Mes professeurs de plaisirs - Chapitre 4
Récit érotique écrit par Maggy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Mes professeurs de plaisirs - Chapitre 4
Semaine de cours barbante mais très bonne coté évaluation. Le retour au bureau se fera dans une bonne ambiance.
Lundi il n’est pas encore 9 h, je passe au vestiaire. M. Bruno me demande de passer. J’entre dans son bureau. Nous faisons le point de ma semaine de cours comme tous les lundis après ma semaine d’absence. M. Bruno m’annonce que je vais être seule cette semaine pour tenir la place de Martine car elle est absente pour une semaine. Montée de pression. Mais les ponts de mai vont m’aider à faire passer cela rapidement. M. Bruno me demande de lui faire parvenir tous mes travaux pour le valider.
J’allume mon ordinateur. Et je vois un mail de Martine avec toutes les consignes de la semaine. Je suis rassurée car la plupart des dossiers sont traités. Je n’ai qu’à traiter et redistribuer les courriers. Gilles me fait parvenir un dossier avec quelques documents à mettre en forme. Je transmets mon travail à M. Bruno. La journée se poursuit, et je bloque sur une procédure. Je demande à M. Bruno de me guider. Il me montre la démarche et me dit que nous nous verrons à 17h30.
L’heure de ma convocation sonne, je toque au bureau. J’entre et reste à attendre.
- Ma petite Maggy, le document de ce matin ne me convient, j’ai dû apporter des corrections que Martine n’aurait pas laisser passer. Donc je te retransmets le dossier et j’aimerais pouvoir le signer ce soir car demain je ne serais pas présent avant la levée du courrier.
Je sors du bureau, et me met à la tâche immédiatement pour revoir les documents. 18h30, les collaborateurs quittent le cabinet. Je n’ai pas encore fini. M. Bruno m’appelle à l’interphone.
Je quitte mon bureau et je vais voir ce que veut M. Bruno.
- Où en es-tu ?
- Il me reste deux documents à revoir M.
- Bien, tu me les présenteras et tu prendras soin de fermer la porte avant de venir me voir.
- Oui M.
Presque une heure plus tard je finis le boulot et me rend dans son bureau.
- Maggy, alors cette première journée seule ?
- Stressante M. car livrée à moi-même.
- Bon, le bilan n’est pas mauvais, tes copies étaient correctes mais tu n’as pas été assez pointilleuse. Comment te faire comprendre que tu dois être plus attentive ?
Je baisse la tête, je n’ose pas ouvrir ma bouche.
- Bon dans un premier temps tu vas te montrer gentille.
Je savais que j’allais faire des heures supplémentaires pour le plaisir. Du moins je le sentais.
- Allez à genou.
Sans me faire prier je me pose sur le tapis. M. Bruno approche et son sexe déjà bien raide et dur me le présente devant ma bouche. En bonne élève je débute la fellation, appliquée et savante jusqu’à l’explosion de son propriétaire. Soigneuse, j’avale son sperme.
- Parfait, cela t’avait manqué ? Au fait tu n’as toujours de petit copain ?
Un peu honteuse, j’avoue que cela m’avait manqué et que non je n’ai pas pris le temps d’y penser mais que pour le moment je n’en éprouve pas le besoin, car avec M. Bruno et Martine je suis bien entourée.
- Parfait, j’ai envie de te faire franchir une étape. Je sais que ton souhait est de rester vierge. Tu le resteras mais j’ai envie d’explorer ton autre possibilité.
Je suis un peu surprise par cette demande mais je me doutais que le cadeau de Noël n’allait pas rester un accessoire décoratif dans mon sac à main.
- Donne-moi ton cadeau de Noël et présente-moi tes fesses nues, installe-toi dans le canapé.
Me voici à genou, je prends mes fesses à pleine main et je les écarte pour lui laisser libre, à son regard, ma rondelle. Il approche et commence à le caresser. Je sens du froid coulé entre mes fesses puis un doigt étaler cette substance. Il me montre le cadeau et l’enduit de gel. Puis le pose sur mon anus.
- Te sens-tu prête ?
Sans autre forme de réflexion, j’affirme mon attention de passer à l’acte.
- Détends-toi, laisse-toi aller.
Je sens le métal froid sur mon œillet, petit à petit par de court va et vient il dilate doucement mon anus. Au fil du jeu millimètre après millimètre, le rosebud ouvre ma porte interdite. Plusieurs minutes de travail son nécessaire mais l’excitation est forte, et ma chatte toute mouillée. J’ai une sensation de déchirure, mais cela accroit mon excitation. Tout à coup je sens l’objet se perdre dans fondement.
- Félicitation ma chérie, tu vas le conserver le plus longtemps possible. Si tu peux toute la nuit. Sauf si tu dois le retirer pour tes besoins et que tu n’arrives pas à le remettre.
Je quitte le bureau, gênée dans ma démarche, je passe au vestiaire passe mon doigt sur ma raie pour constater sa mise en place. Je quitte le cabinet. Je reste debout dans le bus de peur de m’assoir et de sentir l’objet disparaitre ou tomber. Je m’empresse d’envoyer un SMS à Martine pour lui annonce mon dépucelage anal. Elle me répond avec un emoji d’aubergine et une tête qui rigole.
Voilà, encore un apprentissage extra professionnel. Je rentre, je file dans ma chambre pour me mettre à l’aise et prendre ma douche. Je retire ce jouet non sans une appréhension. La sensation est étrange. Je pose l’objet du plaisir sur le lavabo et me glisse sous la douche. La porte s’ouvre, je réalise que là c’est le drame. Ma mère sans énervement me dit- Il va falloir parler.
Je ne sais plus où me mettre. Je fini ma douche, me saucissonne dans ma serviette, tire-bouchonne mes cheveux. Je me dirige vers le salon. Ma mère m’attend, et la première question est :- As-tu perdu ton pucelage ?
Évidemment je réponds non.
- Bien, mais où ou qui t’a procuré ce plug ?
Je vois bien que ma mère n’est pas novice. Je lui explique très vite mes 7 mois d’apprentissage. Ma mère est sur les fesses. Mais je crois que la plus surprise sera moi après les aveux de ma mère. Qui pour me permettre mon intégration, elle donner de sa personne, me passant les détails. Et c’est ainsi que je compris le choix de sa tenue le jours de la signature du contrat et de mon éviction savante par Martine du bureau.
Une chose de faites, maintenant plus besoin de trouver des excuses pour mes retards après le boulot, et encore moins pour mes escapades chez Martine. Maintenant faut que je réussisse à remettre en place le jouet. Dur, même bien salivé. Je m’enquière des conseils de Martine qui sera de grand conseil car je n’ai pas de lubrifiant artificiel chez moi et je ne mouille pas assez. J’ai du mal mais le plug reprend sa place en moi. Je m’empresse de lui raconter également la conversation que j’ai eu avec mère.
Mon éducation anale se poursuit, Martine et M. Bruno s’applique à me rendre accessible. J’ai eu droit d’être voyeuse aux plaisirs donnés à Martine par M. Bruno, et inversement. Quand je vais chez Martine, elle me travaille l’anus, car pour mes 17 a, Martine m’a dit que M. Bruno aimerait me sodomiser. J’ai un peu d’inquiétude, car le sexe de M. Bruno est très large et d’une longueur correcte.
Le jour de l’été est là, mes 17 ans aussi, je me sens prête, mais inquiète, à recevoir mon cadeau. La journée se passe mes collègues me fête mon anniversaire et une petite cagnotte réalisée par mes collègues m’est remise autour d’un gâteau que j’avais ramené. La fin de journée arrive. Les bureaux sont fermés. Passage au vestiaire, petite toilette intime et pour moi particulièrement ma rondelle puis nous entrons dans le bureau de M. Bruno.
- Bon Mesdames, mettez-vous à l’aise.
Martine et moi, retirons nos vêtements. Martine reste en pj bas et ses talons et moi mes dim up et mes talons.
- Maggy, va te mettre dans le canapé et offre tes fesses à Martine. Martine prépare-la.
Martine apporte un soin particulier à mon petit trou, le rosebud fait place à un gode dont la taille me semble respectable au ressenti de la pénétration. M. Bruno fait face a moi, son sexe en érection qu’il m’ordonne de sucer. Je m’applique à bien saliver son membre car je sais ou il va finir et je souhaite satisfaire mon boss.
Bien dur et bien raide, il tourne autour du canapé, Martine, quant à elle, amuse mon trou et ma fente de sa langue. Je sens des à-coups, et je devine très vite que Martine se fait baiser. Martine laisse couler du lubrifiant sur ma raie et dans mon trou. Martine assiste M. Bruno, elle écarte mes fesses. Je sens, sous la pression de M. Bruno, mon cul s’ouvrir. Plus les secondes passe plus ma rondelle chauffe et s’ouvre. J’ai une impression de déchirement. Martine m’encourage et me félicite. Elle m’embrasse à pleine bouche pour étouffer les sons, association de douleur et de plaisir. Je la regarde avec mes yeux embrumés. C’est à ce moment que débute le va et vient très doux, bien que cela soit assez douloureux, Martine me soutien dans cette épreuve. Serrée comme je suis M. Bruno lâche sa semence assez rapidement dans mon fondement. M. Bruno se retire j’ai toujours l’impression de le sentir au fond de moi.
- Félicitation Ma chère Maggy et joyeux anniversaire. Merci Martine. Donc une nouvelle étape de validée, parfait. Pour remercier Martine, occupe-toi d’elle, je veux l’entendre jouir car il me semble que vous vous connaissez de mieux en mieux.
Martine s’installe dans le canapé et moi entre ces cuisses, accroupis, je la lèche et lui caresse le clito. Avec ma position, mon anus pas encore totalement refermer je sens quelque chose s’échappe de mon cul. Martine jouit assez rapidement. Nous prenons congé jusqu’au lendemain.
Une nouvelle étape, pas la plus plaisante et jouissive, mais ma reconnaissance du plaisir de m’offrir à la « perversité » de mes professeurs. 17 ans et déjà je me sens salope, une sensation qui ne me déplait pas…
Lundi il n’est pas encore 9 h, je passe au vestiaire. M. Bruno me demande de passer. J’entre dans son bureau. Nous faisons le point de ma semaine de cours comme tous les lundis après ma semaine d’absence. M. Bruno m’annonce que je vais être seule cette semaine pour tenir la place de Martine car elle est absente pour une semaine. Montée de pression. Mais les ponts de mai vont m’aider à faire passer cela rapidement. M. Bruno me demande de lui faire parvenir tous mes travaux pour le valider.
J’allume mon ordinateur. Et je vois un mail de Martine avec toutes les consignes de la semaine. Je suis rassurée car la plupart des dossiers sont traités. Je n’ai qu’à traiter et redistribuer les courriers. Gilles me fait parvenir un dossier avec quelques documents à mettre en forme. Je transmets mon travail à M. Bruno. La journée se poursuit, et je bloque sur une procédure. Je demande à M. Bruno de me guider. Il me montre la démarche et me dit que nous nous verrons à 17h30.
L’heure de ma convocation sonne, je toque au bureau. J’entre et reste à attendre.
- Ma petite Maggy, le document de ce matin ne me convient, j’ai dû apporter des corrections que Martine n’aurait pas laisser passer. Donc je te retransmets le dossier et j’aimerais pouvoir le signer ce soir car demain je ne serais pas présent avant la levée du courrier.
Je sors du bureau, et me met à la tâche immédiatement pour revoir les documents. 18h30, les collaborateurs quittent le cabinet. Je n’ai pas encore fini. M. Bruno m’appelle à l’interphone.
Je quitte mon bureau et je vais voir ce que veut M. Bruno.
- Où en es-tu ?
- Il me reste deux documents à revoir M.
- Bien, tu me les présenteras et tu prendras soin de fermer la porte avant de venir me voir.
- Oui M.
Presque une heure plus tard je finis le boulot et me rend dans son bureau.
- Maggy, alors cette première journée seule ?
- Stressante M. car livrée à moi-même.
- Bon, le bilan n’est pas mauvais, tes copies étaient correctes mais tu n’as pas été assez pointilleuse. Comment te faire comprendre que tu dois être plus attentive ?
Je baisse la tête, je n’ose pas ouvrir ma bouche.
- Bon dans un premier temps tu vas te montrer gentille.
Je savais que j’allais faire des heures supplémentaires pour le plaisir. Du moins je le sentais.
- Allez à genou.
Sans me faire prier je me pose sur le tapis. M. Bruno approche et son sexe déjà bien raide et dur me le présente devant ma bouche. En bonne élève je débute la fellation, appliquée et savante jusqu’à l’explosion de son propriétaire. Soigneuse, j’avale son sperme.
- Parfait, cela t’avait manqué ? Au fait tu n’as toujours de petit copain ?
Un peu honteuse, j’avoue que cela m’avait manqué et que non je n’ai pas pris le temps d’y penser mais que pour le moment je n’en éprouve pas le besoin, car avec M. Bruno et Martine je suis bien entourée.
- Parfait, j’ai envie de te faire franchir une étape. Je sais que ton souhait est de rester vierge. Tu le resteras mais j’ai envie d’explorer ton autre possibilité.
Je suis un peu surprise par cette demande mais je me doutais que le cadeau de Noël n’allait pas rester un accessoire décoratif dans mon sac à main.
- Donne-moi ton cadeau de Noël et présente-moi tes fesses nues, installe-toi dans le canapé.
Me voici à genou, je prends mes fesses à pleine main et je les écarte pour lui laisser libre, à son regard, ma rondelle. Il approche et commence à le caresser. Je sens du froid coulé entre mes fesses puis un doigt étaler cette substance. Il me montre le cadeau et l’enduit de gel. Puis le pose sur mon anus.
- Te sens-tu prête ?
Sans autre forme de réflexion, j’affirme mon attention de passer à l’acte.
- Détends-toi, laisse-toi aller.
Je sens le métal froid sur mon œillet, petit à petit par de court va et vient il dilate doucement mon anus. Au fil du jeu millimètre après millimètre, le rosebud ouvre ma porte interdite. Plusieurs minutes de travail son nécessaire mais l’excitation est forte, et ma chatte toute mouillée. J’ai une sensation de déchirure, mais cela accroit mon excitation. Tout à coup je sens l’objet se perdre dans fondement.
- Félicitation ma chérie, tu vas le conserver le plus longtemps possible. Si tu peux toute la nuit. Sauf si tu dois le retirer pour tes besoins et que tu n’arrives pas à le remettre.
Je quitte le bureau, gênée dans ma démarche, je passe au vestiaire passe mon doigt sur ma raie pour constater sa mise en place. Je quitte le cabinet. Je reste debout dans le bus de peur de m’assoir et de sentir l’objet disparaitre ou tomber. Je m’empresse d’envoyer un SMS à Martine pour lui annonce mon dépucelage anal. Elle me répond avec un emoji d’aubergine et une tête qui rigole.
Voilà, encore un apprentissage extra professionnel. Je rentre, je file dans ma chambre pour me mettre à l’aise et prendre ma douche. Je retire ce jouet non sans une appréhension. La sensation est étrange. Je pose l’objet du plaisir sur le lavabo et me glisse sous la douche. La porte s’ouvre, je réalise que là c’est le drame. Ma mère sans énervement me dit- Il va falloir parler.
Je ne sais plus où me mettre. Je fini ma douche, me saucissonne dans ma serviette, tire-bouchonne mes cheveux. Je me dirige vers le salon. Ma mère m’attend, et la première question est :- As-tu perdu ton pucelage ?
Évidemment je réponds non.
- Bien, mais où ou qui t’a procuré ce plug ?
Je vois bien que ma mère n’est pas novice. Je lui explique très vite mes 7 mois d’apprentissage. Ma mère est sur les fesses. Mais je crois que la plus surprise sera moi après les aveux de ma mère. Qui pour me permettre mon intégration, elle donner de sa personne, me passant les détails. Et c’est ainsi que je compris le choix de sa tenue le jours de la signature du contrat et de mon éviction savante par Martine du bureau.
Une chose de faites, maintenant plus besoin de trouver des excuses pour mes retards après le boulot, et encore moins pour mes escapades chez Martine. Maintenant faut que je réussisse à remettre en place le jouet. Dur, même bien salivé. Je m’enquière des conseils de Martine qui sera de grand conseil car je n’ai pas de lubrifiant artificiel chez moi et je ne mouille pas assez. J’ai du mal mais le plug reprend sa place en moi. Je m’empresse de lui raconter également la conversation que j’ai eu avec mère.
Mon éducation anale se poursuit, Martine et M. Bruno s’applique à me rendre accessible. J’ai eu droit d’être voyeuse aux plaisirs donnés à Martine par M. Bruno, et inversement. Quand je vais chez Martine, elle me travaille l’anus, car pour mes 17 a, Martine m’a dit que M. Bruno aimerait me sodomiser. J’ai un peu d’inquiétude, car le sexe de M. Bruno est très large et d’une longueur correcte.
Le jour de l’été est là, mes 17 ans aussi, je me sens prête, mais inquiète, à recevoir mon cadeau. La journée se passe mes collègues me fête mon anniversaire et une petite cagnotte réalisée par mes collègues m’est remise autour d’un gâteau que j’avais ramené. La fin de journée arrive. Les bureaux sont fermés. Passage au vestiaire, petite toilette intime et pour moi particulièrement ma rondelle puis nous entrons dans le bureau de M. Bruno.
- Bon Mesdames, mettez-vous à l’aise.
Martine et moi, retirons nos vêtements. Martine reste en pj bas et ses talons et moi mes dim up et mes talons.
- Maggy, va te mettre dans le canapé et offre tes fesses à Martine. Martine prépare-la.
Martine apporte un soin particulier à mon petit trou, le rosebud fait place à un gode dont la taille me semble respectable au ressenti de la pénétration. M. Bruno fait face a moi, son sexe en érection qu’il m’ordonne de sucer. Je m’applique à bien saliver son membre car je sais ou il va finir et je souhaite satisfaire mon boss.
Bien dur et bien raide, il tourne autour du canapé, Martine, quant à elle, amuse mon trou et ma fente de sa langue. Je sens des à-coups, et je devine très vite que Martine se fait baiser. Martine laisse couler du lubrifiant sur ma raie et dans mon trou. Martine assiste M. Bruno, elle écarte mes fesses. Je sens, sous la pression de M. Bruno, mon cul s’ouvrir. Plus les secondes passe plus ma rondelle chauffe et s’ouvre. J’ai une impression de déchirement. Martine m’encourage et me félicite. Elle m’embrasse à pleine bouche pour étouffer les sons, association de douleur et de plaisir. Je la regarde avec mes yeux embrumés. C’est à ce moment que débute le va et vient très doux, bien que cela soit assez douloureux, Martine me soutien dans cette épreuve. Serrée comme je suis M. Bruno lâche sa semence assez rapidement dans mon fondement. M. Bruno se retire j’ai toujours l’impression de le sentir au fond de moi.
- Félicitation Ma chère Maggy et joyeux anniversaire. Merci Martine. Donc une nouvelle étape de validée, parfait. Pour remercier Martine, occupe-toi d’elle, je veux l’entendre jouir car il me semble que vous vous connaissez de mieux en mieux.
Martine s’installe dans le canapé et moi entre ces cuisses, accroupis, je la lèche et lui caresse le clito. Avec ma position, mon anus pas encore totalement refermer je sens quelque chose s’échappe de mon cul. Martine jouit assez rapidement. Nous prenons congé jusqu’au lendemain.
Une nouvelle étape, pas la plus plaisante et jouissive, mais ma reconnaissance du plaisir de m’offrir à la « perversité » de mes professeurs. 17 ans et déjà je me sens salope, une sensation qui ne me déplait pas…
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