Marie-Jeanne se lâche...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Marie-Jeanne se lâche...
Avant que débute la matinée dansante et à l’issue d’une demi-journée bien chargée, les responsable de l’association m’ont invité à prendre un verre de vin blanc. Que le directeur avait emmené du domaine de son beau-frère. Un petit break qui allait me faire un grand bien. Aussi acceptais-je.
Dans le groupe du jour il se trouvait une femme qui ne m’était pas inconnue. La soixantaine passée, environ le double de mon âge. J’ai toujours était attiré par les femmes plus âgée que moi. Cela me vient sans aucun doute de mes relations que je dirai très intime avec certaines de mes voisines, délaissées par leurs conjoints et qui trouver en ma jeune personne une bonne récréation jouissif.
Il m’a fallut pas moins de deux heures avant de retrouver la mémoire et par la même occasion la réponse à ma question. C’était tout bonnement la mère d’Annie. Une fille de mon âge qui habitait à l’époque, le quartier. Elle était tombée folle amoureuse de moi. Au point de devenir une vraie sangsue. Épiant tous mes faits et gestes, alors que moi j’avais le béguin pour sa grande sœur. De dix ans mon aînée. Elle se nommé Viviane, oui Viviane. Mais j‘avais un trou de mémoire concernant celui de la mère. Sachant tout de même que c’était un nom composé. Un Marie quelque chose. Anne non ! Sophie, non plus… ! Pour que cela ne me gâche pas encore des heures, je me suis décidé d’aller lui poser la question. J’ai attendu qu’elle est fini avec le client au bar pour m’approcher.
- Vous désirez prendre quelque chose, jeune homme ? Me fit-elle en me souriant.
- Alain, je me nomme Alain.
- Je le savais mais je n’en étais pas sûr. Me fit-elle.
- Vous êtes la maman de Viviane ?
- Oui ! Mais aussi d’Annie. Tu te rappelle d’elle.
Et comment !
- Bien sûr que je me souviens.
- Cela va lui faire plaisir de savoir que j’ai parlé avec toi.
- Qu’est-ce qu’elle devient ?
- Elle est mariée avec un ingénieur des télécoms, et mère de deux filles.
- Et bien félicitation.
- Quant à Viviane est en instance de divorce, et mère elle-aussi de deux filles.
- Bravo ! Enfin… - Et toi ? M’a-t-elle lancé.
- Marié, trois enfants… - Des filles aussi ?
- Non ! Deux gars… - Je devine qu’ils ont autant de charme que leur père. Tu es sûr que tu ne veux rien prendre ?
- Non, merci madame.
- Je t’en pris Alain, tu peux m’appelé par mon petit nom.
- Je voudrais bien mais je ne me le rappel plus.
- Marie-Jeanne.
- Maintenant que vous me le dîtes. Je savais néanmoins que c‘était un double prénom.
- On se revoit après. Au repas servit par l’association.
- Oui peut-être si je suis convié.
- Je t’invite, moi. Je partagerais mon dîner avec toi.
- C’est gentille.
Enfin soulagé, je suis retourné jusqu’à ma loge, attendant patiemment que les heures tournent. Puis pour mon plus grand plaisir la musique s’est tût. Un signal comme un autre pour m’indiquer que le thé dansant était fini. D’ailleurs quelques minutes plus tard j’eus le plaisir de voir apparaître Marie-Jeanne à la porte de ma loge me conviant de la suivre pour dîner. Une vingtaine de personne étaient attablée. Un buffet froid était servi un peu à l’écart. Marie-Jeanne m’a invité à prendre place à ses côté.
Dès les premiers mots elle a aiguillé la conversation sur la vie de couple de ses filles, puis de la sienne. J’ai alors appris qu’elle était veuve depuis dix huit mois et qu’elle habitait une maison à dix kilomètre d’ici. J’ai attendu de finir mon verre de rosé pour prendre congé. Prétextant du travail d‘écriture a terminé.
Invoquant une curiosité, Marie-Jeanne m’a demandé si elle pouvait m’accompagner. J’ai bien sûr acquiescé.
Une fois tout deux assis derrière le bureau, et tout en discutant de chose et d’autre je m’ai mis à l’évaluer du regard. Un chemisier blanc légèrement décolleté, des seins plantureux, une jupe sombre, ses jambes était musclés et gainées de ce que j’espérais être des bas. Elle était chaussée d’escarpins noirs à talon.
Un après l’autre les gens de la troupe ont défilé au bureau pour nous saluer avant de quitter le lieu. Le travail terminé elle m’a proposé de partager un verre chez elle. J’ai accepté avec un plaisir évident.
Arrivé dans son salon elle s’est empressée de sortir les albums photos. Et d’exposer fièrement les clichés qui s’y trouvé, avec à chaque fois une petite indication. Elle avait même consacré un classeur entier aux travaux de la maison. M’indiquant par la même occasion la pièce où était tombé son époux. Foudroyer par une fulgurante crise cardiaque, alors qu’il réalisait les travaux de la chambre dédié à l’aînée des petites filles. Et qui depuis bien sûr après cette tragédie n’avait pas été fini pour cause de manque de moyen.
- Si cela peux vous arrangez je peux peut-être la finir cette chambre.
- Avec plaisir, me fit-elle, mais cela va me couter combien ?
- Un certain prix ! Vous permettez que j’aille jeter un coup d’œil pour me faire une estimation.
- Ce soir ?
- Pourquoi pas. Plus vite cela sera fait, plus vite la petite fille pourra prendre ses quartiers.
- Si tu y tiens, alors suis-moi.
Très vite j’ai fait le tour. Hormis les enduits il fallait finir l’électricité, et la peinture.
- Alors ! Le résultat ?
- Il y a du boulot de finition.
- Ça va monter à combien ? M’a-t-elle lancé anxieuse.
- Je me propose de faire les travaux sans rien vous prendre. Par contre vous devrez acheter les matériaux.
- Oui bien sûr ! Mais cela m’ennuie pour toi.
- Si je fais ça c’est par pur gentillesse.
- Cela me touche. Répondit-elle, la larme à l’œil.
Et c’est comme ça qu’une quinzaine de jour plus tard j’ai attaqué la rénovation de la chambre. Consacrant les trois premiers jours à l’enduit et au ponçage. Qui après chaque fin de journée m’envoyait dans la salle de bains pour prendre une douche réparatrice.
J’avais noté que Marie-Jeanne était toujours dans les parages quand je me sécher après la douche. Piqué par ce petit jeu, je ne m’étais mis au troisième jour une simple serviette autour de la taille. Au quatrième elle m’a donné une serviette si petite que j’eus du mal à en faire le tour de mes hanches avec. Et cerise sur la gâteau, elle avait oublié ce soir là de me déposer mes vêtements qu’elle se faisait un plaisir de me laver. J’ai bien essayé de l’appelé à plusieurs reprises pour qu’elle me les ramène, sans succès. Il n’y a pas plus sourd qu’une personne qui ne veut pas entendre.
Alors je me suis avancé jusqu’au salon. Elle se tenait assise dans son fauteuil, m’observant attentivement.
- Je pourrais avoir mes vêtements s‘il vous plaît, Marie-Jeanne ?
- Mais où ai-je la tête. Je m’excuse Alain. Je t’emmène cela dans les plus brefs délais. Mais je perds vraiment la tête. Je les ai mis là. M’a-t-elle dit en me désignant du doigt le tas soigneusement plié sur la table basse.
- Mais il ne fallait pas.
- Cela m‘a fait plaisir. Et d‘ailleurs je te dois bien cela. Cela t’ennui de venir les prendre.
Je me suis avancé jusqu‘à elle. Pas du tout gêner par le spectacle que j’offrais à ses rétines. Exhibant mon pénis, dont la petite serviette était loin de dissimuler son intégralité. D’ailleurs elle n’a pas mis longtemps à s’en apercevoir. Portant sa main sur sa bouche comme pour étouffer un cri de surprise. Feignant n’avoir rien remarqué, j’ai pris le tas et je suis retourné jusqu’à la salle de bains. Alors qu’une fois sur place, je cherchais mon slip, la porte s’est ouverte d‘un bloc. Je me suis retrouvé nu devant elle. Lui offrant le spectacle de mon sexe dans son intégralité, que son intrusion a commencé à mettre en appétit.
- Tu as oublié de prendre ton slip. Fit-elle en faisant le pas qui la séparé de moi.
- J’étais pourtant sûr d’avoir tout pris.
Sa bouche est restée muette, alors que ses yeux sont allés de ma verge qui peu à peu se gonfler, à mon visage que je me suis efforcé de rendre agréable. Le silence est devenu oppressant. J’ai tendu ma main pour prendre mon sous-vêtement de celle de Marie-Jeanne. Le moment de pudeur passé, et sans trop la troubler, j’ai posé ma main sur la sienne en une caresse légère. Encouragé par son mutisme muet j’ai guidé sa main vers ma queue.
- Quel bel appendice, que tu as là ! S’est-elle exclamée d’une voix Insolente.
Avec le pulpe de son index, elle a effleuré le méat dilaté par l’érection. Elle s’est extasiée, en parfaite comédienne.
- C’est qu’elle durci encore… Elle s’est penchée avec une curiosité médicale pour examiner au plus près ma verge. Elle a entreprit de me branler lentement, guettant ma réaction. J’ai tangué sur place, alors qu’elle me masser avec deux doigts, m’obligeant à pousser des gloussements.
Pour mon plus grand désarroi, Marie-Jeanne s’est alors redressé. Mais s’est jetée sur moi pour embrasser mes lèvres. Très vite sa langue agile s'est insérée pour venir rejoindre la mienne.
J’en ai profité pour regarder ce qu’elle portait sous sa jupe, en le lui retroussant jusqu’à sa taille. J’y ai découvert des jambes gainées de bas couleurs chair. Étirés sur les côtés par un porte-jarretelles de satin, couleur champagne. Dont les froufrous de dentelle encadraient ses reins comme des tutus de danseuses de ballet. L‘atmosphère dans cette salle de bains était devenue très sulfureuses. J’ai posé une main sur sa cuisse gainée, sentant la finesse du nylon. Cela m’a fait un effet incroyable de caresser enfin la mère de Viviane. Au bout d’un moment, lasse elle m’a murmuré, comme si nous n’étions pas seul : - Caresse-moi ! J’en ai très envie. Et cela depuis le depuis le thé dansant. Je ne te cache pas que je mouille pour toi.
J’ai caressé ses jambes des deux mains, aussi délicatement que je le pouvais. Arrivé au niveau des cuisses, je me suis attardé à les masser. Ému par la douceur de sa peau nue au-dessus des bas. Tout en continuant à manipuler ma verge, Marie-Jeanne a donné plusieurs bises sur ma poitrine. J’en ai profité pour enfouir mes doigts dans sa culotte. Y découvrant un sexe tout juteux. Une mouille épaisse ruisselait sur ses lèvres. Plus haut, son clitoris était aussi dur que mon gland. Je me suis empressé de branler entre deux doigts. Très vite elle fut happée par un orgasme. Poussant un cri tout en crispant convulsivement ma verge entre ses doigts.
Les sens attisé, je me suis soustrait de sa prise, pour m’accroupir à ses pieds. Devinant ma pensée elle a écarté ses jambes autant qu’elle le pouvait. Assez pour que j’y passe ma tête. J’ai collé mes lèvres contre celles de son con. L’endroit était soyeux, et chaud. J’ai entrepris de suçoter les muqueuses distendues. La première odeur qui m’est venue à mes narines ce fut celle d’urine. Marie-Jeanne a glapit à chacun de mes coups de langue. Là un râle, ici un hoquet. C’était incroyable excitant. Des cris si étranges que l’on ne s’attendait pas à entendre semblable son sortir d’une bouche d’une charmante femme. Pourtant c’était plus que réel et j’en étais le responsable, à défaut d’en être l’auteur.
Sous mes lèvres, les fragrances de son intimité m’enchantaient. Je devais rêver. Ce n’était pas possible. Moi avec la mère de Viviane. Alors, je devais profiter au maximum de ce rêve.
Pour cela, j’ai inséré ma langue entre ses lèvres, à la recherche du bourgeon des délices. Je l’ai dégagé de son manteau de chair. Elle a sursauté. Sa respiration s’est accélérée. Elle s’est saisie de ma tête entre ses mains, comme pour la guider sur son chemin du plaisir. Sa vulve a libéré des fluides de désir en abondance. J’ai aspiré, j’ai balayé, j’ai lapé, j’ai vrillé, j’ai suçoté, tant que je le pouvais. Elle s’est mise à gémir d’une façon animale. Une ivresse alors sale m’a submergé. Je lui ai planté mon index dans l’anus. Elle s’est arc-boutée sous l’introduction. S’est trémoussée en poussant des couinements, tandis que je branlais le trou du cul, elle a frétillé du croupion, faisant balloter ses seins dans tous les sens.
Je me suis redressé, pour prendre Marie-Jeanne dans mes bras et la poser sur le lavabo. Elle a ondulé des reins jusqu’à ce que ma verge trouve l’entrée de son con. Une fois en place, je me suis enfoncé d’un grand coup de reins qui lui a fait arracher un feulement.
- Défonce-moi ! M’a-t-elle lancé.
Elle avait la voix d’une gamine capricieuse et exigeante. Elle m'a adressé un sourire tendre. Ondulant des reins. Embrochant sa fente sur ma verge. Je lui ai rendu son sourire et je l’ai baisé comme elle l’avait souhaité. Elle s’est donnée à moi. Voulant me faire don de sa jouissance. J’ai résisté, retardant au maximum mon orgasme, malgré la raideur et la tension de mon sexe excité en tous sens par la furie des mouvements de Marie-Jeanne. Avec un hoquet et un long feulement de plaisir, elle a jouit, secouée des pieds à la tête par une onde interminable.
- Tu sais ! M’a-t-elle quelques minutes plus tard, alors que nous étions assis sur le canapé devant une coupe de champagne. Je ne veux pas que tu penses que me donner au premier inconnu est une habitude chez moi.
- Je pense que j’ai vécu un moment merveilleux avec toi et que pour rien au monde je voudrais que cela change.
- Merci, tu es si gentil. Tu sais, même s’il n’y a pas de lendemain à notre aventure tu m’as donné beaucoup de plaisir.
- Qui te dit qu’il n’y aura pas un lendemain ? Ai-je dis.
- Je ne sais pas, moi… parce que tu ai marié.
- L’un n’empêche pas l’autre.
- Alors t’en mieux. Je ne suis pas contre. Tu m’as procuré tellement de plaisir que j‘ai besoin d‘une suite….
Dans le groupe du jour il se trouvait une femme qui ne m’était pas inconnue. La soixantaine passée, environ le double de mon âge. J’ai toujours était attiré par les femmes plus âgée que moi. Cela me vient sans aucun doute de mes relations que je dirai très intime avec certaines de mes voisines, délaissées par leurs conjoints et qui trouver en ma jeune personne une bonne récréation jouissif.
Il m’a fallut pas moins de deux heures avant de retrouver la mémoire et par la même occasion la réponse à ma question. C’était tout bonnement la mère d’Annie. Une fille de mon âge qui habitait à l’époque, le quartier. Elle était tombée folle amoureuse de moi. Au point de devenir une vraie sangsue. Épiant tous mes faits et gestes, alors que moi j’avais le béguin pour sa grande sœur. De dix ans mon aînée. Elle se nommé Viviane, oui Viviane. Mais j‘avais un trou de mémoire concernant celui de la mère. Sachant tout de même que c’était un nom composé. Un Marie quelque chose. Anne non ! Sophie, non plus… ! Pour que cela ne me gâche pas encore des heures, je me suis décidé d’aller lui poser la question. J’ai attendu qu’elle est fini avec le client au bar pour m’approcher.
- Vous désirez prendre quelque chose, jeune homme ? Me fit-elle en me souriant.
- Alain, je me nomme Alain.
- Je le savais mais je n’en étais pas sûr. Me fit-elle.
- Vous êtes la maman de Viviane ?
- Oui ! Mais aussi d’Annie. Tu te rappelle d’elle.
Et comment !
- Bien sûr que je me souviens.
- Cela va lui faire plaisir de savoir que j’ai parlé avec toi.
- Qu’est-ce qu’elle devient ?
- Elle est mariée avec un ingénieur des télécoms, et mère de deux filles.
- Et bien félicitation.
- Quant à Viviane est en instance de divorce, et mère elle-aussi de deux filles.
- Bravo ! Enfin… - Et toi ? M’a-t-elle lancé.
- Marié, trois enfants… - Des filles aussi ?
- Non ! Deux gars… - Je devine qu’ils ont autant de charme que leur père. Tu es sûr que tu ne veux rien prendre ?
- Non, merci madame.
- Je t’en pris Alain, tu peux m’appelé par mon petit nom.
- Je voudrais bien mais je ne me le rappel plus.
- Marie-Jeanne.
- Maintenant que vous me le dîtes. Je savais néanmoins que c‘était un double prénom.
- On se revoit après. Au repas servit par l’association.
- Oui peut-être si je suis convié.
- Je t’invite, moi. Je partagerais mon dîner avec toi.
- C’est gentille.
Enfin soulagé, je suis retourné jusqu’à ma loge, attendant patiemment que les heures tournent. Puis pour mon plus grand plaisir la musique s’est tût. Un signal comme un autre pour m’indiquer que le thé dansant était fini. D’ailleurs quelques minutes plus tard j’eus le plaisir de voir apparaître Marie-Jeanne à la porte de ma loge me conviant de la suivre pour dîner. Une vingtaine de personne étaient attablée. Un buffet froid était servi un peu à l’écart. Marie-Jeanne m’a invité à prendre place à ses côté.
Dès les premiers mots elle a aiguillé la conversation sur la vie de couple de ses filles, puis de la sienne. J’ai alors appris qu’elle était veuve depuis dix huit mois et qu’elle habitait une maison à dix kilomètre d’ici. J’ai attendu de finir mon verre de rosé pour prendre congé. Prétextant du travail d‘écriture a terminé.
Invoquant une curiosité, Marie-Jeanne m’a demandé si elle pouvait m’accompagner. J’ai bien sûr acquiescé.
Une fois tout deux assis derrière le bureau, et tout en discutant de chose et d’autre je m’ai mis à l’évaluer du regard. Un chemisier blanc légèrement décolleté, des seins plantureux, une jupe sombre, ses jambes était musclés et gainées de ce que j’espérais être des bas. Elle était chaussée d’escarpins noirs à talon.
Un après l’autre les gens de la troupe ont défilé au bureau pour nous saluer avant de quitter le lieu. Le travail terminé elle m’a proposé de partager un verre chez elle. J’ai accepté avec un plaisir évident.
Arrivé dans son salon elle s’est empressée de sortir les albums photos. Et d’exposer fièrement les clichés qui s’y trouvé, avec à chaque fois une petite indication. Elle avait même consacré un classeur entier aux travaux de la maison. M’indiquant par la même occasion la pièce où était tombé son époux. Foudroyer par une fulgurante crise cardiaque, alors qu’il réalisait les travaux de la chambre dédié à l’aînée des petites filles. Et qui depuis bien sûr après cette tragédie n’avait pas été fini pour cause de manque de moyen.
- Si cela peux vous arrangez je peux peut-être la finir cette chambre.
- Avec plaisir, me fit-elle, mais cela va me couter combien ?
- Un certain prix ! Vous permettez que j’aille jeter un coup d’œil pour me faire une estimation.
- Ce soir ?
- Pourquoi pas. Plus vite cela sera fait, plus vite la petite fille pourra prendre ses quartiers.
- Si tu y tiens, alors suis-moi.
Très vite j’ai fait le tour. Hormis les enduits il fallait finir l’électricité, et la peinture.
- Alors ! Le résultat ?
- Il y a du boulot de finition.
- Ça va monter à combien ? M’a-t-elle lancé anxieuse.
- Je me propose de faire les travaux sans rien vous prendre. Par contre vous devrez acheter les matériaux.
- Oui bien sûr ! Mais cela m’ennuie pour toi.
- Si je fais ça c’est par pur gentillesse.
- Cela me touche. Répondit-elle, la larme à l’œil.
Et c’est comme ça qu’une quinzaine de jour plus tard j’ai attaqué la rénovation de la chambre. Consacrant les trois premiers jours à l’enduit et au ponçage. Qui après chaque fin de journée m’envoyait dans la salle de bains pour prendre une douche réparatrice.
J’avais noté que Marie-Jeanne était toujours dans les parages quand je me sécher après la douche. Piqué par ce petit jeu, je ne m’étais mis au troisième jour une simple serviette autour de la taille. Au quatrième elle m’a donné une serviette si petite que j’eus du mal à en faire le tour de mes hanches avec. Et cerise sur la gâteau, elle avait oublié ce soir là de me déposer mes vêtements qu’elle se faisait un plaisir de me laver. J’ai bien essayé de l’appelé à plusieurs reprises pour qu’elle me les ramène, sans succès. Il n’y a pas plus sourd qu’une personne qui ne veut pas entendre.
Alors je me suis avancé jusqu’au salon. Elle se tenait assise dans son fauteuil, m’observant attentivement.
- Je pourrais avoir mes vêtements s‘il vous plaît, Marie-Jeanne ?
- Mais où ai-je la tête. Je m’excuse Alain. Je t’emmène cela dans les plus brefs délais. Mais je perds vraiment la tête. Je les ai mis là. M’a-t-elle dit en me désignant du doigt le tas soigneusement plié sur la table basse.
- Mais il ne fallait pas.
- Cela m‘a fait plaisir. Et d‘ailleurs je te dois bien cela. Cela t’ennui de venir les prendre.
Je me suis avancé jusqu‘à elle. Pas du tout gêner par le spectacle que j’offrais à ses rétines. Exhibant mon pénis, dont la petite serviette était loin de dissimuler son intégralité. D’ailleurs elle n’a pas mis longtemps à s’en apercevoir. Portant sa main sur sa bouche comme pour étouffer un cri de surprise. Feignant n’avoir rien remarqué, j’ai pris le tas et je suis retourné jusqu’à la salle de bains. Alors qu’une fois sur place, je cherchais mon slip, la porte s’est ouverte d‘un bloc. Je me suis retrouvé nu devant elle. Lui offrant le spectacle de mon sexe dans son intégralité, que son intrusion a commencé à mettre en appétit.
- Tu as oublié de prendre ton slip. Fit-elle en faisant le pas qui la séparé de moi.
- J’étais pourtant sûr d’avoir tout pris.
Sa bouche est restée muette, alors que ses yeux sont allés de ma verge qui peu à peu se gonfler, à mon visage que je me suis efforcé de rendre agréable. Le silence est devenu oppressant. J’ai tendu ma main pour prendre mon sous-vêtement de celle de Marie-Jeanne. Le moment de pudeur passé, et sans trop la troubler, j’ai posé ma main sur la sienne en une caresse légère. Encouragé par son mutisme muet j’ai guidé sa main vers ma queue.
- Quel bel appendice, que tu as là ! S’est-elle exclamée d’une voix Insolente.
Avec le pulpe de son index, elle a effleuré le méat dilaté par l’érection. Elle s’est extasiée, en parfaite comédienne.
- C’est qu’elle durci encore… Elle s’est penchée avec une curiosité médicale pour examiner au plus près ma verge. Elle a entreprit de me branler lentement, guettant ma réaction. J’ai tangué sur place, alors qu’elle me masser avec deux doigts, m’obligeant à pousser des gloussements.
Pour mon plus grand désarroi, Marie-Jeanne s’est alors redressé. Mais s’est jetée sur moi pour embrasser mes lèvres. Très vite sa langue agile s'est insérée pour venir rejoindre la mienne.
J’en ai profité pour regarder ce qu’elle portait sous sa jupe, en le lui retroussant jusqu’à sa taille. J’y ai découvert des jambes gainées de bas couleurs chair. Étirés sur les côtés par un porte-jarretelles de satin, couleur champagne. Dont les froufrous de dentelle encadraient ses reins comme des tutus de danseuses de ballet. L‘atmosphère dans cette salle de bains était devenue très sulfureuses. J’ai posé une main sur sa cuisse gainée, sentant la finesse du nylon. Cela m’a fait un effet incroyable de caresser enfin la mère de Viviane. Au bout d’un moment, lasse elle m’a murmuré, comme si nous n’étions pas seul : - Caresse-moi ! J’en ai très envie. Et cela depuis le depuis le thé dansant. Je ne te cache pas que je mouille pour toi.
J’ai caressé ses jambes des deux mains, aussi délicatement que je le pouvais. Arrivé au niveau des cuisses, je me suis attardé à les masser. Ému par la douceur de sa peau nue au-dessus des bas. Tout en continuant à manipuler ma verge, Marie-Jeanne a donné plusieurs bises sur ma poitrine. J’en ai profité pour enfouir mes doigts dans sa culotte. Y découvrant un sexe tout juteux. Une mouille épaisse ruisselait sur ses lèvres. Plus haut, son clitoris était aussi dur que mon gland. Je me suis empressé de branler entre deux doigts. Très vite elle fut happée par un orgasme. Poussant un cri tout en crispant convulsivement ma verge entre ses doigts.
Les sens attisé, je me suis soustrait de sa prise, pour m’accroupir à ses pieds. Devinant ma pensée elle a écarté ses jambes autant qu’elle le pouvait. Assez pour que j’y passe ma tête. J’ai collé mes lèvres contre celles de son con. L’endroit était soyeux, et chaud. J’ai entrepris de suçoter les muqueuses distendues. La première odeur qui m’est venue à mes narines ce fut celle d’urine. Marie-Jeanne a glapit à chacun de mes coups de langue. Là un râle, ici un hoquet. C’était incroyable excitant. Des cris si étranges que l’on ne s’attendait pas à entendre semblable son sortir d’une bouche d’une charmante femme. Pourtant c’était plus que réel et j’en étais le responsable, à défaut d’en être l’auteur.
Sous mes lèvres, les fragrances de son intimité m’enchantaient. Je devais rêver. Ce n’était pas possible. Moi avec la mère de Viviane. Alors, je devais profiter au maximum de ce rêve.
Pour cela, j’ai inséré ma langue entre ses lèvres, à la recherche du bourgeon des délices. Je l’ai dégagé de son manteau de chair. Elle a sursauté. Sa respiration s’est accélérée. Elle s’est saisie de ma tête entre ses mains, comme pour la guider sur son chemin du plaisir. Sa vulve a libéré des fluides de désir en abondance. J’ai aspiré, j’ai balayé, j’ai lapé, j’ai vrillé, j’ai suçoté, tant que je le pouvais. Elle s’est mise à gémir d’une façon animale. Une ivresse alors sale m’a submergé. Je lui ai planté mon index dans l’anus. Elle s’est arc-boutée sous l’introduction. S’est trémoussée en poussant des couinements, tandis que je branlais le trou du cul, elle a frétillé du croupion, faisant balloter ses seins dans tous les sens.
Je me suis redressé, pour prendre Marie-Jeanne dans mes bras et la poser sur le lavabo. Elle a ondulé des reins jusqu’à ce que ma verge trouve l’entrée de son con. Une fois en place, je me suis enfoncé d’un grand coup de reins qui lui a fait arracher un feulement.
- Défonce-moi ! M’a-t-elle lancé.
Elle avait la voix d’une gamine capricieuse et exigeante. Elle m'a adressé un sourire tendre. Ondulant des reins. Embrochant sa fente sur ma verge. Je lui ai rendu son sourire et je l’ai baisé comme elle l’avait souhaité. Elle s’est donnée à moi. Voulant me faire don de sa jouissance. J’ai résisté, retardant au maximum mon orgasme, malgré la raideur et la tension de mon sexe excité en tous sens par la furie des mouvements de Marie-Jeanne. Avec un hoquet et un long feulement de plaisir, elle a jouit, secouée des pieds à la tête par une onde interminable.
- Tu sais ! M’a-t-elle quelques minutes plus tard, alors que nous étions assis sur le canapé devant une coupe de champagne. Je ne veux pas que tu penses que me donner au premier inconnu est une habitude chez moi.
- Je pense que j’ai vécu un moment merveilleux avec toi et que pour rien au monde je voudrais que cela change.
- Merci, tu es si gentil. Tu sais, même s’il n’y a pas de lendemain à notre aventure tu m’as donné beaucoup de plaisir.
- Qui te dit qu’il n’y aura pas un lendemain ? Ai-je dis.
- Je ne sais pas, moi… parce que tu ai marié.
- L’un n’empêche pas l’autre.
- Alors t’en mieux. Je ne suis pas contre. Tu m’as procuré tellement de plaisir que j‘ai besoin d‘une suite….
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