Titre de l'histoire érotique : Une petite exhibition dans Paris
Récit érotique écrit par Mecbidocile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Une petite exhibition dans Paris
Voici une histoire 100 % vraie qui m’est arrivée à Paris il y a quelques années.
J’avais rencontré un mec sur internet. Il habitait la place d’Italie.
J’étais seul ce soit là, ma femme et mes enfants étant en vacances en province et moi resté dans la capitale pour le travail. Passif, soumis et exhib, j’aime porter des dessous de femme et des talons aiguille. Certes pas complètement travesti : je n’aime pas porter perruque et je reste cul et queue à l’air dans mes expéditions.
Le mec habitait une des tours situées au-dessus du centre commercial de la place d’Italie. Je devais le rejoindre en guêpière, porte-jarretelles, bas résille et talons aiguille, absolument rien d’autre sur moi et l’appeler quand je serais en bas de la tour.
Je suis arrivé en tenue et en voiture et me suis garé dans une petite rue de l’autre côté de l’avenue d’Italie. Il était environ 1 heure du matin. On était en été et l’air était doux.
Je suis sorti de ma voiture après avoir bien observé les environs. Personne. J’ai commencé à marcher vers l’avenue d’Italie. Jusque-là pas de problème. Mais ensuite il allait falloir traverser l’avenue, toujours fréquentée quelle que soit l’heure.
Je suis entré dans une cabine téléphonique en attendant un trou dans la circulation. Un homme est passé à proximité et s’est approché de la cabine. Je me suis retourné rapidement et il n’a pas vu que j’étais un homme. Mais la vue de mon cul nu l’a fait hésiter. Finalement il a poursuivi son chemin. J’ai traversé rapidement l’avenue, heureusement vide de voitures et j’ai gravi le petit escalier qui monte au-dessus du centre commercial.
Arrivé en bas de la tour, dont de nombreuses fenêtres étaient encore éclairées, j’ai appelé le mec pour lui demander comment entrer dans la tour.
Il m’a ordonné de rester un moment dehors et de me doigter, bien en vue sous un réverbère, tandis qu’il me regarderait depuis son appartement.
Je me suis exécuté et me suis penché en avant, écartant bien les jambes et les fesses sous la lumière crue du lampadaire et j’ai commencé à me doigter, un doigt, puis deux puis trois. J’étais très excité de faire la salope de la sorte, en plein Paris.
Soudain, un jeune couple rentrant chez lui est passé à une dizaine de mètres. Devais-je prendre mes jambes à mon cou et essayait de déguerpir avec mes talons aiguille? J’ai finalement décidé de rester, la croupe tournée vers eux, et j’ai continué à me doigter. Après qu’ils soient entrés dans la tour, j’ai rappelé le mec mais il m’a dit de continuer. Dix minutes plus tard, j’ai vu une voiture de police passer lentement sur l’avenue. De toute évidence, le jeune couple avait appelé le commissariat du 13e tout proche.
J’ai rappelé le mec dans la plus grande anxiété. Il avait vu la voiture de police et m’a donné le code d’entrée et l’étage. J’ai foncé aussi vite que possible dans le hall de l’immeuble et appelé un ascenseur. Là, nouveau problème : si l’ascenseur qui descendait était rempli, j’aurais l’air fin. Le cœur battant je suis resté sur place : pas moyen de m’éclipser ailleurs avec la police dehors. Finalement la porte s’est ouverte : personne dans l’ascenseur.
Je suis monté jusqu’à l’étage indiqué et là j’ai dû traverser le couloir en rampant à 4 pattes jusqu’à une porte entr’ouverte. Finalement, après avoir reçu une très forte fessée, j’ai passé un moment agréable dont je ne me souviens pourtant plus des détails tant ce qui a précédé m’est resté gravé dans la mémoire!
J’avais rencontré un mec sur internet. Il habitait la place d’Italie.
J’étais seul ce soit là, ma femme et mes enfants étant en vacances en province et moi resté dans la capitale pour le travail. Passif, soumis et exhib, j’aime porter des dessous de femme et des talons aiguille. Certes pas complètement travesti : je n’aime pas porter perruque et je reste cul et queue à l’air dans mes expéditions.
Le mec habitait une des tours situées au-dessus du centre commercial de la place d’Italie. Je devais le rejoindre en guêpière, porte-jarretelles, bas résille et talons aiguille, absolument rien d’autre sur moi et l’appeler quand je serais en bas de la tour.
Je suis arrivé en tenue et en voiture et me suis garé dans une petite rue de l’autre côté de l’avenue d’Italie. Il était environ 1 heure du matin. On était en été et l’air était doux.
Je suis sorti de ma voiture après avoir bien observé les environs. Personne. J’ai commencé à marcher vers l’avenue d’Italie. Jusque-là pas de problème. Mais ensuite il allait falloir traverser l’avenue, toujours fréquentée quelle que soit l’heure.
Je suis entré dans une cabine téléphonique en attendant un trou dans la circulation. Un homme est passé à proximité et s’est approché de la cabine. Je me suis retourné rapidement et il n’a pas vu que j’étais un homme. Mais la vue de mon cul nu l’a fait hésiter. Finalement il a poursuivi son chemin. J’ai traversé rapidement l’avenue, heureusement vide de voitures et j’ai gravi le petit escalier qui monte au-dessus du centre commercial.
Arrivé en bas de la tour, dont de nombreuses fenêtres étaient encore éclairées, j’ai appelé le mec pour lui demander comment entrer dans la tour.
Il m’a ordonné de rester un moment dehors et de me doigter, bien en vue sous un réverbère, tandis qu’il me regarderait depuis son appartement.
Je me suis exécuté et me suis penché en avant, écartant bien les jambes et les fesses sous la lumière crue du lampadaire et j’ai commencé à me doigter, un doigt, puis deux puis trois. J’étais très excité de faire la salope de la sorte, en plein Paris.
Soudain, un jeune couple rentrant chez lui est passé à une dizaine de mètres. Devais-je prendre mes jambes à mon cou et essayait de déguerpir avec mes talons aiguille? J’ai finalement décidé de rester, la croupe tournée vers eux, et j’ai continué à me doigter. Après qu’ils soient entrés dans la tour, j’ai rappelé le mec mais il m’a dit de continuer. Dix minutes plus tard, j’ai vu une voiture de police passer lentement sur l’avenue. De toute évidence, le jeune couple avait appelé le commissariat du 13e tout proche.
J’ai rappelé le mec dans la plus grande anxiété. Il avait vu la voiture de police et m’a donné le code d’entrée et l’étage. J’ai foncé aussi vite que possible dans le hall de l’immeuble et appelé un ascenseur. Là, nouveau problème : si l’ascenseur qui descendait était rempli, j’aurais l’air fin. Le cœur battant je suis resté sur place : pas moyen de m’éclipser ailleurs avec la police dehors. Finalement la porte s’est ouverte : personne dans l’ascenseur.
Je suis monté jusqu’à l’étage indiqué et là j’ai dû traverser le couloir en rampant à 4 pattes jusqu’à une porte entr’ouverte. Finalement, après avoir reçu une très forte fessée, j’ai passé un moment agréable dont je ne me souviens pourtant plus des détails tant ce qui a précédé m’est resté gravé dans la mémoire!
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