Mes professeurs de plaisirs - chapitre 8 - histoire érotique

Me voici femme, M. Bruno a su être, comme pour le reste de mon éducation particulière ne pas me traumatiser.
Et j’en suis presque à regretter « le retard » pris. Martine en bonne entremetteuse me propose quelques amants. J’aime beaucoup cette sensation, l’excitation, être prise par le sexe. Je me donne entièrement. La différence d’âge entre Martine et moi prête souvent à confusion. Tantôt on la prend pour ma mère, ma tante, mais jamais comme mon amie ou amante. Les mois qui se sont écoulés ont été très sympa, très formateur si je puis dire, sans pour autant avoir vécu nue, et les cuisses ouvertes quotidiennement. Chose étrange c’est le désintéressement de M. Bruno. Comme si il avait atteint son but. Même Martine s’en étonne.
Vacances, quelques difficultés, puis un manque de forme on mis à mal l’effervescence sexuelle de M. Bruno. L’arrière-saison offre encore quelques belle soirées. C’est à a ce moment que Martine et moi recevons un message de Irina.
- Rdv au club « XXX » pour 20h, tenue provoc de rigueur…. (pas de pub pour le club)M. Bruno avec un sourire complice nous libère et nous dis à ce soir.
Martine me brief sur style de club, sauna, libertinage, et autres plaisirs… Nous voila prête, j’ai remis ma tenue des 18 ans, sans dessous, quant à Martine sa robe zippée, et toutes les deux sur des hauts talons, moi en escarpin, et Martine des cuissardes vinyles et cuir. Nous entrons dans la cours intérieur pour plus de discrétion, 3-4 hommes sont sur le parking et nous déshabille du regard et jauge la marchandise… Par provocation j’embrasse Martine… Martine sonne la porte s’ouvre, le gérant nous ouvre… - Bonjour Mesdames,- Nous sommes invitée par Irina,- Entrez, besoin du vestiaire ? Vous connaissez ?
- Oui merci mais je suppose qu’Irina a tout prévu…- En effet dans le salon à droite.
Martine me guide, et nous arrivons dans le couloir. Je remarque déjà quelques hommes très voir totalement dévêtus. Irina nous invite à percer la mêlée, évidemment des mains effleurent nos culs de salope. Ils ont tous leur bite en main. Nous embrassons Irina. Nous entrons dans une salle que je n’avait vu que dans les vidéos visionnées avec Martine. Chaîne, croix, balançoire, chevalet… impressionnée mais pas choquée. Sur la balançoire, une femme, d’un âge certain. Elle est attachée, poignets cheville, son sexe, est dépourvu de pilosité, et son anus sont exhibés. Sa poitrine, malgré la position qui n’avantage pas la féminité, a encore beaucoup de tenue, et des tétons que je trouve énormes. Irina nous explique que cette femme, Elise, veut fêter son départ en retraite et la perte de son indépendance sexuelle. Elle a demander de lui organiser ce dernier gang bang.
Martine est moi, nous sommes invitée pour la préparation, la mise en forme des queue qui se présente. Irina profite que le sexe d’Elise soit propre pour la butiner, elle s’amuse à lui doigter son anus, le lubrifier, car je remarque très vite qu’il semble très élastique et lui donner son premier orgasme. Martine est déjà a pied d’oeuvre et goute une première queue, qu’elle libère. Le premier queutard enfile sa queue dans la chatte déjà très humide, j’observe le manège, Irina me guide vers le mec, puis ma main vers ses couilles pour que je les caresses… Il ne se retire pas et se vide dans le vagin, arrive de suite le second qui lui non plu ne tarde pas à jouir.
Irina embrasse Elise, déjà la file d’attente semble se clairsemer, quand se présente un homme devant la bouche de Martine, je suis partagé entre fascination et effrayamment. Martine prend en bouche ce mastodonte, ne l’englouti pas, me propose d’en mesurer la bête. J’en suis à me démonter la mâchoire. Irina lui demande de montrer à Elise le pilon de plaisir qu’elle va prendre. Elise également le toise de la bouche. Irina ordonne à l’homme de l’enculer, Elise dit non, mais se fait gifler. Assez délicatement il présente sa queue sur la rondelle, et le gland dilate tranquillement cette anus. Il s’ouvre et le gland disparaitre. Elise grogne déjà, et le gland est la partie la plus fine. Irina me demande de caresser le clito. Le sexe progresse, s’enfonce, se retire et avance plus profondément, pour finir bien ancré dan ces entrailles. Je ne sais plus si cela provient de mes caresses ou de l’embrochage, mais son plaisir laisse échapper un flot de liquide et des vocalises animales. Cette explosion initie l’éjaculation de son partenaire. La scène est surréaliste, l’anus semble figé dans la positon ouverte, le sol est inondé, puis un substance visqueuse apparait pour compléter l’inondation. Non seulement son sexe est monstrueux mais en plus il déverse un flot important de semence.
Il reste encore quelques candidats au foutage d’Elise. Personne d’autre ne la sodomise, certaine finisse sur elle, ses seins ou sa bouche. Les candidats sont épuisés. Les salon se vident ainsi que le club. Elise est défaite, épuisée, Irina revêt des gants, et caresses l’anus d’Elise. Elle enduit son gant de gel.
- Elise, ma chérie, maintenant que tu est bien ouverte je vais te fister la chatte et ensuite ton cul de salope. Que tu en garde un souvenir de ta dernière…A peine les mots exprimés, Irina est déjà bien au fond d’Elise. Sans s’y attendre Irina se fait doucher toute habillée par la jouissance incontrôlée d’Elise.
- Espèces de salope tu adores ça.
Elise ne peut s’exprimr que par des râles.
- Ton mari rentre quand ?
- Samedi prochain, répond ElisePleine de sécrétion vaginale, Irina détache Elise, l’agrippe par les cheveux et la guide vers le chevalet. Irina immobiles sa prisonnière. Ces seins de part et d’autre, le cul offert, Irina écarte les fesses, son trou semble avoir du mal a retrouver sa forme initiale. Irina se saisi d’une cravache.
- Tu m’as sali, salope, je dois te punir…. Je vais devoir faire la route ainsi… Irina abat la cravache sur les fesses d’Elise, chaque coup marque un peu plus la peau d’Elise, du rose pâle les fesses passe progressivement à écarlate puis au carmin. Le supplice est clos, les caresses font place à la cravache, Martine est moi sommes invitée a lui donner du plaisir.
L’heure est à la fermeture, dan cette antre du plaisir reste le gérant l’hôtesse d’accueil et nous 4. Nous allons à la douche commune rejoint très vite par le gérant, il se branle en nous regardant nous laver, Martine me lave les fesses, en entrant un doigt dedans. Sans se faire, le gérant approche et pointe son sexe sur ma rondelle, déjà fortement branlé il ne tarde pas me jouir dans le cul.
Tout le monde repars apaisée, la démarche pas très habituelle pour Elise, mais satisfaite de sa soirée d’adieu au club. Deux hommes sont encore sur le parking. Remercie Elise, pour ce moment.
Nous prenons tous congés, un goût d’inachevé car Martine et moi n’avons pas forcément pris plaisir malgré ne nombre de mâle présent. Nous prenons la route, et une voiture nous file le train. Avec Martine nous supposons que c’est les deux hommes du parking. En complice nous choisissons les petites routes. La voiture nous suis. Nous nous garons, mais prête a déguerpir. Les deux hommes débarquent, pas besoin de faire long discours, Martine et moi sommes ok car très excitée. Nous nous mettons un peu aux abris de regards, et a peine accroupies cote a cote Martine et moi avalons leur sexe. Le sexe en bouche, une main massant ces grosses couilles et l’autre sous ma jupe, je me caresse la chatte.
Martine est basculé sur un table de pique-nique et moi entrainé vers la chatte de Martine, je la bouffe, Martine quand a elle pompe le sexe d’un des deux tandis que moi je suis prise en levrette, je relève les cuisse de Martine inonde salive son anus. Je quitte le sexe de Martine et mon pineur enfile par le petit Martine. Elle y trouve son bonheur alors que mon nouvel assaillant, lime ma chatte en levrette et enfonce so pouce dans mon cul. De concert ils se retirent, font disparaitre leur préservatif, l’un jouit sur mes fesses et l’étale, tandis que l’autre asperge la chatte de Martine. Elle racle le jus et le porte en bouche ce qui incite les deux a utiliser nos bouche pour être nettoyé.
Nou nous rajustons, et regagnons la maison. La douche et la nuit nous sera réparatrice.
Le lendemain M. Bruno nous a demandé, surtout à moi, mes impressions. Je lui repondis par ma satisfaction d’avoir encore ouvert mon esprit a de nouvelles choses.

Merci a ceux qui me lise, prenne le temps de me mailer, et de discuter avec moi en off.
Au plaisir et que de plaisirs