Mon tour de monde 4
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon tour de monde 4
Je dois mener à bien un contrat avec une entreprise israélienne. Mon interlocutrice est la représentante en France de sa boite. J'ai rendez vous tout à l'heure avec cette femme que je ne connais que par sa voie agréable au téléphone. Notre rendez vous est fixé au siège de sa représentation à Paris. A l'heure dite je la trouve dans un vaste bureau et nous discutons ferme sur les prix et les délais de paiement. Finalement nous tombons d'accord sur tous les points. Mais le temps a passé beaucoup plus vite que prévu, il est presque 19 heures 30. Elle m'invite dans son appartement situé juste au dessus de son bureau. J'accepte d'autant plus que la fille est jolie, assez grande pour moi et surtout bien pourvue en appâts semble-t-il généreux.
Elle me montre le chemin et passe devant moi dans les escaliers. J'ai une très jolie vue sur ses jambes, ses mollets et surtout les cuisses. J'en profite avant qu'elle se doute que je la détaille.
Arrivée à l'appart, elle me fait asseoir dans un salon et m'offre un verre de Martini. J'accepte n'en ayant pas bu depuis longtemps. Elle me demande de l'excuser : elle va préparer le repas dans la cuisine. J'attends tranquillement qu'elle revienne en me doutant qu'elle n'allait pas faire un repas compliqué. C'était le cas en moins de dix minutes elle revient porter quelques victuailles bien sur cascher. Et repart encore chercher à boire, me dit-elle.
Elle est revenue en effet mais vêtue autrement, moins stricte en tout cas. Nous commençons le repas et placée en face de moi je peux voir son décolleté ouvert faisant apparaître le haut de seins bien hauts. Le temps passe et me dit-elle : il fait chaud, non ? Il faut dire que cette fin juin est en effet assez chaude. Prétextant la chaleur elle se déboutonne le chemisier qui me parait transparent. Je ne me trompe pas. Il est sinon transparent mais au moins il laisse voir presque complètement ses seins. Nous finissons le repas et elle m'offre le café que nous prenons assis sur une banquette. Etant donné la situation j'ose lui poser une main sur un genou. Elle ne fait rien pour que je l'enlève. Je pousse un peu plus loin ma main sous sa jupe et là : surprise ! Elle écarte les jambes pour me permettre d'accéder à ses trésors cachés. En même temps elle offre ses lèvres que j'embrasse à pleine bouche. Elle me glisse dans l'oreille : j'ai envie de toi.
Moi aussi j'ai envie de posséder ce joli corps de femme abandonné. Je lui murmure : j'ai envie de toi depuis la première minute. Moi aussi me dit-elle sans aucune pudeur. Nous nous mettons entièrement nus et je commence à la caresser partout : les épaules, les seins, la taille, le pubis poilu et je mets ma main d'où elle n'aurait pas du partir : sur son con désirable. Je me mets à genoux et écartant ses cuisses, je mets ma tête entre les jambes pour sucer son bouton plein de sève. Elle gémit un peu et jouit sans retenue. Je lui rentre encore trois doigts dans le con et lui caresse le point G. La voila parti encore pour une jouissance sans fin.
Elle me demande d'arrêter de la branler pour l'enculer. Je la prends au mot et lui pénètre le cul sans trop de précaution. Mais là, sans préparation aucune elle ouvre son cul en grand et j'y pénètre facilement. Pendant ce temps elle se branle le clitoris sans aucune honte, au contraire puisqu'elle me décrit ses sensation : elle aime la façon dont je l'encule et elle aime sa façon de se branler devant moi. Excités l'un et l'autre, nous jouissons ensemble. La nuit s'est passée entre temps de câlins et temps de baise. Nous étions crevés au petit matin et avons dormis un peu pour remettre le couvert au réveil.
Nous nous sommes revu assez souvent selon ses désirs, et un jour elle est partie pour Israël.
Elle me montre le chemin et passe devant moi dans les escaliers. J'ai une très jolie vue sur ses jambes, ses mollets et surtout les cuisses. J'en profite avant qu'elle se doute que je la détaille.
Arrivée à l'appart, elle me fait asseoir dans un salon et m'offre un verre de Martini. J'accepte n'en ayant pas bu depuis longtemps. Elle me demande de l'excuser : elle va préparer le repas dans la cuisine. J'attends tranquillement qu'elle revienne en me doutant qu'elle n'allait pas faire un repas compliqué. C'était le cas en moins de dix minutes elle revient porter quelques victuailles bien sur cascher. Et repart encore chercher à boire, me dit-elle.
Elle est revenue en effet mais vêtue autrement, moins stricte en tout cas. Nous commençons le repas et placée en face de moi je peux voir son décolleté ouvert faisant apparaître le haut de seins bien hauts. Le temps passe et me dit-elle : il fait chaud, non ? Il faut dire que cette fin juin est en effet assez chaude. Prétextant la chaleur elle se déboutonne le chemisier qui me parait transparent. Je ne me trompe pas. Il est sinon transparent mais au moins il laisse voir presque complètement ses seins. Nous finissons le repas et elle m'offre le café que nous prenons assis sur une banquette. Etant donné la situation j'ose lui poser une main sur un genou. Elle ne fait rien pour que je l'enlève. Je pousse un peu plus loin ma main sous sa jupe et là : surprise ! Elle écarte les jambes pour me permettre d'accéder à ses trésors cachés. En même temps elle offre ses lèvres que j'embrasse à pleine bouche. Elle me glisse dans l'oreille : j'ai envie de toi.
Moi aussi j'ai envie de posséder ce joli corps de femme abandonné. Je lui murmure : j'ai envie de toi depuis la première minute. Moi aussi me dit-elle sans aucune pudeur. Nous nous mettons entièrement nus et je commence à la caresser partout : les épaules, les seins, la taille, le pubis poilu et je mets ma main d'où elle n'aurait pas du partir : sur son con désirable. Je me mets à genoux et écartant ses cuisses, je mets ma tête entre les jambes pour sucer son bouton plein de sève. Elle gémit un peu et jouit sans retenue. Je lui rentre encore trois doigts dans le con et lui caresse le point G. La voila parti encore pour une jouissance sans fin.
Elle me demande d'arrêter de la branler pour l'enculer. Je la prends au mot et lui pénètre le cul sans trop de précaution. Mais là, sans préparation aucune elle ouvre son cul en grand et j'y pénètre facilement. Pendant ce temps elle se branle le clitoris sans aucune honte, au contraire puisqu'elle me décrit ses sensation : elle aime la façon dont je l'encule et elle aime sa façon de se branler devant moi. Excités l'un et l'autre, nous jouissons ensemble. La nuit s'est passée entre temps de câlins et temps de baise. Nous étions crevés au petit matin et avons dormis un peu pour remettre le couvert au réveil.
Nous nous sommes revu assez souvent selon ses désirs, et un jour elle est partie pour Israël.
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