Mes salopes de cousine, Joëlle et Margot - histoire érotique

Je me doutais bien qu'un jour ou l'autre les cousines viendraient chez moi: elle ont trouvé dutravail à une vingtaine de minutes de la maison. Mes parents bien sur les logent. Nous avons une très grandes maison dite de notable et donc pas mal de pièces. Les cousines logeront au même étage que moi: c'est décide ma mère, sans se douter une seule secondes de la
suite des événements. Cette suite je la connais: baises nombreuses....! Pendant qu'elles se contentent ensemble pas de problèmes pour moi, ça ne dure pas: je devient indispensable pour satisfaire le démon de l'orgasme qui est en elle. Habituellement j'en profite largement en vacances mais là je suis en fac, donc plutôt occupé par mes études.
Évidemment je suis chargé de leur montrer le chemin de leur job. Pendant cette promenade matinale elle m'entourent et parlent forts du moment de baise qu'on a déjà vécus ensemble. Certaine personnes qui suivent nous doublent en nous regardant bizarrement.
Heureusement elles arrivent et je les laisse enfin. Je file à la fac pour mon cours matinal. Je ne rentrerai que ce soir.
Je redoute le dîner où finalement elles ne parlent que de leur travail et pas d'autre chose. Nous regardons un moment la télé. Je retourne dans ma chambre où je recommence à travailler. Il est tout juste 23 heures quand on frappe à ma porte: c'est Margot en chemise de nuit, pardon en nuisette très transparente: Je reconnais bien ses seins toujours aussi désirables. Elle n'a pas la même chambre que Joëlle et n'a pas pu baiser. Alors elle pense à moi pour lui faire l'amour. D'ailleurs elle se met touts nue et vient derrière moi pour m'embêter. Elle pose ses mains sur mes épaules en m'embrassant dans le cou, Ses mains descendent vers ma poitrine. Je démissionne: elle me fait bander et j'arrête là mon travail.
Elle voit bien que je bande et commence à me déshabiller et une fois nue, elle me demande de rester assis et de la sucer. Elle connaît mon point faible: j'adore le goût des cons et du sien en particulier. Elle s'approche de moi, met ses jambes autours des miennes, son con à
portée de bouche et écarte ses lèvres. Je n'ai plus qu'à me pencher un peu pour arriver à poser ma langue sur son bouton et le mettre ensuite dans ma bouche pour le lécher dans mon orifice buccal Je lui passe mes bras autours de fesses et y fait une exploration qui abouti à son cul. J'y entre deux doigts. Enfin je te retrouve aussi dégueulasse qu'avant.
Continues, branle moi le cul. Je n'ai pas jouis depuis hier avec Joëlle.
Je reçois une giclée de cyprine, la lèche et encore une autre: elle aime se faire sucer. Elle m'entraîne vers mon lit et elle s'y allonge, jambes bien écartées. Je devine ce qu'elle veut. Je fait celui qui ne comprends pas: je pose une question bête: Tu vas te branler ? La question posée n'apporte qu'une seule réponse "imbécile". Je viens sur elle en me tenant
sur les mains pour la prendre sans trop peser sur elle. Elle m'attrape en me plaquant sur elle et me prend la queue en main pour que je ne la rate pas. Elle en profite pour passer ma bite sur son clitoris en le branlant et enfin je peux la baiser. A peine rentrer je le sens jouir. Son con est entièrement mouillé. Tellement que je ne sens pratiquement rien, sauf ses
jouissances presque continues. Au bout d'un moment j'en ai assez et je quitte son con. Je vais chercher son cul qui de toute façon sera moins mouillé. sans que je ne demande rien elle se met en levrette et ouvre ses fesses à deux mains. Ma queue est suffisamment humide pour que s'y rentre en ne forçant qu'à peine: elle est tellement habituée à la sodomie
que je peux la lui mettre à fond. Elle en profite pour se branler. Elle jouit tant que je sens plusieurs fois ses spasmes d'orgasme autour de ma pine. Enfin je décharge mon foutre dans son anus. J'ai bien jouis, je n'aurais pas à me branler ce soir. Pour moi c'est suffisant, mais voilà, Margot en veut un peu plus, une seule fois. Je la prends contre moi, lui fait écarter les cuisses et je lui branle encore un dernière fois le con. Enfin elle va se coucher. J'ai crains un instant que Joëlle vienne à son tour. Non je reste seul et je m'endors comme un bien heureux.
Le lendemain matin je ne remarque rien de particulier. Elles savent comment aller travailler. Je ne rentre que le soir: elles. sont déjà là. Je monte chez moi pour travailler et rattraper le temps perdu hier au soir. Mes parents étant là elles ne peuvent pas venir m'interrompre.
J'en profite pour bien bucher.
Vers 23 heures la porte s'ouvre et je vois Joëlle et Margot toujours aussi peu habillées et se tenant par la taille qui viennent me faire un petit coucou. Elles viennent baiser en trio comme elles aiment bien ainsi que moi qui ne crache pas sur les trios bien menés. Elles se dévêtent mutuellement et j'en fait autant. Ma queue se relève vite et elles commencent déjà à s'embrasser, si deux langues qui se lèchent hors de la bouche s'appellent un baiser. Ma langue va les rejoindre. Nos bras se laissent emportés eux aussi, finalement je ne sais plus qui je caresse et qui me caresse.
Les deux fille veulent un faire un hors d'oeuvre: Elles n'hésitent pas un seul instant: elle se mettent en 69 et en avant les lèches de cons. J'ai l'habitude de les voir faire et pourtant j'aimerai bien participer en en sodomisant une. J'y renonce pour pouvoir tenir le coup pour les satisfaire toutes les deux. Joëlle est dessous. Je la vois mettre un petit gode dans le cul de sa soeur. Les fesses de Margot en tremblent d'aises. Elle répond avec ce qu'elle a en main: trois doigts. Je caresse le dos de Margot pour lui faire comprendre que je suis avec elles. Elles jouissent relativement vite. Elle m'attirent sur le lit, entre elles; s'occupent enfin de moi, viennent me branler un peu l'une et l'autre, pour finir par me prendre dans la bouche. Si je les laisse faire, elle seraient bien capables de me faire jouir uniquement par gourmandise: pour mon sperme. Je les empêche. Je leur propose un jeu que nous pratiquons souvent: je reste couché, l'une des deux sur mon sexe et l'autre sur ma bouche.
Elles se disputent la place pour avoir ma queue. Je les laisse se débrouiller et enfin c'est Joëlle qui gagne. Elle m'enjambe comme Margot et si cette dernière se cale bien pour que j'ai son clitoris en face de ma bouche, Joëlle se laisse faire. Je dois le poser ma bite à l'entrée de son con. C'est elle qui s'embroche sur ma queue et qui assure les vas et viens
par ses mouvements
Normalement elle s'arrête souvent à chaque jouissance comme j'arrête de sucer Margot. Je jouis plus tard. Je pourrai honorer Margot que je n'ai pas baisée depuis hier. Les goûts de Marot sont différents que ceux de Joëlle. Margot veut du solide dans son cul. Elle se positionne en levrette: je veux bien l'enculer mais pas ainsi. Aujourd'hui je me mets de trois quart, elle doit venir se rentrer elle même ma bite dans son anus. L'envie est telle qu'elle n'hésite pas à venir se mettre elle même ma bite dans son cul. Joëlle nous regarde et se branle avec le gode. Je jouis juste un petit moment avant Margot. Je reste quand même dans son cul. Et elle a enfin l'orgasme final.
Les deux soeurs repartent chacune dans sa chambre, comme souvent après une baise totalement nues?
Demain sera un autre jours de baise ?