trempée, a commencé à faire quelques vas et viens sur son autre trou, un peu plus loin. Son petit trou du cul, trempé également, était tout aussi délicieux. Lula me laissait faire, pris dans un orgasme qu’elle ne pouvait contrôler. Mes va-et-vient entre sa chatte et son cul l’ont rendu folle. Je n’arrivais moi-même plus à m’arrêter. C’est elle qui finit par me prendre délicatement par la tête pour me faire remonter et m’embrasser plus que passionnément.
Elle finit par me rejeter en arrière, violemment, et une fois sur le dos, elle m’enleva, presque en les déchirant, mon propre short et mon caleçon, d’un seul mouvement. Autant dire que mon excitation était telle que ma bite pointait vers le ciel comme jamais je n’avais vécu ça. En revenant vers moi, une fois qu’elle ait jeté mes affaires, elle me donna un coup de langue partant de mes bourses jusqu’à mon gland, avant de gober la moitié de ma bite. Elle se mit à me sucer tel une animale tout en me masturbant sur le même rythme. Je manquais de jouir sur la pression de sa langue qui était parfaite… Mais je me retins. Et quand je lui dis que j’étais au bord de la jouissance, elle m’a répondu : « Ah non ! Maintenant que tu m’as mise dans cet état, tu vas assumer ! »Elle arrêta aussi sec sa merveilleuse fellation pour se mettre sur moi. A peine le temps de lui dire de mettre un préservatif qu’elle avait déjà fourrer mon sexe dans le sien. Son plaisir fut suffisamment bruyant pour couvrir la fin de ma phrase. Et une fois entré dans ce nid d’amour, je ne pensais plus à rien. Je profitais… Lula menait la danse, telle une amazone s’en allant à la guerre. Elle me chevauchait comme un objet de jouissance, je n’existais plus pour elle : seule ma bite avait de l’importance. Dans cette position de passivité que je prenais, je me trouvais pourtant très bien. Je sentais son intérieur se contracter au passage de mon sexe et j’écoutais, j’observais son plaisir physique. Je voulais en faire plus.
Je me suis souvenu d’une soirée où Lula avait partagé qu’elle aimait bien quand c’était un peu violent au lit, la fessée, le tirage de cheveux, etc. Et armé de ce souvenir, je me suis surpris à sortir de mon état d’objet sexuel en lui mettant une claque sur les fesses qui lui fit lâcher un petit râle de plaisir. Elle m’a alors regardé avec un sourire malicieux, celui qui signifie : vas-y, continue.
Toujours sur moi, j’ai commencé à lui écarter les fesses en les malaxant. Puis, entre deux fessées, j’ai entrepris de glisser un doigt dans sa rosette. C’était serré, très serré, mais en lubrifiant avec sa mouille qui dégouline de sa chatte, j’arrive à pénétrer son petit trou du cul vierge. A cette pensée que j’allais gouter à ce plaisir, j’ai joui de tout mon jus en elle et Lula s’est surprise à crier de tout son souffle au même moment. Nous avions joui de concert, à cette même idée.
On se regarda, et nous nous sommes compris. On n’allait pas s’arrêter là pour autant : Je retournais Lula et la mise à 4 pattes. Je sentais que son orgasme l’avait déstabilisée donc je l’aidais. Et une fois son cul bien remonté, me laissant à une vision parfaite de sa rondelle, elle se mit à se masturber.
« Qu’est-ce que tu attends ? Met là moi ! ». Son cul était trempé. Je présentais mon gland qui se glissa sans peine à l’entrée. Mais plus j’avançais, plus il y avait de résistance et plus Lula criait et se doigtait. Je devenais complètement fou, c’était si serré ! Je commençais à la prendre de plus en plus profondément, jusqu’à ce que mes 20 centimètres rentrent entièrement. Je pouvais sentir son doigt qui pénétrait sa chatte à l’intérieur pendant que je m’occupais de son cul. J’étais à bout, je ne pouvais plus me retenir. Et quand Lula a commencé à jouir, j’ai tout lâché dans ses entrailles. Deux orgasmes mémorables à la suite… J’avais la sensation d’être hors de mon corps, il ne me répondait plus.
Je m’écroulais sur le lit. Lula aussi, à mes côtés. Elle dégoulinait de partout, un sourire béat aux lèvres. Je la regardais tendrement. On l’avait fait. On avait aimé. Et on en a joui ensemble.
Ce jour-là, j’ai découvert une autre facette de la sexualité… Et de Lula…