Maurice - suite et fin
Récit érotique écrit par Abdul75 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Maurice - suite et fin
Le lendemain, Françoise fut réveillée peu avant 10 heures par Sophie une de ses amies. "Alors ma chère vas tu bien ?" lui lacha celle-ci sur un ton acide. "Pas trop éreintée par ton shopping d'hier?" Le coeur de françoise se mit à battre la chamade lorsqu'elle entendit cette réflexion. "Que... veux tu dire par là ?" balbutia-t-elle. "Figure toi que hier je faisais des achats dans les grands magasins. Et imagine toi que j'ai cru t'apercevoir vêtue de manière indécenteau bras d'un colosse noir. Mais je suppose que ça devait être une autre femme n'est-ce pas?" "Enfin Sophie tu penses vraiment que ça pouvait être moi ?" "moi non mais je ne sais pas ce qu'en penserait Jérôme ton mari si je lui parlais de cette vision". "Pour... pourquoi lui en parlerais-tu ?" s'étrangla Françoise. Sophie répondit d'un ton mielleux "Je ne sais pas comme ça dans un détour de conversation... Au fait nous comptons sur vous demain soir à notre soirée, n'oublie pas. Je t'embrasse ma chérie à demain". Et elle raccrocha laissant Françoise folle d'inquiétude. Celle-ci n'eut guère le temps de gamberger car le téléphone se remit à sonner. Elle décrocha et reconnut aussitôt son nouvel amant. "Alors ma belle bourgeoise est bien reposée prète à satisfaire de nouveau son puissant étalon". La voix chaude et virile de Maurice fit brièvement mouiller la femme. Mais elle était trop préoccupée et fit part du coup de fil de Sophie à l'Africain. "Eh bien voilà une jolie amie " lacha Maurice rigolard. "Est-elle aussi baisable que toi cette Sophie?" Françoise dut avouer à son amant que Sophie avait 38 ans et tous les avantages qu'apprécient tant les hommes. "Ok arrange toi pour que je la rencontre cet après-midi. Je vais lui clouer le bec à cette mijaurée". "Que veux-tu faire ? lacha Françoise soudain inquiète". "Je la baiserai devant toi. Ca lui otera l'idée de faire des confidences malvenues. Je vous attendrai à 15 heures à la Brasserie x dans le 16 ème. Fais en sorte que ton amie soit ponctuelle". Et Maurice raccrocha sans ajouter un mot. Les propos de l'homme avaient à la fois excité et inquiété Françoise.
Françoise avait donné RDV à son amie au bar indiqué par Maurice. Mais à la demande de ce dernier, elle arriva en retard. Sophie portait un tailleur Chanel beige, des bas blancs et des escarpins à hauts talons beige. Avec la description faite par Françoise, Maurice n'eut pas de mal à la reconnaître et il la trouva fort à son goût. Avec aplomb, il alla se planter devant la femme et l'examina sans pudeur. En reconnaissant le colosse noir, Sophie rougit et se sentit extrémement génée. "Alors Petite Bourgeoise étriquée, on est scandalisée que sa copine se tape un grand nègre ou bien... tu es jalouse de Françoise et ca t'insupporte qu'elle se fasse baiser par un étalon africain. " Il la fixa alors durement et lui lâcha d'une voix ferme: "Si tu veux profiter de mes attributs, il faudra être plus bandante que ça." Sophie faillit s'étrangler "Mais vous êtes fou . Pour qui me prenez-vous ?" "Pour ce que tu es ! une pouliche qui aurait bien besoin d'un mâle qui lui révèle ses sens ! Et comme c'est ton jour de chance tu en as justement un en face de toi! " Sophie lacha un rire nerveux : "Je vous trouve bien prétentieux monsieur" "Tu ne dirais pas ça si tu voyais ce que j'ai entre les cuisses. Tu serais prête à tout pour l'avoir entre les tiennes!". Sophie se mit à rougir et à bégayer. Maurice profita de son avantage et la saisit le bras "Allez viens! allons rejoindre ton amie Françoise qui arrive".Solidement maintenue par Maurice, Sophie se résigna à suivre l'homme qui la fit s'asseoir sans ménagement sur la banquette arrière du véhicule de Françoise où il s'assit à son tour. La jupe beige permettait de deviner le haut des bas de Sophie et Maurice lacha un cri admiratif. "Voila une belle paire de cuisses ma foi!" et sans gêne , il saisit le tissu et releva la jupe dévoilant un string brésilien blanc sous lequel on devinait un pubis rasé."Et bien dis donc voilà des dessous bien coquins pour une honnête bourgeoise". "Tu trompes bien ton monde et ton mari aussi sans doute!" "Mais je ne vous permets pas..." protesta Sophie "Tu ne permets pas quoi ? A cause de toi je bande comme un cerf. Il va falloir me calmer maintenant." N'y tenant plus Maurice dégraffa son pantalon et fit jaillir sa queue qui commençait à se raidir. "Oh mon Dieu, s'exclama Sophie en découvrant le dard énorme. Elle est monstrueuse!" "Eh bien qu'attends tu ! prends là dans la main" Sophie prit un air horrifié qui exaspéra Maurice. Il attrapa la main de la blonde et la força à saisir sa queue. Incapable de s'opposer , après une courte hésitation Sophie se mit à branler le membre turgescent. À sa grande honte, elle ne pouvait maîtriser son excitation et elle sentit sa chatte ruisseler alors que Maurice lui titillait le clito sous son slip. " C'est mieux. Tu vas me sucer mmaintenant !" Soumise, Sophie s'exécuta aussitôt enfournant le gland somptueux dans sa bouche. Dans le rétroviseur, elle croisa le regard de Françoise que le spectacle excitait fort et qui se caressait l'entre-cuisse tout en conduisant doucement dans le bois. Sophie avait désormais le cul en feu et Maurice s'en aperçut. Il demanda à Françoise de garer la voiture et il en descendit emmenant Sophie avec lui à l'abri d'un bosquet. Là il arracha le string de la femme, la força à se mettre à quatre pattes et la pénétra brutalement après avoir remonté sa jupe. Tout en maintenant fermement la croupe de Sophie, il la pistonnait rageusement lui arrachant des cris de plaisir. Soudain, il se tendit et déchargea en râlant bruyamment tandis que sa partenaire jouissait en gueulant. Rapidement Maurice reprit ses esprits. Il remballa son attirail et remonta dans la voiture aux côtés de Françoise chez qui les caresses avaient déclenché un violent orgasme. Maurice ordonna à sa maîtresse de démarrer plantant ainsi Sophie le cul à l'air à quatre pattes dans la forêt.
Le soir même, pour recevoir ses invités, Sophie avait enfilé une robe blanche décolletée qui découvrait ses genoux et ses jambes gainées de bas blancs et juchées sur des sandales beiges à talons effilés de 14 cm.
Lorsqu'elle vint ouvrir au couple de ses amis, elle n'osait regarder Françoise dans les yeux. En embrassant son amie, celle-ci lui lacha doucement "Mon ami Maurice est ravi de t'avoir rencontrée. Il aimerait beaucoup te revoir" . Sophie se mit à rougir ce que ne put s'empêcher de remarquer Jérôme. "Tout va bien chère Sophie ?" demanda-t-il alors. Celle-ci toussota avant de rassurer l'homme puis elle conduisit ses amis dans le salon où un couple inconnu tenait déjà compagnie à Pierre le maître de maison.
La femme agée de 33 ans était une rousse flamboyante qui portait un ensemble de cuir ocre dont la jupe courte et fendue laissait voir des bas résille marrons et des escarpins assortis à talons aiguille. L'homme au type libanais marqué arborait fièrement une moustache fournie. Il était vêtu d'un costume gris et d'une chemise noire entrouverte sur une épaisse chaîne dorée qu'on entrevoyait malgré le système pileux abondant de son propriétaire. Sophie fit les présentations et fit asseoir Françoise à côté d'Ornella juste en face de Hassan. Le type semblait trouver Françoise très à son goût et il ne se génait guère pour l'examiner en détail semblant apprécier la robe de velours noir et verte largement décoletée dont la longue fente sur le côté permettait au mâle averti de deviner le haut du bas noir en dentelle de la jeune femme.Une paire d'escarpins verts à brides et talons aiguilles complétait la tenue de Françoise. Sophie avait remarqué le manège de Hassan et elle sourit intérieurement se demandant si son amie allait répondre aux avances du moyen-oriental. Tout au long du repas, Hassan assis entre Sophie et Françoise n'avait cessé de faire du genou à cette dernière qui pour sa part avait fait mine de ne pas s'en apercevoir bien qu'elle se sentait malgré elle troublée par le côté macho du Méditéranéen. Son expérience avec Maurice semblait avoir réveillé la libido assoupie de Françoise et elle se sentait tout à fait disponible pour des expériences extra-conjugales. A la fin du repas qui avait été bien arrosé,toute l'assemblée était fort gaie et les hommes se rendirent dans le salon pour déguster un alcool. Ornella qui avait apparemment un peu trop bu, s'était jointe à eux. Elle avait pris place sur le canapé près d'Hassan et s'était tendrement lovée contre son compagnon les pieds repliés sous ses fesses. Sophie avait convié Françoise dans son dressing personnel afin de lui montrer ses derniers petits achats. Lorsque les deux femmes furent en haut sûres de ne pouvoir être entendues, Sophie prit la parole et reparla de l'épisode de l'après-midi: "Tu m'as tendu un drôle de piège tout à l'heure petite garce" lâcha-t'elle l'oeil brillant "Tu n'aurais pas dû menacer de me dénoncer à Jérôme ma chère..." répondit Françoise avant de continuer. "Mais j'ai l'impression que tu y as trouvé ton compte. C'est vrai mais vous m'avez quand même plantée au milieu de nulle part déclara Sophie avec amertume. Ignorant la remarque, Françoise regarda son amie dans les yeux "tu n'es pas tout à fait l'épouse modèle que tu veux laisser croire n'est-ce pas ?" Sophie eut un un petit rire forcé puis finit par avouer à son amie "Et bien disons que j'essaie de pallier le manque d'entrain de Pierre pour le sexe. - Alors tu as dû apprécié la performance de Maurice ?- Un peu... avoua Sophie en rosissant. "Un peu ou beaucoup ?" l'interrompit son amie. Les deux femmes éclatèrent de rire puis Françoise posa une nouvelle question. "Et le puissant Hassan, il t'aide aussi à pallier le désintérêt de ton mari ? - Devine ! rétorqua Sophie aux Anges avant de conclure "J'ai l'impression que ce charmeur s'occuperait volontiers de toi désormais. - Ah bon ? s'étonna hypocritement Françoise "Et , il est comment dans l'intimité ce monsieur?" "Très impressionnant... tu ne serais pas déçue... On peut dire qu'il est du calibre de ton ami africain." De nouveau, les deux femmes éclatèrent de rire et Sophie ajouta: "Viens donc voir la garde-robe que ce fougueux étalon m'a offerte." Elle ouvrit alors la porte d'un large placard dévoilant une collection de lingerie sexy très fournie ainsi que de nombreuses robes plus afriolantes les unes que les autres. "Voyons... commença alors Françoise en choisissant plusieurs pièces. -Je suis sûre que Maurice te trouvera fort à son goût dans ces petites choses. Montre-moi tes chaussures maintenant." Sophie ouvrit un second placard et son amie choisit des escarpins vernis en cuir rouge à talons aiguille assortis au large serre-taille à jaretelles qu'elle venait de prendre. "Avec ces bas à coutures en soie grise et cette robe fendue noire très décolletée, tu vas le rendre fou. Demain, lorsqu'il m'appellera, je lui dirai qu'il t'a fait un effet terrible et que tu as une envie folle de le revoir. Je lui demanderai de t'attendre au salon de thé de l'Intercontinental et tu le rejoindras dans cette tenue. D'accord? " Un peu surprise, Sophie finit par répondre: "Pourquoi pas... Mais tu n'es pas jalouse ? - Au contraire, s'écria Françoise, l'oeil brillant, -cette idée m'excite beaucoup. J'espère que tu me raconteras..." Une fois encore, les deux femmes éclatèrent de rire et satisfaites de leurs manigances, elles redescendirent pour rejoindre les autres. Lorsque Françoise et Jérôme finirent par rentrer, il était plus de deux heures du matin. Ils se déshabillèrent rapidement et se mirent au lit. Jérôme semblait contrarié et Françoise s'en aperçut. "Qu'est ce qui ne va pas mon chéri? demanda-t-elle à son époux. -Tu as vu comme ce Libanais te matait finit par lâcher l'homme avec énervement. On avait l'impression qu'il allait te sauter dessus à tout moment. Françoise eut un petit rire. "Et c'est ça qui te gêne pauvre chou. Tu devrais être heureux au contraire d'avoir une femme qui excite les convoitises". Jérôme eut un grognement boudeur et Françoise décida de le titiller un peu." Tu imagines vraiment ta petite femme possédée par ce colosse velu... ? - Arrête s'il te plaît! s'exclama l'homme. Mais Françoise insista: "En plus, il doit avoir un truc monstrueux... Remarque, si ça se trouve, j'adorerais peut-être..." Jérôme faillit s'étrangler mais le bruyant éclat de rire de sa femme le calma. "Allons mon petit chéri, il est tard" ajouta celle-ci.- On ferait mieux de dormir plutôt que de fantasmer" et Françoise déposa un baiser sur le front de son mari avant d'éteindre la lumière.
Jérôme avait quitté le domicile conjugal pour son travail depuis plus d'une heure lorsque le téléphone sonna réveillant Françoise. C'était le beau Maurice qui venait s'enquérir de la santé de sa nouvelle conquête. Françoise lui compta par le menu sa soirée de la veille en omettant toutefois les avances peu discrètes d'Hassan et expliqua à Maurice ce qu'elle avait convenu avec Sophie. Le noir était visiblement ravi de l'aubaine et dit qu'il se rendrait à 14h30 au rdv fixé avant d'ajouter "Mais il n'est que 10 heures 15. Je t'attends dans une heure 30 Chez X... Place Clichy. Nous déjeunerons ensemble." Françoise passa un SG de dentelle mauve assorti à un PJ de même matière, un ensemble en cuir noir composé d'une veste à revers et d'une jupe au dessus du genou évasée et fendue devant, des bas résilles bordeaux et des escarpins à hauts talons de teinte semblable. Ensuite, elle monta dans sa golf et se rendit au restaurant. Lorsque Françoise entra dans le restaurant, une jeune hôtesse aux avantages opulents vint à sa rencontre. La fille blonde devait avoir environ 25 ans. Elle portait un tailleur gris à la jupe étroite sur une paire de bas mauves et des escarpins gris à brides et talons hauts. La veste décolletée de son tailleur permettait d'entrevoir un soutien-gorge en dentelle noire. Françoise annonça à la jeune femme qu'elle était attendue et aussitôt, elle fut conduite à la table de Maurice. Le noir se trouvait à une table tranquille située dans un coin de la salle. "Merci mon chou ... lâcha-t-il à la serveuse avec un grand sourire avantde se lever pour permettre à Françoise de s'asseoir. "Tu as l'air bien familier avec cette jeune personne! lâcha-t'elle tout en s'installant. Maurice se mit à rire avant de répondre : "Martine ne saurait rien me refuser. Elle m'est toute dévouée. -Je vois... fit Françoise d'un ton cassant. Tu es quand même un drôle de spécimen -Que veux-tu? Toutes les belles pouliches sont folles de moi alors je les traite de mon mieux. " Françoise sourit de la suffisance du mâle même si elle admettait intérieurement que cet étalon savait combler une femme. Martine vint alors prendre leur commande. Ils optèrent pour une côte de boeuf à partager et Maurice commanda en sus une bouteille de St-Emilion et de l'eau gazeuse. Rapidement, Françoise interrogea le noir sur ses activités professionnelles. Maurice lui apprit qu'il dirigeait une société d'import/export qui commerçait principalement avec les pays d'Afrique de L'ouest. "Où se trouvent tes bureaux ?" lui demanda son amie. "Pas très loin d'ici" répondit Maurice "Nous sommes dans mon quartier en fait. Je connais énormément de monde. Quand nous aurons fini de déjeuner, je t'emmènerai visiter mes locaux". Il était presque 13 heures lorsque le couple quitta le restaurant pour se rendre dans un immeuble situé à environ 300 mètres. Maurice emmena son amie au dernier étage du bâtiment. Il sonna alors devant une porte sur laquelle était fixée une plaque dorée où on pouvait lire la raison sociale de l'entreprise de Maurice :"France Afrique IMPEX". La porte s'ouvrit sur un comptoir moderne derrière lequel trônait une plantureuse jeune femme noire de 23 ans vêtue d'un tailleur moulant. "Bien déjeuné monsieur Maurice? demanda-t-elle à son patron. "Très bien ma petite Katia" répondit l'homme avant de demander:" Solange est rentrée ? -Elle est à son bureau répondit la standardiste. Maurice accompagna alors Françoise dans le bureau de Solange qu'il présenta à son amie comme sa secrétaire. Il s'agissait d'une femme de 47 ans très charnelle moulée dans une robe de laine marron fortement décolletée. Solange semblait adorer les gros bijoux dorés: Un large collier lui enserrait le cou, une longue châine pendait autour de sa taille, de gros pendentifs ornaient ses oreilles ainsi que de larges bracelets ses poignets dodus. Enfin, au dessus de bas à couture marrons et de ses talons aiguille, elle portait à la cheville droite une fine chaîne d'or. Maurice claqua le postérieur joufflu de Solange avant de s'adresser à elle: "Tu voudras bien nous préparer deux cafés ma belle". Puis il fit entrer Françoise dans son spacieux bureau. La femme s'approcha de la grande baie pour jeter un coup d'oeil à l'avenue colorée. En silence, Maurice vint derrière elle et il glissa sa main sous la jupe de sa maîtresse pour masser les fesses nues. Françoise se tourna alors vers l'homme et lui offrit ses lèvres qu'il prit goulument tout en attirant la jeune femme vers le profond canapé. Lorsqu'ils furent assis, Maurice dégraffa la veste de Françoise et fit jaillir les seins fermes et opulents de la jeune femme pour les peloter. Celle-ci avait pour sa part baissé la braguette du noir et extirpé le dard somptueux qu'elle branla avec délicatesse avant de s'agenouiller entre les cuisses du mâle. Elle venait de porter le gland énorme à sa bouche lorsque Solange entra un plateau à la main. Elle alla vite le poser sur la table de réunion avant de venir s'asseoir près de son patron. Maurice releva alors la robe de Solange au dessus de sa taille dévoilant le pubis offert et très velu de sa secrétaire avant de glisser ses gros doigts dans l'antre accueillante de l'employée. Malgré son étonnement, Françoise continuait à sucer l'africain qui bientôt repoussa son amie et lui ordonna de sucer la chatte béante de Solange. Françoise s'exécuta avec soumission tandis que Maurice l'aidait à se mettre à quatre pattes afin de la prendre en levrette. Maurice put pénétrer assez aisément le vagin trempé de sa maîtresse qu'il baisa pendant de longues minutes lui arrachant de nombreux cris de plaisir jusqu'à ce qu'il décharge violemment dans le con de la femme qui tout en prenant son pied était parvenue à faire jouir la pulpeuse secrétaire de Maurice. Après avoir repris son souffle, le noir rangea son trois pièces abandonnant les deux femmes affalées sur le canapé. "Je dois vous laisser maintenant mes poulettes. Il faut que j'aille honorer l'orgueilleuse Sophie". Il était en effet près de 14 heures et Maurice n'avait guère plus de 30 minutes pour rejoindre la blonde amie de Françoise.
Françoise avait donné RDV à son amie au bar indiqué par Maurice. Mais à la demande de ce dernier, elle arriva en retard. Sophie portait un tailleur Chanel beige, des bas blancs et des escarpins à hauts talons beige. Avec la description faite par Françoise, Maurice n'eut pas de mal à la reconnaître et il la trouva fort à son goût. Avec aplomb, il alla se planter devant la femme et l'examina sans pudeur. En reconnaissant le colosse noir, Sophie rougit et se sentit extrémement génée. "Alors Petite Bourgeoise étriquée, on est scandalisée que sa copine se tape un grand nègre ou bien... tu es jalouse de Françoise et ca t'insupporte qu'elle se fasse baiser par un étalon africain. " Il la fixa alors durement et lui lâcha d'une voix ferme: "Si tu veux profiter de mes attributs, il faudra être plus bandante que ça." Sophie faillit s'étrangler "Mais vous êtes fou . Pour qui me prenez-vous ?" "Pour ce que tu es ! une pouliche qui aurait bien besoin d'un mâle qui lui révèle ses sens ! Et comme c'est ton jour de chance tu en as justement un en face de toi! " Sophie lacha un rire nerveux : "Je vous trouve bien prétentieux monsieur" "Tu ne dirais pas ça si tu voyais ce que j'ai entre les cuisses. Tu serais prête à tout pour l'avoir entre les tiennes!". Sophie se mit à rougir et à bégayer. Maurice profita de son avantage et la saisit le bras "Allez viens! allons rejoindre ton amie Françoise qui arrive".Solidement maintenue par Maurice, Sophie se résigna à suivre l'homme qui la fit s'asseoir sans ménagement sur la banquette arrière du véhicule de Françoise où il s'assit à son tour. La jupe beige permettait de deviner le haut des bas de Sophie et Maurice lacha un cri admiratif. "Voila une belle paire de cuisses ma foi!" et sans gêne , il saisit le tissu et releva la jupe dévoilant un string brésilien blanc sous lequel on devinait un pubis rasé."Et bien dis donc voilà des dessous bien coquins pour une honnête bourgeoise". "Tu trompes bien ton monde et ton mari aussi sans doute!" "Mais je ne vous permets pas..." protesta Sophie "Tu ne permets pas quoi ? A cause de toi je bande comme un cerf. Il va falloir me calmer maintenant." N'y tenant plus Maurice dégraffa son pantalon et fit jaillir sa queue qui commençait à se raidir. "Oh mon Dieu, s'exclama Sophie en découvrant le dard énorme. Elle est monstrueuse!" "Eh bien qu'attends tu ! prends là dans la main" Sophie prit un air horrifié qui exaspéra Maurice. Il attrapa la main de la blonde et la força à saisir sa queue. Incapable de s'opposer , après une courte hésitation Sophie se mit à branler le membre turgescent. À sa grande honte, elle ne pouvait maîtriser son excitation et elle sentit sa chatte ruisseler alors que Maurice lui titillait le clito sous son slip. " C'est mieux. Tu vas me sucer mmaintenant !" Soumise, Sophie s'exécuta aussitôt enfournant le gland somptueux dans sa bouche. Dans le rétroviseur, elle croisa le regard de Françoise que le spectacle excitait fort et qui se caressait l'entre-cuisse tout en conduisant doucement dans le bois. Sophie avait désormais le cul en feu et Maurice s'en aperçut. Il demanda à Françoise de garer la voiture et il en descendit emmenant Sophie avec lui à l'abri d'un bosquet. Là il arracha le string de la femme, la força à se mettre à quatre pattes et la pénétra brutalement après avoir remonté sa jupe. Tout en maintenant fermement la croupe de Sophie, il la pistonnait rageusement lui arrachant des cris de plaisir. Soudain, il se tendit et déchargea en râlant bruyamment tandis que sa partenaire jouissait en gueulant. Rapidement Maurice reprit ses esprits. Il remballa son attirail et remonta dans la voiture aux côtés de Françoise chez qui les caresses avaient déclenché un violent orgasme. Maurice ordonna à sa maîtresse de démarrer plantant ainsi Sophie le cul à l'air à quatre pattes dans la forêt.
Le soir même, pour recevoir ses invités, Sophie avait enfilé une robe blanche décolletée qui découvrait ses genoux et ses jambes gainées de bas blancs et juchées sur des sandales beiges à talons effilés de 14 cm.
Lorsqu'elle vint ouvrir au couple de ses amis, elle n'osait regarder Françoise dans les yeux. En embrassant son amie, celle-ci lui lacha doucement "Mon ami Maurice est ravi de t'avoir rencontrée. Il aimerait beaucoup te revoir" . Sophie se mit à rougir ce que ne put s'empêcher de remarquer Jérôme. "Tout va bien chère Sophie ?" demanda-t-il alors. Celle-ci toussota avant de rassurer l'homme puis elle conduisit ses amis dans le salon où un couple inconnu tenait déjà compagnie à Pierre le maître de maison.
La femme agée de 33 ans était une rousse flamboyante qui portait un ensemble de cuir ocre dont la jupe courte et fendue laissait voir des bas résille marrons et des escarpins assortis à talons aiguille. L'homme au type libanais marqué arborait fièrement une moustache fournie. Il était vêtu d'un costume gris et d'une chemise noire entrouverte sur une épaisse chaîne dorée qu'on entrevoyait malgré le système pileux abondant de son propriétaire. Sophie fit les présentations et fit asseoir Françoise à côté d'Ornella juste en face de Hassan. Le type semblait trouver Françoise très à son goût et il ne se génait guère pour l'examiner en détail semblant apprécier la robe de velours noir et verte largement décoletée dont la longue fente sur le côté permettait au mâle averti de deviner le haut du bas noir en dentelle de la jeune femme.Une paire d'escarpins verts à brides et talons aiguilles complétait la tenue de Françoise. Sophie avait remarqué le manège de Hassan et elle sourit intérieurement se demandant si son amie allait répondre aux avances du moyen-oriental. Tout au long du repas, Hassan assis entre Sophie et Françoise n'avait cessé de faire du genou à cette dernière qui pour sa part avait fait mine de ne pas s'en apercevoir bien qu'elle se sentait malgré elle troublée par le côté macho du Méditéranéen. Son expérience avec Maurice semblait avoir réveillé la libido assoupie de Françoise et elle se sentait tout à fait disponible pour des expériences extra-conjugales. A la fin du repas qui avait été bien arrosé,toute l'assemblée était fort gaie et les hommes se rendirent dans le salon pour déguster un alcool. Ornella qui avait apparemment un peu trop bu, s'était jointe à eux. Elle avait pris place sur le canapé près d'Hassan et s'était tendrement lovée contre son compagnon les pieds repliés sous ses fesses. Sophie avait convié Françoise dans son dressing personnel afin de lui montrer ses derniers petits achats. Lorsque les deux femmes furent en haut sûres de ne pouvoir être entendues, Sophie prit la parole et reparla de l'épisode de l'après-midi: "Tu m'as tendu un drôle de piège tout à l'heure petite garce" lâcha-t'elle l'oeil brillant "Tu n'aurais pas dû menacer de me dénoncer à Jérôme ma chère..." répondit Françoise avant de continuer. "Mais j'ai l'impression que tu y as trouvé ton compte. C'est vrai mais vous m'avez quand même plantée au milieu de nulle part déclara Sophie avec amertume. Ignorant la remarque, Françoise regarda son amie dans les yeux "tu n'es pas tout à fait l'épouse modèle que tu veux laisser croire n'est-ce pas ?" Sophie eut un un petit rire forcé puis finit par avouer à son amie "Et bien disons que j'essaie de pallier le manque d'entrain de Pierre pour le sexe. - Alors tu as dû apprécié la performance de Maurice ?- Un peu... avoua Sophie en rosissant. "Un peu ou beaucoup ?" l'interrompit son amie. Les deux femmes éclatèrent de rire puis Françoise posa une nouvelle question. "Et le puissant Hassan, il t'aide aussi à pallier le désintérêt de ton mari ? - Devine ! rétorqua Sophie aux Anges avant de conclure "J'ai l'impression que ce charmeur s'occuperait volontiers de toi désormais. - Ah bon ? s'étonna hypocritement Françoise "Et , il est comment dans l'intimité ce monsieur?" "Très impressionnant... tu ne serais pas déçue... On peut dire qu'il est du calibre de ton ami africain." De nouveau, les deux femmes éclatèrent de rire et Sophie ajouta: "Viens donc voir la garde-robe que ce fougueux étalon m'a offerte." Elle ouvrit alors la porte d'un large placard dévoilant une collection de lingerie sexy très fournie ainsi que de nombreuses robes plus afriolantes les unes que les autres. "Voyons... commença alors Françoise en choisissant plusieurs pièces. -Je suis sûre que Maurice te trouvera fort à son goût dans ces petites choses. Montre-moi tes chaussures maintenant." Sophie ouvrit un second placard et son amie choisit des escarpins vernis en cuir rouge à talons aiguille assortis au large serre-taille à jaretelles qu'elle venait de prendre. "Avec ces bas à coutures en soie grise et cette robe fendue noire très décolletée, tu vas le rendre fou. Demain, lorsqu'il m'appellera, je lui dirai qu'il t'a fait un effet terrible et que tu as une envie folle de le revoir. Je lui demanderai de t'attendre au salon de thé de l'Intercontinental et tu le rejoindras dans cette tenue. D'accord? " Un peu surprise, Sophie finit par répondre: "Pourquoi pas... Mais tu n'es pas jalouse ? - Au contraire, s'écria Françoise, l'oeil brillant, -cette idée m'excite beaucoup. J'espère que tu me raconteras..." Une fois encore, les deux femmes éclatèrent de rire et satisfaites de leurs manigances, elles redescendirent pour rejoindre les autres. Lorsque Françoise et Jérôme finirent par rentrer, il était plus de deux heures du matin. Ils se déshabillèrent rapidement et se mirent au lit. Jérôme semblait contrarié et Françoise s'en aperçut. "Qu'est ce qui ne va pas mon chéri? demanda-t-elle à son époux. -Tu as vu comme ce Libanais te matait finit par lâcher l'homme avec énervement. On avait l'impression qu'il allait te sauter dessus à tout moment. Françoise eut un petit rire. "Et c'est ça qui te gêne pauvre chou. Tu devrais être heureux au contraire d'avoir une femme qui excite les convoitises". Jérôme eut un grognement boudeur et Françoise décida de le titiller un peu." Tu imagines vraiment ta petite femme possédée par ce colosse velu... ? - Arrête s'il te plaît! s'exclama l'homme. Mais Françoise insista: "En plus, il doit avoir un truc monstrueux... Remarque, si ça se trouve, j'adorerais peut-être..." Jérôme faillit s'étrangler mais le bruyant éclat de rire de sa femme le calma. "Allons mon petit chéri, il est tard" ajouta celle-ci.- On ferait mieux de dormir plutôt que de fantasmer" et Françoise déposa un baiser sur le front de son mari avant d'éteindre la lumière.
Jérôme avait quitté le domicile conjugal pour son travail depuis plus d'une heure lorsque le téléphone sonna réveillant Françoise. C'était le beau Maurice qui venait s'enquérir de la santé de sa nouvelle conquête. Françoise lui compta par le menu sa soirée de la veille en omettant toutefois les avances peu discrètes d'Hassan et expliqua à Maurice ce qu'elle avait convenu avec Sophie. Le noir était visiblement ravi de l'aubaine et dit qu'il se rendrait à 14h30 au rdv fixé avant d'ajouter "Mais il n'est que 10 heures 15. Je t'attends dans une heure 30 Chez X... Place Clichy. Nous déjeunerons ensemble." Françoise passa un SG de dentelle mauve assorti à un PJ de même matière, un ensemble en cuir noir composé d'une veste à revers et d'une jupe au dessus du genou évasée et fendue devant, des bas résilles bordeaux et des escarpins à hauts talons de teinte semblable. Ensuite, elle monta dans sa golf et se rendit au restaurant. Lorsque Françoise entra dans le restaurant, une jeune hôtesse aux avantages opulents vint à sa rencontre. La fille blonde devait avoir environ 25 ans. Elle portait un tailleur gris à la jupe étroite sur une paire de bas mauves et des escarpins gris à brides et talons hauts. La veste décolletée de son tailleur permettait d'entrevoir un soutien-gorge en dentelle noire. Françoise annonça à la jeune femme qu'elle était attendue et aussitôt, elle fut conduite à la table de Maurice. Le noir se trouvait à une table tranquille située dans un coin de la salle. "Merci mon chou ... lâcha-t-il à la serveuse avec un grand sourire avantde se lever pour permettre à Françoise de s'asseoir. "Tu as l'air bien familier avec cette jeune personne! lâcha-t'elle tout en s'installant. Maurice se mit à rire avant de répondre : "Martine ne saurait rien me refuser. Elle m'est toute dévouée. -Je vois... fit Françoise d'un ton cassant. Tu es quand même un drôle de spécimen -Que veux-tu? Toutes les belles pouliches sont folles de moi alors je les traite de mon mieux. " Françoise sourit de la suffisance du mâle même si elle admettait intérieurement que cet étalon savait combler une femme. Martine vint alors prendre leur commande. Ils optèrent pour une côte de boeuf à partager et Maurice commanda en sus une bouteille de St-Emilion et de l'eau gazeuse. Rapidement, Françoise interrogea le noir sur ses activités professionnelles. Maurice lui apprit qu'il dirigeait une société d'import/export qui commerçait principalement avec les pays d'Afrique de L'ouest. "Où se trouvent tes bureaux ?" lui demanda son amie. "Pas très loin d'ici" répondit Maurice "Nous sommes dans mon quartier en fait. Je connais énormément de monde. Quand nous aurons fini de déjeuner, je t'emmènerai visiter mes locaux". Il était presque 13 heures lorsque le couple quitta le restaurant pour se rendre dans un immeuble situé à environ 300 mètres. Maurice emmena son amie au dernier étage du bâtiment. Il sonna alors devant une porte sur laquelle était fixée une plaque dorée où on pouvait lire la raison sociale de l'entreprise de Maurice :"France Afrique IMPEX". La porte s'ouvrit sur un comptoir moderne derrière lequel trônait une plantureuse jeune femme noire de 23 ans vêtue d'un tailleur moulant. "Bien déjeuné monsieur Maurice? demanda-t-elle à son patron. "Très bien ma petite Katia" répondit l'homme avant de demander:" Solange est rentrée ? -Elle est à son bureau répondit la standardiste. Maurice accompagna alors Françoise dans le bureau de Solange qu'il présenta à son amie comme sa secrétaire. Il s'agissait d'une femme de 47 ans très charnelle moulée dans une robe de laine marron fortement décolletée. Solange semblait adorer les gros bijoux dorés: Un large collier lui enserrait le cou, une longue châine pendait autour de sa taille, de gros pendentifs ornaient ses oreilles ainsi que de larges bracelets ses poignets dodus. Enfin, au dessus de bas à couture marrons et de ses talons aiguille, elle portait à la cheville droite une fine chaîne d'or. Maurice claqua le postérieur joufflu de Solange avant de s'adresser à elle: "Tu voudras bien nous préparer deux cafés ma belle". Puis il fit entrer Françoise dans son spacieux bureau. La femme s'approcha de la grande baie pour jeter un coup d'oeil à l'avenue colorée. En silence, Maurice vint derrière elle et il glissa sa main sous la jupe de sa maîtresse pour masser les fesses nues. Françoise se tourna alors vers l'homme et lui offrit ses lèvres qu'il prit goulument tout en attirant la jeune femme vers le profond canapé. Lorsqu'ils furent assis, Maurice dégraffa la veste de Françoise et fit jaillir les seins fermes et opulents de la jeune femme pour les peloter. Celle-ci avait pour sa part baissé la braguette du noir et extirpé le dard somptueux qu'elle branla avec délicatesse avant de s'agenouiller entre les cuisses du mâle. Elle venait de porter le gland énorme à sa bouche lorsque Solange entra un plateau à la main. Elle alla vite le poser sur la table de réunion avant de venir s'asseoir près de son patron. Maurice releva alors la robe de Solange au dessus de sa taille dévoilant le pubis offert et très velu de sa secrétaire avant de glisser ses gros doigts dans l'antre accueillante de l'employée. Malgré son étonnement, Françoise continuait à sucer l'africain qui bientôt repoussa son amie et lui ordonna de sucer la chatte béante de Solange. Françoise s'exécuta avec soumission tandis que Maurice l'aidait à se mettre à quatre pattes afin de la prendre en levrette. Maurice put pénétrer assez aisément le vagin trempé de sa maîtresse qu'il baisa pendant de longues minutes lui arrachant de nombreux cris de plaisir jusqu'à ce qu'il décharge violemment dans le con de la femme qui tout en prenant son pied était parvenue à faire jouir la pulpeuse secrétaire de Maurice. Après avoir repris son souffle, le noir rangea son trois pièces abandonnant les deux femmes affalées sur le canapé. "Je dois vous laisser maintenant mes poulettes. Il faut que j'aille honorer l'orgueilleuse Sophie". Il était en effet près de 14 heures et Maurice n'avait guère plus de 30 minutes pour rejoindre la blonde amie de Françoise.
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Les avis des lecteurs
J’espère que Hassan t’a baisé
On veut une suite avec Hassan s'il te plait !