Mes professeurs de plaisirs - chapitre 6 Ma majorité - histoire érotique

L’heure des vacances a sonné. Le cabinet ferment ces portes pour 3 semaines contrairement au prévisions. Martine, M. Bruno faisons des heures supplémentaires particulières. Rien de bien extraordinaire. Martine et moi avons partager le pieu de chair de M. Bruno. Visite de ma rondelle, de ma bouche, Martine subit les assauts viril avant que notre baiseur vide son nectar dans nos bouches. Nous arrivons à l’appart, Martine est encore très excitée, nous passons un moment très sexe . sous douche. Mes doigts, ma bouche et même des jouets ont été nécessaire pour calmer les ardeurs de Martine. J’ai eu droit également à mon lots de caresses.
Les congés, je les passe chez ma mère, très calme, trop calme. Il ne se passe pas une journée sans que je prenne, ou que j’ai des nouvelles de Martine. Elle s’est faite invitée pour une semaine au Cap d’Agde… Sea, Sex and Sun… J’envie les vacances de Martine. Ma mère et moi avons longuement parlé de mon avenir dans le cabinet et de la poursuite de mes études. Elle m’a aussi raconté sa volonté que je poursuive là-bas et les moyens qu’elle a utilisé pour y parvenir. Je lui ai dit que j’avais compris et que je ne suis pas resté en reste pour parfaire mon intégration, que je vivais bien ma sexualité avec M. Bruno et Martine, avec qui j’ai déjà expérimenté quelques plaisir charnelle en entrant dans certain détail comme ma relation avec Martine et lui précisant que M. Bruno préservera ma virginité jusque mes 18 ans. J’ai annonce à ma mère que je l’offrirais à M. Bruno s’il le désire.
Les choses étant devenu très claires maintenant. Les vacances touchent à leur fin, il me tarde de revenir chez Martine. Je me présente chez elle en pleine journée du samedi. En entrant la chaîne hifi est allumée, je laisse mon sac de voyage dans le l’entrée et cherche Martine. J’avance dans le salon, et je perçois des sons qui s’échappent de la chambre qui m’était destinée. J’entre ouvre la porte, et j’aperçois Martine dans une situation que je ne connaissait pas chez elle. Elle était nue, en croix au milieu de la pièce. Ces gémissements sont étouffés par un bâillon, et son partenaire flagelle son corps à l’aide d’un martinet. Je n’insiste pas sur ma séance de voyeurisme. Je dirige vers la chambre de Martine, en fin notre chambre, et patiente.
La porte de ma chambre s’ouvre. J’entends l’homme en sortir en laissant fuser quelques mots :- Tu es vraiment une bonne salope, j’ai adoré tu vaux le cadeau que je t’ai fait, je reviendrais…Je suis abasourdit, la porte se ferme, je m’empresse d’aller voir Martine. Je la découvre totalement défaite, le visage recouvert du maquillage qui a coulé, en sueur, le bâillon autour du cou, du sperme sur son corps et son visage, et des zébrures très rouges sur presque la totalité du corps.
Elle me voit et comme honteuse, telle une enfant surprise la main dans la boite à bonbons, elle me regarde. J’essuye sa bouche, et je l’embrasse. Nous filons sous la douche, le silence est pesant. Je me fait un scénario d’une étrange violence dans ma tête sans osé lui demander ce qui s’était passé.
Nous prenons l’apéritif, Martine me raconte son aventure. Et je découvre ainsi qu’elle aime de temps en temps se laisser aller a des jeux moins conventionnels. Que notre relation, elle, M. Bruno et moi lui a manqué. Que sa semaine au Cap avait été un peu en demi-teinte. Qu’elle avait réaménager sa pièce en salle de jeu pour adultes. L’homme qu’elle a accueilli aujourd’hui lui a offert de quoi prendre son plaisir en toute discrétion. Elle a tout de suite accepté ce rôle de salope soumise vénale. A l’écouté je me suis laisser a des pensées très obscènes. Notre We est passé sereinement, simple, reposant, car lundi c’est le retour au bureau. Nous arrivons un peu en avance, M. Bruno est déjà dans son bureau, passage au vestiaire, passage de courtoisie auprès des collègues il n’y a que Gilles, nous croisons Astrid dans le couloir, quelques banalités entre femme, puis nous prenons la direction du bureau de M. Bruno. Nous toquons et entrons. Martien referme la porte derrière elle.
- Bonjour les filles, Martine tu es radieuse, tu as pris quelques couleurs, tu as fait bronzette ?
- Oui répondit Martin au Cap d’Agde.
- Ah j’ai hâte d’en voir plus alors.
- Je n’y manquerais pas M.
- Et toi Maggy, tes vacances ? me demande M. Bruno- Simple chez ma mère, sans extravagance. Dis-je alors que je sens monter la chaleur aux joues.
- Bon prête à reprendre ? J’ai pas mal de dossier en attentes, nous allons faire une réunion pour figer le planning. 10h dans le bureau. Au fait Martine comment c’est passé votre samedi ?
- Parfait M. Bruno, je me suis montrée à la hauteur de son cadeau.
- Parfait, je sais il m’’en a dit que du bien. Il va certainement te revoir.
Nous sortons du bureau et Martine me dit :- Je t’expliquerais, chutt…La réunion se passe bien l’agenda est bien remplit, jusque Noël. Il va falloir être au RDV de toutes les échéances Martine m’explique que M. Bruno propose ses services à certaine connaissance. Martine, comme vous le savez maintenant, a une tendance au masochisme. Et M. Bruno sais en tirer profit. Martine m’expliquera qu’elle a accepter se rôle de soumise pour M. Bruno pour avoir le statut de maîtresse auprès de lui. Et cela dure depuis son embauche au cabinet.
Mais cela ne s’est pas fait comme cela comme un claquement de doigt. Elle est même devenue intime avec la femme de M. Bruno. Pour ma part J’apprends plus trop de nouveauté dans mon épanouissement sexuel. Je me perfectionne pour le grand plaisir de M.Bruno et la complicité avec Martine. Je suis mise à l’écart de certaine réunion ou repas d’affaire dont Martien est toujours de la partie. J’ai souvent les comptes rendus croustillants par Martine.
La fin d’année approche, nouvel journée de festivités pour clôturer l’année. Mais cette fois, après le restaurant, M. Bruno nous invite chez lui, Martine et moi. L’occasion de rencontre l’épouse de M. Bruno, décrite comme Martine, une femme d’une beauté rare, pouvant toujours faire la une des magazines people.
Nous voilà arrivé, Martine se gare, M. Bruno met sa voiture au garage. Le temps de descende de l’auto, une silhouette élancée se dessine sur le perron. En effet, la femme que je vois est une superbe femme, blonde cheveux court, impeccablement vêtue, d’une grande élégance. Irina accueille Martine en l’embrassant, j’ai soupçonner Irina d’avoir oublié ma présence car sa bouche était proche de ses lèvres. Martine me présente. Irina se félicite enfin de ma venue. Nous avançons dans le salon. M. Bruno fait son entrée.
Irina nous invite a nous assoir dans le canapé, Irina se pose entre nous. Mr Bruno s’installe dans le canapé en face.
- Je suppose que les présentation sont faites ? Ma chère Irina voila la stagiaire dont je t’ai vanté les mérites. Tant professionnel qu’extraprofessionnel.
Je suis honteuse, cette femme que je ne connais pas connais toutes mes compétences. Je pense qu’a la chaleur qui m’envahie mes joues doivent être écarlates.
- Ne soyez pas timide ou gênée, nous sommes un couple très libre. N’est-ce pas Martine ?
- Oui Irina, je confirme.
- Je sais que Martine et vous êtes fusionnel… Etes-vous jalouse ? êtes-vous pudique ?
Je bogue, je regarde Martine, Martien me sourit, et je vois la main d’Irina se poser sur la cuisse de Martine.
- Non Madame, je ne pense pas être jalouse et coté pudeur la nudité ne me fait pas peur.
- Bon Bruno, je me permet de dire à ta jeune protégée de me tutoyer, elle me plait beaucoup tu as encore eu bon goût. Passons aux réjouissances, j’ouvre le champagne, pour fêter notre rencontre et cette fin d’année.
Avec Irina le courant passe bien, les coupes se vident, les discussions sont de plus en plus coquine. Irina devient de plus en plus tactile, mais je ne froisse pas, et ne refuse a aucun moment ces douceurs.
M. Bruno à depuis un moment fait monté la température dans la pièce par l’entremise de la cheminée. Irina se lève et commande la fermeture des volets, réduit la lumière. Dans un mouvement très élégant elle se débarrasse de sa robe en laine et laisse apparaitre sa nudité.
- Maggy, soyons fou. Libérons nous de nos habits.
Sous cette invitation, l’alcool aidant, nous voilà tous les 4 nus.
- Maggy, vous allez me faire une démonstration de vos compétences, Bruno est un excellent professeur, j’en sait quelque chose.
Le champagne aidant, je me glisse vers le fauteuil ou M. Bruno c’est réinstaller, et je débute une fellation appliquée, je prends le sexe de M. entier dans ma bouche, ma langue caresse de mat de chair ou se perd à lécher ces couilles. Je sens le regard de Martine et Irina qui évalue mes capacités de suceuse. M. Bruno prend ma tête et lui imprime le rythme. Il râle, sous langue son gland lui entraine des décharges électriques juste avant de le sentir se répandre dans ma bouche. Irina c’était approché de moi et prend ma bouche avec la sienne et je comprends que je devais partager cette semence.
Notre baiser s’éternise, le partage est bon. Toujours à 4 pattes je sens la langue de Martine, passer de mon sexe à mon anus. Irina prend la place de M. Bruno. Elle saisit ma tête et la plaque sur sa chatte déjà bien humide, tandis que M. Bruno après la préparation de Martine, rentre son sexe revigoré dans mon anus. Il m’éclate mes fesses, alors que bouche et ma langue sont afférés sur le sexe lisse, aux saveurs de miel d’Irina.
- Tu es une véritable salope, Maggy.
Me lance Irina qui ne tarde pas à jouir en laissant échapper une giclé de sa mouille sur mon visage et ma bouche. C’est aussi le moment choisi par son époux pour jouir une seconde fois en moi.
Martine dans le canapé c’est donner du plaisir seule.
La soirée touche à sa fin, Irina nous demande de rester pour la nuit il n’est pas prudent de reprendre la route aussi alcoolisé.
Martine et moi prenons congés, pour nous diriger vers la douche. A notre sortie de la douche, j’aperçois les deux époux entrain de copuler dans le canapé, et à l’expression sauvage de Mme le plaisir est entier. Jen ne peux m’empêcher de regarder de jeter un œil vers le salon. Irina est en levrette et j’assiste à la sodomie, et les commentaires dégradants de M. Bruno et la l’approbation de par Irina de cette acte. M. Bruno ne tarde pas à jouir. Irina aussi laisse s’exprimer son plaisir et s’écroule. Discrètement je me retire assez excitée… Où suis-je tombé ? c’est un réel bonheur…
CH7La rentrée est assez calme au cabinet. L’alternance se poursuit, mon niveau est très correct. Mes compétences professionnelles sont reconnu comme mes compétences extra-professionnelles. Depuis quelques temps, Martine se rend très souvent chez le patron. Réunion de travail, cocktails où il semblerais que je n’ai pas ma place. J’ai bien une idée derrière la tête sur la finalité de ces réunions. Certainement dû à ma « non-majorité ». Je profite de certain We pour rendre visite à ma mèr.
Les quelques réunions et cocktails ont certainement permis au cabinet de conclure quelques contrat car le bureau déborde de paperasse. L’entretien de mes compétences sont d’actualité. Nous avons passés les derniers entretiens, et effectuer les derniers bilans, qui sont tous au vert. Les examens approchent, mais je me sens prête.
Martine encadre très soigneusement mon éducation de salope. M. Bruno m’a promis également une fête mémorable pour mes 18 ans qui, chance pour moi sera après les examens de mon bac pro. Je sais que j’ai demandé a resté vierge jusque-là, et je ne veux pas de dédire, je n’aurais peut être pas dû. Mais je me promet une chose, M. Bruno sera celui qui me rendra femme.
Je suis prête pour les exams, cela se passe, très bien… Les sujets sont à ma portée… Je clôture cela et pour décompresser j’apporte une bouteille de champagne au cabinet. Le temps qu’elle prenne une température adéquat, je donne un petit coup de main. Gilles, Astrid, Martine et moi sommes conviés dans le bureau, Marc lui est en expertise et ne pourra pas être présent. Nous ouvrons et buvons la coupe des réjouissances. Une nouvelle que je n’attendais pas m’est faite.
- Maggy, si tu réussis, et je n’en doute pas, je te propose de poursuivre parmi nous dans le cadre d’un BTS. J’ai initié les démarches, le lycée que tu fréquenteras est déjà déterminé, J’ai eu ta mère au téléphone elle accepte ma proposition et notre partenariat. Et évidemment dans les conditions actuelles un peu amélioré.
Je ne sais que dire, l’émotion est forte, l’envie de sauter au cou de M. Bruno est si forte mais je dois me contenir… l’intermède se clos, Martine s’absente et je suis convoquée au bureau.
- Maggy, voilà ce qui va évoluer. Je vais te loger dans un appartement pas très loin d’ici pour la rentrée prochaine. Le lycée est à 20 minutes en bus et nous à 10 à pied. Ta mère et moi sommes tombé en accord sur ces dispositions. A moins que Martine préfère te garder pour elle. La semaine prochaine, vendredi, nous allons organiser ton anniversaire chez moi. Je vais être direct. Tu vas perdre tu pucelage ce jour-là si tu es toujours prête à poursuivre dans nos occupations extraprofessionnels.
- Oui M., je le souhaite, et je serais honoré de vous offrir ma virginité. Vous m’aurez ainsi totalement initiée et prise de partout.
- Alors c’est avec honneur que je le prendrais. Je vais en informer Irina, elle sera ravie je pense car elle t’apprécie beaucoup. Je vais te demander de me soulager car l’idée de ton cadeau me fait bander.
Je me met à genoux le temps que M. Bruno sorte son sexe. En effet toujours de taille imposante je m’applique à lui donner ce plaisir que ma bouche lui procure. J’ai pris le temps, de laper, sucer, gober ces couilles et de le prendre le plus profondément possible. J’ai déboutonner mon chemisier et exhibé ma poitrine. Jusqu’au moment où je sens son nectar chauds inonder ma gorge. Je me rajuste, le gout de son jus en bouche je rejoins le vestiaire. Intercepté par Martine, elle me vole un baiser encore odorant du sperme de M.
- Salope- Merci.
Nous quittons le bureau direction la maison. Nous passons faire un brin de toilette, Martine en première, comme a son habitude reste nue, puis c’est mon tour, et je décide de l’imité. Ma surprise fut de taille quand je me dirige vers le salon et la vois allongée sur la table, cuisses larges ouvertes, en me demandant de la satisfaire. Je ne me fait pas prier et je butine son sexe lisse et déjà fortement mouillé. Elle jouit et me rend le plaisir et m’envoi au 7ème ciel à mon tour. Après cette mise en bouche, nous nous restaurons.
Le reste de la soirée est orienté sur la proposition de M. Bruno. Martine est plus mitigée sur cette proposition. Malgré notre différence d’âge notre grande complicité, son extravagance sexuel et ces partenaires, elle ne conçoit pas de me laisse seule. Et comme elle dit, à partir de vendredi nos plaisirs seront différents.
- Demain je vois M. Bruno, et je lui explique l’évolution de notre relation.
Martine m’explique qu’elle proposera à M. Bruno de me garder chez elle, que nous allons conserver notre relation. Mais que nous pourrions, pour des moments plus intimes, ou de convenance, utiliser l’appartement comme échappatoire sexuel.
Un WE des plus normal, va ouvrir sur une semaine qui devrait rester gravé dans nos mémoires et dans mon intérieur. Martine demande à voir M. Bruno au sujet de sa proposition. Martine revient avec le sourire, je reste chez elle. La chambre sera une garçonnière a déclaré M. Bruno.
Semaine de travail ou le temps a glissé. Nous voilà au jour J, Martine me réveille avec une délicate attention, et me donne un orgasme très fort et m’offre un cadeau. Une magnifique robe en cuir, dont le haut est très moulant et valorise outrageusement ma poitrine généreuse, et la partie basse est une jupe qui s’évase et ondulée. Je suis toute excitée que je m’empresse de la passer. Martine me propose de me chausser avec ces escarpins rouges vernis…- Tu es à tomber. Vivement que tu sois entièrement prête. Plus que quelques heures à attendre.
- Oui, j’ai très envie de m’offrir.
Ma mère me téléphone, car la distance l’empêche de venir me souhaiter mon anniversaire. Mais j’aperçois mon cadeau, que je pourrais utilisé très bientôt car je vais passer mon permis très bientôt.
Nous arrivons au bureau, Astrid et Marc me souhaite un joyeux anniversaire.
Gilles n’arrive que plus tard avec M. Bruno et font de même. Midi sonne M. Bruno nous invite au petit bistrot voisin pour célébrer cela entre collègue, petit repas. Retour au bureau, après-midi sans vague, vers 16H00, un mail tombe dans ma boîte.
Maggy, Bruno et moi serions honoré de te voir chez nous ce soir, vers 21 h 00, pour fêter ta majorité comme il se doit et honorer ta promesse. Signé Irina.
Martine aussi a reçu son invitation également, elle sera de toute manière mon chauffeur.
17h00 nous prenons congés du bureau, Martine m’emmène faire un petit peu de shopping et principalement une belle paire de haut talons qui sera parfaite avec la robe de son cadeau.
Nous nous préparons, douche, habillage, maquillage, je me trouve très « provoc ». Nous prenons la route. Et arrivons un peu avant l’heure dites chez Irina, en robe fuseau très courte sur des haut talons Irina nous réceptionne. La table du salon est déjà garni de nombreux amuse-bouche. M. Bruno est en discussion avec deux hommes.
Pour débuté Irina nous propose une coupe.
- Tenez en attendant les autres invités, Maggy, tu es magnifique. Martine tu es parfaite, dit-elle en passant sa main sur les fesses avec un doigt promeneur dans sa raie.
Nous n’attendons pas longtemps avant que 7-8 hommes ne fasse leur entrée.
- Bonjour à tous, nos sommes réunis ici ce soir pour un évènement assez particulier. Maggy, approche toi. Voici Maggy, je vous ai rassemblé ici pour permettre à Maggy de souffler ces 18 bougies. Evidemment de manière un peu particulière.
Les invités me souhaite en chœurs un joyeux anniversaire et m’applaudissent.
- Donc dans un premier temps Bruno va s’occuper d’elle, puis ensuite dans un petit jeu elle s’offrira 18 bougies.
M. Bruno me prend par la main et me mène vers une chambre, dans des gestes très attentionnés il me déshabille et me couche sur le lit. Je me suis très vite imaginé sentir le gros sexe de mon boss forcer mon intimité, mais il n’en a rien été. Il m’a écarté les cuisses, et j’ai senti sa bouche et sa langue débuter cette caresse que j’apprécie tant. Déjà mes mains se crispent sur les draps, ma respiration se saccade, et je commence à gémir. Je vais exploser, mais c’est le moment que choisit M. Bruno pour me rapprocher du bord du lit, positionner son sexe sur ma fente et débuter la pénétration qui fera de moi une femme. Il me pénètre, je sens une douce douleur qui déclenche un râle mais très vite les va et vient font places à une monté de plaisir et des cris de plaisir, une fois puis deux, des lèvres prennent ma bouche comme pour étouffer les sons que je libère. M. Bruno se répands en moi, se retire je reprend mes esprit et je distingue Irina qui a assister à mon passage initiatique.
Quelques minutes plus tard, toilette oblige, mais nue sur la demande d’Irina, je me présente dans le salon. Tous les invités sont nus, Martine, Irina et M. Bruno sont les seuls à avoir conservé des habits, bien que les tenue de ces dames soient très légères. Je me trouve nue devant une assemblée de hommes dont certain déjà très en forme.
- Voilà la belle est de retour, le jeu va constituer a donner à Maggy 18 éjaculations pour ces 18 ans, mais seront réglementé par une tirage au sort pour connaitre la zone qui recevra votre sperme. A savoir sur le visage, sur les seins, le ventre, les pieds, sur les fesses, en bouche, dans son anus, sans son sexe. Maggy sucera toutes les bites, mais vous jouirez selon le tirage au sort.
Irina trône dans le canapé avec d’un coté Martine et de l’autre son mari, la première de mes bougie se présente, il va se vider sur mes seins. Il ne mets pas longtemps à arriver. Le second asperge mes pieds, le troisième pour une seconde giclé sur mes seins… J’appréhende celui qui aura le droit de se vider dans mon sexe. La moitié est déjà passé, je suis couverte de nectar de couilles. Certain repasse et voici le premier qui a le droit de se vider dans ma bouche, avec pour moi le devoir de l’avaler. Arriver moi celui qui a le plus gros sexe et m’annonce qu’il va me sodomiser. Je pense que son sexe est un plus volumineux que celui de M. Bruno. Il m’empale sans trop de douceur je grimace et sens son sexe bien profondément en moi. Il jouit en plusieurs saccade et me remplit bien. Irina annonce la 18ème bougies, elle se répandra sur mon visage.
Je suis vidé, la mâchoire semble endormi, endolori.
- Messieurs, pour ceux qui serait encore vigoureux et si Martine le souhaite, je la laisse le choix des armes.
Irina me guide vers la douche. Nous voila nue toutes les deux, et Irina prend soin de moi. Plusieurs minutes plus tard nous rejoignons ce petit monde. Je vois Martine entièrement nue, à califourchon sur une bite, une autre dans la bouche et un troisième qui visite je ne sais quel orifice. Déjà quelques-uns des invités nous ont quittés. Martine jouit à plusieurs reprises, alors que j’observe la scène passive.
La soirée se poursuit, toutes mes bougies nous ont quittés. Martine reviens d’une toilette, alors qu’Irina, M. Bruno et moi faisons un bain de minuit.
Martine et moi occupons la chambre d’amis, et la nuit fut réparatrice et calme.
Me voila à 18 ans, Femme.