mireille humilié par sa nièce
Récit érotique écrit par Lancer [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2008 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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mireille humilié par sa nièce
<p>Aurore, belle blonde de dix huit ans, décide avec ses copines, d'aller faire un tour à la plage.
Elle est vêtue pour l'occasion, d'un short moulant blanc et d'un petit bustier. Elle doit récupérer ses copines à quinze heures.Mais avant d'aller à la plage, elle doit passer chez sa tante Mireille, une jolie femme de quarante ans, pour régler un petit problème. En effet, sa tante raconte à qui veut l'entendre que sa nièce est une fille facile. En bref une traînée. Elle ne peut pas laisser passer çà.
Elle s'arrête donc chez sa tante.
Mireille est en train de bronzer au bord de la piscine, un maillot deux pièces vert, le haut fixé avec un cordon dans le dos, le mini bas, fixé également avec deux cordons sur les hanches.
-Alors, jeunes filles, on promène ?demande Mireille.
-Il fait chaud, on à décider d'aller à la plage, alors en passant, je suis passé te dire bonjour.
-C'est gentil, je vous offre un verre ? Propose Mireille.
-Non merci tante. En fait je passais pour régler un problème avec toi.
-A bon et lequel, rien de grave j'espère ?demande Mireille.
-Un peu quand même, tu fais courir le bruit un peu partout que je suis une traînée, une pute.
-Cà veut dire quoi ?
-Ben, dit donc, les nouvelles vont vite, çà t’a vexé. Reconnais que tu écartes les cuisses facilement. Je me trompe ?
Aurore commence à s'énerver. Ses copines ne comprennent pas ce qu'il se passe, n'étant au courant de rien.
-Tu veux que je te mette une gifle, menace Aurore. Tu es qui pour me juger.
-Toi, me gifler, mais je rêve. Dis petite garce, tu veux pas que je te mette une fessée devant tes copines, lui dit Mireille.
-J'aimerais bien voir çà, répond Aurore.
-Si tu veux on peut s'expliquer à l'intérieur.Tes copines peuvent entrer pour voir comment je vais te ridiculiser. Les voilà en place dans le salon, pieds nus pour ne pas abîmer la moquette.
Mireille se jette la première et bouscule Aurore qui chancelle, mais sans tomber.
La deuxième attaque est plus précise. Elle fonce tête baissée sur sa nièce qui tombe en arrière, entraînant sa tante avec elle et lui coince la tête entre ses cuisses. Aurore se retrouve à genoux, la tête de sa tante bloquée et les fesses en l'air.
Mireille n'est pas dans une position idéale, son dos offert aux mains libres de sa nièce.
Alors calmement, Aurore dénoue le cordon du maillot, libérant ainsi les seins de sa tante.
Elle passe ses mains sous le corps de Mireille et les lui palpe, tirant même sur ses bouts.
-Ben dis dont, tante tu as une super paire de nichons, remarque Aurore. Ils sont vraiment beaux et fermes.L'oncle doit se régaler.
-Tu me fais mal connasse, arrête, crie Mireille.
Aurore s'attaque maintenant aux cordons du bas, qu’elle enlève facilement et le jette dans un coin de la pièce. Mireille est complètement nue devant sa nièce. Quel affront !
Aurore, dix huit ans, qui maîtrise sa tante de quarante. Les deux copines n'en reviennent pas.
Elles ne veulent rien perdre du spectacle.
Aurore se penche sur le dos de sa tante, lui ceinture le ventre et envoie ses mains entre les cuisses ouvertes.
-Ha,ha,ha, ricane Aurore, elle a la chatte toute rasée, lisse comme une petite fille.
Elle lui pince les lèvres, arrachant quelques petits cris.
-Aie, aie, lève tes mains de là, petite salope. Un peu de respect. Tu vas voir qu'en je vais t'attraper, je vais te corriger, lâche moi cri Mireille.
Mais Aurore ne l'écoute pas. Elle penche son corps sur le côté, entraînant sa tante avec elle.
Mireille est couchée au trois quart, presque allongée, les jambes écartées, offrant son sexe à la vue des deux copines.
Mireille agite ses jambes pour essayer de se libérer, mais elle est bel et bien bloquée.
-Lâche moi, petite traînée, tu entends, lâche moi je te dis. Cà va pas se passer comme çà, tu vas voir.
-On va voir quoi, lui répond Aurore. Calme toi ou je vais te calmer, tu as compris ?
La dessus elle prend le bout d'un sein de Mireille et le fait tourner entre ses doigts.
Mireille pousse un petit cri et des larmes coulent sur ses joues. Mais Aurore ne s'arrête pas là, elle envoie ses mains entre les cuisses écartées et entreprend de lui malaxer le sexe, lui pince les lèvres, endroit très sensible et, d'un seul coup, lui enfonce deux doigts dans la chatte. Mireille se débat de plus en plus, en vain, elle ne peut pas s'en sortir. Maintenant, elle pleure franchement, pas de douleur mais d'humiliations.
-Vous avez vues les filles comme elle remue son cul pour essayer de se sauver, plaisante
Aurore.
-Sort tes doigts de là, je suis ta tante quand même, répond Mireille en sanglots.
-C'est parce que tu es ma tante que tu fais ma réputation dans tout le quartier. Et si je racontais ce que je te fais, et surtout ce que je vais te faire.
-Arrête, déconne pas, c'est fini maintenant, arrête, supplie Mireille.
Alors Aurore sort ses doigts du corps de sa tante tout en lui caressant les lèvres, les frottant une contre l'autre, puis elle remonte vers ses seins. Elle s'aperçoit en les caressant qu'ils sont devenus très durs et que les bouts ont doublés de longueur. Mireille ne résiste plus. S'avouerait-elle vaincue, serait-elle en train de s'abandonner, de se soumettre.
Aurore veut en avoir le coeur net. Elle remet ses doigts dans la chatte de sa tante, et là. Surprise.
Mireille commence à mouiller.
-Oh, les filles, je ne le crois pas, elle mouille comme une pute, dit Aurore.
Mireille se dresse sur ses pieds pour mieux se cambrer, comme pour aller vers les doigts de sa nièce qui lui caresse le clitoris sans ménagement. Ses jambes sont écartées à 180°.
-ah, que c'est bon regarde comme je suis, dans quel état tu m’as mise.
-Sacré salope. Tu te régales de te faire doigter. Si tu voyais ton clito comme il est sorti, tu mouilles de plus en plus, hein ?
-Oh putain. Tu me fais jouir, vas-y, branle moi, enfonce tes doigts, crève moi, rend moi pute vide moi. On ne m'a jamais branlée comme tu le fais, oh mon dieu ne t’arrête pas.
Mireille hurlait son plaisir sans retenu. Elle était complètement à la merci de sa nièce.
- Tu n’as pas honte devant mes copines de te faire maquer. Tu sais que je suis en train de te gouiner, tu le sais.
-Je m'en fou, répond Mireille, tu me caresses tellement bien.Tu sais ce que j'aime. Et tant mieux si çà excite tes copines de voir ce que tu m'as fait. S'il te plait encore.
Aurore tient toujours le clitoris de sa tante qu'elle fait rouler entre ses doigts. Mireille n'en peut plus. Sa nièce la branle avec deux doigts deux fois plus vite que tout à l'heure.
-Alors petite gouine, tu n’en as pas assez. Approchez les filles. Venez voir ce que je fais à ma tante. Elle se régale la salope. Qui c'est la pute des deux, hein ?
-C'est moi ma chérie, mais s'il te plat, t'arrête pas, c'est trop bon, vas-y, crie Mireille.
-Qu'est ce que tu as fait de moi. Je jouis, vite, je jouis, çà fait deux fois ma chéri, je crache, t'arrêtes pas, doigte moi, s'il te plait, continu fort.
L'orgasme a été puissant. Mireille toujours au sol, gémit encore.
-Tu reviendras, ma chéri, s'il te plait. Tu me fais tellement du bien. Dis moi oui, implore
Mireille.
-D'accord, pourquoi pas. Je vais te rendre lesbienne. Mais attention, si j'entends encore des bruits sur mon compte, c'est avec mes deux copines qu'on va t'entreprendre. On va te mettre plus bas que terre.
-Ma chéri, soit tranquille, je ne dirai plus rien, mais passe me voir de temps en temps même seule, je serai prête.
-Allez, à bientôt, lui dit Aurore en l'embrassant sur la bouche, et attention.
-Aux revoir madame lance les filles.
Et les voilà parties. Pour la plage c'est raté.
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Elle est vêtue pour l'occasion, d'un short moulant blanc et d'un petit bustier. Elle doit récupérer ses copines à quinze heures.Mais avant d'aller à la plage, elle doit passer chez sa tante Mireille, une jolie femme de quarante ans, pour régler un petit problème. En effet, sa tante raconte à qui veut l'entendre que sa nièce est une fille facile. En bref une traînée. Elle ne peut pas laisser passer çà.
Elle s'arrête donc chez sa tante.
Mireille est en train de bronzer au bord de la piscine, un maillot deux pièces vert, le haut fixé avec un cordon dans le dos, le mini bas, fixé également avec deux cordons sur les hanches.
-Alors, jeunes filles, on promène ?demande Mireille.
-Il fait chaud, on à décider d'aller à la plage, alors en passant, je suis passé te dire bonjour.
-C'est gentil, je vous offre un verre ? Propose Mireille.
-Non merci tante. En fait je passais pour régler un problème avec toi.
-A bon et lequel, rien de grave j'espère ?demande Mireille.
-Un peu quand même, tu fais courir le bruit un peu partout que je suis une traînée, une pute.
-Cà veut dire quoi ?
-Ben, dit donc, les nouvelles vont vite, çà t’a vexé. Reconnais que tu écartes les cuisses facilement. Je me trompe ?
Aurore commence à s'énerver. Ses copines ne comprennent pas ce qu'il se passe, n'étant au courant de rien.
-Tu veux que je te mette une gifle, menace Aurore. Tu es qui pour me juger.
-Toi, me gifler, mais je rêve. Dis petite garce, tu veux pas que je te mette une fessée devant tes copines, lui dit Mireille.
-J'aimerais bien voir çà, répond Aurore.
-Si tu veux on peut s'expliquer à l'intérieur.Tes copines peuvent entrer pour voir comment je vais te ridiculiser. Les voilà en place dans le salon, pieds nus pour ne pas abîmer la moquette.
Mireille se jette la première et bouscule Aurore qui chancelle, mais sans tomber.
La deuxième attaque est plus précise. Elle fonce tête baissée sur sa nièce qui tombe en arrière, entraînant sa tante avec elle et lui coince la tête entre ses cuisses. Aurore se retrouve à genoux, la tête de sa tante bloquée et les fesses en l'air.
Mireille n'est pas dans une position idéale, son dos offert aux mains libres de sa nièce.
Alors calmement, Aurore dénoue le cordon du maillot, libérant ainsi les seins de sa tante.
Elle passe ses mains sous le corps de Mireille et les lui palpe, tirant même sur ses bouts.
-Ben dis dont, tante tu as une super paire de nichons, remarque Aurore. Ils sont vraiment beaux et fermes.L'oncle doit se régaler.
-Tu me fais mal connasse, arrête, crie Mireille.
Aurore s'attaque maintenant aux cordons du bas, qu’elle enlève facilement et le jette dans un coin de la pièce. Mireille est complètement nue devant sa nièce. Quel affront !
Aurore, dix huit ans, qui maîtrise sa tante de quarante. Les deux copines n'en reviennent pas.
Elles ne veulent rien perdre du spectacle.
Aurore se penche sur le dos de sa tante, lui ceinture le ventre et envoie ses mains entre les cuisses ouvertes.
-Ha,ha,ha, ricane Aurore, elle a la chatte toute rasée, lisse comme une petite fille.
Elle lui pince les lèvres, arrachant quelques petits cris.
-Aie, aie, lève tes mains de là, petite salope. Un peu de respect. Tu vas voir qu'en je vais t'attraper, je vais te corriger, lâche moi cri Mireille.
Mais Aurore ne l'écoute pas. Elle penche son corps sur le côté, entraînant sa tante avec elle.
Mireille est couchée au trois quart, presque allongée, les jambes écartées, offrant son sexe à la vue des deux copines.
Mireille agite ses jambes pour essayer de se libérer, mais elle est bel et bien bloquée.
-Lâche moi, petite traînée, tu entends, lâche moi je te dis. Cà va pas se passer comme çà, tu vas voir.
-On va voir quoi, lui répond Aurore. Calme toi ou je vais te calmer, tu as compris ?
La dessus elle prend le bout d'un sein de Mireille et le fait tourner entre ses doigts.
Mireille pousse un petit cri et des larmes coulent sur ses joues. Mais Aurore ne s'arrête pas là, elle envoie ses mains entre les cuisses écartées et entreprend de lui malaxer le sexe, lui pince les lèvres, endroit très sensible et, d'un seul coup, lui enfonce deux doigts dans la chatte. Mireille se débat de plus en plus, en vain, elle ne peut pas s'en sortir. Maintenant, elle pleure franchement, pas de douleur mais d'humiliations.
-Vous avez vues les filles comme elle remue son cul pour essayer de se sauver, plaisante
Aurore.
-Sort tes doigts de là, je suis ta tante quand même, répond Mireille en sanglots.
-C'est parce que tu es ma tante que tu fais ma réputation dans tout le quartier. Et si je racontais ce que je te fais, et surtout ce que je vais te faire.
-Arrête, déconne pas, c'est fini maintenant, arrête, supplie Mireille.
Alors Aurore sort ses doigts du corps de sa tante tout en lui caressant les lèvres, les frottant une contre l'autre, puis elle remonte vers ses seins. Elle s'aperçoit en les caressant qu'ils sont devenus très durs et que les bouts ont doublés de longueur. Mireille ne résiste plus. S'avouerait-elle vaincue, serait-elle en train de s'abandonner, de se soumettre.
Aurore veut en avoir le coeur net. Elle remet ses doigts dans la chatte de sa tante, et là. Surprise.
Mireille commence à mouiller.
-Oh, les filles, je ne le crois pas, elle mouille comme une pute, dit Aurore.
Mireille se dresse sur ses pieds pour mieux se cambrer, comme pour aller vers les doigts de sa nièce qui lui caresse le clitoris sans ménagement. Ses jambes sont écartées à 180°.
-ah, que c'est bon regarde comme je suis, dans quel état tu m’as mise.
-Sacré salope. Tu te régales de te faire doigter. Si tu voyais ton clito comme il est sorti, tu mouilles de plus en plus, hein ?
-Oh putain. Tu me fais jouir, vas-y, branle moi, enfonce tes doigts, crève moi, rend moi pute vide moi. On ne m'a jamais branlée comme tu le fais, oh mon dieu ne t’arrête pas.
Mireille hurlait son plaisir sans retenu. Elle était complètement à la merci de sa nièce.
- Tu n’as pas honte devant mes copines de te faire maquer. Tu sais que je suis en train de te gouiner, tu le sais.
-Je m'en fou, répond Mireille, tu me caresses tellement bien.Tu sais ce que j'aime. Et tant mieux si çà excite tes copines de voir ce que tu m'as fait. S'il te plait encore.
Aurore tient toujours le clitoris de sa tante qu'elle fait rouler entre ses doigts. Mireille n'en peut plus. Sa nièce la branle avec deux doigts deux fois plus vite que tout à l'heure.
-Alors petite gouine, tu n’en as pas assez. Approchez les filles. Venez voir ce que je fais à ma tante. Elle se régale la salope. Qui c'est la pute des deux, hein ?
-C'est moi ma chérie, mais s'il te plat, t'arrête pas, c'est trop bon, vas-y, crie Mireille.
-Qu'est ce que tu as fait de moi. Je jouis, vite, je jouis, çà fait deux fois ma chéri, je crache, t'arrêtes pas, doigte moi, s'il te plait, continu fort.
L'orgasme a été puissant. Mireille toujours au sol, gémit encore.
-Tu reviendras, ma chéri, s'il te plait. Tu me fais tellement du bien. Dis moi oui, implore
Mireille.
-D'accord, pourquoi pas. Je vais te rendre lesbienne. Mais attention, si j'entends encore des bruits sur mon compte, c'est avec mes deux copines qu'on va t'entreprendre. On va te mettre plus bas que terre.
-Ma chéri, soit tranquille, je ne dirai plus rien, mais passe me voir de temps en temps même seule, je serai prête.
-Allez, à bientôt, lui dit Aurore en l'embrassant sur la bouche, et attention.
-Aux revoir madame lance les filles.
Et les voilà parties. Pour la plage c'est raté.
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