Mon espagnole

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
  • • 973 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 7.3 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.7
  • • L'ensemble des récits érotiques de Baiserjouir ont reçu un total de 8 629 335 visites.
Récit libertin : Mon espagnole Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-10-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 11 228 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Mon espagnole
Ouf, j’arrive enfin chez moi. Je suis dehors depuis 2 mois et il me tarde de retrouver mes aises, surtout mon lit au matelas assez dur. Je travaille pour la commission européenne comme expert. Je suis envoyé à peu près partout dans le monde pour des enquêtes. Je ne suis jamais seul, une personne au moins m’accompagne. Cette fois j’ai eu une collègue. Elle est espagnole. Elle ne me déplais pas du tout. Je sais que l’inverses est vrai. Pourtant, c’est une règle chez nous : pas de coucheries pendant les missions. Elle s‘appelle Rémédios, que j‘ai simplifié en Rémé. Elle m’a demandé de faire escale à Madrid. Nous avons pu passer une nuit ensemble. Et qu’elle nuit ! j’y pense encore à tel point que je dois ma masturber rien qu'en me souvenant. Je le fait d’autant plus que je suis dans le bain chaud que j’ai fait couler dès mon arrivée. J’aime particulièrement me branler dans l’eau chaude, il me semble que tout mon corps est sous une caresse inconnue.
J’ai en tête sa dernière jouissance quand j’étais en elle. Elle était sur la dos, les jambes autour de ma taille, j’étais enfoncé au fond de sa chatte, quand je sentais pour cette dernière fois son sexe avoir des spasmes autour de ma queue, j’ai pu jouir en même temps. Elle m’a dit de venir lundi et nous sommes vendredi. Après demain elle devrait être là, sur mon lit. Il me tarde.
J’ai commandé un bon repas chez le meilleur traiteur de ma ville : il servira vers 20 heures dimanche. En attendant je vis sur les nerfs. Je crois que je ne me suis jamais branlé autant, le couché, le midi, l’après midi, avant le diner, après le diner, en me couchant, dans la nuit sans oublié dans le bain. Je dois avoir les couilles presque vides.
Enfin dimanche après midi, elle sonne : elle est là, toujours aussi sexy avec sa valise et son imper. Je ne sais pourquoi elle a ce « machin » : il ne pleut presque jamais chez moi. Nous ne pouvons résister, nous nous embrassons longuement comme si nous ne nous étions pas vu depuis une éternité. Nos langues se mélangent dans les bouches. Je la caresse par-dessus ses habits, elle me rend la même caresse, surtout quand ma main se pose sur son bas ventre, elle aussi met la sienne au même endroit, sauf que mon excitation est visible alors que la sienne c’est encore théorique.
Je mets ma main sur ses fesses, je sais qu’elle aime ça. Je soulève sa robe. J’ai une bonne surprise : elle ne porte pas de slip. Tant mieux. Je peux aller à la rencontre de son cul, je sais aussi qu’elle aime ça et même un peu plus, sur son cul. Je ne cherche même pas à y entrer, je le caresse lentement. Elle me laisse faire et s’acharne à ouvrir ma braguette. Elle y arrive, sort ma bite, la prends à pleine main et commence à me masturber. Je ferme les yeux sous la caresse. Elle est assez bonne baiseuse pour s’arrêter avant de me faire jouir.
Moi aussi je lui fait tomber la robe, c’est extrêmes simple : un gros bouton et la ceinture, en haut sur le dos de la robe suffi. Je le défait : la robe tombe directement sur la carrelage. Elle est totalement nue. J’admire tout son corps. Je l’éloigne de moi pour mieux la regarder. Elle aussi regarde, mais ma bite bien dressée.
Elle a envie de moi, elle s’approche pour faire tomber tous les vêtements. Quand je suis nu, elle vient contre moi pour que nos corps se retrouvent. Je sens ses seins durcir comme ses mamelons qui bandent. Je l’emmène dans la chambre où elle se couche sur le lit, sans demander son reste. De toutes façons c’est moi qui ai le reste. Elle écarte ses jambes pour que je la baise. J’ai toujours autant envie de ce corps offert ainsi. Pourtant j’ai besoin de sentir le goût de sa cyprine. Je pose ma bouche sur son entrejambes. Elle écarte encore un peu les cuisses, Je peux y mettre ma tête. Je sors ma langiez pour la lécher depuis les genoux jusqu’à cet endroit merveilleux qu’ont les femmes. Ma langue vas avant tour dans son vagin: j’aime toujours commencer par là: elles jouissent toujours facilement ainsi. La suite Est ensuite très simple: selon la grosseur et la longueur du clitoris je le prend en entier dans ma bouche ou je me contente de le lécher.
Avec Rémé, j’ai la chance de tomber sur un clito assez long. Je peux le prendre dans la bouche et le caresse avec le bout de la langue. J’ai son odeur qui envahi mes narines. Je m’en délecte. Enfin quand elle a jouit elle me fait venir sur elle. Je ne me gêne plus: je pose mon corps sur le sien, elle prend ma pine pour la guider dans son con. J’entre en elle facilement tellement elle est mouillée. Elle met à nouveau ses jambes autour de ma taille. Je peux ainsi plonger profondément en elle. Nous en avons tellement envie que nous jouissons pratiquement ensemble. Elle ne veux pas que je sorte: je débande dans son sexe. Je reste ainsi dans son ventre un moment qui me semble très long: nos lèvres s’occupent entre elles. Ce doit être la chaleur de son vagin et nos baisers qui me font bander à nouveau.
Fière d’elle cette fois elle me demande d’aller plus bas. Elle me fais sortir d’elle juste pour que je me déplace de quelques centimètres.
Nous sommes dérangés par le traiteur. Nous grignotons toujours nus en nous branlant. Enfin nous allons nous recoucher, elle est toujours sur le dos. J’ai peur de la sodomiser ainsi. Pourtant sa cyprine a abondement couler sur son anus: je n’ai plus qu’à l’enculer. Je me met sur son entrée culière, la bite bien posée. J’entre en elle sans dommage, elle gémit: « baisa me, bassa me » en espagnol : baises moi, baises moi en français. Je vais et viens dans son cul. Elle jouit encore plusieurs fois encore. heureusement pour moi, je ne jouis pas;. Je me réserve pour la suite.
Quand je sors de son cul, nos lèvres toujours unies dans un grand baiser, elle demande un instant de repos. Elle pose sa tête sur mon épaule : te quiero; « je t’aime » Je la crois d’autant plus que pendant notre dernier voyage nous ne pouvions rien nous dire de personnel.
Elle veut me prouver son amour, elle se tourne la tête au pied; Elle veux faire un 69: c’est le premier que nous allons faire. Je reste sur le dos, pendant qu’elle entreprend de mettre ma bite dans sa bouche. Aussitôt elle me fait un bien fou. Si elle continue ainsi elle va me faire jouir trop vite. Elle est assez experte pour s’arrêter à temps. Je peux enfin encore une fois passer ma langue dans tout les recoins de son con et Dieu seul sait combien ils y en a; Je la fais jouir plusieurs fois avant qu’elle se déchaîne sur ma bite. Elle est très experte en fellation. Elle fait durer mon plaisir le plus longtemps possible. Quand elle pense qu’elle a assez jouit et que je suis à point, sa bouche s’anime d’avantage: je jouis dans sa bouche: Elle avale mon sperme.
Cette fois nous nous endormons pour la nuit, enfin théoriquement: nous ne sommes pas habitués à dormir dans le même lit. C’est elle que se réveille vers 5 heures du matin. Elle me réveille de la meilleurs des façon, sa bouche a pris ma pine et la suce lentement. Elle est fière d’elle: je suis réveillé et je bande. Elle me fait mettre sur le dos, monte sur moi prend ma bite pour se la mettre toute seule, comme une grande dans son vagin. Elle resta assise sur moi. Elle monte et descend sans arrêt: elle arrive à nous faire jouir ensemble. Je sens que nos spasmes ont lieu ensemble.
Elle sort ma bite, se couche et se rendort. Je reste un peu sur ma faim. Ce n’est que vers 9 heures, quand nous nous éveillons pour de bon, qu’elle décide d’aller préparer le petit déjeuner. Je la suis à la cuisine: nous sommes nus: elle passe un petit tablier Elle est adorable ainsi. Ma bite la trouve aussi agréable: je bande. Je vais près d’elle, me met contre son dos, ma bite bandée contre la raie de ses fesses. Ses mouvements font que ma bite va et vient dans sa raie. Elle en rajoute un peu. Je vais me trouver mal si elle ne me contente pas dans les minutes qui suivent.
Elle retarde au maximum alors que je sais qu’elle mouille comme ne fontaine. Elle arrête ce qu’elle faisait pour venir s’assoir sur la table, les jambes ouvertes vers moi. Je ne tiens pas et ne résiste pas à la tentation: ma bouche plonge dans son sexe. Ce n’est pas un petit déjeuner comme les autre: je lui bouffe la chatte. Elle viens s’assoir sur mes genoux, en me tournant le dos, prends ma bite pour la placer comme elle veux dans son con. Je peux ainsi lui caresser la poitrine. Je trouve même la place pour arriver à son bouton que je frôle pour lui donner encore plus de jouissance. J’ai gagné quand sa bouche se tourne vers moi pour m’embrasser.
Nous passons les deux jours suivant à ne penser qu’à ne seule chose : baiser.
Le reste de notre vie s’en trouve changé, nous baisons tous les jours depuis notre mariage. Hélas, nous ne faisons plus de missions ensemble.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Mon espagnole
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Baiserjouir

La maîtresse de mon, mari - Récit érotique publié le 27-08-2016
Nos turpitudes - Récit érotique publié le 25-08-2016
Quatuor improvisé - Récit érotique publié le 23-08-2016
Amour à quatre - Récit érotique publié le 21-08-2016
La nymphomane guérie - Récit érotique publié le 19-08-2016
Trio improvisé - Récit érotique publié le 17-08-2016
Nouvelles amies - Récit érotique publié le 14-08-2016
Ma nouvelle voisine (suite) - Récit érotique publié le 11-08-2016
Mon anniversaire - Récit érotique publié le 05-08-2016
Avec mes amantes, je suis heureuse. - Récit érotique publié le 02-08-2016