Mon amant marocain

- Par l'auteur HDS Mecbidocile -
Auteur homme.
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Récit libertin : Mon amant marocain Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-09-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon amant marocain
Bonjour je suis un homme marié attiré par les hommes très virils avec un faible pour les Marocains. Voici le courriel reçu de mon "mari" il y a quelques mois, avant que je n'aille le retrouver pour un séjour inoubliable.

Bonjour ma petite salope ;

Voilà de quoi passer un bon petit bout de temps !

Encore une fois, heureusement que tu n’auras qu’à le lire, pas l’écrire.

On est encore une fois dans la même piole que tu auras loué pour te faire bouffer le cul par moi.
Tu te rends dans la salle de bain pour prendre ta douche et tu vas à ta garde robe de ta femme pour en retirer une nuisette noire transparente, des dessous noir et rouge et un porte-jarretelles de la même couleur, des bas noirs, le tout bien sûr appartenant à Laurence [ma femme] que tu veux tellement imiter en corps et en âme…Tu les avais « volés » quelque jours auparavant et elle ne peut s’en être rendu compte car elle en a beaucoup et même trop. Ayant tout enfilé, tu me rejoins, heureuse et excitée à subir ce qui allait suivre. Dès ton entrée dans le salon, et voyant ton maquillage très bien appliqué, et tes vêtements si soigneusement choisis, je te complimente :

- Jolie tenue. La tenue idéale pour une pensionnaire de bordel.

Après des préliminaires qui ne tardent pas à nous échauffer tous les deux, je te tire des cheveux.

Qu'est-ce que tu attends ? Viens me sucer !

Tu es comme hypnotisée, abasourdie, et il faut que je te l'ordonne pour que tu sortes mon sexe.

Tu essaies vainement de protester, mais très vite, tu avoues que tu aimes la manière brutale dont je te prends, puisque ça te fait sentir bien femme. Oh, cette sensation inouïe quand tu glisses ta main sous mon slip et que tu saisis ce gros bâton de chair marocaine ! Tu le dégages et tu restes bouche bée à contempler cette bite formidable dont tu admires tant la couleur que la taille. Tu savoures le morceau que tu as en bouche. Quand je te lâche, tu continues à sucer de ton mieux.

Sans rien dire, tu t'exécutes quand tu me vois défiler ma ceinture. Je en profite pour te peloter les seins gentiment mais constamment, te pincer les bouts, t'arrachant des gémissements. Mes mains jouant avec tes tétons si sensibles, te font un effet extraordinaire. Tu sens ton cul s'ouvrir et vibrer, des ondes de plaisirs partent de tes reins et de ton ventre à tel point que tu ne peux résister et tu te caresses en guise de m’inviter à l’assaut. Ta main glisse sous mon slip de nouveau et retrouve ma bite bien dressée.

Je te prends par les cheveux, te tire la tête en arrière et te dis :

- T’es chaude, cochonne! Elle te fait de l'effet ma queue, hein ?

Tu es trop tremblante (pourquoi ? ché po !) pour répondre, aussi tu es soulagée que je te dise de me lécher les couilles car cela te permet de t’occuper à faire quelque chose que tu aimes. A partir de ce moment, je parle de plus en plus, pour t'insulter ou te donner des ordres. Mes paroles sont très grossières, très obscènes, mais tu es dans un tel état que cela augmente ton excitation. N’ayant toi-même jamais fait ça à Laurence, tu murmures que c’est ainsi qu’une nana devrait être habituée à être traitée si elle veut vraiment goûter au bonheur d’être femme. Chaque grossièreté, chaque ordre ponctué d'une insulte t’allume davantage. Tu me fais même un petit signe que tu voudrais être fouettée un peu ; et quant effectivement je te fouette littéralement, tu gémis, tu pompes, ta main frotte plus fort mon zob, tu deviens folle. Encore une fois tu murmures « oh pauvre de Laurence, de combien est-ce que je la prive !!!!!!!!! »

Tu me regardes dans les yeux en aspirant mon gland de toutes tes forces, mon énorme prune déforme tes lèvres. Je jute.

- Je te jute dans la gueule, grosse salope ?

- Oui, mon amour vas-y je t’en prie, égouttes-toi bien sur ma gueule de pute Française !

Quand tu reprends tes esprits, étendue à terre, une main crispée encore sur l’oreiller, moi debout, je te domine encore et encore. Je te donne une série de coups de pied au cul qui te font immédiatement asseoir, et, une fois assise, je te tiens par la perruque de ma main gauche et , de ma main droite je commence à te gifler bien fort sans te donner nulle chance de t’évader ou d’éviter mes gifles : tes pommettes s’en retrouvent rougies et je vois des gouttes de larmes sur tes yeux : tu te sens faible, dominée, sans moyens de te défendre contre ce marocain qui t’aime si fort mais qui, n’empêche, fait de toi son objet sexuel, son vide-couilles.

Tu commences à m’implorer : « Maître ! Aies pitié de moi ; épargne-moi ; je tacherai d’être sage la prochaine fois, s’il te plait, mon maître !!

Pendant que tu parles ainsi, ma bite dégonflée à moitié se redresse soudain, et je vois que tu ne la quittes pas de tes yeux

- Alors salope ? Envie de te faire mettre, hein ? Alors fous-toi en levrette, tu ne verras plus ma queue, mais tu vas la sentir.

Je semble avoir touché le point juste, car tu t'exécutes, heureuse que tu allais avoir le trou bouché ; ce trou qui ne cessait de te chatouiller, de te gratouiller, de vibrer de chaleur et d’envie allait now être travaillé.

Tu semblais aimer la honte de t'exposer comme une chienne enragée.

Sans plus aucune retenue, tu t'appuies au sol des épaules et tu fais glisser mon slip en m’offrant le spectacle de ta croupe haute, tendue, dévoilée comme elle ne l'a jamais été à personne.

Je t'enfile doucement un doigt dans le cul très chaud, le retire et, à ta grande honte et joie, le porte brutalement à ta bouche pour te demander (non, t’ordonner) de le lécher.

Quand tu vois que je mets assez de temps, pour te monter, (ce que je fais express d’ailleurs pour augmenter ton envie en te créant un peu de suspens, voyant que tu étais now prête à être fécondée) tu ne peux te retenir de me demander faiblement mais bonnement et sincèrement :

- Oh chéri! Qu'est-ce que tu fais? Tu ne veux pas que tu me la mettes là! Laboures-moi le cul s’il te plaît.

Je te tiens d'une main sur tes reins et, sans t’avertir, j’enfonce mon zeb, profondément et brutalement, de sorte que tu cries de toute ta voix à cause de la douleur que tu sens gagner non seulement ton cul, mais toute la région de ton entrecuisses ; sous l’effet de la douleur, tu essayes de te dégager de mon emprise ; mais tu n’en as pas les moyens car je te tiens fermement et tu te sens trop faible pour m’échapper.

Tu te tortilles pourtant mais cela ne fait que m’exciter encore plus. Et j’enfonce encore plus fort ! Tu juges qu’il est now inutile de résister et tu sens que , de toute façon , la douleur commence à passer, cédant place à un plaisir intense, lui-même né de la sensation de sentir que tu n’es plus vierge et que , dans un instant tu allais abriter la semence de ton mari marocain.

Et c’est ainsi que tu sembles même vouloir collaborer, car je te sens reculer sur moi, me contrer de tes fesses, que tu remues incessamment. A un moment donné, tu joins tes 2 mains autour de mes propres fesses, pour m’inciter à te baiser plus fort et plus profond.

Voyant moi-même combien tu deviens chaude, je te prends par les cheveux et te tire vers moi, de sorte que tu sens mon zob toucher au plus profond de toi, frôler tes poumons.

Tu en soupires, je vois que tu sues : tu me pries de le retirer un instant, car tu es essoufflée, et tu essaies même de te dégager, suppliant :

- Non, Youssef, s'il te plaît, arrête un moment, mon cul n’en peut plus! Je sens ma chair se déchirer !!

- Ton cul n’en peut plus ?! ou n’en veut plus, sale pute ?

En te disant de te tenir tranquille je te donne une, puis deux claques sur le cul, très fortes, si fortes qu’ils te font oublier la douleur interne que tu sentais jusque là !!!. Tu obéis tremblante mais tu continues à supplier :

- mon amour, épargne-moi pour demain! Chui pas encore habituée à être prise d’une telle force : quant je m’y habituerai tu feras de moi ce que tu voudras.

En te remettant brutalement mon doigt dans ton trou, je te dis :

- Nadia! Tu es trop serrée : tu veux que tu assouplisses ce cul de salope, ou tu veux continuer à rester vierge ?

- Je t’en prie Youssef !.. Tu sais bien qu à partir de ce soir je ne peux plus prétendre être vierge : tu m’a tellement pénétré et si profond ! Et en plus, qui te dit que je veux rester vierge ? Maintenant que ce qui est fait est fait, fait de moi ta femelle soumise ; allez va-y baise-moi chéri.

J'enlève mon doigt.

Tu changes de position : couchée sur les dos, tu lèves tes jambes en l’air, mettant un oreiller sous tes fesses pour que je puise te pénétrer aussi loin que possible !

Tu me sens mettre ma bite sur ton petit trou. Tu es très excitée mais tu as toujours peur de la douleur d’une pénétration soudaine ; tu me souris comme pour m’inviter mais en même temps tu tiens mon zeb pour ne l’introduire qu’à ton rythme. Tu te mords les lèvres en te crispant pour lui faire barrage, mais tu sais déjà que tu ne peux éviter l'humiliation de te faire violenter le cul. Surtout que, en même temps, je te donne une raffle de gifles qui font que tu lâches mon zeb pour te frotter les pommettes, now toutes rougies par mes mains.

Quand mon gland force ton anneau, tu crois être déchirée.

- Non! Non, arrête! Enlève-la, enlève ta queue de mon cul, je t'en prie! Tu ferais tout ce que tu voudras, mais pas now! Tu me défonces, ayyyyyyyyyye

Je ne le retire pas. Tu hurles, d’abord, puis tu gémis, puis tu murmures, puis tu te lèches les lèvres et je constate now que c’est plutôt le plaisir que tu ressens.

Tu me serres contre toi, heureuse et fière d’avoir été enculée ! Malgré la douleur encore présente, tu t'appliques à me satisfaire. Tu me dis dans l’oreille que tu m’aimes et que tu adores la matraque qui vient de t'ouvrir le cul, tu la désireras toujours en toi! Tu veux qu'elle te prenne, te lime, te pilonne, t'ouvre en deux, te viole et enfin te fasse jouir. Plus, tu m’avoues que tu as abandonné toute fierté d’être mec et que tu es now fière d’appartenir à la gente féminine.

- A quatre pattes, alors, sale pute! Tourne ton cul vers moi, que je te le laboure encore une fois !

Soumise, tu fais tout selon mon désir. Je me mets derrière toi et frotte ma bite sur ton anneau, et c’est toi qui, de tes 2 mains écartes tes fesses pour me faciliter la tâche.

Quant je te le mets bien dedans tu commences à peter, et j’en comprends que tu es now dilatée.

Tu supplies :

- Oui, oui, prends-moi! Mets-la moi, mets-la moi !

Ouverte à deux mains, tu te sers et prends un profond soupir pour bien faire entrer ma grosse queue. D'une main je pèse sur tes reins pour te cambrer plus encore, de l'autre je guide mon gros machin.

D'un coup je t'enfile au moins la moitié de ma bite dans le cul ! D'une main je tiens tes bras et te bourre de plus en plus profondément malgré tes cris, tes larmes (de douleur ou de plaisir ?), tes supplications. Tu as mal au cul, aux seins, qui frottent sur le tapis, et pleurant à chaque coup de reins tu dis, quand même, que tu as envie de ma queue et que c’est seulement now que tu comprends pourquoi les femmes sont folles des hommes, et pourquoi elles se disputent les faveurs de la bite.

Enfin je sens que je vais jouir. Et je te demande où tu veux ma crème :

- En moi, bien sûr !

- Mais, Nadia, j’ai pas mis la capote, tu le sais bien !!

- Oui chéri, je veux sentir ta semence en moi ; Vas-y chéri ; craches-y ; Shoooooot, mon amour !

J’hurle pendant que je me vide en toi. Tu serres les fesses pour bien m’égoutter.

Dès que je le sors de toi, tu me sautes dessus, le léchant de tous cotés, recueillant le reste de mon sperme sur tes fesses pour le lécher et l’avaler ensuite !

Tu te mets entre mes bras, aimante, soumise et tu m’avoues que tu as aimé cette séance d’éducation comme rien au monde.

Tu regardes ta montre et tu te rends compte que tu as passé avec moi plus de temps que tu ne l’avais prévu, et qu’il était temps pour toi d’aller rejoindre Laurence qui t’attendait pour aller voter ensemble.

Quand je commence à t’aider à te changer en mec, tu me dis que sincèrement tu n’as plus envie de porter ce costume et ces vêtements de mecs, que tu te reconnais plus en femme now grâce à moi.

Tu dis que ta décision est prise. Tu veux prendre le plaisir avec moi qui suis ton mari et tant pis pour ce que l'on va dire. S'il faut pour cela être la dernière des salopes, tu le seras pour moi. Youssef usera de toi selon son bon plaisir. Pour avoir sa queue tu es prête à lui sacrifier ton cul, ton honneur de cadre et père de famille et tout ce qu'il voudra. Pourvu qu'il te ramone le cul, qu'il te remplisse encore la bouche de foutre, qu'il te colle sa queue entre les nichons, tu accepterais les insultes, les ordres, tu serais sa femelle soumise, heureuse de te faire claquer et défoncer le cul !

Mais juste en ce moment, ton portable sonne, et c’est Laurence qui dit qu’elle n’est pas contente du tout, du fait que tu te fasses attendre.

Tu t’excuses, disant que tu es au boulot et que tu arrives dans 5 minutes.

Et c’et vrai ; tu as bien été au boulot ; mais boulot particulier, celui du cul.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
super histoire pleine de détails qui donnent envie !!!

Histoire Erotique
un beau texte gay à mon gout.



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