Maria aime vraiment le cul.

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Maria aime vraiment le cul. Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-08-2021 dans la catégorie Plus on est
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Maria aime vraiment le cul.
Maria se comportait avec nous comme une vrai allumeuse. Comme les après-midi auparavant, elle se proposa de nous emmener jusqu’à l’étang. Une manière comme une autre de nous garder juste à elle.
Une fois sur place, à défaut d’autre chose, nous lorgnions vers la jeune fille. Essayant de capter sur son visage un changement d’expression. Mais elle resta imperturbable. Mais si Maria vouait nous emmener au même endroit isolé c’était qu’elle avait envie de renouvelé notre jeu pervers.
Comme à chacune de nos venues, il y avait peu de monde. À un tel point quand avait pu nous installer comme la veille. Comme il faisait chaud nous avions décidé de plonger dans l‘eau pour nous rafraichir.
De retour sur le sable, Maria se mit comme d’habitude sur sa serviette pour se sécher au soleil. Manu pour sa part s’était plongé dans la lecture d’une bande dessiné fraichement achetée. Marie restait distante avec nous, mais j’étais persuadé qu’elle n’avait pas honte de se qu’il s’était passé la veille. Mais très vite mon attention fut détournée une fois n’était pas coutume par sa croupe. Que la coquine offrait au soleil, mais pas qu‘à lui. Je remarquais qu’elle avait mis un maillot échancré. Trempée par le bain de l’étang. L’étoffe moulait la forme de son cul comme une seconde peau. Je compris qu’elle avait fait exprès de mettre un slip aussi indécent. À sa façon de bomber les fesses, je comprenais qu’elle n’était pas contre à jouer le même jeu que la veille.
Je fis signe à Manu. Il avait fallu que je persiste pour qu’il veuille abandonner sa lecture.
Nous nous rapprochâmes nos serviettes de celle de Maria. Qui resta sans réaction. Appuyés sur les coudes, nous nous attablâmes autour de son plantureux derrière. Comme pour un festin. Maria était assoupi, où plutôt faisait semblant. Car ses paupières s’ouvraient et se refermaient aussi rapidement. Comme elle respirait en faisant du bruit, comme si elle manquait d’aire.
Timidement, nous commençâmes par pincer les rondeurs pâles. Comme elle ne nous repoussait pas, nous prîmes cela comme un encouragement à poursuivre notre œuvre. D’ailleurs elle laissa même échapper un sanglot en se tortillant de façon ridicule. Comme elle l’aurait fait pour nous échapper. Mais pas assez pour nous empêcher de pétrir son cul, comme le ferait un boulanger travaillant sa pâte. Sans ce concerté, nous enfonçâmes nos doigts dans sa chair chaude, alors que Maria demeurait muette se contentant de pousser de petits hoquets qu’elle étouffait en mordant sa serviette, excitée par ce que nous lui faisions subir. Prenant la parole, Manu d’une voix dure, laissa tomber : - Maintenant, tu te mets en tenue et en position.
Maria ouvrit les yeux en entendant la voix de son cousin lui donner des ordres.
-Ce qui veux dire ? Lâcha-t-elle en tournant sa tête de notre côté.
-Je veux donner une suite à l’épisode de hier !
- Foutez-moi la paix, dégoûtants ! Répliqua-t-elle.
-Tu vas pas me dire que tu nous as emmené jusqu’ici juste pour te voir te faire bronzer.
Nous avions ri avec insolence, alors que je me permis de lui faire un pinçon tournant dans la gras des fesses.
- En vitesse ! Lâchais-je.
- Si tu ne te décides pas tout de suite, on va te trouer le cul. Ajouta Manu.
Maria qui avait pourtant assez de caractère pour nous repousser protesta d’une voix bêlante.
- Qu’est-ce que c’est trouer le cul ?
Manu prit un air grave.
- C’est une punition !
- C’est le règlement. Si tu n’obéis pas assez vite, on te met un doigt dans le cul.
-Comme hier ? Fit-elle.
- Peut-être pire. Ajoutais-je d’un air terrifiant.
La respiration de Maria était devenue sifflante. Elle étouffa un soupir et après un long silence demanda d’une voix faible : -Comment je dois me mettre ?
-À quatre pattes.
Elle marqua un temps avant de remonter ses genoux sous elle. Elle se redressa péniblement, tendant son derrière que l’empiècement du slip sciait en deux. Puis prenant appui sur les coudes, elle redressa le buste en creusant les reins.
- Comme ça ?
Nous échangeâmes avec Manu un regard triomphant en s’approchant pour scruter de près le fond de culotte qui s’incrustait dans la fente. Nous comprîmes bien qu’elle se faisait un plaisir de s’exhiber. Comme la veille, il y avait déjà une tache mouillée au fond de son slip. La coquine hoqueta, ce qui fit bouger sa lourde poitrine pendante. Un gros sein pâle s’échappa même du soutien-gorge. Quand elle tenta de se rajuster, Manu lui donna une tape sur la main. Elle n’insista pas. J’en profitais pour m’emparer du téton raidi et le fis rouler entre mes doigts, comme le faisais les mecs dans les films pornos. Son premier réflexe fut de pousser un râle, tout en creusant les reins. La voix de Manu claqua comme un coup de fouet : - Allez, Maria… mise à l’air !
Cherchant de toute évidence à se faire punir. Elle tenta de se rebeller.
- Pas ça. Petits vicieux. Fichez-moi la paix !
- Ne nous oblige pas à te trouer le cul ! Menaça Manu. Allons déculotte-toi en vitesse !
La jeune fille passa pour mon plus grand plaisir, les mains derrière elle pour baisser sa culotte. Les joues écarlates, le souffle court. Je me faisais un plaisir de regarder le nylon se décoller des nymphes, comme un pansement sur une plaie. Les orifices bâillaient, tout rouge et déjà bien luisant.
- Tu t’ouvres le cul ! Commanda Manu.
Elle respirait très fort, alors que son slip avait franchit ses genoux. Après s’en être débarrasser, elle nous fit genre d’hésiter avant de remonter ses mains à ses grosses fesses qu’elle tira sur les côtés, élargissant pour mon plus grand plaisir sa raie. Et tout naturellement, elle tourna sa tête vers nous, un sourire illuminait son visage. La salope nous provoquait.
- Voila. Vous êtes contents maintenant ? Vous les voyez bien, mes trous, salaud ?
Il y eut un silence, pendant lequel on s’entendait que nos halètements avec en bruit de fond, des gens qui passaient du bon temps. Manu coupa ce silence, d’une voix ferme il lâcha : -Pour ta peine, tu vas avoir droit à un malaxage de nichons.
Elle suffoqua, en creusant le ventre.
- Non, pas les seins… je ferais tout ce que vous voudrez.
- De toute façon, tu finis toujours par faire ce qu’on veut. N’est-ce pas Alain ?
-Et comment ! Elle aime ça la salope !
-Mais dit-donc ! Je ne te permets pas !
Sans prendre la peine de m’éterniser sur ce qu’elle venait de répondre, j’achevais d’écarter le soutien-gorge. Maria, le cul en l’air, la tête basse, contemplait les deux masses flasques qui se balançaient sous elle.
Manu pour sa part, écarquilla la vulve entre ses pouces et la scruta de près.
- Je regarde si tu mouilles. Il n’y a rien qui excite plus les filles que quand on leur travaille les nichons.
- Je confirme ! Ajoutais-je. Allez fais-nous plaisir, caresse tes nichons.
Pour cela elle s’installa en tailleur, et sans qu’on la force une fois encore, elle pétrissait les seins, infligeant de douloureux pinçons au bout des pointes. Elle gémissait. Des hoquets secouaient ses épaules et faisaient bouger ses nichons. Je remarquais les jointures des doigts de la jeune fille, devenues blanches. Elle tirait de toutes ses forces.
- Elle se fait mouiller, la salope !
De grosses larmes laiteuses poissaient les poils de sa chatte. Ses grandes lèvres enflaient d‘excitation, alors Manu passait un doigt dans la fente brillante, la faisant tressauter de plaisir.
- Continu à te peloter, salope de cousine ! Tu prends ton pied !
Je profitais de cet instant pour enfoncer mon index dans son trou du cul. Maria serrait les dents. Laissant échapper un cri strident qui nous excitait. Mais ce qui me fascinait le plus, procurant un durcissement de ma queue, c’était que son anus m’autorisait d’y introduire deux autres doigts. C’était alors avec trois doigts que je lui branlais le cul. J’étais dans un tel état d’excitation que j’en fis par à Manu.
-Quelle SALOPE ! Fut ses mots.
Alors que le visage de sa cousine se crispa, tandis que son souffle court trahissait le plaisir qu‘elle prenait.
-Tu permets que je juge ! Me lança-t-il.
-Je t’en prie, répondis-je en lui laissant la place pour chevaucher la jeune fille.
Plaçant ma queue en sandwich entre les deux seins. Et par de judicieux coup de reins, je fis coulisser ma verge entre ses nichons. Un branlage comme un autre. Pour sa part Manu jaugea l’anus de sa cousine.
- Putain elle est chaude de ce côté.
Et là Manu fit une chose incroyable, il força sa cousine à s’installer comme il le voulait. Dans une position qu’il lui permit d’ajuster sa verge dans le cul. À peine introduit, il se mit à crier de plaisir. Ne tenant plus je déchargeais à mon tour en criant. Inondant le visage de la jeune fille de mon plaisir.
Nous restâmes tous les trois, prostrés à reprendre nos esprits. J’avais le gland douloureux par la force de mon branlage.
- Il se fait tard. Il faut rentrer. Décida Maria, en se levant comme si rien ce s’était dérouler.
Elle se frotta avec la serviette pour retirer le sable de ses fesses, sans un regard pour nous. Les jambes en coton j’eus du mal à me remettre mon slip. Maria redevenue elle-même, autoritaire, nous pressait. Le désir assouvi, chacun retrouvait son rôle d‘enfant sage…

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