Mari femelle (3/4)
Récit érotique écrit par Mecbidocile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-11-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mari femelle (3/4)
Marc fut poussé violemment sur la couchette au fond de la cabine. Abdou lui ordonna de se mettre à quatre pattes, la joue sur la couchette, croupe relevée au maximum et cuisses écartées. Dans cette position, on ne voyait plus que l’anus de Marc sous la lumière crue du plafonnier. Les couilles pendantes et la verge désormais inutile, Marc se sentait soumis et s’attendait à être violé sans ménagement.
Abdou se dégrafa et s’approcha du cul exposé à sa vue. Sa bite de vingt centimètres en érection, il se positionna à l’entrée de l’orifice ainsi offert.
Il resta quelques secondes en contemplation devant cet anneau brun et légèrement entrouvert. Il cracha sur ses doigts et entreprit de lubrifier cette chatte qu’il était le premier à bord à utiliser. Son gland commença à se frayer un chemin, avec une douceur qui surprit Marc. Mais très vite Abdou s’enfonça davantage et Marc ne put retenir un cri de douleur, affolé par la sensation que ce sexe énorme allait lui déchirer l’anneau.
« Tais-toi salope », lui intima Abdou. « Tu n’auras pas mal longtemps et dans deux jours, avec tous les mecs qui te seront passés dessus, ton trou restera ouvert en permanence ».
Abdou s’enfonça d’un seul coup et vint buter au fond de la chatte de Marc qui étouffa un cri de douleur. Puis Abdou le besogna lentement, assouplissant l’anus offert, faisant de lents mouvements avant d’accélérer. Maintenant, les coups de boutoir d’Abdou se déchaînaient. Marc sentait son trou s’ouvrir et commençait à ressentir du plaisir. Il geignait doucement, comme une femme, la femme qu’il était devenu. Il avait du mal à conserver son équilibre sous l’effort et Abdou l’empoigna par les hanches, l’insultant en arabe. Puis tout à coup, Abdou le retourna sur la couchette, le tint par les chevilles, écartant ses jambes, sans même sortir de son cul. Il se coucha de tout son long sur Marc qui sentit le poids de son corps l’écraser tandis que la langue d’Abdou forçait le passage de ses lèvres et fouillait sa bouche. Marc s’abandonna, jamais il n’avait été aussi heureux. Il comprit qu’Abdou venait et allait l’ensemencer. Dans un râle, Abdou éjacula, inondant la chatte de Marc de longs jets chauds que celui-ci sentit avec un immense bonheur.
Abdou se retira aussitôt et présenta sa queue à Marc qui s’empressa de la prendre avec reconnaissance dans sa bouche pour la nettoyer et ne pas perdre une goutte de la semence qui perlait du méat. Mais Abdou bandait encore. Il tira Marc sur le bord du lit et l’encula à nouveau d’un seul coup de reins. Lubrifiée par le sperme d’Abdou, encore béante, sa chatte accueillit le sexe dressé. Immédiatement après, Marc se sentit soulevé par des bras puissants et plaqué le dos contre la cloison de métal de la cabine. Assis sur la verge d’Abdou, il mit instinctivement les jambes autour de la taille de son amant et ses bras autour de son cou et se laissa travailler, la tête rejetée en arrière, les yeux mi-clos. Abdou plaça ses mains sous les fesses de Marc. Il le soulevait légèrement pour mieux ensuite le laisser descendre sur sa verge. Marc la sentait au fond de lui, entre ses reins, dure, vivante, palpitante. Dans cette position, il se sentait totalement femme, enfin lui-même, toute dignité d’homme abdiquée. A nouveau, au bout de quelques minutes, Abdou jouit au fond de Marc puis le releva d’un coup. Prestement, il recueillit avec la main le foutre qui s’échappait de l’anus de Marc. Il tendit la main vers la bouche de Marc qui lécha consciencieusement et avec avidité le jus épais. Il accomplissait ces gestes avec un tel naturel, un tel instinct qu’Abdou ne put s’empêcher d’éprouver furtivement une sorte d’admiration.
« C’était un aperçu de ce qui t’attend pendant trois semaines », lui dit Abou. « Il y a encore une vingtaine de mecs qui attendent leur tour, alors voilà comment ça va se passer ».
« A partir de maintenant, on va te mettre à la diète car tu as un peu de ventre pour une femelle. Pendant 4 ou 5 jours, on va te nourrir à notre façon : tu ne mangeras pas autre chose que le sperme qu‘on te donnera».
Cette annonce provoqua chez Marc la plus grande excitation. Il entra en érection, pas pour longtemps car Abdou lui donna aussitôt une claque puissante sur la verge. « N’oublie pas que tu es une femme, et ta queue n’a aucune utilité ici, seuls tes trous nous intéressent ».
Puis Abdou alla ouvrir la porte de sa cabine. Plusieurs hommes attendaient dans la coursive. « Elle est à vous maintenant » leur dit Abdou en poussant sans ménagement Marc dehors. « Emmenez-la dans l’entrepont. »
Marc se retrouva au milieu de cinq hommes surexcités qui l’entourèrent, lui caressèrent les seins, les fesses, insinuèrent leurs doigts dans sa chatte humide de sperme. Ils l’emmenèrent dans un petit local, une sorte de hangar dont un côté n’était pas fermé et donnait directement sur le pont. L’un après l’autre, ils déchargèrent qui dans la bouche, qui dans la chatte de Marc, dans des halètements et des grognements de plaisir. A présent, Marc était épuisé et se serait volontiers effondré de sommeil mais il sentit qu’on lui attachait un collier autour du cou, avec une chaîne de plusieurs mètres de longueur attachée à la rambarde à l’extérieur. Le tout était fixé par deux cadenas, un sur le collier, le second à l’autre bout de la chaîne sur la rambarde.
Au sol, une paillasse, une écuelle d’eau et les godes qu’on lui avait demandé d’apporter avec lui.
Les hommes le quittèrent et Marc but avidement. Un peu plus tard, Abdou revint le voir et lui expliqua qu’il passerait ici le reste de son séjour à bord. Il ne quitterait le local que pour être lavé et rasé par les deux vieilles femmes ou lorsqu’Abdou l’emmènerait dans sa cabine. Il serait disponible ici en permanence pour les hommes qui ne seraient pas de quart et devrait entre deux visites se goder régulièrement pour garder sa chatte toujours prête à servir.
Les jours suivants, Marc eut du mal à dormir, tenaillé par la faim et les visites incessantes des hommes d’équipage. La quatrième jour, il se surprit à attendre avec impatience ces visites, espérant chaque fois, tellement il avait faim, que les hommes déchargeraient dans sa bouche. Il se sentait sale, barbu, son cou était blessé par le collier, il avait été fécondé des dizaines de fois et le sol autour de lui était glissant du sperme qui s’écoulait sans arrêt de son anus dont il ne maîtrisait plus les sphincters. Mais heureusement il n’avait pas mal, son corps s’était habitué à ce traitement.
Le cinquième jour, pendant que deux hommes se vidaient, l’un dans sa bouche, l’autre dans sa chatte, il eut la surprise de voir deux femmes. Pas les femmes âgés, non, deux des femmes réservées aux princes. Elles observaient la scène avec stupéfaction, une lueur d’excitation dans le regard. Les voyant, les deux hommes redoublèrent d‘ardeur. L’un des deux jouit dans la bouche de Marc qui tourna un visage hébété vers les deux spectatrices, la bouche encore pleine de sperme. Le second homme d’équipage, un grand costaud un peu bedonnant mais monté comme un âne, voulait montrer sa force aux deux femmes. Il souleva Marc comme une plume, le tenant par la taille, et l’enfila d’un seul coup sur son pieu. Marc ne put retenir un cri de surprise et de douleur. Celle-ci disparut l’instant d’après, tellement sa chatte avait été élargie les jours passés. Il ne pouvait voir le matelot car celui-ci était derrière lui et le soulevait alternativement jusqu’à ce que son sexe ressorte complètement de sa chatte puis il l’empalait de nouveau. Dans l’intervalle, la chatte de Marc n’avait pas le temps de se refermer et il l’offrait, béante, à la vue des deux femmes, ainsi que son sexe et ses couilles qui ballotaient, inutiles. Le matelot finit par jouir dans le cul de Marc, mais celui-ci était trop ouvert pour pouvoir retenir toute cette semence qui coula le long de ses cuisses et tomba sur le sol. En l’insultant, l’homme lui dit de lécher le sol, ce que fit Marc en s’agenouillant humblement, sa chatte continuant de relâcher de petits jets de sperme. Il avait perdu tout sentiment de dignité et cette scène avait pour les deux jeunes femmes une sorte de beauté fascinante et diabolique.
Abdou se dégrafa et s’approcha du cul exposé à sa vue. Sa bite de vingt centimètres en érection, il se positionna à l’entrée de l’orifice ainsi offert.
Il resta quelques secondes en contemplation devant cet anneau brun et légèrement entrouvert. Il cracha sur ses doigts et entreprit de lubrifier cette chatte qu’il était le premier à bord à utiliser. Son gland commença à se frayer un chemin, avec une douceur qui surprit Marc. Mais très vite Abdou s’enfonça davantage et Marc ne put retenir un cri de douleur, affolé par la sensation que ce sexe énorme allait lui déchirer l’anneau.
« Tais-toi salope », lui intima Abdou. « Tu n’auras pas mal longtemps et dans deux jours, avec tous les mecs qui te seront passés dessus, ton trou restera ouvert en permanence ».
Abdou s’enfonça d’un seul coup et vint buter au fond de la chatte de Marc qui étouffa un cri de douleur. Puis Abdou le besogna lentement, assouplissant l’anus offert, faisant de lents mouvements avant d’accélérer. Maintenant, les coups de boutoir d’Abdou se déchaînaient. Marc sentait son trou s’ouvrir et commençait à ressentir du plaisir. Il geignait doucement, comme une femme, la femme qu’il était devenu. Il avait du mal à conserver son équilibre sous l’effort et Abdou l’empoigna par les hanches, l’insultant en arabe. Puis tout à coup, Abdou le retourna sur la couchette, le tint par les chevilles, écartant ses jambes, sans même sortir de son cul. Il se coucha de tout son long sur Marc qui sentit le poids de son corps l’écraser tandis que la langue d’Abdou forçait le passage de ses lèvres et fouillait sa bouche. Marc s’abandonna, jamais il n’avait été aussi heureux. Il comprit qu’Abdou venait et allait l’ensemencer. Dans un râle, Abdou éjacula, inondant la chatte de Marc de longs jets chauds que celui-ci sentit avec un immense bonheur.
Abdou se retira aussitôt et présenta sa queue à Marc qui s’empressa de la prendre avec reconnaissance dans sa bouche pour la nettoyer et ne pas perdre une goutte de la semence qui perlait du méat. Mais Abdou bandait encore. Il tira Marc sur le bord du lit et l’encula à nouveau d’un seul coup de reins. Lubrifiée par le sperme d’Abdou, encore béante, sa chatte accueillit le sexe dressé. Immédiatement après, Marc se sentit soulevé par des bras puissants et plaqué le dos contre la cloison de métal de la cabine. Assis sur la verge d’Abdou, il mit instinctivement les jambes autour de la taille de son amant et ses bras autour de son cou et se laissa travailler, la tête rejetée en arrière, les yeux mi-clos. Abdou plaça ses mains sous les fesses de Marc. Il le soulevait légèrement pour mieux ensuite le laisser descendre sur sa verge. Marc la sentait au fond de lui, entre ses reins, dure, vivante, palpitante. Dans cette position, il se sentait totalement femme, enfin lui-même, toute dignité d’homme abdiquée. A nouveau, au bout de quelques minutes, Abdou jouit au fond de Marc puis le releva d’un coup. Prestement, il recueillit avec la main le foutre qui s’échappait de l’anus de Marc. Il tendit la main vers la bouche de Marc qui lécha consciencieusement et avec avidité le jus épais. Il accomplissait ces gestes avec un tel naturel, un tel instinct qu’Abdou ne put s’empêcher d’éprouver furtivement une sorte d’admiration.
« C’était un aperçu de ce qui t’attend pendant trois semaines », lui dit Abou. « Il y a encore une vingtaine de mecs qui attendent leur tour, alors voilà comment ça va se passer ».
« A partir de maintenant, on va te mettre à la diète car tu as un peu de ventre pour une femelle. Pendant 4 ou 5 jours, on va te nourrir à notre façon : tu ne mangeras pas autre chose que le sperme qu‘on te donnera».
Cette annonce provoqua chez Marc la plus grande excitation. Il entra en érection, pas pour longtemps car Abdou lui donna aussitôt une claque puissante sur la verge. « N’oublie pas que tu es une femme, et ta queue n’a aucune utilité ici, seuls tes trous nous intéressent ».
Puis Abdou alla ouvrir la porte de sa cabine. Plusieurs hommes attendaient dans la coursive. « Elle est à vous maintenant » leur dit Abdou en poussant sans ménagement Marc dehors. « Emmenez-la dans l’entrepont. »
Marc se retrouva au milieu de cinq hommes surexcités qui l’entourèrent, lui caressèrent les seins, les fesses, insinuèrent leurs doigts dans sa chatte humide de sperme. Ils l’emmenèrent dans un petit local, une sorte de hangar dont un côté n’était pas fermé et donnait directement sur le pont. L’un après l’autre, ils déchargèrent qui dans la bouche, qui dans la chatte de Marc, dans des halètements et des grognements de plaisir. A présent, Marc était épuisé et se serait volontiers effondré de sommeil mais il sentit qu’on lui attachait un collier autour du cou, avec une chaîne de plusieurs mètres de longueur attachée à la rambarde à l’extérieur. Le tout était fixé par deux cadenas, un sur le collier, le second à l’autre bout de la chaîne sur la rambarde.
Au sol, une paillasse, une écuelle d’eau et les godes qu’on lui avait demandé d’apporter avec lui.
Les hommes le quittèrent et Marc but avidement. Un peu plus tard, Abdou revint le voir et lui expliqua qu’il passerait ici le reste de son séjour à bord. Il ne quitterait le local que pour être lavé et rasé par les deux vieilles femmes ou lorsqu’Abdou l’emmènerait dans sa cabine. Il serait disponible ici en permanence pour les hommes qui ne seraient pas de quart et devrait entre deux visites se goder régulièrement pour garder sa chatte toujours prête à servir.
Les jours suivants, Marc eut du mal à dormir, tenaillé par la faim et les visites incessantes des hommes d’équipage. La quatrième jour, il se surprit à attendre avec impatience ces visites, espérant chaque fois, tellement il avait faim, que les hommes déchargeraient dans sa bouche. Il se sentait sale, barbu, son cou était blessé par le collier, il avait été fécondé des dizaines de fois et le sol autour de lui était glissant du sperme qui s’écoulait sans arrêt de son anus dont il ne maîtrisait plus les sphincters. Mais heureusement il n’avait pas mal, son corps s’était habitué à ce traitement.
Le cinquième jour, pendant que deux hommes se vidaient, l’un dans sa bouche, l’autre dans sa chatte, il eut la surprise de voir deux femmes. Pas les femmes âgés, non, deux des femmes réservées aux princes. Elles observaient la scène avec stupéfaction, une lueur d’excitation dans le regard. Les voyant, les deux hommes redoublèrent d‘ardeur. L’un des deux jouit dans la bouche de Marc qui tourna un visage hébété vers les deux spectatrices, la bouche encore pleine de sperme. Le second homme d’équipage, un grand costaud un peu bedonnant mais monté comme un âne, voulait montrer sa force aux deux femmes. Il souleva Marc comme une plume, le tenant par la taille, et l’enfila d’un seul coup sur son pieu. Marc ne put retenir un cri de surprise et de douleur. Celle-ci disparut l’instant d’après, tellement sa chatte avait été élargie les jours passés. Il ne pouvait voir le matelot car celui-ci était derrière lui et le soulevait alternativement jusqu’à ce que son sexe ressorte complètement de sa chatte puis il l’empalait de nouveau. Dans l’intervalle, la chatte de Marc n’avait pas le temps de se refermer et il l’offrait, béante, à la vue des deux femmes, ainsi que son sexe et ses couilles qui ballotaient, inutiles. Le matelot finit par jouir dans le cul de Marc, mais celui-ci était trop ouvert pour pouvoir retenir toute cette semence qui coula le long de ses cuisses et tomba sur le sol. En l’insultant, l’homme lui dit de lécher le sol, ce que fit Marc en s’agenouillant humblement, sa chatte continuant de relâcher de petits jets de sperme. Il avait perdu tout sentiment de dignité et cette scène avait pour les deux jeunes femmes une sorte de beauté fascinante et diabolique.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
salut tu mets la suite quand ???? suis tres impatient
Wow vraiment j'attendais ce passage de l'histoire avec impatience...vivement la dernière partie ^^
histoire reelle ou imaginaire JE CONSTATE QUE LE SPERME COULE A FLOT DITE MOI CHEZ VOUS LE SIDA EXISTE PAS ?????
quel bonheur merci
Je mouille comme une chienne continue !
superbe recit comme les autre. continue :)