Message Surprise - une suite à la suite.
Récit érotique écrit par Abdul75 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Message Surprise - une suite à la suite.
Ayant eu récemment l'opportunité d'échanger avec Patrick alias PP06, j'ai décidé de proposer au site la suite de l'histoire que j'avais imaginée ( https://www.histoires-de-sexe.net/message-surprise-une-suite-a-l-histoire-de-tamalou-37628 ) après avoir lu le texte de Tamalou intitulé "message surprise" ( https://www.histoires-de-sexe.net/message-surprise-37486 ) Merci de m'indiquer après lecture si vous souhaitez une suite à la suite de la suite.
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En quittant son bureau en début de soirée, Robert avait retrouvé un semblant de sérénité. Il est vrai que son escapade crapuleuse avec la sublime Sabine l'avait quelque peu rassuré sur sa virilité. Il devait désormais se focaliser sur son déplacement du lendemain à Paris au siège du ministère de la défense.
De toute façon, le mal était fait; Stéphanie s'était bien foutue de sa gueule et il pouvait bien attendre le surlendemain début du week-end avant de déclencher les hostilités.
La vue du visage renfrogné de sa femme en entrant dans le salon de son pavillon fit aussitôt replonger Robert dans la perplexité.
- Tu en fais une tête ! s'exclama-t-il avec incompréhension persuadé qu'il avait un peu plus de légitimité à faire la gueule que la salope qui le toisait à cet instant.
Stéphanie se dirigea alors d'un pas mécanique vers son téléphone et toucha l'écran à plusieurs reprises avant de le présenter à son mari.
- Tu peux me dire qui est la rousse qui te montre tant d'affection lâcha t-elle d'une voix blanche.
Robert crut que son coeur allait jaillir de son thorax tandis que le film commençait à défiler sous ses yeux. Mais après quelques secondes de visionnage, c'est son cerveau qui manifesta des velléités d'indépendance.
Tournée face à la caméra Stéphanie lui faisait face. Entièrement nue, installée à quatre pattes sur un lit gigantesque elle fixait l'horizon d'un oeil absent. Au second plan, la stature noire et imposante de son chef nu, solidement agrippé aux hanches généreuses de sa femme semblait le narguer. Robert ne reconnaissait pas le lieu de la scène mais l'expression de Stephanie ne laissait aucun doute sur le plaisir que lui procurait son amant en la besognant.
- Tu te fiches de moi ! explosa t-il alors que le visage de Stéphanie s'était décomposé en découvrant la vidéo bien éloignée de celle qu'elle avait visionné deux heures plus tôt.
C'était trop d'émotion pour la jeune femme qui s'écroula dans les bras de son mari avant de sombrer dans l'inconscience.
"Tout ce qui est arrivé au cours de cette journée est dénué de sens" pensa Robert à cet instant.
Il allait finir par se réveiller et il oublierait au plus vite cet horrible cauchemar. Doucement il prit son épouse dans les bras et la porta jusqu'au canapé où il la déposa délicatement. Puis il se dirigea vers le meuble où il rangeait sa réserve de bouteilles pour se servir un grand verre de Bourbon qu'il descendit d'un trait. L'alcool brûlant lui donna une gifle salutaire et Robert se versa aussitôt une seconde rasade de Woodford Reserve avant de s'asseoir dans son fauteuil favori déterminé à regarder la fin de la vidéo que sa femme semblait si pressée de lui montrer même s'il ne parvenait pas à en saisir la raison.
Le plaisir ressenti par Stéphanie offerte à la puissance de l'étalon noir transparaissait par tous ses pores. Jamais Robert n'avait su procurer de telles sensations de plénitude à son épouse qu'il devinait complètement remplie par le majestueux cep d'ébene qui allait et venait au fond de ses entrailles. Le coeur serré, le mari malheureux ne pouvait que contempler le mâle triomphant qui s'était approprié sans vergogne la femelle de son subordonné la comblant au delà de toute espérance. Et au bout d'une minute, il assista effondré à l'orgasme incroyable qui submergeait sa femme.
Le noir qui s'était extirpé de la grotte accueillante tenait à pleine main son dard monstrueux répandant sa sève abondante sur la croupe ronde de sa conquête. Puis sans attendre que Stéphanie reprenne contact avec la réalité, il planta d'un coup son rondin démesuré dans son cul magnifique. Cette séquence avec Stéphanie embrochée comme un vulgaire poulet par l'épaisse tige noire marqua la fin de la vidéo.
Robert était au Trente sixième dessous.
Un sentiment insupportable d'infériorité s'était emparé de son esprit, mais il lui restait suffisamment de lucidité pour comprendre que des lamentations stériles ne le mèneraient nulle part.
Les paroles que Stéphanie avait prononcées à son retour du bureau lui avaient fait comprendre que sa femme avait été renseignée sur sa petite virée avec Sabine.
Avait il été vu ou suivi après avoir quitté le restaurant en compagnie de la jeune femme ?
La beauté rousse l'avait elle piégé ?
Robert décida qu'il irait rendre une nouvelle visite à Sabine au plus tôt.
Mais cette rencontre allait devoir attendre jusqu'au week-end suivant car le lendemain, il devait prendre le premier TGV pour Paris. Il était en effet attendu au ministère de la défense pour une communication de la plus haute importance.
Robert n'attendit pas que son épouse retrouve ses esprits. Il griffonna un simple mot sur une feuille de papier avant de se diriger vers la chambre d'amis prenant tout juste le temps de se dévêtir avant de s'affaler dans le lit.
+++++Il était un peu plus de 11 heure 15 ce samedi. Robert avait pris soin d'éviter de croiser son épouse depuis qu'elle lui avait montré la vidéo où elle se faisait limer par son chef.
Le temps était frais mais ensoleillé. En montant l'allée qui menait jusqu'à la porte de la luxueuse villa protégée des regards par une épaisse haie de tulias, le mari trompé avait du mal à maîtriser la tension qui ne l'avait guère quitté depuis les événements de l'avant veille. Il prit quelques secondes pour respirer profondément espérant que l'air frais l'aiderait à retrouver un peu de sérénité puis il appuya sur le bouton de la sonnette. Vingt secondes plus tard, un homme grand et grisonnant âgé d'une soixantaine d'années vint lui ouvrir.
- Bonjour Monsieur, déclara poliment Robert légèrement surpris de tomber sur un sexagénaire.
- Bonjour répondit son interlocuteur d'une voix dénuée de bienveillance.
- je vous prie de m'excuser de vous importuner en plein week-end mais j'aurais souhaité m'entretenir avec Sabine.
Le type dévisagea Robert avec méfiance avant de se tourner vers la maison.
- Sabine ma chérie, il y a à l'entrée un Monsieur qui souhaiterait te parler.
Une voix retentit en provenance de l'intérieur puis vingt secondes plus tard, une petite femme blonde et enjouée apparut dans le couloir. Perchée sur des talons de 13 cm, mince et très bien conservée pour son âge elle arborait une robe plutôt courte dont le décolleté mettait joliment en valeur une paire de seins opulents.
- J'étais en plein Skype avec Félix, déclara t-elle à l'attention de son mari. Figure toi qu'il m'invite à passer 15 jours chez lui au mois de mars.
- il faut croire que tu lui as fait beaucoup d'effet répondit l'homme d'un ton agacé avant de se tourner vers Robert qu'il crût utile de renseigner au sujet de l'échange auquel il venait d'assister.
- Nous sommes rentrés hier après midi d'un long voyage aux Antilles. Au cours de notre séjour, nous avons lié connaissance avec Félix un retraité de l'administration territoriale qui a rejoint son île natale peu de temps après la fin de sa carrière en banlieue parisienne.
Enfin, quand je dis nous, soupira l'homme avec fatalisme, c'est plutôt Sabine qui a sympathisé avec Félix. Comme beaucoup de femmes, ma charmante épouse ne sait pas résister à une grosse queue noire.
La femme éclata de rire.
- voyons chéri tu n'as pas honte de raconter des choses pareilles devant Monsieur.
- prétends que ce n'est pas vrai !
- C'est pour cela que c'est gênant répliqua l'épouse faussement outrée en haussant les épaules.
- Vous vouliez me parler ajouta t-elle ensuite en se tournant vers Robert. Comme vous l'a dit mon mari, nous rentrons d'un lointain voyage et nous subissons encore les effets du décalage horaire. Et à notre âge, nous avons besoin de temps et de tranquillité pour recaler nos horloges biologiques...
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En quittant son bureau en début de soirée, Robert avait retrouvé un semblant de sérénité. Il est vrai que son escapade crapuleuse avec la sublime Sabine l'avait quelque peu rassuré sur sa virilité. Il devait désormais se focaliser sur son déplacement du lendemain à Paris au siège du ministère de la défense.
De toute façon, le mal était fait; Stéphanie s'était bien foutue de sa gueule et il pouvait bien attendre le surlendemain début du week-end avant de déclencher les hostilités.
La vue du visage renfrogné de sa femme en entrant dans le salon de son pavillon fit aussitôt replonger Robert dans la perplexité.
- Tu en fais une tête ! s'exclama-t-il avec incompréhension persuadé qu'il avait un peu plus de légitimité à faire la gueule que la salope qui le toisait à cet instant.
Stéphanie se dirigea alors d'un pas mécanique vers son téléphone et toucha l'écran à plusieurs reprises avant de le présenter à son mari.
- Tu peux me dire qui est la rousse qui te montre tant d'affection lâcha t-elle d'une voix blanche.
Robert crut que son coeur allait jaillir de son thorax tandis que le film commençait à défiler sous ses yeux. Mais après quelques secondes de visionnage, c'est son cerveau qui manifesta des velléités d'indépendance.
Tournée face à la caméra Stéphanie lui faisait face. Entièrement nue, installée à quatre pattes sur un lit gigantesque elle fixait l'horizon d'un oeil absent. Au second plan, la stature noire et imposante de son chef nu, solidement agrippé aux hanches généreuses de sa femme semblait le narguer. Robert ne reconnaissait pas le lieu de la scène mais l'expression de Stephanie ne laissait aucun doute sur le plaisir que lui procurait son amant en la besognant.
- Tu te fiches de moi ! explosa t-il alors que le visage de Stéphanie s'était décomposé en découvrant la vidéo bien éloignée de celle qu'elle avait visionné deux heures plus tôt.
C'était trop d'émotion pour la jeune femme qui s'écroula dans les bras de son mari avant de sombrer dans l'inconscience.
"Tout ce qui est arrivé au cours de cette journée est dénué de sens" pensa Robert à cet instant.
Il allait finir par se réveiller et il oublierait au plus vite cet horrible cauchemar. Doucement il prit son épouse dans les bras et la porta jusqu'au canapé où il la déposa délicatement. Puis il se dirigea vers le meuble où il rangeait sa réserve de bouteilles pour se servir un grand verre de Bourbon qu'il descendit d'un trait. L'alcool brûlant lui donna une gifle salutaire et Robert se versa aussitôt une seconde rasade de Woodford Reserve avant de s'asseoir dans son fauteuil favori déterminé à regarder la fin de la vidéo que sa femme semblait si pressée de lui montrer même s'il ne parvenait pas à en saisir la raison.
Le plaisir ressenti par Stéphanie offerte à la puissance de l'étalon noir transparaissait par tous ses pores. Jamais Robert n'avait su procurer de telles sensations de plénitude à son épouse qu'il devinait complètement remplie par le majestueux cep d'ébene qui allait et venait au fond de ses entrailles. Le coeur serré, le mari malheureux ne pouvait que contempler le mâle triomphant qui s'était approprié sans vergogne la femelle de son subordonné la comblant au delà de toute espérance. Et au bout d'une minute, il assista effondré à l'orgasme incroyable qui submergeait sa femme.
Le noir qui s'était extirpé de la grotte accueillante tenait à pleine main son dard monstrueux répandant sa sève abondante sur la croupe ronde de sa conquête. Puis sans attendre que Stéphanie reprenne contact avec la réalité, il planta d'un coup son rondin démesuré dans son cul magnifique. Cette séquence avec Stéphanie embrochée comme un vulgaire poulet par l'épaisse tige noire marqua la fin de la vidéo.
Robert était au Trente sixième dessous.
Un sentiment insupportable d'infériorité s'était emparé de son esprit, mais il lui restait suffisamment de lucidité pour comprendre que des lamentations stériles ne le mèneraient nulle part.
Les paroles que Stéphanie avait prononcées à son retour du bureau lui avaient fait comprendre que sa femme avait été renseignée sur sa petite virée avec Sabine.
Avait il été vu ou suivi après avoir quitté le restaurant en compagnie de la jeune femme ?
La beauté rousse l'avait elle piégé ?
Robert décida qu'il irait rendre une nouvelle visite à Sabine au plus tôt.
Mais cette rencontre allait devoir attendre jusqu'au week-end suivant car le lendemain, il devait prendre le premier TGV pour Paris. Il était en effet attendu au ministère de la défense pour une communication de la plus haute importance.
Robert n'attendit pas que son épouse retrouve ses esprits. Il griffonna un simple mot sur une feuille de papier avant de se diriger vers la chambre d'amis prenant tout juste le temps de se dévêtir avant de s'affaler dans le lit.
+++++Il était un peu plus de 11 heure 15 ce samedi. Robert avait pris soin d'éviter de croiser son épouse depuis qu'elle lui avait montré la vidéo où elle se faisait limer par son chef.
Le temps était frais mais ensoleillé. En montant l'allée qui menait jusqu'à la porte de la luxueuse villa protégée des regards par une épaisse haie de tulias, le mari trompé avait du mal à maîtriser la tension qui ne l'avait guère quitté depuis les événements de l'avant veille. Il prit quelques secondes pour respirer profondément espérant que l'air frais l'aiderait à retrouver un peu de sérénité puis il appuya sur le bouton de la sonnette. Vingt secondes plus tard, un homme grand et grisonnant âgé d'une soixantaine d'années vint lui ouvrir.
- Bonjour Monsieur, déclara poliment Robert légèrement surpris de tomber sur un sexagénaire.
- Bonjour répondit son interlocuteur d'une voix dénuée de bienveillance.
- je vous prie de m'excuser de vous importuner en plein week-end mais j'aurais souhaité m'entretenir avec Sabine.
Le type dévisagea Robert avec méfiance avant de se tourner vers la maison.
- Sabine ma chérie, il y a à l'entrée un Monsieur qui souhaiterait te parler.
Une voix retentit en provenance de l'intérieur puis vingt secondes plus tard, une petite femme blonde et enjouée apparut dans le couloir. Perchée sur des talons de 13 cm, mince et très bien conservée pour son âge elle arborait une robe plutôt courte dont le décolleté mettait joliment en valeur une paire de seins opulents.
- J'étais en plein Skype avec Félix, déclara t-elle à l'attention de son mari. Figure toi qu'il m'invite à passer 15 jours chez lui au mois de mars.
- il faut croire que tu lui as fait beaucoup d'effet répondit l'homme d'un ton agacé avant de se tourner vers Robert qu'il crût utile de renseigner au sujet de l'échange auquel il venait d'assister.
- Nous sommes rentrés hier après midi d'un long voyage aux Antilles. Au cours de notre séjour, nous avons lié connaissance avec Félix un retraité de l'administration territoriale qui a rejoint son île natale peu de temps après la fin de sa carrière en banlieue parisienne.
Enfin, quand je dis nous, soupira l'homme avec fatalisme, c'est plutôt Sabine qui a sympathisé avec Félix. Comme beaucoup de femmes, ma charmante épouse ne sait pas résister à une grosse queue noire.
La femme éclata de rire.
- voyons chéri tu n'as pas honte de raconter des choses pareilles devant Monsieur.
- prétends que ce n'est pas vrai !
- C'est pour cela que c'est gênant répliqua l'épouse faussement outrée en haussant les épaules.
- Vous vouliez me parler ajouta t-elle ensuite en se tournant vers Robert. Comme vous l'a dit mon mari, nous rentrons d'un lointain voyage et nous subissons encore les effets du décalage horaire. Et à notre âge, nous avons besoin de temps et de tranquillité pour recaler nos horloges biologiques...
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