Mes professeurs de plaisirs Ch14 - histoire érotique

Bonjour mes chères lectrices et lecteurs, nous voici en mai 2022, mon absence sur site est une longue histoire. Marqué par des bouleversement, rebondissements, soucis de santé, difficultés professionnelles, une abstinence forcée, et pas l’envie de partager mes déboires.
Mais bon, le moral est revenu, ma libido aussi par la même occasion. Le Covid a marqué un frein dans les activités du cabinet et de l’appartement des plaisirs.
Edith a tenu et tient d’une main de Maîtresse ce lieu de perdition… Ingrid en tant que propriétaire fréquente l’appartement très régulièrement. M. Bruno a profité de Martine.
« Clandestinement » l’appartement recevait, mais évitait les grandes orgies, 5-6 libertins et coquins coquines. Et jamais personnes n’a déclaré le virus entre parenthèses.
Martine et moi sommes toujours ensemble, durant les moments difficile Martine n’a eu de cesse de me soutenir, comme un commun accord, j’ai accepté qu’elle use de ces charmes pour se divertir. Je n’ai jamais voulu savoir avec qui ou par qui et les conditions dans les quelles elle s’offrait. J’ai bien remarqué que les jeux qu’elle pratiquait n’était pas tous dans le registre des relations vanilles.
J’ai repris le boulot, et j’ai de suite su me rendre efficace dans tous les domaines. M. Bruno m’ accueilli chaleureusement et sans me brusquer m’a amener à le satisfaire. Je n’avais pas eu de sexe chaud entre mes lèvres depuis longtemps. Il semblerais que la fellation c’est comme le vélo cela ne s’oublie pas… Bon prendre son sperme en bouche et l’avaler j’en avait perdu l’habitude et sa première giclée puissante et abondante m’a surprise et j’ai failli m’étouffer. Mais que cela était bon. De retour au bureau Martine à souris et m’a fait remarque qu’entre mes seins dans mon décolleté, il restaient des traces du soulagement de M. Bruno .
Tout est reparti comme avant depuis maintenant quelques semaines, l’appart est devenu notre lieu de jeu, en couple, en trio, principalement avec Martine et Ingrid, quelques relations hétéros. Mais un jour, en guise de passe-temps avec Martine, je me suis hasardé sur un site de tchat, au demeurant très glauque, des pseudos de femme qui cache des hommes, énormément de trav en quête de sensations. Au départ le jeu me semblait idiot, mais un homme a su attirer mon attention. Un homme de 65ans, que j’aurais pu laisser à Martine du haut de ces 52 ans, mais son désir d’être en compagnie d’une jeune fille m’excitait, et Martine s’en amusait. Complice Martine me laisse carte blanche pour poursuivre, elle avait bien vu que cela m’excitait. J’entame ainsi une discussion, orienté sur mes plaisirs et sur ses plaisirs.
Très vite j’ai accepté une rencontre. Le RDV est fixé, je porte une robe courte moulante sous laquelle je ne mets pas de sous-vêtement, des escarpins à talon de 10 cm avec petit plateau. Je veux qu’il soit ravi de ma présence. Je noue mes cheveux dans une petite queue de cheval. Mon maquillage est discret avec un rouge à lèvres rouge intense. Plus je me rapproche du lieu de RDV, plus je suis excitée. 2 craintes soudain m’envahissent, si je mouille trop je risque de tacher ma robe, et je constate que mes tétons marquent ma robe moulante.
J’arrive à l’adresse indiqué, un haut immeuble dans un quartier populaire, je tourne un peu dans le quartier, je ne trouve pas de place à proximité immédiate. Je me gare, je sors de la voiture, une centaine de mètres me sépare de l’immeuble. La faune locale me dévisage, j’ai droit a des remarques malsaines, je les ignore, mais cela m’excite encore plus. Je sonne, l’interphone crépite : « oui », « C’est Magalie » , « Entrez, 9ème étage à gauche, porte du fond, entrez sans frapper, à tout de suite ». l’ascenseur arrive, seule je monte les 9 étages, un peu soulagée. J’en profite pour tenter de retenir mon excitation.
J’arrive au 9ème étage, avance vers la porte, j’entre. Un lit de pétale de fleur m’invite à entrer et a pénétrer dans le salon. Un homme tout fait élégant est assis dans le fauteuil, une bouteille de champagne est au frais dans son sceau.
« bonjour Monsieur »« bonjour Magalie, honorer de t’accueillir, je te savais mignonne mais c’était de ce que j’imagin黫 Merci, et vous un vrai gentleman »« Installe-toi, je ne te propose pas de te mettre à l’aise, ou juste de poser ton sac à main, veux-tu que je le mette à l’entrée »« non merci je le garde auprès de moi »« Commençons par célébrer cette première »Gérard nous sert, nous parlons, dévions dans nos échanges, buvons, la chaleur monte, d’autant que la seconde bouteille est déjà bien entamée. Les discussions sont de plus en plus orientées plaisir, sexualité. Je suis excitée, je vois bien que mon hôte, appui son regard sur ma poitrine dont les tétons déforment le fin tissus moulant.
Je remarque aussi que de sa main il caresse la bosse de son pantalon. Je demande l’autorisation de passer aux toilettes. Je profite pour texter Martine et lui dire que tout est ok. Je reviens, et je me dirige vers lui. J’écarte ces cuisses, et me pose à genou, je pose mes mains sur ces cuisses et remonte vers son entre cuisse. A mon tour de caresser la bosse, je dézippe et déboutonne le pantalon, j’extrais son sexe de son boxer. Bien raide je le masturbe avant de pose ma langue sur le bout décalotté. Je le prend en bouche, je pompe doucement et jouant avec ma langue. Déjà la première giclé inonde le fond de gorge. J’avale.
« Excuse-moi Magalie, je n’ai pas réussi à me retenir tellement c’était bon… Merci »Je reste la bouche autour de son sexe qui perd de sa vigueur, je me relève et me dirige vers lui pour l’embrasser, il accepte. Je suis pompette, il n’en faudrait pas beaucoup pour que je me retrouve nue a le supplier de me prendre.
« Magalie, j’aimerais t’inviter au restaurant ce soir si cela ne te dérange pas et si ton emploi du temps te le permet ? »« Monsieur si c’est parce que je vous ai donner du plaisir que vous voulez me remercier rien est obligatoire. »« Absolument pas, juste que depuis que vous parlons, j’ai envie de vous garder pour la soirée. »« C’est avec plaisir que je vais accepter votre invitation, votre compagnie m’est très agréable »« Merci, je vais rougir, mais je te demande me tutoyer, tu pourrais être ma fille, cela choquera moins en public, tu veux bien. »« Très bien, tu ne pense pas que ma tenue soit un peu trop provocatrice ? j’ai bien remarquer que ma poitrine attirait ton regard et que mes tétons étaient très visible. »« Qu’importe, oui évidement qu’elle est provocatrice tu en a gouté l’effet, mais j’aime beaucoup. Tu ne portes que ta robe ?»Sans me désunir, surtout désinhibée par l’excès d’alcool, je relève ma robe face à lui en écartant légèrement les cuisses pour le laisser admirer mon intimité.
« La réponse te conviens… »Je reste ainsi et me pose près de la table de son salon, je le fixe, il a compris, il me saisi par les hanche me renverse, j’écarte les cuisses. Je sens ces caresses, et bientôt sa bouche et langue sur ma chatte humide. Habile, délicat, il me donne du plaisir. A travers ma robe je joue avec mes tétons, je halète, gémis. Sa langue agace mon clito, ma fente et se perd sur mon petit trou. Je chavire vers la jouissance et me lâche, je jouis fort, j’en couler sur sa nappe.
« Si tu veux te rafraichir, tu peux prendre un douche… »« Volontiers, mais prenons la ensemble. »Je me mets nue dans le salon et me dirige vers la salle de bain, je retire mes talons, et Gérard arrive, se déshabille et nous entrons sous la douche. Je prends l’initiative de le laver, j’aime ça. Le caresser avec le savon, le cou, le torse, le ventre, je prends plus de temps sur son sexe et ces couilles douces et lisses, je poursuit par ces fesses, et entre ces fesses pour bien entendu agacer son anus, puis accroupi, je masse ces jambes. Son semble reprendre du volume mais je ne poursuis pas. A mon tour d’être dorlotée. Ces mains dessine mon corps avant de prendre possession de mes seins, de les masser, de prendre mes tétons, de les faire tourner, je lui glisse un « n’hésite pas, amuse toi avec ». Il ne se fait pas prier et me tourmente les tétons. J’aime, que dis-je j’adore. Il finit par mes fesses et ma fente chaude, joue avec mon anus, et ma chatte. Oui il a rallumé le feu.
Il me dit qu’il doit uriner, je lui fait comme chez toi, je prends son sexe et dirige le jet vers l’écoulement.
« Pour une jeune fille tu es très expérimenté, j’espère que le plaisir de te connaitre et réciproque. »Je lui souris, nous sortons de la douche, nous nous rhabillons je remets un peu de maquillage et partons manger. Pendant le repas nous restons sage, notre table jouxte celle d’une famille avec deux jeunes enfants. Le père de famille n’a pas de remarquer l’absence de soutien-gorge. Dommage j’aurais bien aimé pousser l’exhibe plus loin. Je suis plus que pompette, nous quittons le restaurant, je sens la main de Gérard caresser mon cul, je me cambre, vers le sombre du parking je relève ma robe. Arrivé a la voiture je fouille dans mon sac à main et donne à mon hôte mon rosebud. Surpris il s’en saisi, me le glisse en bouche pour que je le salive je joue avec comme si cela était une bite. Je me retourne, m’aplatie sur le capot de la voiture, écarte mes fesses, c’est alors que je sens le rosebud se mettre à sa place. J’aime me sentir pleine.
Nous prenons la route, nous rentrons, dans l’ascenseur je le caresse, je l’embrasse à pleine bouche. Nous entrons dans l’appartement, je retire ma robe me frotte a lui.
« as-tu envie de me baiser ? moi j’ai envie, je suis très chienne bourrée »Il me tire vers sa chambre, me jette sur le lit, en 2-3 mouvements il est nu, moi sur le dos le plug planté dans le cul, les jambe relever il me prend, sa queue entame des va et vient. Je gémis des oui, encore, c’est bon à chaque mouvement de sa queue. Il me tourne, en levrette, prend mes fesses a pleines mains et me secoue, quelques claque assez forte scande cette étreinte, mes nichons ballottent au rythme de la saillie. Brusquement il me retire le rosebud.
« Petite salope je vais t’enculer,… »« je suis à toi, oui »Très précautionneusement il me pointe la rondelle, et la pénètre. Je suis loin d’être pucelle de là, mais je le sens très bien m’enfiler. Ces mouvement s’accélèrent, l’envie de me caresse me prend et je masse mon clito, il jouit dans mon cul, et moi je jouis grâce à mes doigts et et de sentir ma rondelle ouverte.
Nous nos écroulons, son sexe perle encore quelques gouttes de sperme que je récupère et avale. Blottit l’un contre l’autre je sens les doigts de Gérard sur mes tétons.
« reste cette nuit s’il te plait »En souriant j’accepte .
Nous nous endormons, et au petit matin je me réveille en retard, Gérard dort encore, mais plus très profondément. Je me hâte d’avertir Martine, de prévoir un change pour le bureau. Gérard me mate, et se branle, je ne résiste pas et je viens le soulager.
Je quitte l’appartement la bouche au gout de sperme et je me rend au bureau.
Je pense que nous nous reverrons, surtout si Martine accepte.