Marc et Lydie - chapitre 1: Mélanie

- Par l'auteur HDS Abdul75 -
Récit érotique écrit par Abdul75 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Récit libertin : Marc et Lydie - chapitre 1: Mélanie Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Marc et Lydie - chapitre 1: Mélanie
Après avoir pris acte de la décision de sa femme de donner un enfant à Youssouf son jeune amant, Marc avait décidé de laisser provisoirement sa place dans le lit conjugal à son rival africain. Il avait donc quitté son confortable domicile pour s'installer dans un hôtel résidence proche de son travail espérant que sa situation evoluerait favorablement avant la fin du bail d'un mois qu'il venait de signer avec le gérant de l'hôtel.
Lydie manquait beaucoup à Marc mais le bourreau des coeurs n'avait nullement l'intention de se laisser abattre bien décidé à continuer à honorer ses maîtresses régulieres et plus si affinités avec sa fougue et son application habituelles.
Malgré le plaisir intense qu'il leur procurait, aucune ne lui avait néanmoins proposé de venir s'installer chez elle. Il est vrai que la plupart étaient en couple et Marc comprenait très bien qu'il serait difficile à une de ses conquêtes de demander à son compagnon d'accueillir Marc sous leur toit aux prétextes qu'il la faisait jouir beaucoup mieux que lui et qu'il avait temporairement besoin d'un pied à terre.
Mélanie avait été embauchée 6 mois plus tôt au poste de comptable pour remplacer Irène une petite femme dynamique et pétillante partie en retraite le lendemain de ses 58 ans.
Mélanie qui venait de fêter ses 30 ans avait épousé Henri de 14 ans son ainé dans sa vingt-sixième année. Il sortaient ensemble depuis moins de six mois mais Henri était certain que Mélanie était la femme de sa vie. La jeune femme avait elle aussi beaucoup d'affection pour son futur mari même si leurs étreintes étaient loin de la combler. Mais comme elle avait peu d'expérience et beaucoup d'espoir elle se disait alors que le sexe avec Henri serait beaucoup plus satisfaisant après un peu plus de pratique. La situation évolua en effet de façon très bénéfique pour Mélanie mais pas exactement de la manière dont elle l'avait imaginée.

Henri découvrit ses penchants caudalistes le jour de son mariage. Alors qu'il était parti à la recherche sa femme pour la présenter à des amis, il la découvrit dans la chambre nuptiale en train de sucer la grosse bite de Mustafa son témoin. Loin de s'insurger ou de se désespérer il avait regardé, la queue tendue, caché dans l'obscurité de l'entrée sa chérie adorée donner du plaisir à son copain jusqu'à ce que dernier aït vidé ses grosses couilles poilues dans la large bouche de Mélanie. Henri avait ensuite quitté la chambre sur la pointe des pieds espérant qu'aucun des deux protagonistes ne l'avait remarqué.
Le jeune marié quelque peu désorienté venait alors de comprendre que ses modestes attributs ne lui permettraient sans doute pas de satisfaire l'appétit sexuel de son épouse adorée. Mais il l'avait épousée pour le meilleur et pour le pire et il était certain qu'ils trouveraient le moyen d'assouvir ensemble leurs pulsions. Henri trouva très vite la solution pour offrir à son épouse la nuit de noces inoubliable qu'elle méritait. Deux heures plus tard alors que l'alcool avait déjà fait son effet parmi les nombreux invités de la fête, Henri avait demandé à son témoin de le suivre dans un coin discret du Grand jardin attenant à la salle de réception. Je vous ai vu tout à l'heure dans la chambre avec Mélanie avait il commencé t-il sur un ton détaché. Mustafa avait blêmi d'un coup. Mais Henri l'avait rassuré aussitôt. Ne t'en fais pas; je ne vais pas faire de scandale. Je veux au contraire te demander de m'aider à offrir une nuit de noces inoubliable à Mélanie. Malgré sa surprise Mustafa avait vu immédiatement son intérêt et l'opportunité de se taper cette blonde aux formes généreuses qui l'excitait tant.
Comme convenu il avait alors rejoint discrètement la chambre nuptiale dans la nuit une demi heure après les jeunes mariés et il avait honoré la blonde pulpeuse par tous les orifices jusqu'au petit matin avant de disparaître aussi discrètement qu'il était venu. Les gémissements et les cris de plaisir de Mélanie n'avaient pas échappé au personnel et aux autres résidents de l'hôtel qui n'economiserent pas les marques de respect admiratif en croisant Henri après son réveil.
Ravi de cette nuit de Noces particulièrement reussie le couple eut une nouvelle occasion de s'éclater lors du voyage qui s'ensuivit. Henri avait eut l'idée d'offrir à sa belle une croisière en amoureux dans les Caraïbes dans un luxueux voilier privatisé pour l'occasion. À part le jeune couple les seuls occupants du bateau étaient Oscar, le skipper antillais plutôt blagueur et Carter le cuisinier jamaïcain, un colosse noir à la carrure impressionnante. Entre chaque escale les activités principales du couple étaient la plongée avec tuba, la natation dans les eaux chaudes et transparentes, les délicieux en-cas accompagnés de rhum mélangés ou de bière fraîche et les séances de bronzage intégral sur le pont du bateau. Le corps halé et plantureux de Mélanie avait évidemment donné des idées à Oscar et comme la jeune épouse ne s'offusquait pas de le voir se rincer l'oeil plus souvent qu'à son tour, il n'avait pas attendu le troisieme jour pour lui proposer de nager avec lui dans les eaux paradisiaques. Après avoir jeté l'ancre peu avant la tombée de la nuit, il invita donc Mélanie qui accepta sans chichis de se baigner avec lui et attendit qu'oscar retire son bermuda dévoilant sa belle queue noire et épaisse avant de plonger dans l'ocean. Attrape moi si tu peux avait elle crié au skipper avant de se lancer dans un crawl hésitant. Oscar avait rejoint la belle à une cinquantaine de mètres du bateau à un endroit où ils avaient pied tous les deux. Henri avait regardé son épouse rire et chahuter avec le skipper jusqu'à ce que le noir s'approche de Mélanie pour l'embrasser. La jolie blonde toute emoustillée avait répondu avec fougue au baiser et alors qu'elle avait senti le dard imposant d'Oscar se dresser contre sa cuisse , elle s'en était saisi pour l'introduire dans sa chatte.
Le mâle s'etait mis à la limer et Mélanie avait vite gémi sous les coups de boutoir de son amant. Ses cris se firent de plus en plus percants jusqu'à ce qu'un violent orgasme la fasse hurler de plaisir. Henri qui s'etait astiqué le manche la main dans le caleçon pendant toute la durée du coït ne put se retenir d'éjaculer à son tour. C'est alors qu'il remarqua Carter debout à ses côtés. Le colosse fasciné par la blonde plantureuse branlait lentement son sexe démesuré à l'épaisseur incroyable.
Lorsqu'elle remonta sur le pont grâce à l'échelle de bord la sève d'Oscar suintant de sa fente luisante Mélanie poussa un cri de stupeur en découvrant le tenon monstrueux pointé vers elle.
Constatant le trouble qui venait de la gagner, Henri s'adressa à son épouse :Tu devrais accompagner notre ami cuisinier dans la cabine avait il suggéré d'une voix neutre. Pendant près d'une heure installé sur la banquette du pont, le mari conciliant avait siroté du Rhum en se tripotant tandis que Mélanie enchaînait les orgasmes à l'intérieur du bateau en hurlant de plaisir. À partir de ce moment, Mélanie passa une bonne partie de son temps à se faire démonter par les deux noirs subissant jusqu'à plus soif les baises sauvages, les enculades déchaînées et les double pénétrations d'anthologie imposées par les deux hommes. Henri en immortalisa une grande partie sur son Nikon de quoi constituer un bel album souvenir pour les vieux jours du couple.
De retour après ce voyage de noces inoubliable, Henri et Mélanie s'étaient installés dans le pavillon qu'Henri possédait à Malakoff en banlieue parisienne. Henri travaillait beaucoup faisant prospérer son Agence immobilière et assurant ainsi à son couple un train de vie confortable. Comme Mélanie avait beaucoup plus de temps libre, Henri lui avait suggéré de s'inscrire sur un site libertin pour trouver des étalons sains et respectueux qui accepteraient de recevoir le couple pour que l'homme baise Mélanie devant son mari lors de rapports protégés.
Si la relation évoluait selon leur attente, le couple était alors prêt à recevoir l'amant à domicile pour qu'il honore Mélanie dans le vaste lit conjugal.
Mélanie avait été embauchée 6 mois plus tôt dans la société où Marc exerçait la fonction de directeur commercial. Cette jolie blonde plantureuse de 30 ans avec un faux air de Marylin avait tout de suite intrigué Marc d'autant plus qu'il appréciait beaucoup qu'elle assume fierement ses formes généreuses et ses petits bourrelets en n'hésitant pas à porter des tenues sexys et des talons vertigineux. Malgré son intérêt pour cette belle plante épanouie, Marc n'avait jusqu'à présent jamais tenté de l'ajouter à son tableau de chasse alors qu'il était notoire qu'il avait déjà sauté la moitié de l'effectif féminin du siège depuis son arrivée dans l'entreprise. Christiane la collègue de Mélanie le lui avait d'ailleurs confirmé lorsqu'elle lui avait confié avoir couché avec le beau Marc quelques semaines après son arrivée dans la boîte. Christiane n'avait d'ailleurs pas omis de préciser que Marc était non seulement l'homme le mieux monté qu'elle ait rencontré jusqu'alors mais aussi le meilleur amant qu'elle ait jamais connu. Bien sûr elle n'imaginait pas la vie sexuelle trépidante de Mélanie ainsi que son goût avéré pour les gros braquemarts noirs. Mais comme une bonne partie des employées de l'entreprise la blonde plantureuse avait elle aussi flashé sur ce bel homme athlétique au visage volontaire et avenant.
En la voyant franchir la porte de l'établissement ce jour là, Marc trouva Mélanie particulièrement bandante. Elle portait à même la peau un tailleur moulant composé d'une veste et d'une jupe et Marc fut littéralement subjugué par son look. Comme Mélanie n'avait mis ni slip ni soutien-gorge, on pouvait aisément avoir une vue imprenable sur la profonde vallée qui séparait ses seins voluptueux. Le reste de la tenue de la jolie blonde était constitué d'un large serre-taille gris qui remontait sous son nombril, de bas opaques gris foncé et de jolis sandales à talons fins de 14 cm. Excité par le spectacle offert par la comptable, Marc se dit qu'il était temps de passer à l'offensive. Peu avant midi, alors que Christiane la collègue de mélanie avait déjà quitté son poste pour la pause déjeuner, Marc entra dans le bureau de la comptabilité d'un pas décidé. Bonjour Mélanie, commença t-il, je comptais inviter Jean-Luc ton chef à déjeuner avec moi. Sais-tu où il est? Lorsque Mélanie crut lui apprendre que Jean-Luc serait absent toute la journée, Marc rebondit aussitôt. Ce sera pour une autre fois alors. Mais comme j'ai envie d'une pizza, je serais très heureux que tu m'accompagnes. J'ai horreur de manger seul. Mélanie lui fit un grand sourire avant d'accepter sa proposition avec empressement. Le déjeuner fut très plaisant et une heure plus tard Mélanie accepta d'accompagner Marc à sa résidence provisoire située non loin de là. Confortablement installé dans le fauteuil, l'homme regardait sa dernière conquête déboutonner sensuellement sa veste et lui dévoiler ses seins opulents à la fermeté etonnante pour des appendices aussi volumineux. Lorsque la jolie blonde fit lentement glisser sa jupe le long de ses cuisses épaisses, Marc était aux anges. Quel cul nom de Dieu jura-t'il. Approche que je puisse le pétrir et me repaitre de son odeur avant d'y planter mon dard. Quel poète rigola Mélanie, une fois débarassée de son tailleur avant de s'approcher de Marc pour lui offrir son popotin joufflu. Après avoir permis à son séducteur de caresser, de lécher et de titiller ses fesses et son anus à loisir, Mélanie s'agenouilla entre ses cuisses pour s'occuper de sa braguette au bord de l'explosion. Rapidement elle put libérer la queue majestueuse qui se dressa fièrement vers le ciel avant qu'elle l'embouche avec délice. Au bout d'une heure et demies d'étreintes éreintantes, Mélanie déclara forfait rassassiée et comblée par l'infatigable Marc. Tendrement blottie contre le corps musclé de son amant caressant lentement les abdominaux parfaitement dessinés, la blonde pulpeuse l'écoutait avec intérêt lui parler de son couple, de leur mode de vie fondé sur une liberté et une confiance mutuelle totales et surtout de l'amour profond qu'il éprouvait pour son épouse. Lorsqu'il lui fit part sans entrer dans les détails de leur décision récente de faire un break, Mélanie sembla vraiment émue. Je comprends mieux pourquoi ton sac de voyages se trouve ici déclara -t-elle alors en embrassant Marc avec tendresse, pourquoi ne viendrais-tu pas diner à la maison ce soir. Henri sera ravi de te rencontrer. Bien qu'un peu surpris, le cadre supérieur accepta l'invitation sans arrière pensée. En fin d'après-midi peu avant 18h00, Mélanie passa récupérer Marc dans son bureau. Je viens toujours bosser en voiture expliqua-t'elle. çà me permet de mettre les tenues que j'aime sans me faire importuner dans les transports. D'autant plus qu'avec mes avantages conséquents, j'attire les lourdauds comme le miel les abeilles. Après plus de 40 minutes passées dans les embouteillages parisiens, Mélanie garait sa citadine dans le sous-sol d'un confortable pavillon de malakoff. En découvrant Henri, Marc comprit tout de suite qu'il n'était pas bâti pour répondre à la sensualité débordante de sa jeune épouse. Le mari le salua d'une poignée de main franche et amicale en lui souhaitant bienvenue. Mélanie conduisit ensuite les deux hommes dans le salon et se dirigea vers la cuisine pour préparer l'apéritif. Une fois assis, Henri s'adressa à son invité. Mélanie m'a appelé tout à l'heure pour me raconter la manière dont vous avez passé une bonne partie de l'après-midi. Je suis ravi qu'elle ait rencontré un collègue vigoureux et respectueux et qu'elle ait décidé de l'inviter chez nous. çà nous change des étalons qu'elle ramasse habituellement sur Internet. Comme tu l'auras compris, ajouta Henri avant que Marc le questionne, nous sommes un couple candauliste et rien n'est plus important pour moi que le bonheur et le plaisir de Mélanie. Celle-ci qui venait d'apparaître un plateau à la main, le posa sur la table avant d'aller embrasser son mari avec tendresse. Elle avait troqué la veste de son tailleur contre un dos nu au décolleté vertigineux qui découvrait l'intégralité de ses bras et de ses épaules. Je vais faire le service si vous le voulez bien déclara alors Marc en se levant laissant Mélanie se blottir amoureusement contre son mari. Tu as de la chance henri d'avoir une femme aimante comme Mélanie. Elle a un visage radieux aux traits magnifiques et je trouve ses formes belles et émouvantes. En plus elle sait si bien les mettre en valeur. Ils devisèrent ainsi pendant un bon quart d'heure avant que Mélanie se lève pour aller préparer un diner léger. En conversant avec Henri, Marc le trouva ouvert, cultivé et très sympathique et il était très heureux de partager la soirée avec ce couple pour le moins atypique. J'ai proposé à Marc de passer la nuit à la maison annonça Henri à son épouse alors qu'ils terminaient l'entrée. Il dormira avec toi dans notre lit si tu es d'accord bien sûr. C'est adorable mon chéri lâcha Mélanie aux anges. je suis ravie que tu aies fait cette proposition à Marc et qu'il l'ait accepté. Je ne vois pas comment j'aurais pu refuser de partager le lit de la plus belle femme de la boîte déclara l'invité en souriant de toutes ses dents. Mais j'aimerais bien que tu nous fasses profiter de ton cul magnifique avant que nous allions nous coucher. L'oeil brillant, Mélanie se leva alors et retira sa jupe dévoilant sa toison soigneusement entretenue et son large fessier aux deux convives avant de s'approcher de Marc qui ne put s'empêcher de glisser sa main entre les cuisses épaisses pour caresser la fente de Mélanie. Tu sens le foutre ma belle lâcha Marc en humant ses doigts. C'est vrai mon chéri avoua la blonde à son mari avec une légère bgêne, j'ai eu envie de sentir Marc se vider en moi et ce coquin a déchargé de sacrées doses de sperme dans tous mes orifices.
À la fin du repas, Henri avait proposé de débarasser et de s'occuper de la vaisselle. Mélanie avait alors pris la main de Marc pour l'emmener dans la chambre conjugale. Après un passage particulièrement torride dans la grande douche à l'italienne, les deux amants se retrouvèrent dans le lit gigantesque. Agenouillé derrière Mélanie à quatre pattes la tête posée sur l'oreiller, Marc limait énergiquement la pulpeuse blonde en la maintenant fermement par ses larges hanches. Henri installé dans le fauteuil situé au coin de la pièce se masturbait en admirant son épouse gémir de plaisir fasciné par le ballotement de ses gros nichons et de ses fesses généreuses sous les coups de boutoir de l'étalon. Marc accordait le rythme de ses allers et retours dans la chatte accueillante aux soupirs de sa maîtresse dont les cris emplissaient de plus en plus la pièce. Lorsque l'énorme bite de son amant se mit à tressauter au fond de son con Mélanie fut submergée par un formidable orgasme et se tendit comme un arc alors qu'un jet chaud et puissant se deversait dans son intimité. Les deux amants s'ecroulerent alors sur le lit avant de se renverser sur le dos. Dans cette position Mélanie couchée sur Marc offrait à son mari le spectacle de son corps rassasié la pine majestueuse de Marc toujours fichée dans sa chatte. Viens me lécher mon amour déclara-t-elle alors à son mari. Henri s'approcha puis s'installa sur le lit pour saisir la queue ramollie de Marc et l extirper du con béant libérant ainsi la sève abondante du male. Il se pencha alors sur la chatte luisante qu'il se mit à lécher délicatement en aspirant avec délice le nectar qui s'ecoulait de la fente trempée. Puis peu à peu il introduisit ses doigts dans l'intimité de Mélanie pour la branler de plus en plus vite dilatant peu à peu sa large chatte jusqu'à ce que sa main disparaisse entièrement. Puis il massa l'intérieur des chairs intimes de Mélanie jusqu'à ce qu'un orgasme fabuleux envoie sa femme au septième ciel. Après cette soirée très réussie Henri proposa à Marc de s'installer dans le pavillon aussi longtemps qu'il le souhaite. Marc accepta la proposition et honorait avec fougue chaque nuit Mélanie qui l'accompagnait le matin au bureau. Même s'il trouvait sa situation très agréable, Marc ne pouvait évidemment s'empêcher de penser à Lydie et il finit par se dire après plus d'un mois de séparation qu'il était temps de reprendre contact avec la femme de sa vie.

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