Mon premier fantasme
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 973 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 7.3 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.7
- • L'ensemble des récits érotiques de Baiserjouir ont reçu un total de 8 625 950 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2016 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 14 888 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Mon premier fantasme
Avant de nous marier, nous vivions ensemble depuis 5 ans. C'était à l'époque où nous baisions souvent. J'ai maintenant la quarantaine, je me sens toujours jeune. Il y a une différence de taille. Nous baisons toujours, nous savons bien mieux faire l'amour, sauf que mes fantasmes ont évolués plus vite. J'ai plusieurs envies: dans le désordre, ma faire baiser par plusieurs hommes à la fois, participer à des réunions spéciales ou avoir une amante que je pourrais partager avec mon cher et tendre ou la garder pour moi seule.
J'en parle à mon mari, Paul qui prend mes rêves pour des caprices. Il ne comprend pas du tout que j'ai ce genre d'envies. Lui se trouve bien ainsi. Tant mieux pour lui. IL n'empêche que je vais faire tout ce que je pourrai pour me satisfaire, quitte à le regretter plus tard.
Le problème est de trouver non pas un amant: c'est assez facile, mais de trouver plusieurs amants qui acceptent de cohabiter dans mon corps, c'est moins sur. Je connais par contre une de mes amies qui, elle me l'a dit, aimerai faire l'amour avec une autre femme. Je demande à Monique, donc, si elle voudrait que nous nous amusions ensemble pour savoir quels seraient les plaisirs entre femme. Monique à mon âge, est divorcée depuis peu, mène une vie indépendante. Comme nous nous voyons souvent, mon mari, ne pourra jamais se douter de quelque chose.
Monique ne répond pas de suite. Il faut qu'elle y réfléchisse un peu, après tout nous sommes amies. Un après midi, en buvant notre thé chez elle, comme souvent, elle me prend dans ses bras et m'embrasse sur la bouche. Je suis surprise, je ne m'attendais pas à ça. Sa langue cherche la mienne. Je réponds au baiser. Je la laisse faire ce qu'elle veut: je suis novice en la matière. Je sais quand même comment les femmes se donnent du plaisir entre elles, par contre je serais totalement à même d'en prendre l'initiative. Elle me met sa main sous ma robe, me caresse les cuisses, s'y glisse entre elles. J'écarte les jambes. Sa main monte. Je commence à frissonner comme quand au début mon premier amant me le faisait. Ça remonte à longtemps, je crois que je n'avais pas encore 17 ans. La main monte toujours. Nous avons nos lèvres collées. Enfin après un bon moment d'excitation elle arrive à mon string. Elle met deux doigts dessous: je suis totalement trempée. Ces doigts cherchent rapidement mon clitoris. Il me tarde qu'elle commence. Enfin elle me masturbe. J'en crevais d'envie dès le début du baiser. Elle arrête bien avant que je jouisse. - Viens dans la chambre, nous y serons bien mieux.
- Pourquoi pas ici ?
- Un lit et plus confortable pour prendre du plaisir, c'est là ou je vais quand je me branle avec mon gode - Moi aussi je me couche pour me branler avec mon gode ou sans lui.
- Allez, allons nous faire l'amour, ça nous changera des masturbations, et en plus on pourra se servir du gode.
Nous voilà parties dans sa chambre: un grand lit avec une grande armoire et une glace immense. Nous nous embrassons encore. Elle commence à me déshabiller. Je nous vois dans la glace: elle enlève tout ce que je porte, en me caressant souvent, particulièrement la poitrine. Je suis de plus en plus excitée de me voir dans le miroir. Maintenant c'est à moi de jouer. Je la mets nue rapidement. Je nous regarde encore dans la glace. Nous agissons comme des amants.
Nous nous regardons en détail depuis le début: pour des femme de 40 ans, nous sommes sexy. Nous avons un avantage sur les jeunes, nous savons bien mieux prendre notre plaisir et surtout en donner. Elle passe derrière moi, prend mes seins dans ses mains, les caresse en me pinçant légèrement comme j'aime. Elle descend une main sur mon pubis, me regarde dans la glace:- Tu veux que je te branle maintenant- Oui je le veux.
- Alors passes ta main derrière toi, cherche dans ma chatte, tu trouveras mon bouton.
- Tu veux que je te branle comme ça ?
- Oui, ma chérie.
Je passe ma main, trouve sa moule, y met la main et la passe sur le haut de sa fente. Pour la première fois je caresse une femme dans l'intention de la faire jouir. Ce n'est pas commode comme position pour moi. Comme elle aussi me masturbe, je trouve ce que nous faisons plutôt agréable. Elle murmure:- C'est bon tu sais.
- Je sais, j'aime ce que tu me fais.
- Ce n'est que le début.
- Alors je vais prendre mon pied.
Je ne sais comment, je jouis et la fait jouir. Cette fois nous nous couchons, nous embrassons, nous caressons. Sa main repart vers mon con. Elle me branle un peu le bouton, avant de me mettre deux doigts dans mon vagin. Là je suis obligée de fermer les yeux, je ne pense même pas à lui rendre la pareille. Elle me fait jouir encore. Elle me le demande, je prends le gode, qu'elle a posé sur le lit. Elle s'installe bien sur le dos, ouvre ses jambes. Je lui met le gode dans sa grotte. C'est la première fois que j'entends une femme gémir ainsi. Elle aime se faire mettre comme j'aime la lui mettre. Je me découvre brusquement une âme de lesbienne. Elle jouit et je continue à la baiser avec l'instrument. Elle remue sa^tête dans tous les sens:- Oui, oui, encore, va plus loin, plus vite.
-Je te baise, tu jouis bien ?
- Oui, je jouis encore. Ne me m'enlève pas.
- Je te baiserai tant que tu me le demanderas.
- Oui, j'en veux encore.
Elle jouit sans arrêt. Je suis fatiguée de faire aller et venir mon bras. J'arrête.
- Non, encore, s'il te plait.
- Je ne peux plus, fais moi le maintenant.
A son tour elle me met son gode dans la chatte. Je jouis antan qu'elle. J'aimerai bien que nous nous sucions ensemble: un 69 quoi.
Elle reste sur le dos, je passe sur elle, viens lui sucer le bouton. Elle m'en fait autant. J'ai quand même un avantage sur elle, j'ai toujours le gode. Nous nous suçons longuement, nous jouissons encore toujours autant. Pourtant je pose le gode d'abord sur son vagin. Elle doit penser que je vais la baiser en la suçant. Je remonte l'engin et le lui met au cul. Je ne sais si elle aime se faire mettre par là, je verrais bien. Je pose à peine le gode sur son anus: elle écarte ses fesses. Je la sodomise à fond. J'aime voir ce gode rentrer dans ce cul qui accepte d'être pénétré. Elle doit bien aimer puisqu'elle me rentre trois doigts dans mon propre anus.
Je regarde l'heure: il est tellement tard que je téléphone à Paul pour lui dire que Monique m'a retenue chez elle pour le dîner. Dîner que nous passons à nous faire l'amour. Nous nous branlons à chaque occasion. J'ai appris à aimer l'aimer. Je crois que je suis devenue totalement désaxée. Monique n'en croit pas un mot quand elle me met une fois encore le gode dans mon cul. Pour parfaire le plaisir elle me suce continuellement. Je ne peux résister à l'envie de la sucer encore. Nous nous retroussons encore un 69. Une idée traverse la tête de Monique;- Et si nous changions de position. J'ai entendu dire que deus femmes peuvent se faire jouir en se cartant le con avec le leur.
- Si c'est vrai, on va encore bien jouir.
Elle s'installe presque assise, les jambes un peu écartées. Je me mets comme elle, en passant une jambe sur une des sienne. C'est vrai que nos chattes se touchent presque. Nous forçons un peu et nous voilà clitoris contre clitoris. C'est elle qui commence à bouger. Je sens contre mon bouton, le sien qui me caresse. Nous pouvons nous embrasser et n'y manquons pas du tout. C'est lèvres soudées et sexe contre sexe que nous jouissons une dernière fois.
Nous devons nous revoir demain. Il me tarde tant que dès que nous finissons de baiser avec Paul, je me lève dans le nuit sort mon gode et vais me masturber en regardant un film porno.
J'espère bien tôt satisfaire un autre fantasme.
J'en parle à mon mari, Paul qui prend mes rêves pour des caprices. Il ne comprend pas du tout que j'ai ce genre d'envies. Lui se trouve bien ainsi. Tant mieux pour lui. IL n'empêche que je vais faire tout ce que je pourrai pour me satisfaire, quitte à le regretter plus tard.
Le problème est de trouver non pas un amant: c'est assez facile, mais de trouver plusieurs amants qui acceptent de cohabiter dans mon corps, c'est moins sur. Je connais par contre une de mes amies qui, elle me l'a dit, aimerai faire l'amour avec une autre femme. Je demande à Monique, donc, si elle voudrait que nous nous amusions ensemble pour savoir quels seraient les plaisirs entre femme. Monique à mon âge, est divorcée depuis peu, mène une vie indépendante. Comme nous nous voyons souvent, mon mari, ne pourra jamais se douter de quelque chose.
Monique ne répond pas de suite. Il faut qu'elle y réfléchisse un peu, après tout nous sommes amies. Un après midi, en buvant notre thé chez elle, comme souvent, elle me prend dans ses bras et m'embrasse sur la bouche. Je suis surprise, je ne m'attendais pas à ça. Sa langue cherche la mienne. Je réponds au baiser. Je la laisse faire ce qu'elle veut: je suis novice en la matière. Je sais quand même comment les femmes se donnent du plaisir entre elles, par contre je serais totalement à même d'en prendre l'initiative. Elle me met sa main sous ma robe, me caresse les cuisses, s'y glisse entre elles. J'écarte les jambes. Sa main monte. Je commence à frissonner comme quand au début mon premier amant me le faisait. Ça remonte à longtemps, je crois que je n'avais pas encore 17 ans. La main monte toujours. Nous avons nos lèvres collées. Enfin après un bon moment d'excitation elle arrive à mon string. Elle met deux doigts dessous: je suis totalement trempée. Ces doigts cherchent rapidement mon clitoris. Il me tarde qu'elle commence. Enfin elle me masturbe. J'en crevais d'envie dès le début du baiser. Elle arrête bien avant que je jouisse. - Viens dans la chambre, nous y serons bien mieux.
- Pourquoi pas ici ?
- Un lit et plus confortable pour prendre du plaisir, c'est là ou je vais quand je me branle avec mon gode - Moi aussi je me couche pour me branler avec mon gode ou sans lui.
- Allez, allons nous faire l'amour, ça nous changera des masturbations, et en plus on pourra se servir du gode.
Nous voilà parties dans sa chambre: un grand lit avec une grande armoire et une glace immense. Nous nous embrassons encore. Elle commence à me déshabiller. Je nous vois dans la glace: elle enlève tout ce que je porte, en me caressant souvent, particulièrement la poitrine. Je suis de plus en plus excitée de me voir dans le miroir. Maintenant c'est à moi de jouer. Je la mets nue rapidement. Je nous regarde encore dans la glace. Nous agissons comme des amants.
Nous nous regardons en détail depuis le début: pour des femme de 40 ans, nous sommes sexy. Nous avons un avantage sur les jeunes, nous savons bien mieux prendre notre plaisir et surtout en donner. Elle passe derrière moi, prend mes seins dans ses mains, les caresse en me pinçant légèrement comme j'aime. Elle descend une main sur mon pubis, me regarde dans la glace:- Tu veux que je te branle maintenant- Oui je le veux.
- Alors passes ta main derrière toi, cherche dans ma chatte, tu trouveras mon bouton.
- Tu veux que je te branle comme ça ?
- Oui, ma chérie.
Je passe ma main, trouve sa moule, y met la main et la passe sur le haut de sa fente. Pour la première fois je caresse une femme dans l'intention de la faire jouir. Ce n'est pas commode comme position pour moi. Comme elle aussi me masturbe, je trouve ce que nous faisons plutôt agréable. Elle murmure:- C'est bon tu sais.
- Je sais, j'aime ce que tu me fais.
- Ce n'est que le début.
- Alors je vais prendre mon pied.
Je ne sais comment, je jouis et la fait jouir. Cette fois nous nous couchons, nous embrassons, nous caressons. Sa main repart vers mon con. Elle me branle un peu le bouton, avant de me mettre deux doigts dans mon vagin. Là je suis obligée de fermer les yeux, je ne pense même pas à lui rendre la pareille. Elle me fait jouir encore. Elle me le demande, je prends le gode, qu'elle a posé sur le lit. Elle s'installe bien sur le dos, ouvre ses jambes. Je lui met le gode dans sa grotte. C'est la première fois que j'entends une femme gémir ainsi. Elle aime se faire mettre comme j'aime la lui mettre. Je me découvre brusquement une âme de lesbienne. Elle jouit et je continue à la baiser avec l'instrument. Elle remue sa^tête dans tous les sens:- Oui, oui, encore, va plus loin, plus vite.
-Je te baise, tu jouis bien ?
- Oui, je jouis encore. Ne me m'enlève pas.
- Je te baiserai tant que tu me le demanderas.
- Oui, j'en veux encore.
Elle jouit sans arrêt. Je suis fatiguée de faire aller et venir mon bras. J'arrête.
- Non, encore, s'il te plait.
- Je ne peux plus, fais moi le maintenant.
A son tour elle me met son gode dans la chatte. Je jouis antan qu'elle. J'aimerai bien que nous nous sucions ensemble: un 69 quoi.
Elle reste sur le dos, je passe sur elle, viens lui sucer le bouton. Elle m'en fait autant. J'ai quand même un avantage sur elle, j'ai toujours le gode. Nous nous suçons longuement, nous jouissons encore toujours autant. Pourtant je pose le gode d'abord sur son vagin. Elle doit penser que je vais la baiser en la suçant. Je remonte l'engin et le lui met au cul. Je ne sais si elle aime se faire mettre par là, je verrais bien. Je pose à peine le gode sur son anus: elle écarte ses fesses. Je la sodomise à fond. J'aime voir ce gode rentrer dans ce cul qui accepte d'être pénétré. Elle doit bien aimer puisqu'elle me rentre trois doigts dans mon propre anus.
Je regarde l'heure: il est tellement tard que je téléphone à Paul pour lui dire que Monique m'a retenue chez elle pour le dîner. Dîner que nous passons à nous faire l'amour. Nous nous branlons à chaque occasion. J'ai appris à aimer l'aimer. Je crois que je suis devenue totalement désaxée. Monique n'en croit pas un mot quand elle me met une fois encore le gode dans mon cul. Pour parfaire le plaisir elle me suce continuellement. Je ne peux résister à l'envie de la sucer encore. Nous nous retroussons encore un 69. Une idée traverse la tête de Monique;- Et si nous changions de position. J'ai entendu dire que deus femmes peuvent se faire jouir en se cartant le con avec le leur.
- Si c'est vrai, on va encore bien jouir.
Elle s'installe presque assise, les jambes un peu écartées. Je me mets comme elle, en passant une jambe sur une des sienne. C'est vrai que nos chattes se touchent presque. Nous forçons un peu et nous voilà clitoris contre clitoris. C'est elle qui commence à bouger. Je sens contre mon bouton, le sien qui me caresse. Nous pouvons nous embrasser et n'y manquons pas du tout. C'est lèvres soudées et sexe contre sexe que nous jouissons une dernière fois.
Nous devons nous revoir demain. Il me tarde tant que dès que nous finissons de baiser avec Paul, je me lève dans le nuit sort mon gode et vais me masturber en regardant un film porno.
J'espère bien tôt satisfaire un autre fantasme.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Baiserjouir
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...