Manon, la chatte
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Manon, la chatte
Je suis dans la piscine : il fait chaud, je me prélasse. Mon époux ne doit rentrer que dans 4 heures : j’en profite. J’entends ma chatte Manon miauler comme à son habitude : elle pousse des pointes de félin insupportable : elle est encore enfermée dans le garage des voisins. Je sens que je vais l’étrangler si elle continu, surtout que le voisin ne rentre normalement que vers 17 heures.
Il ne me déplait pas ce voisin, comme homme. Grand, costaud, brun aux yeux verts (rareté qui me donne envie de les voir de plus près) Je fais une longueur de bassin quand j’entends le voisin rentrer chez lui. Il est en avance, je ne vais pas m’en plaindre. J’enlève le bas du maillot (je ne portais rien d’autre) pour ne pas mouiller ma robe, la légère qui s’ouvre par devant. Je ne me suis pas essuyée, les traces d’humidité sont visibles sur mes seins, mes hanches. Et puis zut, je ne vais pas me gêner pour aller demander de faire sortir Manon.
J’entre directement dans le jardin voisin. Manon m’a vu et miaule encore plus fort. Je tape à la porte que le voisin ouvre étonné de me voir si peu habillée :
- Bonjour, je viens vous demander d’ouvrir votre garage, la chatte y est enfermée.
- Avec plaisir, mais entrez donc.
J’entre alors qu’il lui était facile d’ouvrir le garage. Il doit vouloir me proposer autre chose. En effet il m’offre un verre de soda bien frais. J’accepte volontiers. Nous bavardons de choses et d’autres, surtout des voisins, de sa femme, absente pour deux ou trois jours, de mon mari qui entre plus tard.
Il me retient en me disant que je lui plais beaucoup. Je ne peu par dire que c’est réciproque. Je souris simplement. Sans le faire exprès je l’attire.
Sa bouche est sur la mienne, je ne réagis pas négativement puisque je réponds à son baiser. Il a vite fait de savoir que je ne suis pas beaucoup couverte. Mes bras sont autour de son cou. Les siens sur ma taille. Je vais tout contre lui : il bande.
Il a envie de moi comme j’ai envie de lui, moi je mouille. Mon ventre frotte contre sa bite. Il me laisse le câliner ainsi. Pourtant ses mains sont plutôt agiles, fouilleuses puisqu’il les pose sur mes fesses pour remonter ma robe et appuyer son bas ventre plus fort contre moi.
Ses mains entourent mes fesses : il passe un doigt dans la raie pour aller certainement sur ma chatte. Malgré ce qu’il m’a donné à boire, j’ai chaud de sentir son doigt explorer mes fessiers. Il ne fait pas ce que j’espérais : son doigt me masse l’anus. Il doit avoir l’habitude de faire ainsi à sa femme : il me fait jouir sans aucune pénétration. C’est efficace.
Il monte ma robe jusqu’au cou pour l’enlever. Je reste devant lui nue. Il doit pense que je venais chercher la baise.
J’ouvre sa chemise pour tomber sur un torse merveilleusement glabre. Je peux embrasser ses tétons, ce qu’il me rend. J’arrive péniblement faire sortir sa bite. Elle n’est pas si grosse que ça, par contre elle est longue avec un gland presque violet. Je le branle un peu avant de me baisser pour le sucer.
Je ne reste accroupie que peu de temps : il me fait remonter pour m’embrasser encore. Quand il abandonne ma bouche c’est pour s’attaquer à mon cou. Je suis la tête sur le coté, sa bite dans la main, lui descend pour venir sur ma chatte.
Il me branle plus que bien. Il sait trouver les endroits les plus sensibles facilement. Mon clitoris ne fait pas un pli : il me fait jouir encore. Je ne sais comment il fait, il arrive à enlever son pantalon et son caleçon vite fait.
Il fléchit pour être à la bonne hauteur, passe sa queue entre mes jambes, passe mes lèvres lentement pour m’embrocher sur sa pine. Je sens mes chairs s’ouvrir facilement en ressentant le plaisir dans mon ventre. C’est tellement bon que je me penche en arrière, le bas ventre seul le touche. Je m’entends hurler quand je jouis.
Il me fait tourner : mes fesses sont contre lui. J’espère qu’il va me la mettre au cul. Je me penche en avant pour obéir à sa pression. Je mets de la cyprine sur l’anus. Il vient lentement sur mon cul. J’ouvre en grand mon trou. Je le sens à peine quand il me pénètre. C’est dommage, j’aime avoir juste un peu mal quand on me sodomise. Il entre profond : je l’aide à faire les vas et vient. Sa longueur me fait un bien fou. Je fais partie des femmes qui adorent se faire enculer, aussi je jouis bien avant lui.
Je sens toujours sa queue dans le ventre. Je me masturbe le clitoris en même temps. Pour moi ça fait parti du même rite. Il a vite fait de s’apercevoir que je me branle : il me remplace. Le salaud me faire jouir plusieurs fois ainsi, surtout quand je le sens jouir au fond de mon ventre.
Quand je me relève, sa queue n’est pas encore tout à fait tombée. Je le prends dans la main pour le masturber sans y arriver.
Un dernier baiser avant de me rhabiller ; je pars. Il me rappelle pour me dire de ne pas oublier Manon qui n’a pas arrêtée de miauler tout le temps de la baise.
Il ne me déplait pas ce voisin, comme homme. Grand, costaud, brun aux yeux verts (rareté qui me donne envie de les voir de plus près) Je fais une longueur de bassin quand j’entends le voisin rentrer chez lui. Il est en avance, je ne vais pas m’en plaindre. J’enlève le bas du maillot (je ne portais rien d’autre) pour ne pas mouiller ma robe, la légère qui s’ouvre par devant. Je ne me suis pas essuyée, les traces d’humidité sont visibles sur mes seins, mes hanches. Et puis zut, je ne vais pas me gêner pour aller demander de faire sortir Manon.
J’entre directement dans le jardin voisin. Manon m’a vu et miaule encore plus fort. Je tape à la porte que le voisin ouvre étonné de me voir si peu habillée :
- Bonjour, je viens vous demander d’ouvrir votre garage, la chatte y est enfermée.
- Avec plaisir, mais entrez donc.
J’entre alors qu’il lui était facile d’ouvrir le garage. Il doit vouloir me proposer autre chose. En effet il m’offre un verre de soda bien frais. J’accepte volontiers. Nous bavardons de choses et d’autres, surtout des voisins, de sa femme, absente pour deux ou trois jours, de mon mari qui entre plus tard.
Il me retient en me disant que je lui plais beaucoup. Je ne peu par dire que c’est réciproque. Je souris simplement. Sans le faire exprès je l’attire.
Sa bouche est sur la mienne, je ne réagis pas négativement puisque je réponds à son baiser. Il a vite fait de savoir que je ne suis pas beaucoup couverte. Mes bras sont autour de son cou. Les siens sur ma taille. Je vais tout contre lui : il bande.
Il a envie de moi comme j’ai envie de lui, moi je mouille. Mon ventre frotte contre sa bite. Il me laisse le câliner ainsi. Pourtant ses mains sont plutôt agiles, fouilleuses puisqu’il les pose sur mes fesses pour remonter ma robe et appuyer son bas ventre plus fort contre moi.
Ses mains entourent mes fesses : il passe un doigt dans la raie pour aller certainement sur ma chatte. Malgré ce qu’il m’a donné à boire, j’ai chaud de sentir son doigt explorer mes fessiers. Il ne fait pas ce que j’espérais : son doigt me masse l’anus. Il doit avoir l’habitude de faire ainsi à sa femme : il me fait jouir sans aucune pénétration. C’est efficace.
Il monte ma robe jusqu’au cou pour l’enlever. Je reste devant lui nue. Il doit pense que je venais chercher la baise.
J’ouvre sa chemise pour tomber sur un torse merveilleusement glabre. Je peux embrasser ses tétons, ce qu’il me rend. J’arrive péniblement faire sortir sa bite. Elle n’est pas si grosse que ça, par contre elle est longue avec un gland presque violet. Je le branle un peu avant de me baisser pour le sucer.
Je ne reste accroupie que peu de temps : il me fait remonter pour m’embrasser encore. Quand il abandonne ma bouche c’est pour s’attaquer à mon cou. Je suis la tête sur le coté, sa bite dans la main, lui descend pour venir sur ma chatte.
Il me branle plus que bien. Il sait trouver les endroits les plus sensibles facilement. Mon clitoris ne fait pas un pli : il me fait jouir encore. Je ne sais comment il fait, il arrive à enlever son pantalon et son caleçon vite fait.
Il fléchit pour être à la bonne hauteur, passe sa queue entre mes jambes, passe mes lèvres lentement pour m’embrocher sur sa pine. Je sens mes chairs s’ouvrir facilement en ressentant le plaisir dans mon ventre. C’est tellement bon que je me penche en arrière, le bas ventre seul le touche. Je m’entends hurler quand je jouis.
Il me fait tourner : mes fesses sont contre lui. J’espère qu’il va me la mettre au cul. Je me penche en avant pour obéir à sa pression. Je mets de la cyprine sur l’anus. Il vient lentement sur mon cul. J’ouvre en grand mon trou. Je le sens à peine quand il me pénètre. C’est dommage, j’aime avoir juste un peu mal quand on me sodomise. Il entre profond : je l’aide à faire les vas et vient. Sa longueur me fait un bien fou. Je fais partie des femmes qui adorent se faire enculer, aussi je jouis bien avant lui.
Je sens toujours sa queue dans le ventre. Je me masturbe le clitoris en même temps. Pour moi ça fait parti du même rite. Il a vite fait de s’apercevoir que je me branle : il me remplace. Le salaud me faire jouir plusieurs fois ainsi, surtout quand je le sens jouir au fond de mon ventre.
Quand je me relève, sa queue n’est pas encore tout à fait tombée. Je le prends dans la main pour le masturber sans y arriver.
Un dernier baiser avant de me rhabiller ; je pars. Il me rappelle pour me dire de ne pas oublier Manon qui n’a pas arrêtée de miauler tout le temps de la baise.
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