Marie-Sophie
Récit érotique écrit par Mirlaine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Marie-Sophie
J’avais connu Jacques dans un cinéma porno de la capitale.
Il m’avait fait découvrir les plaisirs de la fellation et de la sodomie réciproques.
Il était bi et tout comme moi, fétichiste des femmes qui portaient des gilets ras du cou en cachemire ou en angora. Il aimait les femmes BCBG et en avait une à disposition.
Son épouse semblait en effet l’épouse idéale à mes yeux mais il ne savait pas en tirer l’essence. Il habitait avec Sophie dans un appartement luxueux du 16 ème arrondissement de Paris.
Nous avions fait l’amour tous les deux. Chacun vêtus de cardigans en angora ou cachemire et de lingerie de luxe et nous y avions trouvé notre plaisir.
Il m’avait communiqué son numéro de téléphone portable et je me décidai à l’appeler non sans avoir une idée précise en tête.
Certes notre rencontre avait été très fructueuse et nous avions joui ensemble mais je me considérai avant tout comme hétéro et je voulais lui démontrer que son épouse pouvait être celle qu’il désirait vraiment.
- Allo Jacques?
- Oui?
- C’est Bruno, te souviens-tu de moi?
- Bien sûr, nous nous sommes vus il y a une quinzaine de jours. Tu me manques beaucoup.
J’ai apprécié notre séance de baise en pulls. Tu m’as bien fait jouir et je crois que moi aussi!
- Tu as raison Jacques. Tu m’as aussi fait jouir comme personne auparavant mais je souhaiterais te demander une faveur?
- Ah bon, laquelle?
- Je voudrais te faire une surprise. Tu aimes les femmes BCBG et moi aussi et nous sommes obligés de nous tourner vers une relation homosexuelle pour satisfaire nos désirs. Cà a été super et j’envisage de recommencer mais je pense que vous méritez toi et ta femme Sophie, bien mieux.
- Tu crois? elle est coincée comme une nonne!
- Je te demande juste un service, s’il te plait. Cela n’empêchera pas que nous pourrons encore baiser ensemble et nous envoyer en l’air avec nos cardigans préférés. Mais ça peut aussi changer ta vie.
- Que veux tu?
- Dis moi où tu habites, donnes moi la description de Sophie, et donnes moi ton numéro de téléphone personnel.
- Tu n’y penses pas!
- Si, au contraire, j’y pense depuis quinze jours, et je suis sur que je peux convertir ta femme en une vraie salope qui aimera son mari. Mais si tu y es opposé continues à te retrancher sur de jeunes mecs ce qui ne
t’apportera rien de plus. Tu aimes ta femme et elle t’aimera comme tu le souhaites.
Il faut juste que tu me fasses confiance.
Après tout je t’ai donné mon anus alors que je ne te connaissais pas et nous nous sommes éclatés alors fais moi confiance.
- Ok, mais je te donnes un mois. Sans quoi nous nous reverrons et baiserons comme la première fois.
- Pas de souci. Si je n’y parviens pas je serai ta Sophie pour toujours et tu pourras m’enculer comme tu le souhaites et dans les tenues que tu veux! Donnes- moi ton adresse et ton numéro de téléphone stp?
- Ne fais pas de bêtises Bruno, je ne veux pas de bavure.
- Tu as ma parole Jacques. Croix de bois croix de fer si je mens je vais en enfer!
Il m’indiqua son adresse et son téléphone personnel. Je pris soin de les noter sur mon agenda.
Je lui demandai s’il avait des enfants et il me répondit par l’affirmative. Il avait une fille de huit ans, qu’il avait eue assez tard.
- Et ma femme s’appelle Marie-Sophie pour être plus précis, mais je l’ai toujours appelé Sophie.
J’en pris bonne note.
Je le remerciai de ces précisions et lui dit que je le contacterai plus tard mais qu’il n’avait rien à craindre de ma part.
Avec toutes ces informations en main j’allais enfin pouvoir tenter de séduire sa femme.
Encore fallut- il qu’elle me plaise ce qui n’était pas gagné d’avance. Et aussi que je sois en mesure de la séduire.
Je ne m’étais pas encore fait une nonne ( enfin ce genre de femme) et le challenge me paraissait assez élevé.
Je retournai chez moi et songeai à la situation qui se présentait.
Les faits étaient ainsi.
J’aimais, que dire, j’adorais, les femmes BCBG qui portaient de jolis cardigans en cachemire ou en angora et j’avais pour la toute première fois l’occasion d’en rencontrer une.
Ca c’était le très bon point!
Le mauvais point était qu’aux dires de Jacques cette femme était frigide et n’aimait pas du tout faire l’amour.
En dehors de ses devoirs conjugaux.
J’avais donc un sacré challenge à relever.
Mais je n’étais pas du tout découragé. Bien au contraire. Ce genre de femme bourgeoise m’excitait au plus haut point et je me sentais prêt à relever ce défi.
J’élaborai mon plan.
Ce n’était pas très facile. Il fallait que je trouve une solution pour approcher sa femme et pour la mettre en confiance.
Fort heureusement elle n’habitait pas très loin de chez moi.
Nous étions au mois de Juin et le temps était doux mais pas très chaud.
J’avais quitté mon studio assez tôt pour pouvoir me rendre au domicile de Marie-Sophie à 7H30.
J’attendais patiemment devant son immeuble en essayant de ne pas me faire remarquer.
Vers 7H45 je vis une femme sortir de son immeuble. Elle tenait la main à une petite fille d’environ huit ans.
Elle avait les cheveux longs, noués par un chignon élégant. Une jupe écossaise, des souliers vernis, et un cardigan en cachemire rouge complétaient sa tenue. Elle n’était pas déplaisante. Certes ce n’était pas un canon de beauté mais sous son air et ses vêtements stricts elle semblait disposer d’un joli corps. Je lui donnai la trentaine. Pas davantage.
Jacques m’avait fourni sa description et je vis tout de suite que c’était ELLE.
J’avais revêtu un costume très sobre et distingué, des souliers parfaitement cirés et une coiffure plus conforme.
Ma coupe de cheveux, plus courte depuis mon entrevue avec Jacques, plaisait aux femmes.
Marie-Sophie tourna au coin de la rue pour accompagner sa fille à l’école. Je savais que je n’avais qu’une dizaine de minutes pour élaborer mon plan mais j’y avais pensé auparavant.
Une quinzaine de minutes plus tard je la vis s’engager dans la rue.
Je traversai et me plantai devant sa porte en faisant mine de sonner.
Elle me rejoint assez rapidement et me demanda ce que je faisais là.
Je lui fit part de ma surprise et lui dit que je souhaitais voir Mme Marie-Sophie Lebrun mais que celle-ci semblait être absente.
Je portais une mallette avec mes documents et mon aspect soigné sembla la rassurer.
- Que lui voulez-vous?
- C’est son mari qui a pris rendez vous pour moi. J’espère qu’il l’a prévenue sinon je suis à la porte. Je riais. Ce serait dommage!
Je ne pouvais détacher mon regard de son cardigan rouge qu’elle avait pris soin de boutonner jusqu’au cou et d’agrémenter d’un collier de perles. Je ne peux pas dire qu’elle était belle mais elle dégageait tant de féminité que cela allait bien au delà de la beauté.
Son visage n’était pas des plus jolis mais elle savait se mettre en valeur et il n’était pas disgracieux pour autant. Ses sourcils et ses cils ainsi que ses lèvres étaient parfaitement maquillés et sa tenue était parfaite. Je constatai, maintenant que nous étions plus prêt l’un de l’autre, qu’elle n’était pas belle comme certains l’entendent, mais qu’en revanche elle avait du charme. Un charme fou. Bien au delà de mes attentes.
- Mais qui êtes vous? me demanda-t-elle
- Je suis agent d’assurance vie et Mr Lebrun m’a demandé de s’adresser à son épouse. Je vais l’attendre, ne vous inquiétez pas.
- Je suis Madame Lebrun me dit -elle. Venez avec moi s’il vous plait.
Elle composa le code et me fit signe de la suivre.
Elle appuya sur le bouton de l’ascenseur. Il arriva rapidement. Elle me fit entrer dans la cage et puis entrai. Elle prit soin de refermer la grille et appuya sur le numéro 2.
Arrivés à l’étage elle ouvrit la porte de l’ascenseur.
Je la suivais. Elle était splendide. Son cardigan rouge, sa jupe plissée, son collier de perles, ses souliers, son chignon, tout chez elle me plaisait.
Tout son corps dégageait une extrême douceur.
Elle prit son trousseau de clés et ouvrit la porte de son appartement.
- Veuillez entrer me dit-elle.
Je ne me fis pas prier et restai dans l’entrée.
Je pénétrai dans le salon. Elle se dirigea vers ce que je supposais être la cuisine.
- Je vous en prie, asseyez vous.
Elle revint avec deux cafés et les déposa sur la table.
- Alors c’est mon mari qui vous envoie?
- Oui il m’a dit qu’il était intéressé par une assurance vie et que c’est vous qui vous en occupiez. Je me trompe?
- Non, effectivement c’est moi qui gère les comptes.
- Qu’avez vous à nous proposer? Je n’ai pas trop de temps pour ce genre de démarchage.
Je lui expliquai les différents placements possibles, du plus risqué au plus sûr, et lui demandai ce qu’elle en pensait.
- Je ne sais pas quoi en penser c’est assez étranger tout cela pour moi.
J’ouvrai ma valise pour sortir un nouveau dossier et lui présenter un investissement plus à son avantage.
Ce que j’avais complètement oublié est le fait que j’avais dans ma valise un pull féminin gris clair en cachemire.
Il comportait neuf jolis boutons en nacre véritable. Il provenait d’Ecosse et les manches, le col ainsi que le bas du cardigan étaient côtelés élégamment. Je l’avais toujours avec moi au cas où une rencontre impromptue soit tentée de le porter.
Je fus un peu désemparé, me saisit du dossier et m’empressait de refermer mon attaché case.
Elle m’écouta attentivement pendant une demi heure puis me demanda si je n’avais rien à lui proposer d’autre.
Je lui dit que c’était tout ce que j’avais mais que c’était très intéressant et développai mes arguments en sa faveur.
- Pourriez vous ouvrir votre attaché case un instant svp? Il me semble que vous avez oublié un dossier.
- Non Madame Lebrun je vous l’assure.
- Si, croyez-moi je pense avoir vu un investissement qui pourrait m’intéresser davantage.
J’ouvris ma mallette mais celle-ci ne détenait qu’un cardigan en cachemire mais autre dossier malheureusement.
- Vous voyez je n’ai plus rien à vous proposer Madame Lebrun.
Elle saisit alors le cardigan en cachemire gris et ses doigts jugèrent de sa douceur. Ils parcouraient la laine douce et caressaient ce pull sensuellement.
- Cet investissement me parait très approprié me dit- elle. Qu’en pensez vous?
J’étais assez abasourdi car je n’avais pas du tout prévu cela et ce cardigan aurait dû rester chez moi.
Mon plan sentait le roussi.
- C’est à dire que cela n’a rien à voir avec de l’assurance vie Mme Lebrun.
- Vous avez raison mais néanmoins ce cardigan me plait beaucoup.
- Il est à ma femme lui mentais-je.
- A votre femme et dans votre valise? Vous me prenez pour une cruche?
- Non, je ne me permettrai pas Madame Lebrun.
Elle regarda l’étiquette attentivement et se rendit compte que sa taille était plutôt celle d’un homme.
- C’est à vous?
- Non, je vous l’ai dit il appartient à ma femme.
- Et votre femme mesure 1m75?
- Non.
- En revanche je mesure 1m76 et je pense qu’il pourrait me convenir.
- Vous croyez?
- J’en suis certaine me dit elle.
Mais je lui fit remarquer qu’elle en portait déjà un magnifique qui était rouge et semblait très doux.
- Oui c’est certain, mais j’adore le cachemire et celui-ci me plait énormément. De plus je n’en ai aucun de cette couleur.
Il provient d’Ecosse. Il est magnifique.
Me permettez vous de l’essayer?
Je ne savais que répondre.
- Oui bien évidement Mme Lebrun. Mais ce n’est pas vraiment l’objet de ma venue.
- Attendez moi je reviens dans un instant.
Elle s’empara du cardigan et revint quelques minutes plus tard.
Elle l’avait revêtu et il lui allait à merveille.
Je constatai qu’elle ne portait plus de soutien gorge et sa poitrine libre sous ce pull commençait à m’exciter.
Ses seins étaient de bonne taille et ses tétons pointaient déjà sous son pull.
- Je n’ai que faire de vos assurances vies. J’en suis désolée mais en revanche je voudrais bien vous acheter ce cardigan. Qu’en pensez vous?
- C’est à dire qu’il n’est pas à vendre madame Lebrun. Il fait partie de ma collection personnelle et j’ai omis ce matin de l’ôter de mon attaché case.
- Votre collection personnelle? Vous vous moquez de moi?
- Non je vous assure Madame Lebrun. Effectivement il n’est pas à ma femme car je ne suis pas marié mais à moi car j’adore aussi en porter. Par conséquent il n’est pas à vendre Madame.
- Vous êtes en train de me dire qu’il est à vous? Vous plaisantez?
- Non Madame je ne plaisante pas il est vraiment à moi mais je ne suis pas là pour çà. Je ne savais vraiment pas comment me sortir de cette situation.
- Nous allons faire un marché jeune homme. Vous me le vendez et je vous souscris une assurance vie.
Etes vous d’accord?
- C’est à dire qu’il coûte une certaine somme Madame Lebrun.
- Appelez moi Marie-Sophie.
- Je ne peux pas Madame Lebrun.
- Ecoutez mon garçon, je sais que vous faîtes votre travail, très bien par ailleurs, mais si vous souhaitez que je souscrive l’un de vos contrats ce sera ma seule condition!
De toute manière c’est Jacques mon époux qui paiera tout, cet idiot est un bon à rien!
- Je suis d’accord Marie-Sophie mais j’ai acheté ce cardigan en Ecosse et comme il est composé d’un excellent cachemire, vous avez pu vous en rendre compte, j’ai du débourser 300 euros pour en faire son acquisition.
- Le prix m’importe peu. Jacques me paie à rester à la maison et me considère comme sa bonne. Alors pour une fois que je trouve un cardigan qui me plait vraiment il mettra la main à la bourse.
En mon fort intérieur je me dis qu’effectivement Jacques était le genre d’homme à mettre la main à la bourse mais sans doute pas à celle à laquelle elle faisait allusion.
- Je suis d’accord Marie-Sophie. Mais sachez tout de même que cela me brise le coeur d’avoir à abandonner un si joli et surtout si doux cardigan.
- Je vous comprends. Je ne m’en séparerai jamais soyez en certain. Je le garderai pour mes amants.
- Vos amants? Je connais bien Jacques et il m’a pourtant dit qu’il vous adorait et que vous étiez fidèle.
- Ce n’est qu’un piètre mari qui ne sait pas me procurer de plaisir. Il doit être homo! J’ai eu beau tenter de le séduire, je reste pour lui une femme au foyer et cette situation me pèse. De plus il est bien plus âgé que moi et je préfère les jeunes hommes, comme vous. Elle souriait.
J’étais mal à l’aise. Elle était en train de me draguer ce qui faisait parti de mon plan mais sans détester son époux elle ne l’aimait pas.
Elle n’éprouvait aucun sentiment pour lui.
Il y avait quand même une chose qui me tracassait. Les hommes, et moi le premier, pouvions être fétichistes mais j’avais toujours lu ou entendu qu’une femme n’était pas fétichiste. Qu’elle était davantage portée sur le sentiment affectif avec son partenaire et pas sur les vêtements ou la lingerie. Or Marie-Sophie était attachée aux cardigans en cachemire.
Il fallait que je mette cela au clair. Ca tournait dans ma tête.
Je pensais à tout cela lorsqu’elle me demanda.
- Quel est votre prénom?
- Bruno.
- C’est joli et vous êtes très charmant jeune homme.
- Puis je vous poser une question Marie-Sophie?
Cà m’ennuyait d’avoir à l’appeler Marie-Sophie mais m’excitait aussi terriblement. C’était le genre de prénom composé issu de la bourgeoisie catholique et aristocratique qui m’insupportait mais j’adorais ce type de femmes. En fait je détestais leur attitude et leur façon d’être mais je ne sais pas pourquoi j’admirai leur façon de s’habiller et leur style un peu coincé.
Elles possédaient quelque chose d’étrange, de caché, de lubrique aussi, qui me faisait fantasmer. Je lui posai ma question.
- Pourquoi aimez vous vous tant porter des cardigans en cachemire?
- Simplement parce que j’apprécie leur douceur et leur forme me dit elle. Ils sont le symbole de la féminité à mon sens.
Mais mon mari n’a rien compris. En revanche je crois que vous penchez plutôt dans mon sens Bruno?
- Oui absolument je trouve cela extrêmement féminin et leur douceur m’émeut chaque jour à tel point qu’il m’arrive d’en porter.
- Vous en portez? Vous me faîtes sourire vous n’avez rien d’homosexuel en vous. Je suis certaine que vous adorez les femmes.
- Vous avez raison. J’adore les femmes. J’adore les femmes comme vous.
Cette phrase était sortie spontanément de ma bouche.
J’étais toujours assis sur une chaise du salon. Elle se leva pour me proposer un autre café.
Lorsqu’elle revint elle déposa les deux cafés de son côté et ne dit mot.
Elle prit un sucre et me demanda si j’en désirai un.
- Non, sans sucre, s’il vous plait.
Elle remua doucement sa petite cuillère dans sa tasse en porcelaine et commença à boire.
La mienne était trop loin de mon siège pour que je puisse m’en emparer.
Elle buvait tranquillement.
- Ton café va être froid Bruno.
Elle me tutoyait aussi naturellement que si nous étions amis.
Je crus qu’elle allait me l’avancer pour que je puisse m’en saisir mais elle n’en fit rien.
Au contraire elle continua à boire et releva sa jupe légèrement.
Après tout j’étais là pour la séduire et redonner un peu de tonus à son couple mais ma mission était compromise.
En revanche elle n’était pas farouche et voulait jouer avec moi.
Je me levai et pris place à ses côtés. Je m’emparai de ma tasse et pris une gorgée de café.
Elle ne parlait plus et me dévisageait. Elle déboutonna le haut de son cardigan (enfin le mien!) pour me laisser voir le haut de ses seins.
Elle releva davantage sa jupe écossaise de manière à me montrer qu’elle portait des bas couleur chair et des porte jarretelles.
Mais elle n’en dévoilait pas davantage comme si elle me demandait de prendre l’initiative.
- Tu es splendide lui dis-je. Ce n’était pas très original mais je ne trouvais pas mes mots.
- Toi aussi Bruno.
Je la pris par la taille et m’approchai de son visage si tendre.
Elle ouvrit la bouche et moi aussi. Nos langues se mêlaient pour un premier baiser fougueux.
Elle s’empara de mes cheveux et colla sa bouche contre la mienne. J’étais super bien.
Sa langue avait un goût délicieux et elle savait y faire. Je bandais maintenant mais pensait vraiment que ma mission pour Jacques allait échouer.
Je posai délicatement ma main sur ses seins à l’intérieur de son cardigan. Ses seins étaient magnifiques alors que je ne les avait pas encore vus. Le contact de la laine et de son propre corps me procuraient un immense plaisir.
Nous continuions à nous embrasser tendrement mais aussi avec assiduité. Marie-Sophie posa sa main sur mon pantalon et caressa mon pénis qui désormais était tendu. Je glissai ma main sous sa jupe puis me décidai à me diriger vers son puits d’amour.
A ma grande surprise elle ne portait pas de culotte et j’atteints sa vulve humide. Aucun obstacle n’était entre nous.
Elle écarta les jambes. Sa vulve était mouillée et je glissai un doigt dans sa fente.
De son côté Marie-Sophie avait extrait mon sexe de mon pantalon et me branlait. Mon érection n’était pas encore totale mais mon sexe gonfla sous ses mouvements lents et experts.
Cette femme BCBG s’avérait être une véritable chienne en chaleur.
Et j’aimais ça!
Alors que je tentais de déboutonner son cardigan elle me fit baisser mon pantalon et prit entièrement mon sexe dans sa bouche.
Elle me léchait le gland puis descendait le long de ma hampe pour le prendre tout entier dans sa gorge.
Je n’avais d’yeux que pour ses seins, sa chatte et son cardigan. Je lui fis signe de nous poster en 69
sur le canapé. Elle pouvait sucer ma queue et je me délectais de sa chatte. Je me décidai à introduire un doigt dans son anus mais m’inquiétais de sa réaction. Au contraire elle me fit comprendre qu’elle aimait cela et les mouvements de son bassin prouvaient bien qu’elle était très réceptive à ce genre de caresse.
Je lui demandai de se retourner pour me présenter son dos et ses fesses. Ma langue prit possession de son anus.
C’était sans doute la plus belle feuille de rose que je n’avais jamais administrée à une femme à ce jour.
Son cul s’ouvrait davantage à chaque poussée de ma langue et je pouvais maintenant la pénétrer analement sans aucune crainte. Mais je voulais profiter de ce cul majestueux. L’une de mes mains s’attardait sur son clitoris et la masturbait.
Elle allait jouir mais me fit signe qu’elle souhaitait jouir autrement.
Elle m’embrassa de nouveau.
- Je veux que tu me prennes Bruno. STP
Prends moi fort, je suis à toi.
Je la retournai sur le dos. Je déboutonnai son cardigan et lui caressai la poitrine.
Elle écarta les jambes pour que je puisse la pénétrer.
- Prends moi fort Chéri.
Mon sexe s’introduit dans sa chatte humide et je commençai à la limer avec toute la vigueur dont je pouvais disposer.
Elle se caressait le clito et à peine trois minutes après que je me sois introduis en elle me déversa de longs jets de cyprine. Je me retirai puis entrai à nouveau dans ce puits d’amour.
Je sentais son bassin se cambrer et je me retirai à tant pour à nouveau recevoir de nombreux jets.
Son orgasme était intense et n’en finissait plus. J’étais en présence d’une femme fontaine!
Je n’avais toujours pas joui. Je lui demandai de l’enculer car son cul m’attirait.
Elle me dit qu’elle adorait cela et se mit à quatre pattes sur le canapé.
- Vas y, prends mon petit trou!
Elle releva son cardigan sur ses jolies fesses bombées et se cambra le plus possible.
Son anus déjà bien ouvert par ma langue était bien préparé. Je mis mon gland tout contre sa rondelle et commençai à m’amuser avec son petit trou. Je faisais entrer mon gland tout doucement puis le sortait alors qu’elle ne s’y attendait pas. Mon jeu dura dix bonnes minutes.
Puis d’un seul coup mon sexe s’introduit dans son anus demandeur.
Elle poussa un léger cri mais pas de douleur. Je sentais qu’elle voulait que j’aille encore plus profond entre ses reins.
Je stoppai mon avancée et en profitai pour lui caresser son clitoris et son cul.
J’avais en face de moi une femme soumise. Je pris son cardigan et l’étalai sur son cul.
D’un côté je voyais ses boutons et de l’autre ses boutonnières et ça me donnait encore davantage envie de la sodomiser.
J’entrai à nouveau dans son cul et la ramonai comme la grosse cochonne catholique Bcbg qu’elle était.
Elle se caressait le bouton et me demandait de jouir en elle.
Son corps se durcit et notre orgasme arriva au même moment. Je lui rempli le cul de mon sperme tandis qu’elle m’aspergeait de son jus.
Elle était parcourue de soubresauts et n’arrêtait pas d’asperger le parquet.
Je l’enlaçai et l’embrassai avec fougue. Son visage était illuminé de bonheur.
Sa poitrine allait au rythme de sa respiration accélérée.
Je venais de me faire une bonne épouse BCBG et j’étais très satisfait.
A suivre…
Il m’avait fait découvrir les plaisirs de la fellation et de la sodomie réciproques.
Il était bi et tout comme moi, fétichiste des femmes qui portaient des gilets ras du cou en cachemire ou en angora. Il aimait les femmes BCBG et en avait une à disposition.
Son épouse semblait en effet l’épouse idéale à mes yeux mais il ne savait pas en tirer l’essence. Il habitait avec Sophie dans un appartement luxueux du 16 ème arrondissement de Paris.
Nous avions fait l’amour tous les deux. Chacun vêtus de cardigans en angora ou cachemire et de lingerie de luxe et nous y avions trouvé notre plaisir.
Il m’avait communiqué son numéro de téléphone portable et je me décidai à l’appeler non sans avoir une idée précise en tête.
Certes notre rencontre avait été très fructueuse et nous avions joui ensemble mais je me considérai avant tout comme hétéro et je voulais lui démontrer que son épouse pouvait être celle qu’il désirait vraiment.
- Allo Jacques?
- Oui?
- C’est Bruno, te souviens-tu de moi?
- Bien sûr, nous nous sommes vus il y a une quinzaine de jours. Tu me manques beaucoup.
J’ai apprécié notre séance de baise en pulls. Tu m’as bien fait jouir et je crois que moi aussi!
- Tu as raison Jacques. Tu m’as aussi fait jouir comme personne auparavant mais je souhaiterais te demander une faveur?
- Ah bon, laquelle?
- Je voudrais te faire une surprise. Tu aimes les femmes BCBG et moi aussi et nous sommes obligés de nous tourner vers une relation homosexuelle pour satisfaire nos désirs. Cà a été super et j’envisage de recommencer mais je pense que vous méritez toi et ta femme Sophie, bien mieux.
- Tu crois? elle est coincée comme une nonne!
- Je te demande juste un service, s’il te plait. Cela n’empêchera pas que nous pourrons encore baiser ensemble et nous envoyer en l’air avec nos cardigans préférés. Mais ça peut aussi changer ta vie.
- Que veux tu?
- Dis moi où tu habites, donnes moi la description de Sophie, et donnes moi ton numéro de téléphone personnel.
- Tu n’y penses pas!
- Si, au contraire, j’y pense depuis quinze jours, et je suis sur que je peux convertir ta femme en une vraie salope qui aimera son mari. Mais si tu y es opposé continues à te retrancher sur de jeunes mecs ce qui ne
t’apportera rien de plus. Tu aimes ta femme et elle t’aimera comme tu le souhaites.
Il faut juste que tu me fasses confiance.
Après tout je t’ai donné mon anus alors que je ne te connaissais pas et nous nous sommes éclatés alors fais moi confiance.
- Ok, mais je te donnes un mois. Sans quoi nous nous reverrons et baiserons comme la première fois.
- Pas de souci. Si je n’y parviens pas je serai ta Sophie pour toujours et tu pourras m’enculer comme tu le souhaites et dans les tenues que tu veux! Donnes- moi ton adresse et ton numéro de téléphone stp?
- Ne fais pas de bêtises Bruno, je ne veux pas de bavure.
- Tu as ma parole Jacques. Croix de bois croix de fer si je mens je vais en enfer!
Il m’indiqua son adresse et son téléphone personnel. Je pris soin de les noter sur mon agenda.
Je lui demandai s’il avait des enfants et il me répondit par l’affirmative. Il avait une fille de huit ans, qu’il avait eue assez tard.
- Et ma femme s’appelle Marie-Sophie pour être plus précis, mais je l’ai toujours appelé Sophie.
J’en pris bonne note.
Je le remerciai de ces précisions et lui dit que je le contacterai plus tard mais qu’il n’avait rien à craindre de ma part.
Avec toutes ces informations en main j’allais enfin pouvoir tenter de séduire sa femme.
Encore fallut- il qu’elle me plaise ce qui n’était pas gagné d’avance. Et aussi que je sois en mesure de la séduire.
Je ne m’étais pas encore fait une nonne ( enfin ce genre de femme) et le challenge me paraissait assez élevé.
Je retournai chez moi et songeai à la situation qui se présentait.
Les faits étaient ainsi.
J’aimais, que dire, j’adorais, les femmes BCBG qui portaient de jolis cardigans en cachemire ou en angora et j’avais pour la toute première fois l’occasion d’en rencontrer une.
Ca c’était le très bon point!
Le mauvais point était qu’aux dires de Jacques cette femme était frigide et n’aimait pas du tout faire l’amour.
En dehors de ses devoirs conjugaux.
J’avais donc un sacré challenge à relever.
Mais je n’étais pas du tout découragé. Bien au contraire. Ce genre de femme bourgeoise m’excitait au plus haut point et je me sentais prêt à relever ce défi.
J’élaborai mon plan.
Ce n’était pas très facile. Il fallait que je trouve une solution pour approcher sa femme et pour la mettre en confiance.
Fort heureusement elle n’habitait pas très loin de chez moi.
Nous étions au mois de Juin et le temps était doux mais pas très chaud.
J’avais quitté mon studio assez tôt pour pouvoir me rendre au domicile de Marie-Sophie à 7H30.
J’attendais patiemment devant son immeuble en essayant de ne pas me faire remarquer.
Vers 7H45 je vis une femme sortir de son immeuble. Elle tenait la main à une petite fille d’environ huit ans.
Elle avait les cheveux longs, noués par un chignon élégant. Une jupe écossaise, des souliers vernis, et un cardigan en cachemire rouge complétaient sa tenue. Elle n’était pas déplaisante. Certes ce n’était pas un canon de beauté mais sous son air et ses vêtements stricts elle semblait disposer d’un joli corps. Je lui donnai la trentaine. Pas davantage.
Jacques m’avait fourni sa description et je vis tout de suite que c’était ELLE.
J’avais revêtu un costume très sobre et distingué, des souliers parfaitement cirés et une coiffure plus conforme.
Ma coupe de cheveux, plus courte depuis mon entrevue avec Jacques, plaisait aux femmes.
Marie-Sophie tourna au coin de la rue pour accompagner sa fille à l’école. Je savais que je n’avais qu’une dizaine de minutes pour élaborer mon plan mais j’y avais pensé auparavant.
Une quinzaine de minutes plus tard je la vis s’engager dans la rue.
Je traversai et me plantai devant sa porte en faisant mine de sonner.
Elle me rejoint assez rapidement et me demanda ce que je faisais là.
Je lui fit part de ma surprise et lui dit que je souhaitais voir Mme Marie-Sophie Lebrun mais que celle-ci semblait être absente.
Je portais une mallette avec mes documents et mon aspect soigné sembla la rassurer.
- Que lui voulez-vous?
- C’est son mari qui a pris rendez vous pour moi. J’espère qu’il l’a prévenue sinon je suis à la porte. Je riais. Ce serait dommage!
Je ne pouvais détacher mon regard de son cardigan rouge qu’elle avait pris soin de boutonner jusqu’au cou et d’agrémenter d’un collier de perles. Je ne peux pas dire qu’elle était belle mais elle dégageait tant de féminité que cela allait bien au delà de la beauté.
Son visage n’était pas des plus jolis mais elle savait se mettre en valeur et il n’était pas disgracieux pour autant. Ses sourcils et ses cils ainsi que ses lèvres étaient parfaitement maquillés et sa tenue était parfaite. Je constatai, maintenant que nous étions plus prêt l’un de l’autre, qu’elle n’était pas belle comme certains l’entendent, mais qu’en revanche elle avait du charme. Un charme fou. Bien au delà de mes attentes.
- Mais qui êtes vous? me demanda-t-elle
- Je suis agent d’assurance vie et Mr Lebrun m’a demandé de s’adresser à son épouse. Je vais l’attendre, ne vous inquiétez pas.
- Je suis Madame Lebrun me dit -elle. Venez avec moi s’il vous plait.
Elle composa le code et me fit signe de la suivre.
Elle appuya sur le bouton de l’ascenseur. Il arriva rapidement. Elle me fit entrer dans la cage et puis entrai. Elle prit soin de refermer la grille et appuya sur le numéro 2.
Arrivés à l’étage elle ouvrit la porte de l’ascenseur.
Je la suivais. Elle était splendide. Son cardigan rouge, sa jupe plissée, son collier de perles, ses souliers, son chignon, tout chez elle me plaisait.
Tout son corps dégageait une extrême douceur.
Elle prit son trousseau de clés et ouvrit la porte de son appartement.
- Veuillez entrer me dit-elle.
Je ne me fis pas prier et restai dans l’entrée.
Je pénétrai dans le salon. Elle se dirigea vers ce que je supposais être la cuisine.
- Je vous en prie, asseyez vous.
Elle revint avec deux cafés et les déposa sur la table.
- Alors c’est mon mari qui vous envoie?
- Oui il m’a dit qu’il était intéressé par une assurance vie et que c’est vous qui vous en occupiez. Je me trompe?
- Non, effectivement c’est moi qui gère les comptes.
- Qu’avez vous à nous proposer? Je n’ai pas trop de temps pour ce genre de démarchage.
Je lui expliquai les différents placements possibles, du plus risqué au plus sûr, et lui demandai ce qu’elle en pensait.
- Je ne sais pas quoi en penser c’est assez étranger tout cela pour moi.
J’ouvrai ma valise pour sortir un nouveau dossier et lui présenter un investissement plus à son avantage.
Ce que j’avais complètement oublié est le fait que j’avais dans ma valise un pull féminin gris clair en cachemire.
Il comportait neuf jolis boutons en nacre véritable. Il provenait d’Ecosse et les manches, le col ainsi que le bas du cardigan étaient côtelés élégamment. Je l’avais toujours avec moi au cas où une rencontre impromptue soit tentée de le porter.
Je fus un peu désemparé, me saisit du dossier et m’empressait de refermer mon attaché case.
Elle m’écouta attentivement pendant une demi heure puis me demanda si je n’avais rien à lui proposer d’autre.
Je lui dit que c’était tout ce que j’avais mais que c’était très intéressant et développai mes arguments en sa faveur.
- Pourriez vous ouvrir votre attaché case un instant svp? Il me semble que vous avez oublié un dossier.
- Non Madame Lebrun je vous l’assure.
- Si, croyez-moi je pense avoir vu un investissement qui pourrait m’intéresser davantage.
J’ouvris ma mallette mais celle-ci ne détenait qu’un cardigan en cachemire mais autre dossier malheureusement.
- Vous voyez je n’ai plus rien à vous proposer Madame Lebrun.
Elle saisit alors le cardigan en cachemire gris et ses doigts jugèrent de sa douceur. Ils parcouraient la laine douce et caressaient ce pull sensuellement.
- Cet investissement me parait très approprié me dit- elle. Qu’en pensez vous?
J’étais assez abasourdi car je n’avais pas du tout prévu cela et ce cardigan aurait dû rester chez moi.
Mon plan sentait le roussi.
- C’est à dire que cela n’a rien à voir avec de l’assurance vie Mme Lebrun.
- Vous avez raison mais néanmoins ce cardigan me plait beaucoup.
- Il est à ma femme lui mentais-je.
- A votre femme et dans votre valise? Vous me prenez pour une cruche?
- Non, je ne me permettrai pas Madame Lebrun.
Elle regarda l’étiquette attentivement et se rendit compte que sa taille était plutôt celle d’un homme.
- C’est à vous?
- Non, je vous l’ai dit il appartient à ma femme.
- Et votre femme mesure 1m75?
- Non.
- En revanche je mesure 1m76 et je pense qu’il pourrait me convenir.
- Vous croyez?
- J’en suis certaine me dit elle.
Mais je lui fit remarquer qu’elle en portait déjà un magnifique qui était rouge et semblait très doux.
- Oui c’est certain, mais j’adore le cachemire et celui-ci me plait énormément. De plus je n’en ai aucun de cette couleur.
Il provient d’Ecosse. Il est magnifique.
Me permettez vous de l’essayer?
Je ne savais que répondre.
- Oui bien évidement Mme Lebrun. Mais ce n’est pas vraiment l’objet de ma venue.
- Attendez moi je reviens dans un instant.
Elle s’empara du cardigan et revint quelques minutes plus tard.
Elle l’avait revêtu et il lui allait à merveille.
Je constatai qu’elle ne portait plus de soutien gorge et sa poitrine libre sous ce pull commençait à m’exciter.
Ses seins étaient de bonne taille et ses tétons pointaient déjà sous son pull.
- Je n’ai que faire de vos assurances vies. J’en suis désolée mais en revanche je voudrais bien vous acheter ce cardigan. Qu’en pensez vous?
- C’est à dire qu’il n’est pas à vendre madame Lebrun. Il fait partie de ma collection personnelle et j’ai omis ce matin de l’ôter de mon attaché case.
- Votre collection personnelle? Vous vous moquez de moi?
- Non je vous assure Madame Lebrun. Effectivement il n’est pas à ma femme car je ne suis pas marié mais à moi car j’adore aussi en porter. Par conséquent il n’est pas à vendre Madame.
- Vous êtes en train de me dire qu’il est à vous? Vous plaisantez?
- Non Madame je ne plaisante pas il est vraiment à moi mais je ne suis pas là pour çà. Je ne savais vraiment pas comment me sortir de cette situation.
- Nous allons faire un marché jeune homme. Vous me le vendez et je vous souscris une assurance vie.
Etes vous d’accord?
- C’est à dire qu’il coûte une certaine somme Madame Lebrun.
- Appelez moi Marie-Sophie.
- Je ne peux pas Madame Lebrun.
- Ecoutez mon garçon, je sais que vous faîtes votre travail, très bien par ailleurs, mais si vous souhaitez que je souscrive l’un de vos contrats ce sera ma seule condition!
De toute manière c’est Jacques mon époux qui paiera tout, cet idiot est un bon à rien!
- Je suis d’accord Marie-Sophie mais j’ai acheté ce cardigan en Ecosse et comme il est composé d’un excellent cachemire, vous avez pu vous en rendre compte, j’ai du débourser 300 euros pour en faire son acquisition.
- Le prix m’importe peu. Jacques me paie à rester à la maison et me considère comme sa bonne. Alors pour une fois que je trouve un cardigan qui me plait vraiment il mettra la main à la bourse.
En mon fort intérieur je me dis qu’effectivement Jacques était le genre d’homme à mettre la main à la bourse mais sans doute pas à celle à laquelle elle faisait allusion.
- Je suis d’accord Marie-Sophie. Mais sachez tout de même que cela me brise le coeur d’avoir à abandonner un si joli et surtout si doux cardigan.
- Je vous comprends. Je ne m’en séparerai jamais soyez en certain. Je le garderai pour mes amants.
- Vos amants? Je connais bien Jacques et il m’a pourtant dit qu’il vous adorait et que vous étiez fidèle.
- Ce n’est qu’un piètre mari qui ne sait pas me procurer de plaisir. Il doit être homo! J’ai eu beau tenter de le séduire, je reste pour lui une femme au foyer et cette situation me pèse. De plus il est bien plus âgé que moi et je préfère les jeunes hommes, comme vous. Elle souriait.
J’étais mal à l’aise. Elle était en train de me draguer ce qui faisait parti de mon plan mais sans détester son époux elle ne l’aimait pas.
Elle n’éprouvait aucun sentiment pour lui.
Il y avait quand même une chose qui me tracassait. Les hommes, et moi le premier, pouvions être fétichistes mais j’avais toujours lu ou entendu qu’une femme n’était pas fétichiste. Qu’elle était davantage portée sur le sentiment affectif avec son partenaire et pas sur les vêtements ou la lingerie. Or Marie-Sophie était attachée aux cardigans en cachemire.
Il fallait que je mette cela au clair. Ca tournait dans ma tête.
Je pensais à tout cela lorsqu’elle me demanda.
- Quel est votre prénom?
- Bruno.
- C’est joli et vous êtes très charmant jeune homme.
- Puis je vous poser une question Marie-Sophie?
Cà m’ennuyait d’avoir à l’appeler Marie-Sophie mais m’excitait aussi terriblement. C’était le genre de prénom composé issu de la bourgeoisie catholique et aristocratique qui m’insupportait mais j’adorais ce type de femmes. En fait je détestais leur attitude et leur façon d’être mais je ne sais pas pourquoi j’admirai leur façon de s’habiller et leur style un peu coincé.
Elles possédaient quelque chose d’étrange, de caché, de lubrique aussi, qui me faisait fantasmer. Je lui posai ma question.
- Pourquoi aimez vous vous tant porter des cardigans en cachemire?
- Simplement parce que j’apprécie leur douceur et leur forme me dit elle. Ils sont le symbole de la féminité à mon sens.
Mais mon mari n’a rien compris. En revanche je crois que vous penchez plutôt dans mon sens Bruno?
- Oui absolument je trouve cela extrêmement féminin et leur douceur m’émeut chaque jour à tel point qu’il m’arrive d’en porter.
- Vous en portez? Vous me faîtes sourire vous n’avez rien d’homosexuel en vous. Je suis certaine que vous adorez les femmes.
- Vous avez raison. J’adore les femmes. J’adore les femmes comme vous.
Cette phrase était sortie spontanément de ma bouche.
J’étais toujours assis sur une chaise du salon. Elle se leva pour me proposer un autre café.
Lorsqu’elle revint elle déposa les deux cafés de son côté et ne dit mot.
Elle prit un sucre et me demanda si j’en désirai un.
- Non, sans sucre, s’il vous plait.
Elle remua doucement sa petite cuillère dans sa tasse en porcelaine et commença à boire.
La mienne était trop loin de mon siège pour que je puisse m’en emparer.
Elle buvait tranquillement.
- Ton café va être froid Bruno.
Elle me tutoyait aussi naturellement que si nous étions amis.
Je crus qu’elle allait me l’avancer pour que je puisse m’en saisir mais elle n’en fit rien.
Au contraire elle continua à boire et releva sa jupe légèrement.
Après tout j’étais là pour la séduire et redonner un peu de tonus à son couple mais ma mission était compromise.
En revanche elle n’était pas farouche et voulait jouer avec moi.
Je me levai et pris place à ses côtés. Je m’emparai de ma tasse et pris une gorgée de café.
Elle ne parlait plus et me dévisageait. Elle déboutonna le haut de son cardigan (enfin le mien!) pour me laisser voir le haut de ses seins.
Elle releva davantage sa jupe écossaise de manière à me montrer qu’elle portait des bas couleur chair et des porte jarretelles.
Mais elle n’en dévoilait pas davantage comme si elle me demandait de prendre l’initiative.
- Tu es splendide lui dis-je. Ce n’était pas très original mais je ne trouvais pas mes mots.
- Toi aussi Bruno.
Je la pris par la taille et m’approchai de son visage si tendre.
Elle ouvrit la bouche et moi aussi. Nos langues se mêlaient pour un premier baiser fougueux.
Elle s’empara de mes cheveux et colla sa bouche contre la mienne. J’étais super bien.
Sa langue avait un goût délicieux et elle savait y faire. Je bandais maintenant mais pensait vraiment que ma mission pour Jacques allait échouer.
Je posai délicatement ma main sur ses seins à l’intérieur de son cardigan. Ses seins étaient magnifiques alors que je ne les avait pas encore vus. Le contact de la laine et de son propre corps me procuraient un immense plaisir.
Nous continuions à nous embrasser tendrement mais aussi avec assiduité. Marie-Sophie posa sa main sur mon pantalon et caressa mon pénis qui désormais était tendu. Je glissai ma main sous sa jupe puis me décidai à me diriger vers son puits d’amour.
A ma grande surprise elle ne portait pas de culotte et j’atteints sa vulve humide. Aucun obstacle n’était entre nous.
Elle écarta les jambes. Sa vulve était mouillée et je glissai un doigt dans sa fente.
De son côté Marie-Sophie avait extrait mon sexe de mon pantalon et me branlait. Mon érection n’était pas encore totale mais mon sexe gonfla sous ses mouvements lents et experts.
Cette femme BCBG s’avérait être une véritable chienne en chaleur.
Et j’aimais ça!
Alors que je tentais de déboutonner son cardigan elle me fit baisser mon pantalon et prit entièrement mon sexe dans sa bouche.
Elle me léchait le gland puis descendait le long de ma hampe pour le prendre tout entier dans sa gorge.
Je n’avais d’yeux que pour ses seins, sa chatte et son cardigan. Je lui fis signe de nous poster en 69
sur le canapé. Elle pouvait sucer ma queue et je me délectais de sa chatte. Je me décidai à introduire un doigt dans son anus mais m’inquiétais de sa réaction. Au contraire elle me fit comprendre qu’elle aimait cela et les mouvements de son bassin prouvaient bien qu’elle était très réceptive à ce genre de caresse.
Je lui demandai de se retourner pour me présenter son dos et ses fesses. Ma langue prit possession de son anus.
C’était sans doute la plus belle feuille de rose que je n’avais jamais administrée à une femme à ce jour.
Son cul s’ouvrait davantage à chaque poussée de ma langue et je pouvais maintenant la pénétrer analement sans aucune crainte. Mais je voulais profiter de ce cul majestueux. L’une de mes mains s’attardait sur son clitoris et la masturbait.
Elle allait jouir mais me fit signe qu’elle souhaitait jouir autrement.
Elle m’embrassa de nouveau.
- Je veux que tu me prennes Bruno. STP
Prends moi fort, je suis à toi.
Je la retournai sur le dos. Je déboutonnai son cardigan et lui caressai la poitrine.
Elle écarta les jambes pour que je puisse la pénétrer.
- Prends moi fort Chéri.
Mon sexe s’introduit dans sa chatte humide et je commençai à la limer avec toute la vigueur dont je pouvais disposer.
Elle se caressait le clito et à peine trois minutes après que je me sois introduis en elle me déversa de longs jets de cyprine. Je me retirai puis entrai à nouveau dans ce puits d’amour.
Je sentais son bassin se cambrer et je me retirai à tant pour à nouveau recevoir de nombreux jets.
Son orgasme était intense et n’en finissait plus. J’étais en présence d’une femme fontaine!
Je n’avais toujours pas joui. Je lui demandai de l’enculer car son cul m’attirait.
Elle me dit qu’elle adorait cela et se mit à quatre pattes sur le canapé.
- Vas y, prends mon petit trou!
Elle releva son cardigan sur ses jolies fesses bombées et se cambra le plus possible.
Son anus déjà bien ouvert par ma langue était bien préparé. Je mis mon gland tout contre sa rondelle et commençai à m’amuser avec son petit trou. Je faisais entrer mon gland tout doucement puis le sortait alors qu’elle ne s’y attendait pas. Mon jeu dura dix bonnes minutes.
Puis d’un seul coup mon sexe s’introduit dans son anus demandeur.
Elle poussa un léger cri mais pas de douleur. Je sentais qu’elle voulait que j’aille encore plus profond entre ses reins.
Je stoppai mon avancée et en profitai pour lui caresser son clitoris et son cul.
J’avais en face de moi une femme soumise. Je pris son cardigan et l’étalai sur son cul.
D’un côté je voyais ses boutons et de l’autre ses boutonnières et ça me donnait encore davantage envie de la sodomiser.
J’entrai à nouveau dans son cul et la ramonai comme la grosse cochonne catholique Bcbg qu’elle était.
Elle se caressait le bouton et me demandait de jouir en elle.
Son corps se durcit et notre orgasme arriva au même moment. Je lui rempli le cul de mon sperme tandis qu’elle m’aspergeait de son jus.
Elle était parcourue de soubresauts et n’arrêtait pas d’asperger le parquet.
Je l’enlaçai et l’embrassai avec fougue. Son visage était illuminé de bonheur.
Sa poitrine allait au rythme de sa respiration accélérée.
Je venais de me faire une bonne épouse BCBG et j’étais très satisfait.
A suivre…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bon récit, où le fétichisme se mélange au plaisir de baiser et enculer une fausse nonne.
superbe recit que de belle chose
Oui très bien. Excellent.
Rudy
Rudy